Harry Potter

Faire preuve de Chasteté

Yuyu'l'ayu

Chapitre 6 : C'est finis je ne serai plus jamais protéger...

Une immonde foule en délire s'étaient mise à hurler de frénésie en ce pure moment de gloire chez les Hufflepuff. C'est cris résonnant tel un fardeau brupte qui s'accrochait de plus en plus à ses oreilles n'arrivait point à lui faire oublié ce qu'il avait fait avec un Malefoy hypocrite et malsain. Si seulement sa conciance aurait pu faire la même chose que ses mots, tout mettre sur le dos du blondinet et s'endormir sagement avec cette certitude que lui, Harry n'y est pour rien. Hélas, même son coeur semblait réticent à cette pensée. Il était un Gryffondor, un lionceau d'où s'était crevasser un coeur d'or et ne pouvait s'empourprer de culpabilité face à Malefoy, qui malheureusement commençait à hanté ses nuit. Harry Potter, lui, ne pouvait se permettre de tout rejeter sur les autres alors que lui pouvait omettre des bêtises également. Il soupira. Non seulement parce que ses pensées étaient présentement un amalgame d'émotions, mais bien parce que l'équipe adverse avait encore marquer un but. à nouveau, le survivant fut ensevelis par une foule cacophonique et des jurons venant de sa popre maison. Pas étonnant. Depuis maintenant plus d'une dizaine de minutes qu'il survolait en rond le même coin, trop entêter à faire le point sur sa popre vie privée. Harry détourna les yeux des gradins de Gryffondor afin de ne pas entendre leur critique cinglante et s'attarda vers les joueurs de son équipe, tous sur le terrain et tous embêter par cette mauvaise température qui les emmitouflaient dans le torrent de la défaite. Toute son équipe de Gryffondor semblait perdre le contrôle face à cette tempête. Plus aucun membre se retrouvait sur le terrain. Soit ils ne voyaient pas très bien, soit les énormes grêlons les torturaient.

Ce ne fut qu'à la suite de plusieurs minutes que Harry, remarqua effectivement à son tour que la température avait péter un câble... En plein mois de septembre, tomber des grêlons avec quelques flocons de neige et une brise plutôt sauvage qui lui fouettait le visage? Bien entendue, la simple pensée qui perla son esprit fut celle où le monde des sorciers était devenue défaillante et macabre. Sans l'appercevoir, l'attrapeur de hufflepuff passa droit devant lui à la poursuite du vif d'or, si vite, qu'il faillit percuter le brunet et celui-ci fit quelques tonneaux on ne peu plus loin avec son balais.

- Quel abrutis! Et j'insiste sur le manque de savoir vivre! S'écria Harry d'une tel force qu'il perdit l'équilibre à nouveau, mais parvint toutefois à ne pas tombé alors qu'il s'était accrocher auprès de son balais. Je devrais te faire une plainte espère de taré! Ta faillis me tu...

Le survivant arrêta machinalement ses jurons lorsque la foule commençait à le hué avec flagrance. Désespérer, Harry leur envoya un signe insignifiant de la main, de sorte à ce qu'ils aient toutes voir ailleurs s'il ne s'y trouvait pas, tandis que lui continuerais ses débâts psychologique avec sa conscience ainsi que son avènement vers la gloire de ce match. Les points n'étaient pas si affreux, si distancer pour qu'il ne parvienne à gagner ce tournois de Quidditch à lui seul... En attrapant le vif d'or. Fallais seulement qu'il se décide à pensée autre chose que des trucs ironiques ou tordue et qu'il fasse un premier pas avec son balais. Au moment où il s'apprêtait à mettre un terme à ce match, le jeune sorcier se cacha promptement le visage dans la manche de son imperméyable trempé au moment où quelques grêlons lui picotaient douloureusement la peau. Malheureusement, il ne put appercevoir cette mascarade...

- Attention Harry, écartes-toi du...

