Voilà la suite après quelques mois désolé !
Pour me pardonner la suite arrivera rapidement
bon ce chapitre est un plus court que le précédent, mais je n'y peux rien, j'ai pas pu faire autrement. Et je le trouve très bien comme ca
SURPRISE
Onizuka et les autres se trouvent au rez-de-chaussée de l'hôtel où ils vont dormir ses quelques jours de vacances. Tout le monde prend l'ascenseur mais les bagages n'y tiennent pas, alors Onizuka et Kusano prennent l'escalier.
ONIZUKA :Dépêche toi Kusano, on aura jamais le temps d'allé skier avant ce soir.
KUSANO : Facile a dire c'est moi qui porte tout, vous avez qu'a en prendre aussi.
ONIZUKA : Que dis tu cher esclave adorateur de poupée gonflable ?
KUSANO : … Rien, je demandais jusqu'à quel étage on allait ?
ONIZUKA : Au quatrième.
KUSANO : Ah mais c'est encore haut !
Retrouvons les autres au quatrième qui attendent Onizuka qui détient les clés des chambres.
MURAI : Mais ils vont pas se dépêcher ? On a pas que ça a faire, j'ai vu des super nana en bas, j'ai hâte de faire leur connaissance.
KANSAKI : Si tu crois qu'elle vont s'intéresser à toi, avec ta tache de chocolat sur le pantalon on dirais que tu t'es pissé dessus.
MURAI : C'est pas de ma faute, imbécile.
KANSAKI : Répète ce que tu viens de dire et je t'éclate.
MURAI : Imbécile, furie.
KANSAKI : Reviens la je vais te faire bouffer ton jean.
Les deux adolescents partent dans une courses effréné dans les couloirs, Kansaki tenant un bâton de ski volé dans sa main.
KIKUCHI : On ne vas pas s'ennuyer…
YOSHIKAWA : J'ai honte …
ASUZA : Ca non… Tu ne dis rien fujiyoshi ?
FUJIYOSHI : Qu'est ce que je devrais dire ?
ASUZA : Je ne sais pas tu es rouge, tu te sens bien ?
FUJIYOSHI : Oui, oui. (il rougit encore plus)
La porte de l'escalier s'ouvre et Onizuka et Kusano arrive enfin, Kusano s'effondre sur le sol, traînant les bagages dans le couloir
ONIZUKA : Lève toi mauviette, on est pas encore arrivé, c'est la bas la chambre.
KUSANO : J'en peux plus…
ONIZUKA : Allez dépêche toi pas d'histoire.
AZUSA : Dis Eikichi, tu pourrais l'aider, non ?
ONIZUKA : Pas question, c'est mon esclave c'est a ça qu'il sert.
Après quelques mètres rampé, et avec l'aide des autres les bagages arrivent enfin devant les portes des 3 chambres.
Les deux filles se trouvaient dans la même chambre, Onizuka, Yoshikawa et Kikuchi dans la seconde, et Murai, Kusano et Fujiyoshi dans la dernière.
Les deux filles prirent leurs valises pour s'installer.
ASUZA : Que c'est traditionnelle, on presque entendre les garçons parler dans la chambre a coté.
KANSAKI : Oui il y a beaucoup de place. On a eu une chambre pour trois a deux. En plus il y a trois futon, si jamais on veux accueillir un garçon c'est possible.
ASUZA : Oui tu as raison, peut être que ce voyage va nous révéler nos vrai amour
KANSAKI : Certainement
Toute deux pensaient évidement à Onizuka qui se trouvaient dans la chambre à coté.
ONIZUKA : Bon écoutez moi les morveux, si jamais je dois accueillir une jolie fille vous irez dormir avec Kunio et les autres, pigé ?
YOSHIKAWA : Oui mais il n'y aura jamais la place.
ONIZUKA : (jetant des yeux de démon) Il y aura de la place !
KIKUCHI : Ah lala. Bon je m'installe ici moi.
ONIZUKA : Et pourquoi près de fenêtre, tu crois que je ne te vois pas venir, tu veux te barrer pour faire la fête toute la nuit.
KIKUCHI : Mais non c'est juste pour la prise de mon ordi…
ONIZUKA : Je ne te crois pas, mais pour te faire plaisir je t'accorde la permission de minuit, mais je t'accompagnerais pour te surveiller
YOSHIKAWA : Mais quel prétexte pourri.
ONIZUKA : Tais toi Teshi, tu pourras venir aussi. (montant sur une table, levant le doigt vers le haut, regardant vers l'avenir) Ces vacances serons les vacances de l'amour, moi, Onizuka je promet de faire de vous des vrai hommes dépucelés. Ce lieu sera synonyme de débauche et d'érotisme dans vos souvenirs.
YOSHIKAWA : Voilà qu'il pète une durite.
ONIZUKA : Monsieur viens jouer les trouble fête ? J'avais oublié que monsieur était fidèle à sa bien aimée Anko Uehara.
YOSHIKAWA : (tout rouge…) Mais non, n'importe quoi on ne sors pas ensemble…
Dans la chambre d'à coté, Murai, Kusano et Fujiyoshi déballe leurs affaires.
MURAI : Mais quel bordel ils font à coté.
KUSANO : Oui ça va pas être de tout repos.
MURAI : Bon ou sont mes pantalons de rechange.
KUSANO : Ah ! Tiens un papier viens de tomber, attend il y a un truc écris dessus. « Mon petit kunio, voici un petit message de ta maman d'amour pour te dire que j'ai mis 15 slip de rechange au cas ou tu fasses pipi dans le lit. J'ai aussi mis une crème pour les morpions, ton professeur bien attentionné ma rappeler que tu te grattais souvent l'entre jambe, tu ne l'as jamais dis a ta maman, peut être avait tu peur que je vois mon grand garçon grandir. J'espère que tu passeras de belle vacance et ne fais pas de bêtises. Je viendrais peut être vous rejoindre si mon boulot se libère. Ta maman. »
MURAI : Aaaah je vais la tuer, Onizuka aussi, pourquoi vous rigolez ? Je vais vous tuer aussi, revenez la !
Les esprits étant calmer, les affaires ranger, chacun sors de sa chambre pour se rejoindre au café du bas. Non sans violence tout de même, Murai frappant Onizuka, Kusano racontant le mot au deux filles. Ces même demoiselles effrayées par l'arrivée de la mère à Murai, y voyant une adversaire potentiel à fort potentiel( ;-)).
Tout le monde prit l'ascenseur, qui s'ouvrit au rez-de-chaussée face à…
FUJIYOSHI : MIYABI ?
MIYABI : Mais qu'est ce que vous foutez la ?
FIN
Ainsi ce termine ce chapitre, avec l'arrivée imprévisible de Miyabi.
