Harry Potter

Faire preuve de Chasteté

Yuyu'L'Ayu

Chapitre 4 : La vérité sort de la bouche d'un Sorcier

Les deux Gryffondor venaient de pénétrer dans le bureau du directeur, c'était pratiquement la première fois qu'ils y venaient. Sous quelques exceptions du passé bien sûr. Toujours fasciner par ce qu'il voyait, Ron ne pouvait qu'admirer cet énorme sanctuaire recouvert de livre, de parchemin et de bien d'autre objet étrange. Puis. Ce fut au tour du Choixpeau Magique de se faire reconnaître par les petits hurlements surpris du rouquin. Tandis qu'Hermione, elle ne s'intéressait guère à toutes les choses qui s'y trouvaient, à part le phénix du professeur, Fumseck. Créature mythologique qui avait bien aidé Harry et Ron dans le passé…

Détournant la tête vers Dumbledore assis à son bureau, la jeune préfète accrocha Ron et l'invita à s'asseoir comme l'avait demander le professeur d'un geste de la main. Une invitation brève, mais digne d'un grand sorcier civilisé. Alors que Ron ne cessait de regarder les alentours du bureau de Dumbledore, Hermione elle, se mordait la lèvre inférieure en jouant avec ses doigts. Une certaine marque de stress que Dumbledore reconnut très vite chez elle.

Je ne crois pas que Voldemort se soit emparer du corps d'Harry, d'ailleurs il ne le pourrait pas. Peut-être simplement que vous vous faites des peurs pour rien.

Mais professeur, ce n'est qu'une idée que nous avons eue. Mais je crois toujours qu'il est posséder, sinon, pourquoi agirait-il de cette façon avec nous?

Vous avez eu un différent avec lui depuis hier? Demanda furtivement Dumbledore en entrecroisant ses doigts après avoir adosser ses coudes sur son bureau, toujours aussi calme et persuasif du contraire.

À cette question, Ron cessa de fixer les objets de Dumbledore, surtout celle qui se trouvait dans les étagères aux deuxième étage, un peu trop curieux était-il. Mais c'était plutôt pour la raison que Hermione avait besoin de lui, elle avait besoin de son soutient. Ces deux derniers jours, non seulement la rentré, c'était plutôt à cause d'Harry. Elle l'aimait tellement comme un frère, elle voulait tant l'aider, qu'elle n'en pouvait plus et craquait. Et c'était bien la première fois qu'il la voyait comme sa…

Regardant la jeune sorcière aux cheveux bouclés, il ne voyait que son profile, celui d'une adolescente de 17 ans aux cheveux châtains, vêtue d'une robe de Gryffondor dont ses formes prenaient grâce peu à peu, de petites lèvres et un simple et petit nez… C'était Hermione tout cracher, une ravissante adolescente… Sur le coup, Ronald eu un bref sourire qu'il se permit de dissiper adroitement lorsque le professeur posa les yeux sur lui, un sourire en coin.

Vous savez pour le différent? Demanda le rouquin tout de même surpris par les « dons » magique du directeur.

Pas totalement, ce n'est simplement que ma grande intuition depuis de longues années qui ne change jamais.

Après le clin d'œil du grand magicien, la préfète repris du devant et lui raconta tout ce qui c'était passé depuis hier. Des plus petits détails sans importance, mais toutefois gênant puisque cela concernait elle et Ron, puis les détails les plus grands et selon certaine source comme les Weasley, des détails que l'on appellerait croustillants. Même si le Gryffondor avait désobliger plusieurs règles, il n'en restait pas moins que le professeur Dumbledore ne cessait de sourire, un sourire sur de lui sous un air presque serein.

Un geste qui échappa à Hermione, puisqu'il n'avait rien d'amusement dans ce qu'elle disait.

Je vois très bien où vous voulez en venir, Miss Granger. Le vieux sorcier aperçu l'air naïf de la jeune fille et ne pu que sourire en pointant son doigt vers son interlocutrice. Vous faites erreur sur un grand point très cher.

Mais, professeur ? je…

Ce n'est pas la peine de chercher Miss Granger. Je peux admettre que vous êtes la plus doué des sorcières dans cette enceinte et des plus charmante, mais pour ce qui est des relations humaines, je crois qu'il est là votre point faible.

Professeur. Répondit Hermione, un air incertain et une voix quelque peu abandonner par l'incompréhension. Je voudrais comprendre votre point de vue, car je m'y perds un peu.

Le professeur Dumbledore leva le bras, laissant ainsi un regard perplexe chez les deux jeunes Gryffondor et une splendide opportunité à Fumseck de s'établir sur une « perche ». L'oiseau de flamme battit des ailes, là où était son semblant d'être, un nid et s'éleva au-dessus de la pièce dans un envol majestueux pour se rabattre sur la longue manche du magicien blanc. L'oiseau d'ambre battit des ailes une seconde fois et tourna légèrement la tête, regardant les deux adolescents de sa pupille noirâtre.

