nda: je n'ai toujours pas une seul reviews mais c'est pas grave je continus cette fics parce que d'après les stats je suis tout de même pas mal lu donc pour ceux que ça interesse
mais je ne suis toujours pas contre un petit mots faites un effort même si ça ne vous plait pas dite le j'aimerais vraiment le savoir, merci!
Chapitre 9: une entrée très remarquée
En se levant ce matin là, Séverus avait comme une boule près du cœur, enfin c'était l'impression qu'il avait, c'était un tuc très bizarre pour lui, un sentiment inconnu. Il faut dire que depuis l'arrivé de la jolie prof, il avait découvert plein de nouvelles choses, lui qui avant ne se souciait bien de ne plaire ou faire plaisir à personne, avait bien changé.
Maintenant, il avait fait la connaissance de (faisons une liste):
la timidité, (sentiment de malaise quand on se trouve à proximité de quelque un qui pour nous est important (même si on ne s'en ai pas encore rendu compte) avec tout ce qui l'accompagne, les rougeurs du visage, bégaiements et intense transpiration.
Pour lui c'était le déclencheur , c'est à ce moment qu'il s'est dit qu'il avait rencontré…..
l'amour, oh oui, ce n'était pas totalement inconnu, il aimait sa maman, le son de sa propre voix quand il retirait des points à ceux qu'il n'aimait pas et donner des retenus, mais là c'était tout différent.
la honte, là on peut dire merci à Sirius et son petit jeu pendant les cours de la veille. Bien sûr ça, il connaissait déjà, lorsqu'il était étudiant, d'ailleurs là aussi Sirius n'y était pas totalement pour rien. Mais depuis ce temps.
l'envie de plaire à quelque un, ça c'est certain, c'est une première et la métamorphose ne lui déplait pas en plus.
et ce nouveau sentiment dont Sirius lui a soufflé le nom , le trac, comme un acteur qui se prépare à monter sur scène.
En fait, cette fois il n'avait pas simplement envie de plaire à Cassandre, il voulait tous les bluffer. Ce serait sa revanche, il voulait changer, bon d'accord c'était aussi pour elle, pour qu'elle aie une bonne opinion de lui, il devait se montrer agréable avec ses élèves, ….lourde tache!
Black lui avait mit dans la tête, au début c'était plutôt du bourrage de crâne, que s'il était plus sympathique avec tout le monde, s'il oubliait ses vieilles rancœur, premièrement ça ne l'empêchera pas d'être un bon prof, au contraire, et ensuite apprendre à aimer les autre cela aide à s'aimer soit même (bon ok c'est le genre de réflexion qui l'aurait fait gerbé en temps normale, mais la récompense qu'il pourrait en avoir l'a aidé à se laisser séduire par le principe), cela donne de l'assurance, ce que les autres ressentent. Il serrait plus respecté, cassandre n'y serait pas indifférente.
Après tout il n'a pas grand-chose à perdre, il est déjà seul et détesté , pourquoi ne pas essayer.
Donc, il avait pour but d'impressionner tous les professeurs en passant par le directeur et bien entendu Cassandre et les élèves. Il avait tout de même peur de ne pas y arriver du premier coup, les mauvaises habitudes sont bien ancrées, être agréable et conciliant comme ça de but en blanc ne sera peut être pas si simple.
C'est donc la peur au ventre qu'il s'engagea, un quart d'heure plus tard dans les couloirs en direction de la grande salle. Il essayait d'imaginer la tête de ceux qu'il croiserai, quand ils le verront relooké avec tant d'élégance. Même lui avait du mal à y croire en jetant un dernier coup d'œil dans le miroir en sortant de la salle de bain.
A croire que tout le monde s'était passés le mot, il ne rencontra pas une âme qui vive (même les fantômes étaient aux abonnés absents). Quand il fut arrivé devant la grande porte de la salle, son cœur battait la chamade.
« Vas-y profite, c'est ton moment de gloire, savoure, ils ne vont pas s'en remettre de sitôt, je les vois déjà la mâchoire pendante, ça va leur mettre un coup….! Surtout n'ai pas trop l'air fier de toi on pourrait prendre ça pour de l'arrogance , ça commencerait mal, n'est-ce pas? »
Prenant une grande inspiration, il se lança dans l'arène, poussa la porte et marcha bien droit vers la table des professeurs, fixant les yeux dans le premier regard rassurant qu'il rencontra, à savoir celui du directeur, qui à son grand étonnement encore une fois ne montra aucun signe de surprise.
Rogue n'osait pas trop jeter un œil sur les côté, où les élèves, après un gros effort pour se persuader que c'était bien leur très cher professeur de potion , affichent des regards médusé pour certains (comme Harry, Ron et Drago ) ou échanger des remarques mi-amusées, mi-ébahit ou même admiratifs. Il entendit même le mot « sex-appeal » venant d'un groupe de filles de 7° année à Serdaigle.
« Là c'est moi qui risque de ne pas m'en remettre? Pensa-t-il »
« tu vois, je l'avait dit que ce relookage ferai un carton! »
Quant à Cassandre, il ne put la voir mais, elle eut le souffle coupé au premier regard et s'il avait osé porter son attention sur elle, il aurait pu même lire un « waouh! » sur ses lèvres muettes.
Sibylle qui pour l'occasion s'été joint à la table se reteint à grande peine d'applaudir et se réjouit d'un si grand effet.
De leur côté, Harry, Ron et Hermione, à leur table y allé de leur commentaires:
« Attend, attend , ……pincé moi, dit Harry, le professeur Rogue a été enlevé par des extraterrestres? On nous l'a remplacé?
…………, (Ron, sans commentaire, bouche ouverte)
Euh… apparemment c'est bien lui y'a pas d'erreur, c'est la même démarche, quoiqu'il a l'air plus hésitant ,faut croire que l'on rêve!
…………., (toujours Ron le menton qui traîne par terre)
Je sais pas quoi dire, à par qu'on dirait quelque un d'autre!(Harry)
Tu m'étonnes, une bonne douche, une coupe de cheveux et un nouveau style, ça change un homme surtout s'il s'appelle Séverus Rogue, y'a rien à dire… à par peut être, excusez moi mais Pavarti à raison , on pourrait même dire qu'il est… sexy. Tu sais pas ce que ça me coûte de dire ça de lui, dit Hermione après le fameux commentaire de Pavarti.
……mais ……pourquoi…qu'es ce qui ……lui prend? Dit enfin Ron qui avait du mal à trouver ses mots.
Cette question devra rester en suspend pour eux malheureusement.
Séverus rejoint enfin sa place après un parcours qui lui avait parue bizarrement interminable, s'installa toujours s'en rien dire malgré les regards interrogatif de la plupart des professeurs.
