L'amour version Rock

Un deuxième chapitre qui j'espère vous plaira toujours. Bonne lecture ! Laissez des com's sa fait toujours plaisirs !

Chapitre 2 : Neige et Phoenix

Le lendemain matin, les Griffondor avait cours commun de défense contre les forces du mal avec les Serpentards. Lorsque Sirius arriva avec James, Remus, Peter et Lily (Aurore étant en sixième année), il chercha des yeux Alyzée ce qui éveilla la curiosité de James qui cependant ne fit aucun remarque. Notre beau brun commença à s'inquiéter ne voyant pas Miss Harms. Il s'assit entre James et Peter, puis le cours commença. Alyzée ne se rendit pas au cours de défense contre les forces du mal, ni au cours commun de potion. Sirius espérait la croisée au déjeuner.

Quelque chose t'inquiète chéri ? lui demanda Aurore en l'embrassant

Nan sa va ? On va toujours ensemble à Pré au Lard ?

Si tu es sage !

Toujours ! Et puis je pourrais te faire plein de câlin et de bisou, dit-il en la chatouillant ce qui lui déclancha un fou rire

Ils furent interrompus par Franck Londubat qui leur raconta que d'après la rumeur Alyzée aurait été attaquée dans la forêt interdite et qu'elle serait à l'infirmerie pour soigner ses blessures. Lorsque Sirius l'apprit son cœur s'arrêta, il alla à contre cœur en cour d'histoire de la magie. Il se demandait si elle était gravement blessait, il avait un vide, un manque, pire que celui causé par le besoin de drogue. C'était pire, il avait le cœur lourd, emplie de question, de souvenirs, d'envie…envie sentir encore ses lèvres parfumés à la fraise sur les siennes, envie d'entendre sa voix pour faire vivre ses chansons, envie de voir ses yeux cherchait des réponses dans les siens. Il passa la journée à se torturer l'esprit. A la fin de la journée, il retrouva les Maraudeurs, Lily et Aurore dans la salle commune. Il s'assit prés de sa dulcinée, et lui caressa ses cheveux d'or et se rappela soudain :

C'est bientôt ton anniversaire, ma princesse, tu veux quoi ?

Toi, répondit-elle énigmatique, viens on va dans ton dortoir

Plutôt de fois qu'une

Il adressa un clin d'œil à James et Remus qui comprirent et lui rendirent son sourire.

Ils rentrèrent en s'embrassant, Sirius la coucha sur son lit, descendant de son cou vers sa poitrine

Sir', je t'aime, se sera dur l'année prochaine de pas te voir, te sentir. Il s'interrompit la regardant amoureusement, et l'embrassa pour la faire taire.

James et Remus discutaient pendant que Lily essayaient depuis une heure de faire comprendre à Peter comment réaliser son sort d'oubliette.

Vous en pensez quoi de cette histoire avec la nouvelle ? questionna James

C'est une Serpentard, c'est tout ! déclara simplement Peter

Elle est bizarre cette fille, elle cache quelque chose de pas clair

Elisa, la connaît, sa famille est une dés plus ancienne, elle descendrait des sorcières qui ont été brûlés à Salem, les informa Lily alors que Peter avait une fois encore failli lui crever un oeil

James et Remus se regardèrent comprenant visiblement ce qu'impliquait cette révélation

Ca peut pas être un phoenix ! l'incrédulité se lisait sur le visage de James

Sa m'étonnerait pas de Dumbledore

Oue, faudrait que je le dise à Sirius, marmonna James

Tu disais Corn' ?

Rien, rien, je me parlais à moi-même

Toujours aussi idiot toi, lui répliqua Lily taquine.

Les hostilités reprirent jusqu'à 10 heures, heure où les garçons frappèrent à la porte du dortoir. Sirius leur répondirent qu'il pouvait entrer sans peur de tomber sur un moment d'intimité.

Elle s'est endormi, les informa Sirius

Donc elle va dormir avec nous, déclara Remus plus sur le ton de l'affirmation que de la question, demain c'est samedi en même temps, pas de problème.

