Gabriel

chapitre trois.

Suite a quelques problème téchniques je me dois de poster deux chapitre cette fois. Pardon

Il attendait depuis plus de trois quarts d'heures devant la grande porte qu'Albus Dumbledore l'annonce. Et trois quarts d'heures c'est long, il devait y avoir beaucoup de première années. Les gènes de sorciers c'étaient développés suite a la guerre, il y a avait donc de plus en plus de nées sorciers et c'était une bonne chose. Mais le faire attendre, à la porte, trois quarts d'heure… Il y avait des limites.

Le jeune homme en était là de sa réflexion lorsque les portes en face de lui commencèrent à s'ouvrir.

Tout de suite son instinct lui signala un piége. Si il passait cette porte ça ne serai pas sans conséquence pour tout les gens qui s'y trouvait. Il regarda Albus pour chercher dans son regard un quelconque indice. Ce qui l'y trouva le mis dan un état de colère noir. Albus se jouait de lui une foi de plus il avait tout prévu depuis le début. 'Tu parle du « je n'ai pas trouver de professeur » c'est moi que tu voulais depuis le début. Tu le paiera Albus' pansa le jeune homme avec rage. Le directeur voulais montré au élèves qu'il était dangereux de surprendre ou de jouer un tour a un mercenaire comme lui et c'était une bonne chose seulement ça prouvait la longue réflexion qu'il y avait du avoir sous se plan foireux. Albus se moquait de lui encore une fois.

Les portes finisaient tout juste de s'ouvrir. En sentant le danger son rythme cardiaque s'était accéléré oxygénant plus vite le cerveau et permettant une réflexion plus rapide. Il finit un pas dans la salle puis un autre et encore un tout les sens en alerte.

Ayant aussi flairé le piège le loup noir de Gabriel été venu le rejoindre et traversait a présent la salle avec lui. Il y eu soudain un éclaire. C'est à ce moment là que le piége se referma sur lui.

Avec un dernier regard assassin pour Albus, Gabriel se tourna vers la créature qu'il avait devinée derrière lui.

C'était une Vouivre, un serpent aux yeux de diamant, aux pattes d'oiseau et aux ailes de dragon. Certes les Vouivres ne voyaient pas très bien mais elle captaient la magie la plus forte et attaquaient son propriétaire pour la lui voler. Et sa cible était bien évidemment Gabriel. Albus avait du masqué sa magie pour qu'elle ne s'attaque pas a lui. Le jeune brun leva lentement les bras pour invoquer un bouclier qui protégerait les élèves et les professeurs.

Il ne fallait pas qu'il fasse geste brusque, ni qu'il se serve de la magie directement sur le reptile. Il ne pouvait pas non plus utiliser son semi- automatique car il risquait la vie des élèves. Les boucliers ne protégeaient pas de ce genre de danger. Ces dernier étaient enfin en place, le combat aller pouvoir commencer. Pyro qui jusque la était rester caché sur son bras monta à sa gorge pour lui laisser une plus grande facilité de mouvement. Engel quand à lui faisait le tour de la salle pour surveiller le combat, les élèves et les entrés. On ne jamais à quoi s'attendre avec Albus. Tout jusque là s'était déroulé avec douceur. Si Gabriel faisait un seul mouvement trop rapide il lui faudrait les enchaînés jusqu'à la fin du combat. Toujours avec lenteur il poussa les élèves, trop choqués pour bouger et leurs tables de façon a avoir de la place.

Le jeu pouvait commencer. En faisant un brusque saut sur le côté il avait désormais attiré l'attention de la bête. Celle-ci se jeta a l'endroit ou le jeune homme était encore une seconde au pars avant.Il saisit une dague de ses bottes et l'enfonça dans sa manche, la où il savait se trouver le poisson le plus rapide qu'il avait. Tout en continuant à faire des sauts de côté. La deuxième dague suivit le chemin que la première et se retrouva dans sa main gauche. Gabriel s'arrêta brusquement. La Vouivre l'envoya d'un coup d'aile puissant s'écraser contre la porte qui s'était refermée après son entré, comme il l'avait prévu. Il arriva sur la porte les jambes en avant et s'en servit pour prendre un élan et se jeter sur la bête. La rapidité avec laquelle elle l'avait envoyé ajouter à la puissance de l'élan qu'il avait pris lui permit de frapper le monstre au flanc. Le coup avait été léger mais le poison sur les dagues agirait rapidement.