Le brunet n'eut point le temps de lever les yeux vers la silhouette arrogante près de lui, que tous deux se heurtèrent dans un bruit fracassant comme si leur os s'étaient écrasés en centaine de morceaux. Le vent fouettant les airs emporta Harry on ne peut plus loin vers le sol du terrain de Quidditch, alors que la pauvre Ginny descendait en chute libre sans son balais. Dès qu'il eut réussi à s'accrocher à son balais, le corps pendant dans le vide, Harry sonda les horizons afin d'appercevoir qui serait l'élue qui ferait un acte héroïque envers une Weasley. Hélas, à son grand désarois, la rouquine fut ratrapper par nul autre que... Drago Malefoy. Le sorcier déglûtit en voyant la Gryffondor entravé dans les bras de son pire ennemi. Que cherchait-il à faire réellement ? Croyait-il pouvoir s'approcher de lui en s'appropriant ses amis ? Est-ce qu'un Malefoy pouvait remédier au passé de sa famille et devenir quelqu'un de respectable et de meilleur? À nouveau, le champion de Gryffondor sentit un haut-le-coeur monté en lui lorsqu'il fit allusion à son deuxième baisé avec ce serpent. Plus jamais il se ferait manipuler par cet abrutis! Ce pervers désaxer emplis de fantasmes morbide et dégoûtant qui l'ensorcelait. Harry était victime de magie noire, il était la victime de l'affreuse dépouille blondinette de Malefoy.

Souriant à lui-même, le Survivant fut convaincu de cette hypothèse. Que rien n'était son problème et à ce moment, il remonta rapidement sur son balais afin de le chevaucher à nouveau en se promettant inconsciemment que jamais il n'as eut, a et aurait des sentiment pour ce débile profond... pour cet ange déchue tout droit sortir des abysses pour le posséder... le toucher... l'ennivrer et le...

- Non, mais! Ca ne vas pas, j'ai pas à fantasmer sur ce type, je le déteste! Répliqua Harry si fort, que Draco, sur le terrain de Quidditch leva ses yeux gris miroitant vers lui et leur regard se croisèrent pendant beaucoup plus qu'une fraction de seconde où le survivant se sentit litéralement transpercer et fièvreux.

Soudain le tonnerre retentit, si violemment que quelques éclaires dorées déchirèrent le ciel et vinrent s'abattre tout près du sorcier désorienté, qui sursauta. Enfin délivrer du regard de mirroir de son ennemi juré, Harry posa les yeux autour de lui en espérant y trouver un réconfort, mais en vain. Toute les personnes qu'il connaissait intimement était prit par le Quidditch, soit ils y jouaient avec tout la misère du monde et la souffrance de cette journée, soit ils étaient dans les gradins à huer n'importe qui. Le jeune Gryffondor quitta délibérément cette emplacement et se dirigea on ne peut plus haut vers les nuages afin de ne pas être percuter par le regard froid, mais oh! combien intense du blondinet... Lorsqu'il fut arrivé à une destination convenable, le brunet détourna la tête vers celui-ci qu'il cherchait tant à fuir pourtant et le sonda; Malefoy avait rebrousser chemin, toujours une Weasley entre les mains et se glissa vers les vestiaires de Gryffondor. Sans doute était-ce pour la "déposer" qui normalement, un Malefoy l'aurait sans doute jeter sur le sol ou bien tout simplement laissé tombé du ciel... Harry ne put que pensé que cette année il y avait un étrange mystère qui tournait autour de Draco Malefoy, un mystère si affaiblissant à son égard et si tendu. Lui qui osait se lamenter par les méfaits de Voldemort et de la Gazette...

- Pfff! Y'a des choses qui tournent pas ronds et qui sont bien pire dans cette école! S'approuva-t-il à lui-même comme simple raison valable et plutôt "simplette". Il ne voulait pas se casser la tête pour rien ou bien il recherchait le statut de victime même si sa douleur s'était évaporée si rapidement. Et puis, de toute façon même si cet imbécile tiens tellement à changer, il resteras tout de même un ennemi, un Serpentard et avant tout un Malefoy...

