Salut, les gens, ça faisait longtemps !

Je sais ce que vous vous dites surement : je suis retombé dans mes vieux travers et j'ai pris un max de retard, comme d'habitude… Eh bien non ! J'ai une bonne excuse, cette fois, pour poster en retard !

Hum hum… Mon ancien ordinateur, qui m'était resté fidèle pendant près de quatre ans, m'a lâchement abandonné suite à une défaillance dans le disque dur. Résultat, il voulait plus démarrer. Du coup, impossible pour moi de mettre la suite en ligne tant que je n'avais pas recommandé un nouvel ordinateur. Rassurez-vous, cependant : mon disque dur est mort, certes, mais tous mes textes se trouvaient sur un Cloud ! Du coup, j'ai rien perdu de ma progression.
(Par contre, j'ai perdu plein d'autres trucs et j'ai envie de pleurer ;-;)

Vous pouvez donc profiter dès à présent du chapitre 14 de cette fanfiction !

Bonne lecture !


Chapitre 14

Cinq jours s'étaient écoulés, depuis les derniers combats. Pour Shun, ils avaient défilé en un éclair, dans une tension constante qui mettait ses nerfs à rude épreuve : Hyoga et Ikki passaient leur temps à se regarder en chien de faïence, semblant tout proches de se jeter mutuellement à la gorge. Lui, pendant ce temps, tâchait de faire profil bas, et de ne pas attirer l'attention, s'isolant dans le jardin ou dans sa chambre dès qu'il en avait l'occasion pour ne pas risquer de faire un pas de travers. Pendant ce temps, Shiryu avait quitté la clinique, et avait discuté avec ses frères de sa décision de repartir en Chine, pour essayer d'y soigner ses yeux. Quant à Hyoga, il avait choisi de retourner en Sibérie, pour y cultiver les grandes plaines – bien que Shun n'ait aucune idée de quelle terre on pouvait cultiver dans un pays plein de glace.

"Monsieur Kido ?"

Shun se tendit et reporta son attention sur le médecin, assis derrière son bureau. Suite à la dispute entre Hyoga et Ikki, Saori était venue le voir en tête-à-tête, en lui demandant ce qu'il pensait des paroles du Cygne et ce qu'il voulait en faire. Elle s'était montrée étonnamment gentille et compréhensive, et il avait entendu Phénix lui intimer de se méfier… il avait hésité à l'écouter, au début, car il avait quelques souvenirs de la fille capricieuse et désagréable qu'elle avait été. Mais la voir s'inquiéter autant lui avait fait baisser sa garde, et il avait été d'accord pour voir un médecin. Son grand frère n'avait pas du tout été ravi de l'apprendre et avait voulu faire un scandale, et il avait été très difficile de le convaincre que c'était pour un mieux.

"Auriez-vous autre chose dont vous souhaiteriez me parler ? Vous avez mentionné des dissociations, des amnésies, des hallucinations, de la dépersonnalisation… Y aurait-il autre chose ?"

Tous ces mots, Shun ne les avait pas vraiment compris. Il avait raconté au médecin tout ce qu'il avait déjà répété à Ikki, prenant bien garde aux mots qu'il employait, tâchant d'être le plus clair possible, et l'homme avait pris note de tout, le regardant parfois fixement en hochant la tête. Parfois, il avait même l'impression qu'il mettait sa parole en doute, et ça le mettait mal à l'aise. Il n'avait juste pas clairement mentionné Phénix et Teru, juste leur voix qui lui parlaient.

"Je crois… Je crois que je vous ai tout dit.
– Je vois… Je vais être honnête avec vous, Monsieur Kido. Il est très difficile d'identifier un trouble ou une maladie n'ayant aucun symptôme physique. Dans le cas de troubles mentaux, le diagnostic peut être particulièrement long, car beaucoup de troubles se ressemblent, d'un point de vue extérieur, tout en n'étant absolument pas la même chose. Vous comprenez ?
– Je crois que oui.
– Il vous faudra bien plus d'une entrevue pour mettre un nom sur ce que vous vivez. Si vous le permettez, je vais vous réorienter vers un de mes confrères qui aura les compétences pour vous prendre en charge. Qu'en pensez-vous ?
– Je suppose que c'est ce qu'il y a de mieux…"

Le médecin se tourna vers son ordinateur et tapa un petit instant sur le clavier.