Aurore s'endormit dans les bras de Sirius, qui ne trouva pas le sommeil de la nuit pensant à Alyzée toute la nuit. Il regarda Aurore, elle l'avait aidée, sortit de toutes ses conneries, elle l'aimait plus que tout mais lui ? Lorsqu'elle l'avait embrassé pour la première fois, il avait répondu, il avait acceptait de sortir avec elle, par peur de la solitude peut-être, pour éviter de retomber dans la drogue, pour sentir que quelqu'un l'aimer, lui qui avait toujours était rejeter par sa famille mais l'aimé-t-il ? L'aube pointait derrière les rideaux tirés du lit, il descendit du lit, s'habilla à la hâte et se rendit à l'infirmerie, espérant sûrement trouver Alyzée. Il se trouvait dans le couloir menant dans l'antre de Madame Pomfresh lorsque la porte du fond s'ouvrit à la volée laissant apparaît Alyzée, des bleus sur le visage, un bandage à la main qui se dirigeait à grande enjambées vers Sirius. Elle lui sourit, mais ne s'arrêta pas pour autant, et passa devant lui. Il lui attrapa le bras, et la retourna vers lui

Comment sa va ?

Je pete la forme

Alors ma petite énigme ? le questionna-t-elle

Sa m'est sortit de la tête quand j'ai apprit que tu étais ici, il rapprocha son visage du sien, la pressant contre le mur

Fallait pas t'en faire pour moi ! Mais si tu n'a pas trouvé, tu ferais mieux d'aller retrouver ton Aurore, elle lui fit un clin d'oeil, l'embrassa rapidement puis partit en fredonnant la chanson que Sirius avait composait.

Sirius soupira, ne plus la revoir, mission impossible, il passa tout son temps à la bibliothèque oubliant même d'aller prendre son déjeuner. Ce fut Aurore qui le retrouva en premier.

Qu'est ce que tu fais là ? c'est pas toi qui trouvais que la bibliothèque c'était pour les abrutis ? le questionna-t-elle.

Alors je suis un abruti et c'est tout, répondit-il de mauvaise humeur de ne pas avoir trouver ce qu'était cette marque.

Tu cherches quoi ?

Elle tendit la main vers un livre qui était ouvert devant Sirius mais celui-ci le ferma brusquement. Il prit le reste des livres dispersaient sur la table et partit à grand pas. Aurore le regarda partit, une boule se forma au creux de son estomac…

Sirius se trouvait dans la tour d'Astronomie, il était en train de lire un livre intitulé « Les marques célèbres ». C'était le troisième et dernier bouquin qui lue en ce samedi ensoleillé. Il avait été dur avec Aurore, mais il avait parfois besoin d'être seule et elle pensait que c'était pour retrouver ses vieux démons. Il tourna la page de ce vieux bouquin poussiéreux, elle était consacrée aux phoenix qui possédaient une marque de naissance en forme d'oiseau… comme celle d'Alyzée, mais c'était impossible… les phoenix sont des sorciers sanguinaires qui ne veulent que se vengeait des moldus. D'après le livre, les phoenix étaient des descendants des sorciers brûlées vive pour sorcellerie. Au fil des années, ils étaient devenu l'élite, avide de sang et de vengeance, tuant n'importe qui. On les surnommées « Les tueurs de l'enfer ». Il avait presque tous était éradiqué les autorités pensant qu'il pouvait être dangereux. Ils avaient exécuté un bon nombre de moldus et de sorciers pour retrouver les auteurs des tueries passés. Sirius resta sans voix, ni réaction devant cette révélation. Cette fille était un phoenix !Avait-elle déjà tué quelqu'un alors qu'elle avait à peine 17 ans. Avait-elle put commettre ceci, tuer froidement quelqu'un. Etait-elle comme se nouveau mage noir, qui tuer tout les moldus et se faisait appeler Lord Voldemort. Comme elle, Alyzée, une fille si belle, si intelligente pouvait-elle tuer quelqu'un. Il n'en revenait pas.

Alors ça y est tu as découvert mon petit secret ! Alyzée se tenait contre la porte, les larmes aux yeux, sa main qui tenait la poignée de la porte tremblait, va-y, je t'en pris part, elle s'écarta de la porte pour lui laissait le passage.

J'ai pas l'intention de partir, je veux que tu m'expliques, pourquoi vous tuez des gens, je peux pas croire que tu aille tuer des gens.

