Chapitre 5 : une révélation
Sibille s'efforçât de rattraper Séverus dans les couloirs. Elle avait assisté impuissante à cette nouvelle humiliation de Séverus par Sirius. En d'autre occasion, elle en aurait rit elle aussi, car ça remettait un peu ce prétentieux à sa place, lui qui adorait ridiculiser à son tour des générations entière d'élèves, par vengeance de ne pas avoir était assez cool pour être aussi intégré que tout ceux-ci l'étaient dans cette école. Mais le regard de chien battu, qu'elle avait pu lire sur son visage, quand il se battait contre son propre corps, sans pouvoir garder un peu de dignité devant la seul à qui il aurait voulu plaire, lui avait fait un pincement au cœur.
C'était difficile à avouer, mais à cause de se comportement, elle était un peu en colère contre Sirius. Lui qui devait en principe aider Séverus pour une quelconque mission ne se montrait pas très amical envers ce dernier et pour le moment était plutôt très appliqué à lui mettre des bâtons dans les roues pour tout ce qu'il entreprenait. Pour ajouter aux malheurs de Rogue, l'animagus, qui autre fois était un Don Juan, elle le savait, elle en avait eut pas mal de très bon échos, et d'amies avec le cœur brisé, était très disposé à savoir quoi faire et ne pas faire avec la gente féminine. Ici, il s'efforçait tout particulièrement à les ou plutôt la faire fuir.
A cette pensée, ça fit –tilt- dans sa tête, bien entendu, c'était pourtant si simple si l'on y réfléchit, même si le choix était peu judicieux vu leur rapport amicaux et les conséquence actuelles. Elle s'immobilisât sous l'effet de cette révélation : un Playboy, grand séducteur de ses dames à ses heures, expert en drague qui investit la conscience d'un timide et gaffeur, amoureux transit, alors que celui-ci décide de dévoiler ses sentiments dans une tentative qui se révèle bien plus que chaotique qu'on aurait pu le prévoir, même avec une énorme marge d'erreur.
Mais voilà la mission : « Sirius doit transformer Séverus en tombeur ! »
A cette pensée, elle éclatât de rire, mais avec l'application du plus grand latin lover que la terre aie porté, Rogue n'atteindrait certainement pas plus que le sex-appeal d'une moule. Enfin si tous se révélé exacte, elle espérait avoir tort pour le bien des deux partis, qui ne pourrait se supporter beaucoup plus longtemps, malheureusement.
En fait, il suffirait seulement que Séverus arrive à séduire tout simplement Cassandre, ce qui est devenu désormais mission impossible, par la tentative infructueuse de la vieille, que Rogue seul avait gâché, ( c'est ce qu'elle savait dans les grandes lignes, car elle n'avait eut aucun détailles de sa part), et les humiliations à répétition de Sirius, en majorité, celle qui l'avait poussé à bout jusqu'à la fuite.
Elle le rejoignit enfin dans la salle où Firenze enseigné ou plus « étalait sa voyance de bas étage », qui ressemblait à une clairière, il était blottit contre la pied d'un arbres, les genoux ramenés sous son menton, comme un enfant traumatisé, le regard abattu, se balançant d'avant en arrière.
Une bien horrible vision de cette homme toujours fière de sa soit disant puissance et envergure. Si à cette instant, on pouvait comme Sirius, lire dans ces pensées, on verrait à quel point il se sentait petit et misérable, se foutant totalement de l'avis de tout être, autre que la joli prof et en particulier de se que pouvait croire Sirius. Tout ce qui l'importait était qu'il avait le cœur déchiré, lui qui avant d'avoir posé les yeux sur elle, croyait en être démunit et avait perdu toute chance d'être un jour lui aussi aimé, et de se reposer sur une épaule accueillante. Ce qu'il y vu, contre toute attente, peina le grand chien.