La confiance de Fumseck est plus solide que le ralliement des hommes en ce monde. Elle est solide, inébranlable et pour l'éternité. Mais avant tout, il doit apprendre à vous faire confiance. Vous devez prouver que vous êtes digne de lui, prouvez que dans le monde où vous vivez l'amour de toute chose est plus importante que d'y prendre la liberté de vivre.

Pendant ce court moment de moral, les deux Gryffondor s'étaient croiser du regard quelques secondes avant de rétablir le contacte avec le professeur Dumbledore, au moment où les paroles joués en jeux était « Amour ». Tandis que le directeur remarquait cet incident, il put se réjouir de peut-être confirmer le lien qui se propageait entre eux.

Et, pourquoi nous parlez-vous de la confiance d'un oiseau de feu, alors qu'il est question de notre meilleur ami? Insinua le rouquin sans porter trop d'attention au statut de Dumbledore.

Sa jeune amie lui envoya un coup de coude dans les côtes, lui rappelant qu'ils ne parlaient pas avec un simple élève de Poudlard, mais avec son dirigeant où tout respect devait y être donner.

Ron… Murmura-t-elle en même temps des quelques gémissements de celui-ci.

M. Weasley, votre père à bien raison, votre impatience du dialecte compliqué n'est jamais mise à l'épreuve.

Je…

Vous suivez les pas de votre père, c'est quelques choses d'admirable malgré les rumeurs circulantes contre votre noble famille. Enfin, pour ne pas trop vous empourprer de paroles incohérentes, la confiance de Fumseck s'acquiert. Et votre sens humanitaire s'acquiert, Miss Granger. Voilà pourquoi je me permets de faire ce lien, en vivant dans le monde des sorciers vous avez quelque peu oublié d'être humain. Ce que vous croyez venir de Voldemort…

Ron grinça des dents, fermant une fraction de seconde jusqu'à ce que le nom complet de cette horreur disparaisse totalement de son esprit, laissant place à cette voix réconfortante, rauque, mais douce qui appartenait à Dumbledore.

… n'est simplement ce que vous voulez qu'il soit. Votre esprit ne perçoit que Voldemort, puisqu'il hante les sorciers depuis beaucoup trop longtemps. Mais de votre partie Moldue, ce qu'Harry a, n'est que des affluents d'émotions, de sentiments et de peines qu'il s'inflige à lui-même.

Entre autre, il souffre? Répondit Ronald.

On peu dire sa comme sa. Ajouta Dumbledore d'un haussement d'épaule en se redressant sur sa chaise. La confiance est humaine, c'est ce que Fumseck ressent à chaque naissance. Les sentiments et les émotions sont humaines, c'est ce qu'Harry ressent à chaque année.

Après quelques minutes à réfléchir à tout sa, Hermione ne prit que quelques secondes où son esprit semblait s'être arrêter et faire le lien entre Fumseck et Harry… Dumbledore avait raison, c'était complètement la même chose. Elle n'aurait jamais pensé à cette réponse, elle n'aurait jamais pensé à ce problème, puisque Harry était bien la personne la plus heureuse non ? Hé bien elle s'était tromper tout ce temps. Leur ami ne portait qu'un simple voile qui venait de tomber, dévoilant ainsi une personne à sens unique…

Est-ce nous? Demanda Hermione, la gorge sèche par l'émotion et le cœur battant douloureusement contre sa poitrine, à croire que cette partie du corps allait déchirer.

Le professeur haussa les sourcils, un regard toujours calme et lumineux au-dessus de ses lunettes en forme de demi-lune.

Je veux dire. Est-ce moi et Ron, est-ce nous et les autres élèves, est-ce nous et la magie qui est la cause de sa tristesse?

Bien que cette idée lui paraisse terriblement stupide, la jeune préfète n'avait eu le courage de l'ignorer et s'était éclipser de ses lèvres pour rôder aux oreilles du professeur Dumbledore. Les mains quelques peu tremblantes, elle détourna la tête vers le mur de son bureau et leva des yeux mouillés et gonfler vers la fenêtre.

Bien sûr que non. Vous n'êtes pas la cause de la mélancolie d'Harry. Je suis certains que sa douleur est beaucoup plus profonde et sanglante. Harry n'a pratiquement jamais eu d'élan de colère depuis 7 ans. 7 longues années à cacher sa souffrance… Et elle s'est emparer de lui. On ne peut jamais prévoir ni savoir comment les gens sont, comment les gens réagissent. Harry lui, à toucher le fond par la colère. Il veut simplement se venger de sa souffrance.

Mais nous avons mal, professeur. Voir Harry dans cet état, voir une autre personnalité d'Harry que nous ne connaissons pas nous fait mal. Répondit la jeune fille aux cheveux bouclés, la voix perler de sanglot.