"Étant donné que vous êtes sous la responsabilité de la Fondation Graad, je vais prendre directement contact avec eux à ce sujet.
– Pourquoi… ? Je veux dire… Je peux gérer ça, non ?
– Vous n'avez que treize ans, et la Fondation représente votre tuteur légal. Navré, mais c'est la loi."

Shun fit une moue et regarda vers la porte, pensant à son frère qui n'allait pas être content de l'apprendre. Lui qui voulait s'éloigner de la Fondation – voire même couper les ponts avec elle – allait devoir y rester encore un peu. Il sentait déjà la crise de colère arriver.

"Nous ferons notre possible pour savoir ce que vous avez, je vous le promets.
– Pour l'instant, ça n'est pas ce qui m'inquiète le plus, docteur…"

Le médecin raccompagna Shun vers la porte et, après un rapide salut, le laissa retourner vers la salle d'attente, où Ikki patientait, bras croisés, adossé au mur. Trop nerveux pour rester assis, sûrement. Quand il vit son petit frère approcher, il alla à sa rencontre aussitôt.

"Alors ? Quel est le verdict ?
– Eh bien… je vais devoir consulter un autre médecin, pour savoir.
– … C'est une blague ?
– Il dit que les troubles mentaux sont difficiles à identifier et qu'il faudrait plusieurs entrevues."

Ikki soupira, et passa une main lasse sur son visage. Shun ajouta alors, reculant d'un pas par sécurité.

"Il a aussi dit que, comme je suis sous la responsabilité de la Fondation, c'est eux qui doivent gérer…
– Gérer quoi, demanda Ikki d'un air agacé ?
– Eh bien… tout, je crois… Mes rendez-vous médicaux, ce genre de choses… C'est notre tuteur légal."

Il émit un autre soupir, plus profond, comme s'il voulait s'efforcer à rester calme. Il finit par regarder son frère en coin, avant de se tourner vers lui.

"J'imagine qu'on ne peut rien y faire… C'est pas comme si je pouvais être ton tuteur."

Impressionné par le calme dont Ikki faisait preuve, Shun resta un petit instant sur place, avant de le suivre quand il le vit s'éloigner dans le couloir, se dirigeant sans doute vers la chambre de Seiya. Ils avaient prévu de lui rendre visite dès que Shun sortirait de sa consultation. Ils traversèrent donc la petite clinique en silence, avant d'arriver dans l'aile réservée au service de traumatologie. Il n'y avait que peu d'allées et venues, donnant un sentiment de mal aise à Shun. C'était trop calme, trop silencieux. Ça pouvait paraître étrange, mais il préférait de loin quand ce genre d'endroit était animé.

Ils arrivèrent devant la porte de la chambre qu'occupait Seiya, et Ikki frappa à la porte. Une jeune fille vint vite leur ouvrir : pas bien grande, les cheveux noirs attachés en deux couettes, parée d'une petite robe bleue des plus modestes et d'un tablier, Shun reconnut Miho, une amie d'enfance de Seiya. Apparemment, ils étaient du même orphelinat, avant que Seiya ne se fasse récupérer par la Fondation Graad et, depuis qu'il était revenus au Japon, ils s'étaient plusieurs fois revus. Elle lui avait rendu visite deux fois, déjà, depuis qu'il était revenu du champ de bataille, quand il était inconscient.

"Bonjour, Ikki. Bonjour… euh, Shun, c'est ça ? Entrez."