Il ne restait plus à Gabriel qu'à esquiver les attaques de plus en plus lentes. Quelques secondes plus tard la bête tomba sur le sol, morte, avant de disparaître dans un flache de lumière verte.

« - Il faut qu'on parle Albus. Menaça le vainqueur.

Plus tard, plus tard. Pour le moment viens t'assoire a côté de Severus. Et emmène avec toi Engel, il semble fait peur au élèves. »

Ce n'était pas la présence du loup qui effrayait le plus les élèves. Mais Gabriel se passa bien évidement tout commentaires et alla s'asseoir comme demandé. Il ne pensait pas devoir un jour tomber aussi bas. Il ne voyait vraiment pas ce qui le poussait à passer tous les caprices à Albus. Il savait par expérience qu'une fois sa colère retombé il ne lui en tiendrait pas rigueur et ce qui le désolait le plus. Il n'avait décidément pas de volonté. Mais le jeune homme n'avait pas le choix, pas cette fois. Comme toujours lorsqu'il s'agissait d'Albus en fait. Il se décida à engager la conversation avec Severus qui le regardait bizarrement.

Le lendemain c'est un Gabriel légèrement calmé qui se dirigea vers l'écurie. Il portait toujours un pantalon en cuir mis celui-ci était plus évasé au niveau des jambes. Bien évidement il n'avait pas de robes de sorciers et portait à la place son long manteau noir.

Il passait voir Frei pour lui donner à manger et la brosser un peu. Il s'occupait toujours de ses animaux avant de s'occuper de lui-même. Ensuite il se dirigea d'un pas léger vers la grande salle s'étonnant au passage de savoir quel couloir prendre par instinct. Peut être qu'il avait fait ses études ici et que sa mémoire revenait petit à petit.

Finalement il se dit qu'il était stupide de ressasser encore cette histoire alors qu'il avait une vie qui lui convenait parfaitement. Lorsqu'il passa la porte de la grande salle accompagné d'Engel et de Pyro, qui préférait visiblement faire impression a son coup que de rester sous sa manche, tout les murmures se turent.

Il détestait être regardé ainsi. C'était gênant. Ses armes étaient bien évidemment à leurs places et le manteau avait était recousu. Il n'avait rien de plus qu'hier soir. Peut être était-ce le loup qu'ils regardaient tous ainsi. Il s'assit à coté de Severus, comme la veille. Il n'y avait que lui qui ne le regardait pas avec gêne, dégoût ou mépris.

C'était bien beau de faire le brave et de jouer les durs a cuir mais il ne supportait vraiment pas le regard des autres. Il n'avait qu'une envie : partir. Ce qu'il fit avec fracas lorsqu'il s'avisa de tous les visages tournés vers lui.

Le loup qui lui n'avait pas compris le départ de son maître en vient a la même conclusion que Severus : c'était la faute des élèves. Comprenant ce que c'était que d'être regardé comme une bête de foire ils eurent la même attitude, l'un et l'autre se levèrent, toisèrent les élèves avec mépris et partirent à la recherche du jeune homme. Ils le trouvèrent assis près du lac, jouant avec son serpent. Ce garçon rappelait quelqu'un à Severus. Il lui était pourtant impossible de dire qui. C'était sûrement l'attitude à la fois timide, innocente, volcanique et menaçante.

L'aura noir qui l'entourait en permanence était plutôt rare. Comme quelque chose de profondément mauvais était terré au plus profond de l'âme de Gabriel. Il était bien plus qu'unique. Et vue de quel façon il avait terrasser le monstre d'y hier soir mieux valait qu'il soit un ami plutôt qu'un ennemi.

Vy - Melwim