Le magicien blanc se leva et fit quelques pas vers les deux élèves de Gryffondor et se pencha vers la sorcière. Ses yeux trempés, elle ne pouvait supporter la douleur. Elle s'infligeait une souffrance à elle-même, une souffrance qui n'était pas sienne.

Il n'y a que le temps qui pourra avancer les choses…Je ne peux rien faire de plus… Je suis désoler.

Mais… mais… Nous ne pouvons attendre. La fureur d'Harry grandit sans cesse, il me fait peur maintenant et il finira par faire des choses horribles si on ne l'aide pas.

Dumbledore sourit, posa une vieille main frêle et ridée sur la poitrine de la sorcière, il aspirait bonté.

Voilà qui est parler avec le cœur. Vous avez déjà un sens humanitaire, il ne suffit que de discuter. Se relevant sur ses pieds, le professeur posa un bref regard vers le rouquin. J'ai peut-être une petite idée pour Harry. Je peux devancer les choses, mais le prix seras douloureux. Je ne peux pas vous promettre que vous allez vous en sortir, mais c'est peut-être le seul moyen rapide de comprendre votre ami…


Tu crois que sa va marcher Ron?

Je n'en sais rien. Mais Dumbledore doit savoir ce qu'il fait et c'est bien le seul moyen de retrouver Harry près de nous.

Hermione s'arrêta de marcher, spontanément, elle se tourna vers le rouquin et le força à poser les yeux sur elle, des yeux où elle espérait trouver le réconfort. Ronald posa ses mains sur les bras de la sorcière face à lui, caressant les bras d'Hermione par-dessus sa robe de sorcière à se passage,.. Ron n'avait pas tellement une très bonne sensibilité, il ne savait pas comment s'y prendre avec une personne attrister, à savoir si ce n'était sa son problème dans l'amour.

Il est déjà près de nous Ron… Pourquoi dis-tu de telle chose…

Il n'est pas près de nous Hermione. Tu sais tout comme moi qu'il a changer subitement. S'il ne veut pas notre aide, c'est qu'il ne veut pas l'admettre, qu'il souffre et ne veux pas se laisser fondre par les sanglots. Il se croit peut-être fort et solide, mais il ne l'est pas plus que nous.

Mais je veux que tout soit comme les autres années, que nous soyons tous les trois ensembles… Sanglota la jeune fille, resserrant sa poigne contre la chemise du rouquin.

Celui-ci leva le menton de la sorcière, lentement et d'un geste doux qui chatouilla la sorcière aux cheveux bouclés. Tous deux avaient enfin le regard rivé dans celui de leur partenaire, deux visages tendre et abandonner par les larmes, deux visages si proche…

Tiens tiens, vous fuyez votre fardeau maintenant ?

Hermione sursauta en entendant quelques paroles surgir derrière elle, essuyant ses larmes d'un revers de la main afin de ne pas être le sujet de la troupe Serpentard, dont Malefoy, même avec un bras cassé pouvait toujours diriger. Voyant Pansy s'adosser contre le Serpentard aux cheveux blonds, le sourire aux lèvres, Ron fronça les sourcils, approchant sa main contre la taille de sa jeune amie.

Quoi? Que racontes-tu Malefoy…

ET bien, dis donc, tu ne te rappelles pas de ton ami le brunet qui brutalise l'école en entier. C'est bien le seul maigrelet sur deux pattes capable de marcher encore dans les couloirs la nuit! Ricana le Serpentard aux bras de sa « petite amie » et de ses deux lourdaud Crabbe et Goyle et… Blaise.

Ah… heu… non il est…

Pas la peine de chercher une raison Granger. C'est compréhensible que tu ne veuilles plus être auprès de ce type, il est violent et tu as peur. C'est pas compliqué, toute les femmes sont de petites femmelettes qui ont besoin d'être protéger par un grand costaux… Témoignant de ses paroles par un regard gris miroitant vers le rouquin, il faillit bien s'étrangler. Enfin, tu n'as pas demander à la bonne personne.

Sa va, t'es pas obligé de venir foutre la merde avec ton bras en moins simplement pour faire croire que tu n'es pas aussi flasque!

Comment oses-tu!

Les dents serrées, le poing serré, le corps tendus, Draco allait se jeter sur le rouquin pour lui faire payer ses paroles, mais ne pu accomplir sa fabuleuse tâche ou encore son grand rêve de taper dessus, car sa petite amie le retenait férocement… Voilà qui n'était pas une fillette faible.

Toi qui parlais d'être protéger par un costard, on peut pas vraiment en dire plus de toi avec ta « chochotte ». Ricana Ronald.