Elle s'écarta, les laissant pénétrer dans la pièce. Seiya était assis sur le lit, semblant bouder. Du coton, une pince et du désinfectant étaient posés sur la table de chevet, ainsi que des compresses et un bandage. Quand il remarqua l'arrivée des deux frères, le visage du chevalier Pégase s'illumina.

"Shun ! Je suis trop content de te voir !"

Il se leva d'un bond et, à la surprise générale, prit le cadet dans ses bras, qui ne sut comment réagir à l'accolade. Il fallait admettre qu'il n'avait plus trop l'habitude de ce genre de geste d'affection. Il leva les bras et, incertain, tapota le dos de Seiya avec un sourire gêné.

"Euh… Salut, Seiya… Content de te voir en forme.
– Lâche-le, Seiya, tu le mets mal à l'aise, soupira Ikki avec un sourire amusé.
– Reviens t'asseoir, je dois encore désinfecter ta tête."

Miho vint détacher le Pégase de son accolade, et l'entraîna jusqu'au lit, invitant les deux frères à s'asseoir sur les chaises, posées tout près. Du coin de l'œil, Shun remarqua un éclat doré de l'autre côté de la pièce, avant que son attention ne revienne sur Seiya, qui s'installa de mauvaise grâce sur le matelas et attendit que son amie imbibe un coton d'alcool, avant qu'elle ne l'applique sur sa plaie au front.

"Aïeuh ! s'écria-t-il aussitôt, avec un mouvement de recul. Eh, vas-y plus doucement, Miho !"

Ikki ne put s'empêcher de pouffer de rire et, de son côté, Shun ressentit un peu de peine pour ce pauvre Seiya, si bien qu'il fut intérieurement horrifié d'entendre un "Quel douillet !" incontrôlé – et particulièrement moqueur – lui échapper. Sur le lit, le Pégase remuait et se débattait mollement pour échapper au coton maléfique.

"Tu exagères, Seiya… répliqua Miho avec une patience d'ange. Et arrête de bouger autant, je n'arrive pas à te soigner.
– Aïe ! Ça pique !"

En le voyant remuer autant dans son pyjama à étoiles trop grand pour lui, avec son plâtre en guise de bouclier, l'Oiseau de Paradis explosa de rire… et, après réflexion, Shun admit que le spectacle était plutôt comique, et se permit de rire à son tour. Il peinait à reconnaître le vaillant Pégase qui avait mis Phénix en difficultés, au Mont Fuji.

"Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle, vous deux ! s'écria encore Seiya, faussement énervé. Je me suis cassé le bras, fracturé le crâne et j'ai des bleus partout pour être allé secourir Saori !
– C'est vrai, désolé, s'excusa aussitôt Shun…
– Non, pas désolé. Tu as l'air ridicule, à te débattre comme ça."

Seiya tira la langue en direction d'Ikki, avec toute l'immaturité dont il était capable, pendant que Miho refaisait son pansement avec les compresses et le bandage.

"Mais, maintenant, ça va. conclut-elle. On a vraiment cru que tu allais perdre la vue."

Shun baissa les yeux. Dans le canyon, quand il avait retrouvé toutes ses capacités, il avait été choqué de voir dans quel état avait fini Shiryu, mais l'état de Seiya s'était avéré aussi alarmant. Avec sa fracture au crâne, le Dragon avait estimé que son système nerveux avait été touché, et que sa vue risquait d'en pâtir s'il n'avait pas les soins appropriés au plus vite. En y repensant, il sentit la culpabilité l'étreindre. Si seulement il était arrivé plus tôt… il aurait pu aider Seiya avant qu'il ne soit contraint de sauter.

"Avec des « si » on refait le monde, Crétin. grinça Phénix. Arrête un peu de te lamenter et regarde-le ! Il s'en sort pas trop mal, pour un qui a fait le Grand Saut !"

Il releva la tête, regardant sans vraiment le voir Seiya, qui finissait de se faire attacher son bandage, discutant avec son grand frère. Il entendait vaguement plus qu'il n'écoutait leur conversation. Était-ce ça, ce que le médecin avait appelé « dissociation » ? Il sursauta quand il sentit la grande main d'Ikki se poser sur son épaule, et le monde autour de lui se précisa.