- Mais à qui tu parles ?

Harry se détourna vers la jeune sorcière auprès de lui, elle semblait avoir tout entendue de ce qu'il se répétait à lui-même, soit dis en passant des horreurs et des débâts avec sa conscience au sujet de Draco Malefoy. Mais avant qu'il ne puisse l'envoyer balader, la hufflepuff lui lança un horrible cognard filant droit comme une flèche vers son thorax. Sans hésiter, le Survivant se pencha promptement et l'objet qui aurait pour but de le blessé continua son chemin vers les gradins, arrachant des cris affolés de la foule. La "frappeuse" de Hufflepuff éclata d'un rire glauque et s'enfuit avec son balais on ne peu plus loin. Harry lui jeta son regard le plus noir, celui dont il faisait souvent preuve à l'égard de Malefoy et la fixa jusqu'à ce quelle soit à perte de vue. Le vent commençait bientôt à devenir plus violent, les grêlons se firent de plus en plus énorme et la neige semblait tomber comme dans une chute de pluie, harry n'en pouvait plus. Il était fouetter des dizaines et des dizaines de fois, il recevait nombreuses égratignures et il était littéralement tremper comme s'il venait de se jeter dans le lac noir. C'était simple, il n'en pouvait plus... pourtant il n'avait osé rien faire ni lever le petit doigt pour y mettre un terme. Seulement immobile et terroriser était-il rester pendant tout le match jusqu'à maintenant.

- Bon, courage, je n'ai qu'à me procurer le vif d'or et tout seras enfin finis pour tout le monde et je pourrai me dégourdir dans une douillette bien chaude sans embûche, sans moment frustrant! Essaya-t-il de se promettre malgré tout.

Comme dans une force surhumaine, le sorcier de Gryffondor fila droit dans les airs en scrutant le ciel du regard pour trouver son remède à cet affreux Quidditch, le petit "oiseau" doré. Bordé par la foule qui s'était remise à crier son nom, Harry sentit son coeur battre la chamade par tout cet encouragement qui le dorlottait si bien.

Dans les vestiaires de Quidditch, tous les joueurs de Gryffondor se dévêtissaient et se changeait a la suite de cet affreux orage qui les avaient trempés jusqu'au coup à tel point qu'ils auraient peut-être puent se "noyé". Néamoins, fallais mieux se dépêcher de se vêtir d'un vêtement plus sec pour éviter tout rhume ou maladie rodant dans les airs. Lorsque Ginny vit la plupart des garçons sortir du vestiaire, elle y pénétra à son tour en cherchant ses amis des yeux, puis, entendant son frère aîné lui lancer des jurons et des cris d'hystérie, elle su qu'elle les avait trouvés malgré que son frère n'était pas totalement revêtu. La petite Weasley éclatta de rire au moment où Ron essaya d'enfiler nerveusement son caleçon, alors qu'avec sa rapiditer d'enfiler quelque chose de convenable devant sa petite soeur lui donnait de la misère folle.

- Ca ne te gênerais pas de fermer les yeux ou de regarder ailleurs pendant un moment? S'emporta désespérément le rouquin, alors que sa soeur semblait amusé et pas tellement ravie de manquer ce "spectacle".

- Désoler que ça t'angoisse à ce point! On est de la même famille, se moqua-t-elle à nouveau.

- Ce n'est pas la même chose, toi t'es une fille et tu es ma soeur! C'est effrayant!

- Quoi? Dit dont que je suis laide et que je suis perverse! Non, mais... ça ne vas pas dans ta tête!

- J'ai pas dit ça... Répliqua Ronald d'une voix plutôt, insécure et douceureuse face à sa petite soeur avec qui il avait si souvent tendance à s'enflammer.

