Chapitre 7 :
Quand le lieutenant s'éveilla elle était seule dans son lit, elle se leva pour voir Roy devant le feu entrain de réfléchir. Elle s'approcha de lui en lui demandant :
- ca va ? Tu as l'air ailleurs
- oui je pense seulement qu'il faudrait trouver un moyen de rentrer et d'éliminer le général.
- Hariku n'avait il pas un portable ? demanda la blonde (note de moi : on va dire que ca existe)
- Tu sais que tu es un génie, dit il avec un sourire
Riza alla chercher le portable quand Roy la retiens par la main.
- tu sais ce que je t'ai dit avant qu'on soit attaquer c'était vrai, je n'ai jamais ressentit ca pour une autre femme
- quand nous serons rentrés, tu vas devoir oublier ce sentiment, nous sommes dans l'armée, nous ne pouvons pas, je ne veux pas briser nos carrières, annonça-t-elle
- il n'y a que ta carrière qui t'intéresse ? je ne peux pas oublier du jour au lendemain que je t'aime
Troublée par cette déclaration Riza ne dit rien, Roy la tira vers lui pour la prendre dans ses bras, puis il l'embrassa. Au début, passive, la tireuse l'embrassa passionnément. Depuis le temps qu'elle attendait cette déclaration. Le brun la serra plus fort contre lui. Leur sentiments (note de moi : et surtout moi) les poussèrent jusqu'au lit. Délaissant les lèvres, Roy alla explorer le cou de sa bien aimée. Celle-ci avait complètement oubliée ses résolutions et se laissait totalement aller aux baisers et caresses de son amant qui la faisait fondre. Déconnecté de la réalité. La blonde entreprit d'enlever la chemise du brun, puis se mit sur lui en lui disant d'un air dominatrice : « j'aime pas être passive », ce qui fit rire Roy : « je sens que je vais pas m'ennuyer ».
2 heures plus tard :
Nu dans les bras l'un de l'autre, Riza se demandait s'il y aurait du, car une fois au Qg ils ne pourraient faire comme bon leur semblait.
- tu regrettes ? demanda The fire alchémist
- tu sais bien que non
- mais tu te poses des questions sur notre retour.
- Oui.
- Ne t'en fais pas tant qu'on est ensemble on risque rien.
Que dire devant une telle déclaration d'amour, ils s'aimaient qu'est ce que ca pouvait bien faire a l'armée après tout il avait peut être raison. Rassurer le lieutenant se leva et s'habilla.
- tu fais quoi ? demanda le brun
- faut bien rentrer non
- tu pourrais rester un peu plus longtemps avec moi
- j'ai toute une vie pour rester avec toi dans un lit.
- dis comme ca !
Elle alla chercher le téléphone et composa le numéro du bureau.
- allo vous êtes bien au quartier général de central
- havoc c'est le lieutenant Hawkeye
- lieutenant vous allez bientôt rentrer ?
- ba justement on est coincé, notre voiture n'a plus d'essence, vous pouvez venir nous chercher.
- Oui nous arrivons vous êtes où ?
- A une centaine de kilomètre de notre point d'arrivée, vous verrez la voiture en panne vous continuez pendant 10 km en direction du nord et vous arriverez a une petite maison nous sommes la, je vous préviens il y a une tempête de neige.
- Pas de problème, on sera la demain.
- Au revoir havoc
- Au revoir lieutenant Hawkeye
Elle retourna dans la maison et reporta à son colonel la conversation.
- très bien, dit celui ci, maintenant pour coincée le générale il suffit de faire parler le prisonnier.
- Oui mais personne ne croira un criminel qui accuse quelqu'un d'important comme un générale.
- Ne t'inquiète pas mon ange, j'en fais mon affaire, annonça-t-il en l'embrassant
- J'espère que tu sais ce que tu fais.
Roy alla dans la salle de bain, et réveilla le malfrat.
- tu sais que tu risque gros pour avoir attaquer un militaire, dit Roy
- je sais mais le général m'a promit de m'aider
- et tu le crois il va faire passer sa carrière avant tout, tu n'es qu'un point dans son jeu.
- Qui me dit que tu dis la vérité ?
- Réfléchit ton cher général n'a plus de nouvelles de toi et pourtant personne n'est venu te libérer, tu t'es fait avoir mon gars.
- Et tu veux quoi ?
- Parles dis moi tout ce que tu sais et devant un juge tu fera la même chose, en plus il nous faut des preuves, tu dois sûrement en avoir.
- Et en échange j'aurais quoi ?
- Une remise de peine, peut être même que tu seras libre. (ouais enfin fo pas rêver non plus)
- D'accord, le général est un homoculus mais il n'est pas le plus puissant, ils ont un chef, dante je crois. Et ils veulent la pierre philosophale.
- D'accord et comment je fais pour le coincer ?
- Le portable on verra que j'ai fait plusieurs fois son numéro.
- Bradley n'est pas assez stupide pour que tu composes le numéro de son bureau, ca ne marchera pas.
- J'ai plusieurs documents sur toi et ta jolie lieutenant, ils sont confidentiels. Seul un général pourrait les sortir
- Il fera croire qu'on lui avait volé
- Dans ce cas je sais ce qu'il reste a faire, tout les homoculus ont une marque, enlève lui son cache œil et tu verras.
- Son cache œil ?
- Oui, la tu es sur de le coincer.
- Merci pour ta coopération.
Et il le laissa.
- alors ? demanda Riza
Il ne répondit pas et la prit dans ses bras en l'embrassant
- on va pouvoir s'en débarrasser.
Cette fois ci c'est elle qui lui sauta dessus en l'embrassant, puis elle poussa un gémissement de douleur. Elle avait un peu trop brusque pour son bras.
- tu as encore mal ?
- oui un peu.
- Viens dans mes bras je vais de réparer.
Apres une séance de câlinage, ils allèrent manger.
Le lendemain le lieutenant havoc arriva et ils purent repartirent, le procès de hariku eut lieu la semaine suivante, le général fut arrêter et Roy passa général.
2 mois plus tard, Riza entra dans le bureau de son général préférer.
- ma chérie tu viens me rendre visite, dit il en l'embrassant
- Roy j'ai quelque chose a te dire, annonça t elle en baissant la tête
- Il s'appelle comment, demanda tristement le brun
- justement je ne sais pas comment l'appeler je ne sais toujours pas si c'est une fille ou un garçon
- De quoi tu parles ?
- Roy je suis enceinte de toi
- C'est génial, dit il en la prenant dans ses bras et en la faisant tournoyer, je t'aime
- Moi aussi je t'aime.
- Il s'appellera Roy junior
- Non c'est trop laid
- Comment ca c'est trop laid ?
- C'est pire que robert, se moqua t elle
- Tu vas voir si c'est pire que robert.
Et il l'embrassa furieusement, avant de l'allonger par terre.
- Roy ?
- hum
- tu devrais peut être fermer la porte !
- oups.
FIN
Voila c'est fini j'espère que vous avez aimez la fin. Moi je me suis bien amuser a la faire cette fic et j'en une autre dans la tête. Je vous remercie pour tous vos encouragements.
Gros bisous
Rukia-san.
