Anne-Laure0617 : Précisément… c'est pour ça que je n'aime pas les chapitres de transition, mdr…
SusyBones : C'est vrai ? Merci ! Ah, la petite Shan… c'est bien une Gryffondor ! ;)
Claire : Que dire de plus que : « MERCIII » ? Euh, ouais, désolée pour le douzième… j'espère que celui-là te plaira plus !
Jennifer Guerin : Merci, mais faut pas crever de sommeil pour moi, LOL !
Note : Bon, là, j'en ai marre, j'avais presque fini ce chapitre à l'école et le PC a décidé qu'il faisait de l'humouuuur ! Grrrrr ! Problème : je me rappelais à peine de ce que j'y avais écrit. Cause : une journée de cours tuante. Solution : le repartir à zéro. Conséquence : ce fut long. Obstacle : mes autres fics, le manque de temps et aussi d'inspiration. Résumé/plaidoyer de l'auteur désemparée : excusez-moiiii ! Le chapitre 13 est vraiment maudit mdr…
Remarque : Ce chapitre se passe juste après le dernier.
Chapitre 13 : Le rituel
- Nous devons y aller nous-même, décréta Sirius.
- Et tu comptes y aller comment, à pied ? Mâh-Pao se trouve dans les montagnes les plus reculées de Chine, dois-je te le rappeler ? répliqua Lily.
- Ne le prends pas mal, mon cœur, mais c'est un raisonnement de Moldue, répondit aussitôt James. Nous pouvons transplaner.
- Dans un autre continent ? dit-elle, sceptique.
- C'est une question de concentration, intervint Patmol. On peut très bien le faire. De toute façon, moi, j'y vais. À vous de me suivre ou pas.
- Je te suis, dit immédiatement James.
- Je vous suis, soupira Lily alors que Sirius se levait déjà comme s'il s'était assis sur un ressort.
Suivi par les deux préfets de Gryffondor, il courut jusqu'à la statue borgne.
- Dissendium, murmura-t-il en la tapotant avec sa baguette.
Aussitôt, il se glissa dans l'ouverture, courant plus vite que jamais dans le couloir long et sinueux.
- Tu es en train de me dire, commença Shan, qui faisait maintenant les cents pas dans la grande pièce, que tu as passé tous ces mois ici, et que tu ne sais même pas le nom de cette cinglée ?
- Elle s'appelle Jane Jarvis, et tourner en rond ne te servira à rien. Shan, s'il y avait une sortie, tu ne crois pas que je l'aurais trouvée, depuis le temps ?
L'Asiatique cessa de marcher et se retourna vers Lee. Le jeune homme, calme comme toujours, était assis sur le sol, le dos contre le mur, une jambe repliée, l'autre étendue.
- Lee, comment peux-tu être aussi calme ? explosa la jeune fille. On est prisonniers d'une espèce de folle associée avec des disciples de Mâh-Pao, est-ce que je suis la seule d'entre nous deux à se rendre compte qu'on est dans la MERDE comme c'est pas possible ?
- Tu devrais essayer le yoga.
- C'est très drôle. Sincèrement, je suis morte de rire. Tu ne le vois peut-être pas, mais je suis pliée en deux.
- En fait, je suppose qu'après deux ou trois semaines, je me suis rendu compte que tourner en rond ne servait à rien d'autre qu'à user mes semelles de chaussures, répondit-il lentement.
- Tu veux dire que tu n'as pas tenté de t'échapper ?
- Si. Plein de fois, mais je n'ai jamais pu aller bien loin.
- Comment tu faisais ?
- Au début, j'essayais de sortir quand ils ouvraient la porte pour venir me donner à manger. D'habitude, ils m'en empêchaient très facilement. Mais j'ai réussi, une fois. Un gros coup de chance. Sauf que, comme je te disais, je ne suis pas allé bien loin. Ils sont vraiment nombreux, beaucoup plus que je pensais.
- Et après ? demanda Shan en s'asseyant à côté de lui.