Si j'en ai tuez et j'en tuerais encore, c'est dans ma nature.

Tu m'as pas racontez ta vie !

Toi non plus

Alors va-y

Il lui fit signe de s'asseoir à côté de lui, ce qu'elle fit. Après une profonde inspiration, elle raconta ce que Sirius voulait entendre :

- C'est du côté de ma mère que je suis un phoenix, elle s'appelait Elena, Elena Petrovka. Mon père, Oliver Harms est mort quand j'avais 2 ans. On habitués en Biélorussie prés de Lezna, elle est morte quand j'avais 4 ans, tuée par un Auror du ministère. Elle voulait pas que je deviennent un phoenix avide de sang, elle voulait que je vive parmi les moldus sans magie, elle pensait que si je vivais comme sa, je tuerais personne. Elle est morte avant que son rêve soit réalisé et il ne se réalisera jamais. C'est ma grand-mère Ladoga qui ma élevait dans la haine des autres. Pour elle, c'était mourir ou tuer Elle m'a enseignait l'art du tir, de combattre, elle a fait de moi un phoenix. A 15 ans, après sa mort, j'ai voulu retrouver le salop qui avait tué ma mère, j'étais emplie de haine et de vengeance. L'homme qui l'avait tué habitué en Angleterre, alors je l'ai suivie. J'ai rencontré Lucius qui le connaissait, il m'a aidait à le retrouvait et je l'ai tuer. J'ai était arrêté par le ministère et emprisonnait pour meurtre. Comme j'étais jeune, Dumbledore a pu prouver que j'avais pas conscience de se que je faisais. Il m'a convaincue de venir à Poudlard. Il m'a fait libérée, mais quand j'ai assassinée ce mec, j'étais heureuse, heureuse de voir l'homme qui m'avait enlevée ma mère. Heureuse peut-être de m'être vengé comme tout bon phoenix qui se ressemble je sais pas.

Les larmes avaient coulées le long de ses joues pendant qu'elle racontait son récit. Sa voix s'était brisée au fur et à mesure des mots qu'elle prononçait. Sirius la prit dans ses bras la laissant pleurer contre son épaule.

Je sais, je suis répugnante ! cria-t-elle avant de partir en courant sans que Sirius aille pu la rattraper. Il se laissa tomber dur une marche de l'escalier. Il aurait voulu la rattraper, il avait lu tellement de tristesse et de mal-être dans ses yeux qu'il aurait voulu la réconforter, lui dire que ce n'était pas grave que la vie parfois ne nous laissait pas le choix. Se mal-être, celui d'être rejeter, il le comprenait, il le comprenait trop bien, lui qui avait été rejeter par sa famille à cause de ses idées non-conforme, il les haïssait, mais c'était ses parents tout de même. Voir sa mère, se désintéressait de son enfant, c'était affreux, impensable, il l'avait vécu pourtant. Cette carapace avec l'a quel il se cachée, il jouait les mecs sur de lui, toujours le sourire, toujours le mec drôle qui aide tout le monde, parfois il avait envie de brisait cette carapace. Alyzée avait fait ressorti cette facette de sa personnalité. Il s'endormit, fatigué de sa journée. Il passa la journée du lendemain avec Aurore, il avait besoin de sentir que quelqu'un l'aimait. Il passèrent toute la matinée prés du lac, à s'amuser dans l'eau, à s'embrassait, se faire des câlins, se dirent des mots doux, puis ils allèrent dans la salle sur demande dans le couloir du septième étage. Ils parlèrent de tous et de rien, firent une bataille de polochon avant de s'endormir dans les bras l'un de l'autre. Aurore avait promis à Lily de passer la soirée ensemble pour parler de truc de fille, Sirius se retrouva donc seule dans la salle commune, James et Remus étant avec leurs dernières conquêtes tendit que Peter était en retenue pour être arrivées en retard. Il commença son devoir pour le cour de potion, mais il n'avait pas la tête à travailler, il avait envie de jouer de la guitare. Il monta dans son dortoir, prit la cape d'invisibilité de James, et sa précieuse guitare, puis il se rendit à la tour Nord de Poudlard. Lorsqu'il entra, il trouva Alyzée assissent sur le rebord de la fenêtre, grattant sa guitare et chantant :