Là-ferme! Pauvre taré! Tu devrais pas parler, moi je peux vivre d'argent alors que toi et ta stupide famille fouillez dans les déchets…

Furieux, Ron n'eut aucun retiens et en fut des plus heureux. Il se jeta violemment sur le blondinet en lui rabattant des dizaines de coups de poings dans le ventre, sans toutefois toucher son visage, mais il ne savait pas pourquoi il ne se permettrait pas de le défigurer. Passant à une seconde attaque, il allait frapper le visage, mais il fut saisi par une jeune fille qu'il reconnu sans tarder et deux imposants Serpentard qui le tirèrent dans le couloir un peu plus loin. Le rouquin allait se relever pour continuer ce début de bagarre, mais Hermione s'agrippait à lui en lui demandant de ne pas faire de chose qui pourrait le mettre dans la « merde »

Crabbe et Goyle aidèrent à soulever Draco, qui ne semblait pas très honorable par ce geste.

Toi et ta famille êtes vraiment malade! Tu peux êtres sûr que mon père va en entendre parler et on se retrouver au Ministère de la Magie saleté d'enfant de…

La jeune préfète forçait désormais Ron à ignorer le Serpentard et qu'il ne regarde qu'elle, pour le moment.

Ne l'écoute pas. Pour l'instant nous devons retrouver Rogue. Tu te souviens, Harry es plus important.

Posant un dernier regard noir vers les Serpentard, le rouquin décida après longue hésitation et à passer par-dessus de son orgueil de laisser tomber et d'écouter Hermione. Elle avait bien raison, ce n'était pas le temps d'avoir des problèmes avec les Serpentard, alors que la personne dont ils avaient besoin était le directeur des Serpentard. Sans toujours abaisser ses poings, Ronald partie avec Hermione dans les couloirs qui menait aux cachots… suivie d'une horde de « truffe » de rebelle…


Déambulant les escaliers jusqu'au cachot quatre à quatre, alors que la troupe de Malefoy les suivait de près, les deux Gryffondor espérait ne pas tomber sur une salle de classe vide, puisque ce ne serait pas la joie pour eux, surtout en compagnie de Serpentard bien enrager… Alors qu'ils mirent le pied sur les sous-sols, la porte du cachot s'ouvrit légèrement dans un grinçant crissant, laissant quelques élèves gémirent de ce geste. C'était Rogue qui s'apprêtait à sortir de sa classe, ils le trouvaient juste à temps. Jetant un simple coup d'œil derrière lui, Ron pu apercevoir une main plutôt mal habile et dodue qui s'approchait de l'ourlet de sa chemise et redoubla de vitesse.

À l'instant où ils arrivèrent face à face avec le directeur des Serpentard, la troupe de Malefoy stoppa d'un coup sec en basculant les deux Gryffondor contre le professeur de potion. Un geste qui ne fut pas très apprécier derrière le grognement de l'homme vêtu de noir et de ses jurons. Vacillant vers l'arrière, Rogue s'agrippa à la porte de son cachot, mais les deux Gryffondor s'écroulèrent sur le sol avec sa propre troupe de Serpent.

Que se passe-t-il ici ? Hurla le professeur d'une voix plutôt monotone mais teinter de sauvagerie.

Ce sont eux qui nous… Commença Malefoy en gémissent de douleur.

Nous sommes venues chercher ce que Dumbledore nous a demander. Hurla Ron et Hermione, encore une fois dans un duo éperdument pitoyable.

Le regard du professeur passa de ses élèves au deux jeunes Gryffondor, bien qu'il n'avait que très peu envie d'accorder une entrevue privée aux « lionceaux », il en était probablement obligé s'il ne voulait pas se faire taper sur les doigts par le Professeur Dumbledore. Il devrait donc se taire, ne pas demander la raison de cette pagaille à ses élèves et les faire quitter pour être seul à seul avec les élèves de McGonagall. SA c'était l'enfer…

Très bien, vous deux entrées dans ma classe. Grinça-t-il entre ses dents.

Sans plus attendre, Ron et Hermione se relevèrent rapidement et entrèrent aussitôt dans le cachot du professeur de potion. Pas question de le mettre en rogne avant de lui demander ce qu'il avait besoin et pour qui… Le professeur noir regarda ses élèves, un sourire narquois.

Je vais m'occuper d'eux, mais vous remonter.

Bien que la plupart des élèves grognèrent de protestation, Malefoy lui ne put que sourire devant les paroles de son directeur. Il avait bien toute la confiance de laisser deux lionceaux à un mettre du « sadisme ». Puis, Snape fit demi-tour et retourna une deuxième fois dans son cachot, soupirant d'être coincé avec ces deux-là et referma la porte par la suite. Le bruit de claquement retentit, faisant sursauter les deux Gryffondor qui se trouvait au bout de la classe, s'ouate, devant son propre bureau.

Mais que faites-vous!

Heu… Rien, nous vous…

Vous posez vos mains sales sur mon bureau. Il n'y a donc pas de respect à l'hygiène des Serpentard? Grogna le professeur de potion.