- Mais ça veut dire la même chose! S'emporta Ginny d'une voix froide tel que son visage devenait si pourpre, que sa colère finirait bien par prendre feu en elle.

Quant à Harry, lui qui s'était assis on ne peu plus loin sur les banc du vestiaires de Gryffondor afin de ne pas trop se mélanger avec les membres de son équipe et surtout de son ami à qui il n'avait plus reparler depuis cette "affreuse nuit". Bien qu'il était heureux que ses deux amis sachent ce qu'il ressentait pendant toute c'est année, il se sentait à la fois coupable d'avoir autant hurler et... Son coeur se serra si douloureusement comme si une main l'avait cueillit et le serrait à lui en faire perdre la respiration, la vie... Vouloir la mort de ses deux amis? Jamais le survivant aurait cru pouvoir dire une telle chose, pouvoir pensée une telle chose. Il avait été si brutal avec eux, qu'il souffrait toujours, mais il ne pouvait espérer retrouver leur amitié si facilement, après tout ce qu'il leur avait fait. L'un des dernier Gryffondor présent dans le vestiaire fit un bref salut à Harry avant de se dépêcher de sortir de cette pièce. Là où personne ne voulait se trouver entre des hurlements venant de deux frère-soeur appartenant à la famille des Weasley.

Le brunet leva les yeux vers ses deux amis qu'ils étaient auparavant et eut un faible sourire en coin. Évidemment, il n'avait pu s'empêcher d'entendre leur conversation puisque leur cris retentissaient comme des roulements de tambour brutaux et incessant.

- Je crois qu'il a peur que tu lui fasses de l'inceste...

C'était sa première phrase à leur égard où il ne les maudissait point et ce fut là une cacophonie de choc et de soubresaut de la part de Ronald et Ginny. Le survivant avait lancer cette phrase de façon si calme et amusé, surtout teinté par une folie d'humour qui s'éleva dans le vestiaire. La plus jeune des Weasley sourit de plus belle et se retourna vers son frère en lui jettant un regard signifiant « Hein hein! T'es bouché là ». Même si le rouquin semblait avoir trouver ce moment purement amusant, il n'en resta pas moins en colère et offusquer que son ami le survivant ne prenne point sa défence, alors que Ginny pouvait très bien devenir une furie. Celui-ci serra les points et remarqua le regard de sa petite soeur, surprise qu'il est découvert ce qu'elle pensait réellement;

- Oh! Ça va, tu peux te la fermer. Moi au moins je n'ai pas été dorloter au bras d'une mauviette!

- Quoi? une mauviette hein... Figure-toi que pour un Malefoy, il a su très bien m'attrapper alors que j'aurais pu me fendre le crâne ou bien me casser les...

- On s'en fiche voyons! Il n'y a pas que toi dans ce monde. Dis-toi qu'au moins tu n'aurais pas eu la chance de périr au bras de Voldemort!

La sorcière rousse s'emflamma aussitôt par les paroles de son frère plutôt mesquinne et brutal. C'était comme si elle venait de se faire ensevelir par un fardeau qui l'enfonçait littéralement dans le sol, incapable de s'en dévêtir. Jamais Ron lui aurait dit de telle chose, du moins elle le croyait jusqu'à maintenant. Le silence s'était alors installer entre eux et Ginny ne semblait point avoir la force ou l'envie d'y remédier. Celle-ci détourna les yeux vers le brunet, un moment où elle ressentit le regard émeraude du sorcier sur elle. Aussitôt, elle se sentit alléger. Harry avait déjà ressentit ce qu'elle ressentait en ce moment même et le simple fait d'un soutient par le regard la réconforta, malgré que cela n'était pas l'intention du sorcier. Il se demandait plutôt si Ginny allait lancer un sortillège à son frère ou le poignarder...

- Allez, dégage petite chauve-furie! Je tiens à me changer en paix tout en rôdant à l'intérieur de Poudlard sans que l'on se moque de moi!