- Une fois, quand cette folle est venue me voir – elle fait ça souvent, tu sais ? – j'ai fait semblant d'avoir un malaise. J'étais sûr d'être conduit à l'infirmerie, vu qu'elle ne voudrait surtout pas qu'il nous arrive quelque chose. Mais elle n'a pas été dupe. Ça l'a rendu complètement folle. Crois-moi, Shan. La colère de cette femme est terrible. On a de la chance qu'elle soit contrainte de nous garder en vie pour le rituel, parce qu'on ne ferait pas de vieux os.
- Comment est-ce qu'elle peut être au courant ? Même les autres à Mâh-Pao ne savaient pas ce qu'on était. C'est un secret perdu depuis des siècles.
- Je n'en ai aucune idée, répondit Lee en haussant les épaules. C'est si important de savoir comment ?
- Je suppose que non.
Pendant que les deux amis faisaient le point – et que Shan retrouvait son calme – Jane Jarvis faisait face à ses hommes, une vingtaine en tout, tous habillés de noir. Ils la regardaient avec le plus grand respect alors qu'elle faisait les cents pas devant eux, ses talons aiguilles faisant écho sur les murs de l'immense pièce qu'avait été la bibliothèque.
Le respect et la crainte de ces hommes devant cette femme étaient parfaitement explicables : les gens ont tendance à respecter les personnes qui paient bien et à craindre celles qui peuvent mettre un terme rapide à leur vie. Jane Jarvis faisait bien entendu partie de ces deux catégories.
- Laissez-moi résumer notre situation, qui est, je trouve, légèrement contrariante. Vous venez de me dire que bien que vous ayez tous passé neuf longues années à étudier dans cette école, aucun de vous n'a jamais vu le sceau laissé par Ling et Mayu ? lança-t-elle en se retournant vers la petite troupe, faisant voler ses boucles aux reflets dorés. Vous vous moquez de moi. Dites-moi que vous vous moquez de moi, sinon, je sens que je vais m'énerver.
- Nous n'oserions pas, répondit l'un d'entre eux timidement.
- Mais merde, c'est une ÉCOLE ! Elle n'était pas si grande que ça, bon sang !
- Vous avez raison. Mais Ling et Mayu se tenait à un endroit défini, dos à dos, et l'école s'est bâtie autour d'eux. Le sceau est donc au sous-sol, et personne n'allait jamais là, répondit un homme, qui se sentait visiblement d'humeur téméraire. Même les professeurs l'évitaient. Il y avait plein d'histoires bizarres sur le sous-sol de Mâh-Pao, et en plus, c'était interdit.
- Je crois même que l'entrée était condamnée, avança un autre, hardi.
- Et bien que faites-vous là, planté comme des abrutis que vous êtes ? Partez à la recherche du sceau, le temps presse ! TOUT DE SUITE !
Ils s'empressèrent d'obéir sous le regard furieux de leur patronne. La femme respira profondément et claqua des doigts, ce qui la fit dans une petite explosion qui produisit un peu de fumée grise. Une autre faible explosion, et elle apparut dans la pièce où étaient enfermés les Joyaux.
- Shan, non !
La fumée n'était pas encore dissipée lorsque Jane fut « accueillie » par un double coup de pied au ventre, qui la fit tomber à la renverse. Aussitôt, la sorcière réagit et fit tomber Shan – car, bien entendu, c'était la fougueuse Asiatique qui l'avait frappée – sur le sol avant de se jeter sur elle pour la maintenir au sol. Avec un sourire, elle regarda le symbole sur le poignet de la jeune fille. « Maintenant » disait l'encre noire.
- Je vais te dire quelque chose, ma petite, lança-t-elle d'un ton hargneux. C'est aujourd'hui. Mes hommes cherchent le sceau et ils ne tarderont pas à le trouver. Ce n'est qu'une question de minutes, peut-être d'heures, avant que l'un d'eux ne vienne me dire qu'ils l'ont trouvé. Il me reste presque vingt-quatre heure pour vous saigner. C'est bien plus de temps qu'il ne m'en faut. Alors aujourd'hui, vous mourrez. Et en ce qui te concerne, ça me fera immensément plaisir.
