Chapitre 4 :

Le colonel n'en pouvant plus l'embrassa aux diables les représailles

Riza sentit qqch. d'humide sur la bouche, qqch. d'ailleurs d'assez agréable, elle ne réfléchissait plus trop, son cerveau était embué, alors elle se laissa aller à cette douce étreinte. La langue du colonel s'insinua dans sa bouche et commença à danser avec celle du lieutenant. Le dit lieutenant qui se réveilla et repoussa de toutes ses forces son colonel.

- colonel, dit Riza sur un ton furieux

- quoi ?

- vous avez profité de la situation

- ba vous aviez l'air d'aimer non ?

Mauvaise réponse, Riza chercha son pistolet et le trouva, miraculeusement (enfin grâce a moi) elle commença ca donc à tirer sur son colonel qui s'enfuyait en courant. Finalement ils s'arrêtèrent tout les deux essoufflés, le colonel s'excusant immédiatement et le lieutenant furieuse mais un peu calmée. Lorsqu'il trouvèrent a manger, ils rentrèrent a la cabane.

Une fois sec, ils mangèrent en silence. Le colonel en ayant marre de ce lourd silence, prit la parole :

- bon Riza il faut qu'on parle

- je n'ai rien à vous dire

- il faudra bien pourtant, je suis désoler j'ai profiter de la situation tout a l'heure

- ba voila il suffisait de s'excuser

- mais sachez que si c'était a refaire je le referais, dit il en la regardant intensément

Elle se sentait troubler par ce regard, bien sur qu'elle avait apprécié ce baiser et même cette situation rester seule avec lui que rêver de mieux mais il était son supérieur et surtout sa réputation de coureur de jupon n'était plus à faire.

- j'accepte vos excuses mon colonel mais ne recommençais plus

- ne compte pas sur moi je t'aurais, je te veux et je ne veux que toi.

Ils firent la vaisselle (bizarrement il y a l'eau courante Lol) et puis ils allèrent se coucher.

Riza tourna le dos au colonel, elle commençait a s'endormir lorsqu'elle sentit deux bras l'entourer

- colonel je vous dit quoi ?

- désolé mais j'ai froid, et il n'y a pas beaucoup de moyen de se réchauffer.

- Profiteur

Le colonel ne rétorqua rien dans un sens c'était vrai mais il avait quand même froid même s'il collait un peu beaucoup le lieutenant.

- pas de si près colonel, dit elle en sortant un de ses flingues

- je voudrais bien savoir d'où vous les sortez ?

- pff bonne nuit

- bonne nuit Riza, lui murmura il dans l'oreille

Celle-ci frissonna a cause de la proximité mais aussi a cause du son grave et sensuel que dégageait sa voix.

Roy mustang, fier de l'effet produit, la serra davantage, sous les reproches de celle-ci, mais il prétexta avoir sentit qu'elle avait froid, Riza ne dit lui rien et rougit.

Ils s'endormirent rapidement tout les deux.

Le lendemain, Riza se réveilla en premier (ba ouais la colonel c'est un faignant comme moi Lol) elle ouvrit les yeux et vit a 2 millimètres, le visage de Roy, elle sentit le rouge lui monter aux joues, elle voulut se retourner mais il la tenait fermement. Elle ne pouvait plus rien faire, elle commença à le regarder, qu'est ce qu'il était trognon quand il dormait, Riza lui enleva une mèche qui lui barrait le visage. Le colonel poussa un grognement et ouvrit les yeux rencontrant ceux de Riza. Il lui sourit, un de ses sourires charmeurs qu'il savait si bien faire.

- ne pas succomber, ne pas succomber, ne pas succomber, se disait Riza

- bonjour lieutenant, dit il en la regardant droit dans les yeux

- bonjour pouvez vous me libérer ?

- non pas tout de suite, peut être dans quelques heures

- colonel SVP ne commençait pas, dis Riza d'un air menaçant

- SVP Riza laisser moi profiter de votre charmante compagnie, vous n'êtes pas bien dans mes bras ? lui murmura t il a l'oreille

- Non tu ne dois pas lui rouler une pelle contrôle toi ma fille la n'est pas la question mais il faut bien se lever.

- Pfffffff non dodo

Il mit sa tête dans son cou, resserrant encore ses bras autour d'elle.

- colonel, dormez si vous voulez mais moi je dois me lever

- non vous un bon oreiller et en plus j'adore votre odeur

La blonde rougit au plus au point puis elle sentit une légère pression dans son cou.

- qu'est ce que vous faite ?

Il était en train de l'embrasser dans le cou, il s'arrêta pour lui répondre

- j'en ai marre de jouer au chat et a la souris pas vous ?

Elle ne répondit pas trop abasourdi par la réponse. Il continua donc de l'embrasser. Riza n'en pouvait plus elle sentait la langue de son colonel léché les moindres recoin de son cou, en laissant quelques suçons par ci par la. Une de ses mains caressait son dos la faisant frémir.

- SVP arrêtez, dit la blonde à bout de souffle

Il arrêta et la regarda droit dans les yeux

- et si moi je n'avais pas envie d'arrêter

- et bien vous allait le faire car je voudrais bien me lever

- et alors ?

- et alors je risque fort d'utiliser la force

- n'en avez-vous pas marre de me résister

- vous êtes vraiment un sale macho, prétentieux qui ne sait vraiment pas embrasser

Avec cette dernière phrase elle était quasiment sur qu'il la lâcherait malheureusement pour elle :

- ha oui j'embrasse mal ? elle va bien voir que j'embrasse divinement bien

- très mal, maintenant veuillez me lach…

Il l'embrassa avec toute la tendresse donc il pouvait faire preuve. Mais elle le repoussa, ok il embrassait super bien mais ce n'était une raison pour qu'elle se laisse faire. Il se prit une baffe monumentale et sous le choque la lâcha.

Elle se leva et alla dans la salle de bain. Une fois finit elle mangea en silence et fit la vaisselle. Encore une fois, elle sentit des bras l'entourer, elle allait crier mais Roy la devança en paroles et lui dit :

- excuse moi Riza mais tu me rends fou

Le dites Riza piqua a nouveau un fard, lorsqu'elle flaira quelque chose d'anormal. Puis elle plaqua le brun a terre, même pas 2 seconde après un coup de feu retentit.

Fin du chapitre 4

Gros bisous. Rukiaron. Faites péter les comms svppppppppppppp