- Dommage, je trouve que cela te rafraîchirait les idées! Lui cracha-t-elle violemment, sans se soucier d'un Harry amusé dans le fond du vestiaire. Tu le mérites si bien! Oh fait, maman va en entendre parler espèce d'abrutis!

Puis, Ginny s'éclipsa aussi rapidement qu'un train à vapeur, délaissant les deux anciens amis seul à seul. Harry aurait bien voulu qu'elle reste, car il n'avait pas très envie de cojiter avec le rouquin et surtout pas de lui parler. Qu'est-ce qu'ils se diraient? Des jurons, des paroles blessantes, s'attaqueraient-ils? Décidémment c'était à éviter à tout prit. Déjà que Ronald était en rogne, ce n'était pas le moment d'envoyer sa colère à la hausse! Harry avait déjà reçu le point d'un Weasley et disons que ce n'était pas une expérience qu'il souhaiterait revivre, surtout que s'était douloureux. Enfin, d'un coup de tête, il disperça ses pensées loin dans son esprit, regarda Ronald quelques secondes toujours pencher vers la sortie avec un regard noir, puis il attrapa son sac-à-dos et ressortit plusieurs vêtements sec. S'il restait encore longtemps avec ces vêtements trempé sur le dos, il pourrait se dire bonjour début de migraine et un affreux rhume qu'il ne voulait point avoir.

Quelques minutes plus tard, lorsque le Survivant eut sortit un pantalon, un simple gilet, des basket neuves et des bas sec, il s'apprêtait à les enfiler, mais une main froide se posa sur son épaule. Il sursauta. Faisant un bond vers l'arrière afin de se mettre à la défensive et de savoir qui était l'élu de son soubresaut;

- Et toi Harry, la prochaine fois ne t'avise pas de te moquer de moi! C'est pas drôle être toujours la victime à la fin. Venait de prononcer Ronald Weasley à l'intention de son ami qui fut toutefois déconcerté.

- Heu... oui, bien sû... Quoi?

Effectivement, le brunet était perdu. C'était bien le rouquin qui lui parlait et s'était bien lui qui avait mit fin à ce silence légèrement réconfortant, mais Harry n'avait pas du tout envisager que celui-ci garde un ton neutre à son égard. Il s'était plutôt imaginé les pires désastres qu'il aurait pu y avoir, soit dit des plus coquine aux plus sadique. Les lèvres entrouverte, les yeux émeraude bien écarquillés et sans la moindre émotion, les basket entre ses mains et de l'autre ses bas, il n'arrivait à dire aucun mot si ce n'était pas que des bafouillement.

- Harry, tout va bien? Si tu veux je peux t'emmener à l'infir...

- Non! Jamais! Surtout pas!

Le Survivant se souvenait bel et bien de ces mots qui eurent fait de lui un pantin, fait de lui une gaffe qu'il regrettait déjà et pour le restant de ses jours. Il se souvenait si bien de ces mots, ceux qui eurent fait l'objet d'un dégoûtant baisé au bras d'un blondinet étrangement enthousiaste de cette étreinte... Non, il n'était pas question qu'il revive ce moment pénible, le plus pénible de sa vie! Regardant fébrilement autour de lui, Harry s'attendait à voir un Draco Malefoy surgir vers lui et lui avaler sa langue à plein désir, mais en vain. Pas de Serpentard en vue, le sorcier fut soulager. Par contre, il ne l'était pas pour autant d'être seul avec le rouquin, cette discussion était intimidante et embêtante.

- Bon et bien... Si tu insiste tant que tout va bien je te crois. Mais dis-moi, tu veux que j'attende que tu te changes pour qu'on rejoigne Hermione.

- Qu.. quoi... Hermi... Hermione...

Harry serra les poings en affichant un vague sourire désorienté, bien qu'il se maudissait ne pas être capable de dire une simple phrase complète et compréhensible qui n'était pas si difficile à afficher. Reprenant une longue inspiration, le sorcier acquiesça d'une signe négatif de la tête à son interlocuteur et ajouta quelques mots, maintenant compréhensible.