Shan-Rhâ poussa un juron en anglais. Moqueuse, Jane Jarvis agita un index sous le nez de la sorcière à la chevelure d'ébène.
- Ce sont les Britanniques qui t'ont appris ça ? Je m'en souviendrai la prochaine fois qu'un buveur de thé me dira que les Américains sont grossiers.
Avec un sourire mesquin, elle se releva et s'éloigna alors que Lee aidait Shan à se relever.
- Comment pouvez-vous savoir ? demanda Shan avec un regard haineux. Comment pouvez-vous savoir tout ça à propos de nous ?
- Mais que voilà une vilaine petite curieuse. Je suis sûre que vous devez être une Gryffondor, à Poudlard.
- Et vous, vous étiez quoi ? Une Serpentard ?
- Je n'étais rien du tout, puisque je n'étais pas à Poudlard, répliqua Jane en lissant les plis de sa robe rouge sang. J'étais à l'Institut des Sorcières de Salem. La section interdite de la bibliothèque m'a appris bien des choses sur le pouvoir… et la façon de l'obtenir. L'histoire de Ling et de Mayu fut celle qui m'intéressa le plus.
- Pourquoi ? demanda Lee.
- Premièrement, parce que c'était elle qui parlait du plus grand pouvoir, selon mes estimations. Deuxièmement, après des calculs et des recherches, je me suis rendue compte que ce fameux jour où le pouvoir pouvait être libéré, j'allais non seulement être forcément encore en vie, mais encore jeune.
Elle eut un léger rire, apparemment très satisfaite.
- Vous rendez-vous seulement compte du fait que la plupart des gens se contentent de rêver de pouvoir, et que, grâce à votre aide, moi, moi, MOI, j'y arriverai ? Je serai jeune, belle, riche et incroyablement puissante… comment rêver mieux ?
- Hé bien, je rêve de vous voir transformée en asticot et de pouvoir vous écraser sous mon pied, répliqua Lee avec calme. Chacun ses aspirations.
- L'école est immense, lança la préfète-en-chef. Et partiellement en ruines. Qu'est-ce qui vous fait croire que vos hommes peuvent trouver le sceau à temps ?
- D'abord, ils sont nombreux. Ensuite, nous savons de quoi a l'air le sceau. Et, enfin, nous savons dans quel secteur il est.
Il y eut le « boum » d'une petite explosion et un des hommes apparut dans la pièce.
- Quoi ? demanda Jane en se tournant vers lui.
- Nous l'avons trouvé, annonça-t-il d'un ton fier. Nous avons trouvé le sceau.
La cruelle femme se retourna vers les deux adolescents en arborant un sourire victorieux.
- Vous voyez que je suis bien entourée, mes petits ? murmura-t-elle. Va chercher les autres, ordonna-t-elle à l'homme, qui disparut aussitôt.
Lorsqu'il revint, il était accompagné de la moitié des hommes de Jane. La ravissante femme s'avança vers les deux jeunes gens.
- Si vous tentez de vous battre ou de fuir, menaça-t-elle, je vous promets que vous verrez que vous pouvez souffrir atrocement sans perdre une goutte de votre précieux sang.
Deux hommes empoignèrent Shan par les poignets, sans délicatesse aucune. Lee subit le même sort et, escortés des autres disciples et de l'Américaine, ils sortirent de la pièce. Ils traversèrent l'école dévastée en silence, l'appréhension et la crainte des deux Joyaux grandissant au fur et à mesure que croissait l'excitation de la sorcière assoiffée de pouvoir.
Le trio de la maison de Godric se hissa hors de la trappe. Lily sortit en dernier, aidée par James.
- C'est le sous-sol d'Honeyduke, ou quoi ? murmura la fille de Moldus en voyant les caisses de friandises qui les entouraient.
- Précisément, répondit Cornedrue en refermant la trappe.
Il y eut un discret « crac ». Sirius venait de transplaner.
- Tu crois qu'il a réussi ? demanda Lily.
- Il n'y a qu'un moyen de le savoir, répondit le jeune homme avec un léger sourire aux lèvres.
