Chapitre 4 : une bataille sanguinaire

Ils prirent la direction de la grande salle sans ajouter un mot, malgré que l'envie tiraillé chacun d'émettre un commentaire.

A leur grand étonnement, c'est un silence de mort, peu commun vu l'endroit et l'heure, qui les accueillît dans la salle du banquet.

Là, aucun doute pour Sévi, tout ce petit monde qui peuplé l'école, avait eut vent de ses troubles du comportement, imposé par ce misérable Sirius. En plus tout cela était accentué par le fait que cette folle de Trelawney, qui ne sortait jamais de son trou, l'accompagnait. Ici, on pouvait voir la preuve de sa perte de raison, il en était sûr et certain.

« Alors, tu devrait me remercier, là, ils sont enfin tous terrorisé par toi, c'est pas ce que voulais ? Oh, excuse moi, peut être que tu aurais préféré que ce soit par ta mauvaise haleine, oups…euh, humeur et tes griffes acérées ainsi que tes piques, mais le résultat et le même. Ils redoutent tous que tu deviennes fou furieux, que tu attrapes une pelle et que tu essaies de les enfoncer plus profondément qu'ils ne le sont sur leur siège avec celle-ci ! Alors heureux ? »

A se remarques sourdes pour eux, les élèves n'entendirent qu'un :

Ggggrrrrr…. ! Pour tout commentaire à son entrée très remarquée.

Ignorant les élèves qui le fusillaient du regard, se levaient pour mieux le voir ou se chuchotait des choses à l'oreille sur son passage, les deux professeurs (et Sirius, bien entendu !) se dirigèrent vers leur place respective à la table des professeurs. Cette perspective n'enchanté guère Rogue car habituellement il était installé près de l'élue de con cœur, qu'il ne pouvait plus regarder en face, encore moins depuis les rumeurs de sa folie douce. Il se rassurât en pensant amèrement qu'après tout cela de toute façon, elle ne lui adressera plus la parole.

Oh, comment allez vous, mon chère Séverus, nous avons eut peur que vous ne nous rejoignez pas ce soir, vous nous auriez tous manqué, comme vous pouvez le remarquer ! Dit Dumbledore avec un sourire malicieux .

°°°°°°°°°°°°Séverus pense fort pour lui et Sirius°°°°°°°°°°°°°

Mais je rêve ou se vieux fou se moque ouvertement de moi pour régaler la salle plus qu'il ne le sont déjà ?

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

« N'insulte pas Albus, il a bien le droit de s'amuser, surtout à ton insu, personne ne l'en blâmera, encore moins moi ! Et puis, il n'est pas fou, je dirait seulement "allumé", c'est qui fait sont charme. Il faut dire que tous les grand esprit sont un peu dérangé, et s'il y a un fou ici maintenant, c'est bien toi, Oh ne me remercie pas, hahahaha ! »

Rogue fit comme si sa petite bulle de mépris n'avait pas était piquée à vif et se contenta de lancer un regard noir au directeur, qui habitué l'ignorât avec insolence, et pris place en se jurant de ne plus relever la tête de son assiette avant que celle-ci ne soit vide et détaller en vitesse pour ne pas croiser de regards plein de questions de la soirée.

Pourtant, il reçut un petit coup de coude de la dulcinée, qui se penchait déjà vers lui pour lui parler.

Séverus, est-ce que tu vas bien, on m'a dit que tu avais un comportement bizarre depuis ce matin, et je me demandait si ça avait un quelconque rapport avec moi, si c'est le cas, son tons changer, reprends toi un peu, c'est honteux de ta part de te conduire comme un gamin !

Quand le professeur releva la tête pour lui répondre avec douceur et s'expliquer, il vit ce qu'il redoutait le plus, elle le regardait de travers comme navré. Ce qui fut justifié par son doigt qui se trouvait dans son propre nez, on ne sait par quel miracle –enfin si, on devine qui en ai à l'origine, surtout que Sévi entendais un rire qui résonnait dans sa tête comme un aboiement de chien.

Remarquant que sa seconde main était valide, il entreprit d'extirper son index de sa narine, mais s'en suivit une lutte terrible digne des films burlesques genre Laurel et Hardi. Mais pour résumer, on pouvait voir un Rogue rouge de rage, tirant sa main gauche avec la droite pour la dégager, mais cette première ne se montrât pas très coopérative, il gesticulait dans tous les sens en se débattant sous le désarroi de sa belle, vous voyez style remake de « la main qui tue ».

Quand le combat eût fini, que Sévi sorti victorieux, ou plutôt que Sirius aie mit fin à son calvaire, jugeant qu'il avait eut sa dose.

Séverus cherchât pour s'expliquer ce regard qui l'avait tant déprimé, mais on pouvait facilement deviner qu'elle aussi avait eut sa dose et s'était tiré.

Le moral encore plus bas que terre, Séverus sortit de la salle le ventre vide, ne pouvant supporter les visages déconfit de ceux qui avait assisté à la bataille, c'est à dire tous le monde !