- Non je ne monte pas avec toi, parce que... Tu aurais pas oublié que nous sommes plus amis tout les trois?

- Harry qu'est-ce que tu racontes? Demanda Ronald en se raidissant de ces simples mots que son "ami" lui annonçait sans bonne compassion mêler à la gentillesse. C'était plutôt un moment frisquet avec le brunet. Pourquoi veux-tu tant me faire croire de telle chose?

- Parce que c'est la vérité!

- Pas du tout!

- Si! Depuis l'autre jour où... Enfin tu sais à quoi je veux en venir, fait pas l'imbécile je t'avertis! On ne s'est pas reparler tout les trois depuis. Alors cela s'ignifie bien que nous sommes plus le trio infernal!

Sur le coup, les deux anciens amis eurent un sourire en coin par les derniers mots du Survivant. Un simple regard étroit perler d'une compréhension mutuelle entre les deux leur permis de croire pendant une seconde que leur amitié n'avait jamais été effacée. Mais cette pensée fuya aussitôt la tête du rouquin lorsqu'il vit Harry détourner les yeux et laisser tombé ses vêtements sur le banc pour croiser les bras. Encore une fois, Ronald n'arrivait point à ressentir ce qu'Harry cherchait ou recherchait de leur amitié. Il semblait pourtant désoler, mais n'avait point le besoin de pardon puisque cela était tout naturel après tout ce qu'il avait vécue, mais Ron aimerait bien le revoir à ses côtés avec Hermione. Peut-être était-ce avec toutes ces horribles raisons que le brunet leur avait crié que maintenant il tentait désespérément de fuir leur amitié? Entendant le soupir de son interlocuteur, le jeune Weasley se permis de rompre le silence encore une fois installer entre eux.

- Je ne comprends point tes aveux, mais rassures-toi, jamais on n'as osé croire à ce que l'on te disait sur notre amitié. Tu es toujours notre ami et le seras toujours. Simplement que l'on croyait, non Hermione croyait que tu voulais rester seul un certains temps, mais...

- Hé bien, elle avait raison, ELLE.

- Très bien Harry... Mais pour tout à l'heure, ne croit pas que l'on a perdu le Quidditch par ta faute, ce n'est que la temprérature qui...

- Non, le Quidditch c'est de ta faute. Une nulité comme toi dans les buts... PFFF!

Sans aucun second commentaire, Ronald délaissa Harry seul dans les vestiaires et partit avec un coeur si énorme et si douloureux qu'il en avait pratiquement la nausé. Retrouver Hermione lui ferait un grand bien, surtout que le souper était très bientôt. Rien de mieux que de manger un bon repas pour abandonner ses problèmes. Le Survivant continua pendant un long moment à regarder Weasley s'éloigner, le voyant ainsi tendu et si morne, il fut envahis par la culpabilité et l'excentricité de son âme. Un jour, peut-être allait-il refaire un pas vers eux, mais pour le moment ses problèmes étaient bien plus centré ailleurs; Comme ces inombrables retenues avec Snape, de ses doux baisés avec Malefoy, des rumeurs courantes en cette enceinte, l'homosexualité de Seamus à son égard et ainsi une Pansy qui souhaitait sa mort à présent. Devant tout ces fardeaux qu'il accumulait, Harry déglûtit en s'appercevant qu'ils étaient si nombreux et presqu'infaisable à règler. Il soupira douloureusement, lui arrachant un dure toussotement où il crut ses poumons arracher. Il avait froid et au moins il pouvait y remédier.