Lily ferma les yeux et se concentra de toutes ses forces sur l'ancienne école de sa meilleure amie. Elle se sentit emportée, puis…
- J'y crois pas, ça a marché ! s'écria-t-elle en les voyant à proximité de l'école dévastée.
- Ok, elle est là-dedans, fit remarquer James. Comment on la trouve ?
- C'est un boulot de chien, ça, mon pote, lança Sirius avec un clin d'œil.
Les hommes, leur patronne et les deux prisonniers traversèrent le hall en ruines, passa une porte qui avait été arrachée de ses gonds et descendit un escalier de pierres poussiéreuses qui semblait ne pas avoir été emprunté depuis des siècles (« D'ailleurs, c'est probablement le cas » se dit Shan) et marchèrent pendant un moment dans le sous-sol, sombre, froid et inquiétant, de Mâh-Pao.
- Maintenant, je vois pourquoi on n'était pas sensés venir ici, lança Lee d'un ton anodin, comme si ce qui l'entourait lui apparaissait particulièrement ennuyant. C'est moche.
- Parle et geins tant que tu le peux, répliqua Jane d'un ton glacial. Bientôt, tu ne pourras plus dire quoi que ce soit.
- Il est ici, annonça l'homme qui les guidait.
- Comme si on ne pouvait pas deviner, rétorqua Shan en levant les yeux au ciel.
- La ferme !
La voix de la femme chancelait sous l'effet de son excitation et de sa fébrilité alors qu'elle s'approchait du sceau. Avec un respect que ses hommes ne lui connaissaient pas, elle s'accroupit près de lui, le caressant doucement, appréciant le contact froid et métallique contre la paume de ses mains, effleurant les symboles chinois de ses doigts fins aux ongles manucurés. Enfin.
Enfin une preuve tangible que la légende n'était pas une légende, mais une réalité. Jane ferma les yeux, comme en transe, pour mieux ressentir les faibles vibrations qui témoignaient de la puissance renfermée dans ce sceau. Une puissance qu'elle allait bientôt libérer et posséder…
Sirius, dans sa forme canine, leva le museau en air, reniflant autant qu'il le pouvait. Et c'est ce moment qu'il la sentit. S'il avait pu sourire, il l'aurait fait : l'odeur était tellement claire que c'était comme si on lui avait balisé le chemin avec d'énormes flèches rouges. Shan était en vie… et elle avait peur. Patmol s'élança, suivant la piste que lui donnait son odorat de chien. Après avoir échangé des regards perplexes, les deux autres le suivirent.
- Approchez-les du sceau, ordonna la femme aux yeux verts en se redressant.
Puis, elle se mit au centre du sceau magique alors qu'on plaçait Shan face à Lee. Un homme tenait fermement la jeune sorcière par derrière, alors qu'un autre, un poignard en main, lui tenait le poignet au-dessus du sceau. Lee était dans la même position pour le moins fâcheuse qu'elle et les hommes restant entouraient le sceau.
- Le garçon d'abord, ordonna Jane, se délectant de la situation au possible. Il m'embête depuis des mois…
Le jeune homme retint une exclamation de douleur lorsque la lame lui entailla le poignet. Le sang commença à couler, tombant sur le sceau. Un à un, avec une lenteur incroyable, les symboles se mirent à briller.
- La fille, maintenant.
Shan tenta de se libérer, mais en vain. Elle se croyait perdue, jusqu'à ce qu'elle l'entende. Un aboiement. Un seul et unique aboiement de chien.
- Qu'est-ce que… commença Jane en se retournant.
N'osant pas y croire, Shan releva la tête, et son regard s'illumina.
Il était là, aussi incongru et improbable que ça puisse paraître. Un gros chien noir. Sirius. Il sauta, faisant tomber plusieurs hommes en atterrissant.
- Laissez le chien ! cria l'Américaine assoiffée de pouvoir. Occupez-vous de la fille, coupez la fille ! AH !