Tous d'eux enlevèrent leurs mains, mais Ron resta toutefois sur ses gardes avec un air plutôt… noir. UN duel parfait entre lui et le professeur Snape. Le professeur de potion se dirigea solennellement vers ses armoires, les ouvrit et passa les tâta les doigts sur chaque étiquettes des potions présente dans son armoire. Puis, il se dirigea un peu plus loin en continuant son fidèle manège.

Hum… Professeur, nous voudrions la potion que nous avons…

Oui oui, je sais très bien ce dont vous avez besoin, Dumbledore m'as prévenue d'avance et ce n'est pas ce qui m'enchante le plus de vous donnez un objet aussi précieux. Surtout qu'il se retrouvera entre vos mains. Grommela Snape, sondant ses « armoiries » d'un regard noir et pervers.

Trouvant à l'instant la petite fiole dont les deux Gryffondor avait besoin, il tourna la tête un moment vers eux, regardant chacun d'eux d'une manière plutôt vicieuse et mesquine. Hermione ne demandait pas mieux d'éviter son regard noir étincelant, tandis que Ron soutenait toujours sa position de brave « guerrier ».

Dites-moi, M. Weasley et Miss Granger, pour qui est cette potion déjà?

Hum… Les deux jeunes amis détournèrent la tête, un peu trop angoisser à dire le nom de l'être sauvé. Rogue ne serait sans doute pas des plus enchanter d'entendre ces mots, encore moins après ce qu'Harry lui avait fait, mais ce n'était pas la peine de parler…

Quoi? Vous allez gaspiller un de mes ouvrages pour cette insolente vermine qui…

Vous connaissez les antécédents d'Harry. Vous savez qu'il doit être sain d'esprit pour nous sortir tous de cette guerre ?

Je me fou totalement de son passé ou de ses antécédents. Cela ne justifie pas que je dois gaspiller une précieuse fiole pour « sauver » un imbécile née de 17 ans !

HEY! Fermé-la vous et vos blasphèmes!

Hermione hoqueta de surprise devant les paroles de Ron. Il venait bien de jurer contre un professeur ? Contre Severus Snape? Elle n'arrivait pas à y croire que Ronald est pu dire de telle chose, même si ce n'était pas l'envie qui lui avait manquer à elle-même, mais… C'était tout de même un professeur qui demandait le respect de ses supérieurs et Ron n'arrangeait pas vraiment les problèmes déjà sur la table. À même que la jeune fille frappait son ami dans les côtes par la « combien tième » fois, Rogue s'était avancer d'un pas furibond à travers sa classe. Laissant sa robe noire filer au-dessus du sol comme une majestueuse cape, les bureaux qui lui bloquaient le passage furent sauvagement bousculer de quelques centimètres avant que Severus ne frappe brutalement son bureau de son poing.

Écoutez-moi bien Weasley. Ce n'est pas parce que vous vous montrerez courageux que cela va arranger les méfaits de votre famille. Votre famille vie dans un trou depuis des années et vous avez la chance d'apprendre la magie à Poudlard. Alors si vous ne vous montrez pas ne serait-ce qu'un petit peu respectueux, ce n'est pas Dumbledore qui choisira votre pénitence et moi je ne fais pas de cadeau au rat dans votre genre.

Hurla le professeur Rogue, à peine à quelques centimètres du visage du rouquin. Puis, lorsque qu'il fut assurer que ses paroles eurent entré dans le crâne de Weasley, celui-ci s'écarta légèrement de l'élève, rabattant son poing dans ses poches après une douloureuse fracture.

Nous voudrions bien avoir notre du, professeur. Harry a besoin… Commença Hermione avant d'être sauvagement couper par les paroles grinçantes de Snape.

Je suis désoler, mais je n'ai plus très envie de vous donner cette fiole. Il regarda le grand roux. En partie part le mauvais langage de votre compagnon Weasley.

Vous n'avez pas le droit! Répliqua Hermione d'un ton ferme.

Bien sûr que si. Je suis professeur et en même temps votre supérieur, alors s'il y a problème ou quelque chose ne fait pas mon grand désir, je l'arrête.

Vous êtes un monstre!

Snape frappa de nouveau son bureau, un manège qu'il semblait commencer à savoir par cœur devant ses deux Gryffondor. Bien entendue, Hermione ne pouvait supporter se bruit et faisait quelques pas vers l'arrière, alors que Ron soutenait ses pas.

J'ai peut-être un accord à faire avec vous deux. Si vous n'avez pas d'inconvénient, je vous donne la fiole et vous sauverais l'imbécile de Potter.

Les deux amis froncèrent les sourcils, quant à Rogue qui continua son laïus.

Donnez-moi une bonne satisfaction en échange de cette fiole et peut-être j'accepterai.

Des retenues sa vous va ? Répondit Hermione sous un élan de panique, même si Ron venait de lui lancer un regard noir.

Hum… laissez-moi réfléchir… non!

Quoi? … D'accord, Harry feras vos retenues, pendant 1 semaine. Ajouta Ron, se sauvant ainsi de la mésaventure de copier sur des parchemins.