"Quant à nous, on va devoir rester. annonça son frère. Hyoga et Saori ont persuadé Shun de voir un médecin et, comme c'est la Fondation qui s'occupe de tout ça, il n'a pas vraiment le choix que de rester dans le coin. Et il est pas question que je le laisse seul à nouveau."

Seiya le regarda un petit instant, de haut en bas, puis de bas en haut, l'air perplexe, comme s'il cherchait pourquoi il avait besoin d'un médecin, avant qu'il n'entrouvre la bouche sur un « oh... » muet.

"C'est à propos de Phénix… comprit Seiya. Et… ça va aller ?
– Je ne sais pas encore, pour être honnête, on verra au fur et à mesure. avoua Shun, avant de changer de sujet. Et toi, que comptes-tu faire ?"

Seiya fit une moue, l'air déçu qu'il n'en dise pas plus, avant de répondre.

"Quand je serai complètement remis de mes blessures, je repartirai à la recherche de ma sœur. Je suis fatigué de toutes ces histoires. Que Saori Kido soit la réincarnation d'Athéna ou non ne change rien : il n'y a plus personne pour se battre pour elle.
– On n'est pas des machines à son service." approuva Ikki.

Le regard de Shun revint sur l'éclat doré qu'il avait vu en arrivant, dans le coin de la pièce et se leva pour s'en approcher.

"Si tu n'as vraiment plus l'intention de te battre… Qu'est-ce que l'armure d'or fait là, au juste ?"

Les regards surpris de Seiya et Ikki se braquèrent sur lui, et il s'écarta pour désigner l'urne dorée d'un geste de la main. Ils se levèrent d'un bond.

"Mais… ?! Qu'est-ce qu'elle fait là, cette urne ?!
– Ne me dis pas que tu ne l'avais pas remarquée…
– C'est mademoiselle Kido… expliqua Miho. Elle a dit que personne à la Fondation n'était en mesure de veiller sur elle et qu'auprès de toi, elle serait en sécurité. J'ai refusé, mais…
– Mais qu'est-ce qu'elle s'imagine ? s'énerva le Pégase, s'approchant de l'armure. J'ai déjà failli mourir plusieurs fois pour cette boîte ! Je ne veux plus la voir !"

Soudain, avant que quiconque n'ait eu le temps de le retenir, il envoya un grand coup de pied dans l'urne… à pieds nus. Hébété, Shun le regarda se figer, les dents serrées, avant de se retourner lentement, tout crispé, pour revenir vers le lit en boîtillant, émettant un petit « aïe » des plus ridicules à chaque fois qu'il posait le pied au sol.

"Ah, bah, bravo. commenta Ikki, se retenant visiblement de rire. Je vais te chercher un médecin ?
– Sans commentaire !
– Plus sérieusement, on fait quoi, de l'armure ?
– J'en sais rien et je m'en fiche ! répliqua Seiya avec humeur. J'en veux pas ! D'ailleurs, si Phénix veut la récupérer, qu'il ne se gêne pas.
– Je ne suis pas sûr qu'elle l'intéresse encore… sinon, il l'aurait déjà reprise."

Le silence s'installa un court instant, pendant lequel Shun se questionna, les yeux rivés sur l'armure d'or. Phénix ne lui avait jamais expliqué pourquoi il l'avait volée, ou même ce qu'il lui trouvait de si intéressant. Il ferma un instant les yeux, l'appelant mentalement pour le lui demander… mais aucune réponse ne lui parvint. Il faut dire qu'il n'avait jamais vraiment tenté d'entrer en contact avec Phénix, depuis qu'il avait découvert son existence. Il l'avait souvent fait avec Teru, quand il était petit, car sa présence et le son de sa voix le rassuraient, quand il était triste ou effrayé… tout l'inverse de Phénix, en somme.