Elle hurla de douleur lorsque les crocs de Sirius se plantèrent dans son mollet. Shan profita de la pagaille pour donner un puissant coup de pied à l'entrejambes de l'homme qui tenait le poignard, avant de se dégager de l'autre. Elle se précipita vers Lee, qui était tombé avec les disciples de Mâh-Pao sur lesquels Sirius avait atterri.
- Transforme-toi, murmura-t-elle en s'accroupissant près de lui. Transforme-toi et vole loin d'ici.
Pour une fois dans sa vie, Lee décida d'obéir à Shan : il y eut un « pop » et un corbeau remplaça l'Asiatique. L'oiseau aux plumes de jais s'envola à tire-d'aile.
- EXPELLIARMUS ! hurla une voix féminine, une voix que la Vietnamienne connaissait bien et qui n'avait rien à faire ici.
- Lily, mais qu'est-ce que tu fiches ici ? cria-t-elle en voyant son amie, accroupie pour offrir une cible moins grande, un genou en terre pour assurer son équilibre, faire effectuer un vol plané à un homme.
Elle courut pour la rejoindre, passant à un cheveu de percuter James au passage.
- D'où est-ce que vous sortez ? s'écria-t-elle.
- À quoi servent des amis, sinon à te sauver d'une cinglée assoiffée de pouvoir ? répondit Lily d'un ton dégagé alors que le préfet envoyait valser un sorcier qui s'approchait d'eux.
- On se tire, ordonna le jeune homme. SIRIUS, amène-toi !
Jane Jarvis sentit une secousse sous elle, et elle baissa le regard sur le sceau.
- Oh, merde…
Elle avait oublié quelque chose de fondamental. Le chien noir, en la mordant, avait fait couler son sang, qui était tombé sur le sceau. Celui-ci avait reconnu qu'un second sang avant été versé… mais pas le bon. Et il allait le rejeter. Il allait tout rejeter.
- ON FICHE LE CAMP ! hurla-t-elle en s'élançant sur le sillage du jeune quatuor.
Mais elle avait réagi trop tardivement : alors que les adolescents étaient en train de gravir les escaliers, il y eut une seconde secousse, beaucoup plus forte, qui fit tomber du plafond des morceaux de pierres : elle cria, mais ne put les éviter.
La troisième secousse, encore plus puissante, fut davantage une explosion qu'une secousse, et arriva alors que les quatre Gryffondor sortaient du hall. Elle fut si forte qu'ils furent projetés dans les airs, atterrirent douloureusement dans l'herbe et y roulèrent sur quelques mètres.
- Vous croyez qu'ils ont survécu ? demanda James, inquiet, en se relevant douloureusement.
- On s'en fiche, décréta Shan en faisant de même, tout aussi péniblement. Le sceau a été détruit. Ils n'en ont plus rien à faire de moi.
Sirius se redressa et serra la jeune fille dans ses bras, infiniment soulagée de la voir indemne.
- Tu es sûre que tu vas bien ? interrogea-t-il, inquiet.
- Je vais parfaitement bien, assura-t-elle. Tu es arrivé juste à temps.
- Qu'est-ce que vous diriez de rentrer chez nous ? suggéra Lily alors que Patmol embrassait la Vietnamienne sur le front.
- On se retrouve à Honeyduke, alors, lança James avant de disparaître.
Il fut très vite imité des trois autres.
- Vous savez quoi ? lança Sirius, qui apparut en dernier dans la confiserie, grouillante de monde, comme toujours. Tout ceci mérite un tour aux Trois Balais !
Il fut approuvé aussitôt par ses trois camarades. Laissant de côté le fait qu'ils étaient sensés aller en cours, les quatre étudiants passèrent la journée ensemble, à Pré-au-Lard.
Ils auraient tout le temps de se faire du mauvais sang pour les ennuis le lendemain…
Le mot de la fin, la vraie de vraie : Voilà ! Je déteste mes fins, mais là, je suis vraiment pas objective, parce que j'aime jamais mettre fin à un récit… lâchez une tite review svp, même si j'ai terminé et que je vous ai fait attendre des mois, ça me ferait énormément plaisir :D