Sur le coup, Rogue semblait bien satisfait de cette solution, mais évidemment cela ne convenait pas puisqu'il ne répondait plus rien. Celui-ci fit les cents pas dans le cachot, replaçant quelques fois les bureaux qu'il avait malencontreusement mal mener, ensuite les armoires qu'il ferma toujours dans un silence abrupt. Si les deux Gryffondor ne trouvait pas une solution bientôt, il refilerait sa potion dans son armoire et les ferait déguerpir rapidement.

Dites-moi, pour un professeur qui était à Ste-Mangouste, vous êtes revenu très tôt. Je crois qu'Harry vous avait bien blesser? C'est étrange, car Mme Pomfresh prétends n'avoir aucun remède pour vous. Remarque que vous vous êtes sûrement bien amuser avec vos cachotteries en dehors de Poudlard… Formula la jeune sorcière dans une phrase totalement… rude et convainquante.

Très bien! Harry aura ses retenues et rien d'autre! Allez donc retrouver votre espèce de pantin! Grommela le professeur Snape en balançant la fiole vers le rouquin.


Hermione soupira. Jamais elle n'arriverait à faire avaler cette potion à Harry, surtout qu'il était plus têtu que jamais. Et avec la colère et la violence dont il agissait, c'était plutôt impossible de l'approcher. Dire que le Survivant n'aurais pas pu garder sa tristesse pour la fin de l'école! Surtout en début d'année, il n'avait même pas encore commencer les cours et même pas eu de plaisir. Pendant que la jeune préfète faisait les cents pas dans la classe de M. Flitwick, passant entre quelques rangés de bureau, elle regarda sa montre pour la 50e fois en cette heure légèrement tardive « 10h25 » et il n'était pas plus avancer avec leur ami.

Celle-ci tourna la tête vers Ron, il s'ennuyait à mourir, « évacher » sur le rebord de la rambarde des étagères, alors que Harry était toujours assis sur le bureau de Flitwick en regardant les murs, le plafond et parfois même ses ongles…

C'est complètement ridicule! Tu peux bien avaler cette potion, il n'y a pratiquement rien dans cette fiole. Ensuite tu te sentiras complètement en forme! Lança la sorcière dans quelques bribes de mots légèrement et peut-être un peu trop enthousiaste.

Tu te moques de moi? Toi et ce mollusque dans le fond de la salle avez mit du poison à l'intérieur. Je ne suis pas aussi bête que j'en ai l'air.

La sorcière éclata de rire.

Justement, tu es totalement bête. Plutôt imbécile! Tu crois peut-être que moi et Ron on essaierait de t'empoisonner alors que tu es notre amis et que nous tenons à te sauver?

Me sauver? Me sauver? Je vais parfaitement bien chérie. Tu ne sais pas à quel point cela me fait du bien de me ressentir nouveau dans ce corps, toute cette colère, toute cette mauvaise influence qui s'attaque à mes cellules ne sont trop que bien être pour moi! Je suis quelqu'un de libre qui n'a pas d'arrêt dans ce monde…

Mais tu t'entends parler ou quoi? Hurla la sorcière aux cheveux bouclés, complètement révolter par cette dispute. Tu essais de te prendre supérieur avec toute cette colère et cette magie! Mon dieu, j'ai tellement peur que je vais me rouler sur le sol. T'es vraiment pathétique.

Pourquoi? Parce que je ne voulais pas revenir à Poudlard, parce que je ne voulais pas revenir parmi vous…

Qu… Quoi?

Hermione était confuse, elle ne réalisait plus ce qu'Harry ressentait, elle ne ressentait plus ce que son cœur essayait d'exprimer et d'échapper. Il était incompréhensible, il ne voulait aucune aide. Il était bien comme sa… Pourtant, l'adolescente s'efforçait à croire en l'espoir de Dumbledore.

Laisse-le tomber Hermione. Tu sais bien que ce con ne veuille rien savoir de nous deux.

C'est bien dit sa le petit boutonneux! Ricana le Survivant.

La jeune préfète secoua la tête, sortant la fiole de ses poches, elle fixait de nouveau son ancien ami.

Non. On m'a dis qu'il y a toujours de l'espoir dans chaques vies, chaques êtres et chaques désirs. Je sais que tu peux changer et que tu vas changer…

Comment vas-tu t'y prendre? Demanda le brunet, toujours aussi moqueur et narquois.

Par la force…

Le Survivant se releva brusquement, alors qu'il allait prendre conscience des derniers mots lancer, la jeune sorcière s'était déjà jeter sur lui, essayant de trouver un moyen qu'il ne puisse se débattre, mais il se débattait vraiment comme un chien celui-là… À l'autre bout de la salle, Ron prit soudainement conscience de ce que faisait Hermione et se jeta aussitôt sur ses pieds en allant vers son amie. Celle-ci semblait bien maintenir la situation, à part où les deux Gryffondor s'écroulèrent sur le sol, derrière le bureau de Flitwick, là où Ron perdit toute cadence.