"Bon, on va te laisser te reposer. décida finalement Ikki, le sortant de sa torpeur. Shun et moi, on retourne au manoir. On reviendra te voir, ne serait-ce que pour t'empêcher de te fracasser l'autre main sur l'armure.
– Très drôle. grinça Seiya. Si tu as si peur que je me blesse avec, reprends-la, toi.
– Mh, non. Sans façon.
– Sale traître."

Ignorant l'insulte, Ikki entraîna son petit frère hors de la chambre après avoir salué Seiya et Miho. Shun le suivit docilement après un dernier regard vers le Pégase. Celui-ci avait l'air inquiet, quand leurs yeux se croisèrent, et il se composa le sourire le plus rassurant qu'il put avant que la porte ne se referme.

Les deux frères sortirent ensuite de la clinique sans qu'un mot ne soit échangé, et le silence dura même jusqu'au retour au manoir. Ce n'est qu'arrivés devant la grande porte du manoir que l'aîné prit la parole.

"Shun ?"

L'interpelé se retourna, et Ikki chercha un instant ses mots. Cela faisait quelques temps qu'il avait envie d'avoir cette discussion avec son petit frère… depuis qu'il l'avait retrouvé, en fait.

"Je… J'aimerais que tu me parles un peu plus. Je sais que ce qu'il s'est passé a, en quelque sorte, creusé un fossé entre nous. Mais j'aimerais que tu saches que tu peux tout me dire. Absolument tout.
– Tout ? Tu veux dire…
– J'aimerais savoir ce qu'il s'est passé sur l'Île de la Reine Morte. J'y tiens vraiment. J'aimerais savoir où tu as eu ce bracelet, auquel tu as l'air de tenir ; comment tu as eu ces cicatrices, sur le visage ; avec qui j'ai discuté, dans la forêt, si ce n'était pas toi, et…
– Ikki, arrête…"

Sous ses yeux, Shun réprima un bâillement qui le surprit, mais il garda le silence. Il le regarda ensuite avec un air… étrangement mature. Il croisa les bras avant de parler d'une voix un peu plus posée, moins juvénile que d'habitude.

"C'est encore trop frais pour l'instant, Ikki. Ce ne sont pas des choses dont on parle facilement. Toutes ces questions, ça a l'air anodin, pour toi, mais c'est plus difficile à aborder que ça en a l'air."

L'Oiseau de Paradis fronça les sourcils en le regardant s'avancer vers la porte et l'ouvrir, avant de s'arrêter une seconde. Il se retourna vers lui.

"Tu sais… Parfois, simplement parler peut réveiller des choses pas très plaisantes… Ne fais rien que tu pourrais regretter."

Il rentra ensuite dans le manoir, le laissant sur le pas de la porte, seul avec ses nombreuses questions sans réponses. Il grogna de frustration, puis entra à son tour dans le manoir avec un profond sentiment d'échec.


Hey, c'est encore moi.

Avez-vous remarqué que j'avais changé de nom ? C'est tout à fait normal. Il s'avère qu'Adonis est en fait le nom d'un de mes OC's et, comme j'ai l'intention de partager son histoire originale (je ne sais pas encore comment, cependant), je n'avais pas envie de garder son nom en guise de pseudo, car ce serait trop confus. Appelez-moi donc Yurizander, à partir de maintenant (Yuri pour les intimes) !

Autre nouvelle : ça fait un petit moment que traîne, dans mon Cloud, le début d'une autre fanfiction "what if..." sur Saint Seiya, et j'hésite à la partager ici. Elle s'appelle "L'Enfant Maudit". Je mettrai peut-être le résumé et le prologue en ligne, un de ces jours, et vous me direz si elle vous intéresse.

J'attends vos commentaire sur ce chapitre avec impatience, ainsi que vos avis et spéculation sur "L'Enfant Maudit". Je posterai le chapitre 15 le dimanche 5 décembre (en espérant que je sois dispo ce jour-là).

À la prochaine !