Le Survivant se retourna dos à l'entrée et commença lentement à préparer ses vêtements, déposant la paire de basket sur le sol, les bas de laine d'un côté, son pantalon accrocher contre l'ouverture d'un casier et il attrappa sa serviette pour se sécher les cheveux intensément humide et trempé. Celui-ci s'essuya également le visage, dont ses cheveux jais en bataille avait laissé tombé quelques gouttelettes sur sa peau et resserra sa serviette par la suite. Avant d'entreprendre de se dévêtir, Harry tortilla son imperméyable de tout les côtés afin d'enlever le plus d'eau possible, puis le déposa contre le banc et commença petit à petit son ascension pour enlever son gilet. Certes, il prenait un temps fou à enlever qu'une simple partit de ses vêtements, mais pour lui cela n'était qu'une raison valable de retarder ses heures de colle avec le maître des Serpentard, ce vieux vampire poussiéreux. Quoi qu'il préférait également retarder son retour dans la salle commune, là ou tous les Gryffondor devaient l'attendre avec des sermons simplement à cause d'un foutue match de Quidditch... Harry se rembrunit à pensée à une telle chose. En dehors du Quidditch, il n'y voyait pas grand chose dans cette école, mais pour dire de telle chose à ce propos, il en avait vraiment sa "claque".

Enlevant son gilet délicatement qu'il fit glisser vers le haut de son corps, dénudant ainsi sa peau quelque peu terne par les dures labeurs de travaille chez les Dursdley pendant de longue journée d'été au soleil, le sorcier aux cheveux noir frissonna de ce léger courant d'air sur son torse trempé. Il parvint alors à sortir sa tête de l'encolure de son gilet, lorsqu'une voix retentit à ses oreilles, une voix où il aurait préféré mourir au lieu de subir encore et encore son "châtiment"...

- Potter doit être naturellement triste et dépourvue de toute joie pour avoir perdu un telle match. Toi qui était pourtant "l'élu" de Quidditch, ironisa le jeune Malefoy, appuyer contre l'entrebaîllement du vestiaire, s'interposant entre Harry et la sortie.

- Si tu peux savoir à quel point je me fou du Quidditch en ce moment! Cracha Harry Potter, sans la moindre douceur dont ses propres paroles qu'il envoyait était comme du poison à ce venimeux reptile.

- Tu m'étonneras donc toujours. Toi qui voyait ce sport comme ta simple liberté en ces lieux si lugubres et froid qu'est l'enceinte de Poudlard. Tu as bien changer toi aussi, Potty...

Harry hoqueta de surprise sur ce moment plutôt anodin et se cacha spontannément le torse avec le gilet qu'il venait à peine de se libérer, faisant face à ce "Malefoy". Même s'il était beaucoup plus civilisé que sa propre famille ou bien par les autres années passées, le sorcier n'avait pas envie de risquer d'être une telle proie le dos tourné. On ne sait jamais avec eux, plus tu peux être vulnérable, plus ils prennent plaisir à te charcuter comme un pauvre cochon... Le Gryffondor fit la grimace, sa pensée était si noire face à la famille des Malefoy, pourtant ils n'étaient qu'une famille pure depuis des centaines d'années cherchant à perpétué leur nom. C'était stupide, toute famille cherche à faire la même chose, mais en Malefoy il y avait quelque chose de détestable, quelque chose qui attirait Harry de façon à le détester, à le haïr de tout son être comme une personne pouvait aimer de tout son âme... À nouveau, il secoua la tête par cette pensée si similaire et ne pu s'empêcher de remarquer à quel point le Serpentard semblait tout connaître de lui. Le miroir de ses yeux était-il un voile en-dessous des vérités que ses lèvres dénonçaient? Possible ou pas, Harry put ressentir en lui une marque d'admiration de sa part mélanger à une certaine mélancolie tout près de la peur. Lui avait-on déjà dit qu'il fallait être près de ses amis, mais encore plus près de ses ennemis? Si c'était là le manège de Malefoy, Harry n'y tomberais pas. Seul sa haine envers cet être guidait sa lucidité et pour rien au monde il l'ignorerait. Si Malefoy savait tout de lui, il n'était peut-être pas finalement aussi "débile" qu'il l'eut cru...Harry remarqua les yeux "vitreux" et étincelant de son interlocuteur poser complètement sur lui, comme s'il était qu'une simple bête de cirque et il resserra plus fortement ses bras autour de sa taille en retenant son gilet contre son torse dénudé.