Tu vas l'avaler cette potion oui! Grogna la sorcière en retenant Harry sur le sol, maintenant coincé contre le parterre et les cuisses de son ancienne amie qui lui empêchait tout débattement.

À l'instant où Ron s'était rapprocher d'eux, la jeune fille fut basculer vers l'arrière, mais ne pris aucun mal à se relever. La fiole bien serrer entre ses mains, elle regarda Ron un court instant.

Il…

Les yeux verts du grand roux sondèrent la jeune fille en entier avant d'atterrir sur la petite fiole d'Hermione, celle-ci entrouverte et moitié vide. Un sourire perla les lèvres de son amie. Elle avait réussi à lui faire avaler le liquide de quelques gouttes. Heureusement qu'il en fallait qu'un peu. Brusquement, le brunet se releva sur lui-même, perdant l'équilibre quelques instants et ne cessait de rabattre la pièce d'injure en même temps de s'essuyer les lèvres d'un revers de la main tout en crachant le peu qu'il avait dans sa bouche sur le sol.

Vous avez… Wow!

L'adolescent de 17 ans fut saisi d'un étrange étourdissement, basculant vers l'arrière de quelques centimètres, mais il se reprit rapidement. Son regard émeraude, si bien protéger par l'épanouissement, la joie, l'amour et l'envie n'était que trop terne par sa tristesse.

Pourquoi m'avez vous fait boire cette horrible chose? Demanda le Survivant, recrachant encore ce goût amer à ses lèvres.

Pour te comprendre Harry. Pour comprendre ta douleur. Cette fiole comportait un liquide de vérité. Tout ce que tu as en dedans de toi, tout ce qui te peine, tout ce qui te fait mal va sortir de tes lèvres. Cette potion sert aux gens d'exprimer leur souffrance pour ensuite l'abaisser par la compassion et enfin t'apaiser.

Le Gryffondor se mit à sangloter et fondit en larmes. Ses membres endoloris tremblaient à nouveau, la sueur perlait son front et ses paroles étaient recouvert de gémissement. Il souffrait. Il avait cette douleur au fond de lui, cette souffrance qui le titillait depuis 7 longues années. Elle se rabattait dans son esprit, poignardant ainsi son pauvre cœur qui se déchirait à chaque larme déverser par ses pauvre pupilles d'émeraudes qui sombraient dans un lac… Sa jeune amie s'apprêtait à faire un pas vers lui, mais il la repoussa vivement contre le rouquin et se recula de ces deux « étrangers ».

Ne m'approchez pas vous et votre stupide potion qui ne sert à rien! Vous ne faites qu'empirer les choses chaques fois…

Harry… s'il te plaît, Harry…

NON! FOU-MOI LA PAIX! Je ne veux pas t'entendre… Sanglota-t-il dans un semi-élan de fureur. Vous essayez chaques fois de m'aider, vous essayez de me comprendre et de me soutenir, mais vous n'y arrivez même pas! Tous les deux vous ne vous souciez pas de moi. Vous restez côte à côte à songer à votre avenir, à songer à cette fin qui approche, qui n'est que maintenant. Vous croyez faire le bien pour moi, vous croyez me guider en restant à mes côtés et en me disant quel chemin prendre… Mais vous me laissez y aller seul. Chaque année, chaque épreuve, chaque douleur n'est que trop difficile à supporter, mais vous ne faites rien! Vous m'abandonner…

Harry, je t'en pris…

Lorsque Sirius est mort, j'étais le seul à pleurer, à demander pardon et à hurler son nom. J'étais le seul qui en mourrait, alors que vous, votre tête stupide restait toujours froide, toujours à chaque épreuve. Vous ne m'accompagnez pas dans ma tristesse, vous ne pleurez pas pour moi, avec moi. Vous n'êtes que des ombres qui m'accompagne, mais lorsque j'ai tant mal, vous n'êtes plus là. J'avais besoin de votre soutiens, j'avais besoin de cette amitié qui était notre! Dumbledore n'a rien fait, il ne m'a pas ramener Sirius… Lupin ne m'as pas laisser le sauver, il m'a empêcher de retenir l'être le plus cher à mes yeux contre la mort, il là laisser tomber… c'est votre faute… tout est votre faute! Chaque été, chaque année je dois vivre dans un taudis de Moldue, je vie chez une tante et un oncle qui ne se préoccupe que de leur fils chéri, il ne pense pas à moi et me frappe… me maltraite comme un vulgaire chiffon vulnérable… Je vie ce calvaire, chaque fois tout seul, mais je pense à vous, à vous deux. Je me dis que je vais vous revoir bientôt, que vous allez me réconforter, me rendre joyeux, mais vous n'envoyez aucune lettre. Vous me laissez dans l'abandon, oubliant que je suis votre ami alors que vos deux familles ne cessent de se revoir jour après jour… Quand arrive le temps de vous revoir, vous me cachez des secrets, vous faites comme si ce n'était qu'une nouvelle année qui commençait, oubliant de plus en plus ma seule fête où je peux être heureux…