Je marche lentement
Aucune direction, définie
Absence de gens
Qui me rappelleraient...que je vis

Et le temps qui s'écoule
Je suis comme saoûle
Ma solitude amère parmi la vie et la foule
J'attends, j'attends que les portes s'ouvrent
J'attends, figée dans un monde qui bouge

Les nuages pleurent
Ne pas regarder, en arrière
J'ai peur d'avoir peur
Plus avoir ma place sur la Terre

Une aiguille qui s'affole
L'espoir qui s'envole
Dans l'infini de l'espace et du vent qui m' rend folle

J'attends, j'attends que les portes s'ouvrent
J'attends, figée dans un monde qui bouge
Et dans la nuit qui passe
Il ne reste plus rien qu'un espoir au creux de mes mains
Les néons bleus m'ont éblouie trop longtemps, maintenant, et je m'enfuis

J'attends, j'attends que les portes s'ouvrent
J'attends, figée dans un monde qui bouge
J'attends qu'enfin s'allume la lumière
J'attends qu'un jour nos raisons s'éclairent

Et être enfin heureux, rouvrir mes yeux, demain tout ira mieux...

Il s'approcha, passa ses bras autour de sa taille, l'attira à lui,et l'enlaça comme un homme repêchait à sa bouée de sauvetage, il l'embrassa sur le front alors qu'une larme coulait sur la joue d'Alyzée.

J'ai envie de sortir

On peut aller à Pré au Lard si tu veux

Je veux bien

Je vais chercher quelque chose dans mon dortoir et on y va.

Il retourna dans sa chambre prendre la carte du Maraudeur, passa prendre Alyzée qui l'attendait et l'emmena vers la statue de la Sorcière Borne. Elle le dévisagea ne comprenant pas pourquoi il l'avait emmenait là

Secret de Maraudeur, répondit-il en découvrant le tunnel qui menait à Pré au Lard. Elle lui sourit, un sourire qui le fit fondre et sourire à son tour. Elle lui prit la main, s'assit à l'entrée du tunnel, et lui tira sur la main pour lui demander de s'asseoir derrière elle. Il l'enlaça, lui donna un baiser sur la tempe.

Je vais finir par croire que tu est amoureux de moi, dit-elle riant à moitié avant de lâcher sa main qui les retenait. Ils glissèrent jusqu'à la sortie du tunnel, pour arriver dans la cave de Honeydukes, ils s'étalèrent par terre, Sirius au dessus d'Alyzée. Il la regarda, lui caressa la joue tandis qu'elle lui donna un baiser sur le front. Sirius se rendit compte qu'il ne l'avait jamais entendu rire, pour réparer cette erreur, il la chatouilla déclanchant un rire cristallin presque enfantin de la part d'Alyzée.

Allez viens, on y va, lui dit-il après un moment.

Elle se leva et le suivit dans les rues désertes de Pré au Lard. Là, Sirius retrouva le sourire, ils firent une bataille de boule de neige en se mois de Décembre. Alyzée, ce cacha derrière un banc sous les projectiles lancés par Sirius qui riaient au éclat.

Alors on a peur de moi ? demanda-il, une boule de neige dans la main

Sache qu'un phoenix n'a jamais peur

On va voir

A ce moment là, elle surgit de derrière un arbre, sauta sur son dos et lui enfonça une boule de neige dans la tête, elle couru pour se mettre à l'abri d'un Sirius vengeur, elle tournoya autour d'un réverbère tandis qu'il approchait un sourire au lèvres. A cette instant précis il ne pu s'empêche de penser que c'était une petite fille qui avait grandit trop vite. Il s'approcha, écarta une mèche de ses cheveux qui lui couvraient le visage et l'embrassa comme si sa vit en dépendant, comme si c'était la dernière fois qu'il pouvait sentir ses lèvres sur les siennes. Ce parfum de fraise le rendait fou, fou d'elle, fou d'amoureux.

- J'ai envie de toi, Sirius, déclara-elle simplement en se défaisant de son étreinte.

Il l'a souleva et la porta jusqu'à un champ

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Chanson : Emma Daumas : J'attends extrait de l'album le saut de l'Ange.