- Ne m'appelle pas comme ça! Et puis je n'ai pas changer, je suis toujours le Survivant qui te déteste le plus au monde, espèce de taré! Répondit-il avec froideur, cherchant ainsi à ce que le Serpentard détâche les yeux de lui, de son corps...

- Le Survivant? Pitié... Ne te donne pas de surnom comme ça, ca me rend honteux. Crois-moi "Potty", tu es devenu très différent et n'essaie pas de te le cacher, puisque ta conscience ne te le permet pas.

- Je ne vois pas de quoi tu parles! Et puis, fiche-moi la paix avec ta moral. Je n'ai pas besoin de t'avoir entre les pattes!

- tu crois? J'ai pourtant ressentit que ton coeur battait si fort la dernière fois. Lorsque tu t'es approché de moi et que tu m'as volé un baisé...

- LA FERME! LA FERME!

- Harry... Commença Malefoy, remarquant la surprise du Gryffondor qui pour la première fois de sa vie entendait son nom de la part de son ennemi juré. tu dois te l'avoué, ne pas renier ce que tu ressens. Parfois même des gens si différent l'un de l'autre ne peuvent s'empêcher d'éprouver une attirance, et puis... Tu m'as bien fait perdre Pansy, j'ai droit à une récompense non?

- Non, tu te trompes complètement. Ton instinct est défaillant. Si tu crois ne serait-ce qu'une seconde que je ressens quelque chose pour toi mis à part de la haine et du dégoût, tu es totalement ridicule. Ajouta le Survivant en appercevant le blondinet s'approcher peu à peu de lui, alors que lui reculait délibérément. La seul chose que tu aurais pu espérer avec moi un jour, c'était la première fois qu'on s'est vue et la seul chose que tu aurais eu s'était de la pure et simple amitié. Tant pis pour toi si tu n'as pas saisie cette chance, puisque maintenant je veux ta mort tu comprends.

Le Serpentard serpentait dans les vestiaires, prenant un infinis de temps à faire un pas pour s'approcher du sorcier, ignorant ainsi le magnifique laïus du Gryffondor qui ravalait sans cesse sa salive de ce prédateur dangereux. S'il y a quelques heures Harry voulait être la victime, son poulx accélérer affirmait bien ce qu'il avait voulu, malgré que cela n'était point dans ces circonstances. Comment définir par le simple biais d'une personne que l'on pouvait se sentir misérable, abandonner et seul alors que le sentiment le plus profond et le plus intense ne voulait ce cammouffler dans une chair charnelle? Harry avait tout pour ressentir la menace de son interlocuteur approcher, celui qui laissait sa proie dans la peur, dans le frisson le plus fébrile qui soit. Pourtant, le Survivant n'avait point la force de se jeter vers la sortit, de fuir. D'ailleurs, il n'avait point le courage de lui faire face et de se rhabiller. Il ferma à l'instant les yeux, espérant que cela n'était q'un rêve étrange et rien de plus. Que lorsqu'il ouvrivrait les yeux, il serait afferé dans son lit, le coeur battant, la gorge sèche, le corps en sueur, mais soulagé que tout ceci fut un rêve.

Encore une fois, Harry s'était trompé. Plus il plissait les yeux et serrait les poings, plus la réalité semblait le frapper de plein fouet et vivait dans l'ignorance. Ce qu'il aurait aimé ne voir qu'en rêve s'enflammait en lui telle une puissante lucidité ironique. Soudain, il sentit une énorme chaleur l'entourer, une chaleur apaisante et doucereuse qui s'appropria de son corps.

P.S. je sais ça finis abrupte, mais je n'avais pas le courage de continuer... Disons, que c'est un "À suivre..." XD