Hermione venait de plaquer l'une de ses mains contre ses lèvres, vacillant contre Ron dans un choc d'effroi. Elle n'était plus capable de rester en place, plus capable d'entendre la vérité. C'était le fardeau d'Harry qui se déchaînait contre elle, contre ses deux seuls amis et elle ne pouvait le réconforter… Puisqu'elle savait qu'il avait raison, qu'elle et Ron oubliaient petit à petit leur ami, la seule personne de ce monde qui ne vivait jamais de bon moment, qui ne vivait qu'une vie d'enfer. Celle-ci se rabattit dans les bras du grand roux, sanglotant à son tour…

… Moi je n'ai jamais eu de parents, je n'ai jamais eu la chance de les voir, de vivre ne serait-ce qu'une petite seconde avec eux. De les entendre me dire « Je t'aime », de les savoir près de moi… Je suis seul ici. Vos parents, aucun de vous ne veux m'accueillir dans votre demeure… Vos parents ne sont que trop apeurer d'une personne comme moi, ils ont peur que Voldemort viennent me chercher dans votre maison et détruise tout membre de la famille… C'est moi le héros, c'est moi qui dois passer toutes c'est lamentable épreuve, c'est moi qui vois les gens que j'aime mourir autour de moi par une simple et même personne… C'est moi qui suis pourchasser par le magicien des ténèbres et personne ne fait rien. Est-ce de l'amitié ? Je ne suis qu'une personne célèbre d'où vous voulez vous rapprocher pour la gloire et me laisser moisir dans la mort… Parlons de Poudlard par exemple… Personne ne me fait confiance, personne n'ose croire à ce que je vois, à ce que je dis. Tous les gens me pensent fou, croit que je ne veux qu'attirer l'attention alors que je ne donne que la vérité. Même ici on me déteste, on me dénigre… et jamais Dumbledore n'as dit un seul mots… Vous tous, toute les trois et votre saleté d'ordre du phénix n'est que de la moisissure! VOUS MÉRITEZ TOUS DE CREVER!

Harry n'en pouvait plus, sa voix s'étranglait de plus en plus et il n'avait plus la force de continué à hurler ou même de parler. Il n'était plus capable de les regarder, il ne voulait plus rien savoir d'eux. Sa souffrance étant trop intense, il ne demandait que la fin… Les yeux gonflés de larmes, le brunet déversait tous bouquins sur le sol, passant vers les étagères, il jetait plusieurs livres sur le sol, hurlant à l'agonie et déchirait au passage de nombreux parchemins dont il se foutait royalement. Quelques fois, le Gryffondor jetait des chaises sur le sol, contre les murs… Il avait tellement envie de mourir, tellement envie que son cœur s'arrête en cet instant exact… Il n'avait plus le courage de rester sur pied et de lever les yeux droits devant lui.

Le brunet s'écroula sur le sol, sanglotant de plus bel et gémissent en avalant ses larmes, il demandait à la mort de venir le chercher…. Alors qu'Hermione compris enfin le sens de Dumbledore, la vérité est parfois et même toujours douloureuse pour les hommes… C'était le cas… Elle fondit en larmes dans les bras de Ron, s'accroupissant contre lui avant de s'écrouler à son tour à genoux sur le sol…


À suivre…

Hum… Fin du chapitre 4 Bon, je ne sais pas comment vous l'avez trouver, sois brutale, ennuyeux, poche, nul, douloureux, triste… Je ne sais pas ce que vous ressentez quand vous lisez des fics, mes fics… Mais j'espère bien que vous y ressentiez quelques choses ET pour certains, je dois avouer que je suis peut-être pas très doué pour les scènes « mouvementés » ou « triste et douloureuse » mais je me suis toujours essayer dans celle-ci mdr…

Donc, comme d'habitude, j'espère que ce nouveau chap vous a plus et que vous continuerez à faire un tour à chaque nouveau chapitre. J'espère bien que vous soyez nombreux à l'apprécier ou a m'écrire de petite reviews!

Bah oui, c'est toujours bien de savoir ce que vous en pensez Ca m'aide à savoir si elle est bonne à continuer ou bonne pour la poubelle! Mdr.. Je vous supplie aussi, faites gaffe aux fautes, elles sont toujours aussi nombreuses mais je crois que Words ne les corrige pas totalement au complet… Bref, c'est mon talon d'Achille alors pas bobo à moi! Mici

Touka, merci encore de passé et je vous donne gros gros gros besous! XXx MOUUUA!

Dans le prochain chapitre -->

Chapitre 5 : Remue méninge, excuse et silence pour le pardon.