Coucou tout le monde, me revoila avec un châpitre qui aura mis du temps a venir et je m'en exuse (ayez pitié... TT). Non, en vérité j'ai un peu la flemme d'écrire en ce moment, les vacances, le soleil... puis je passe toute mes journées dans un club d'équitation alors ca arrange pas les choses. En tout cas, bonne lecture de ce quatrième châpitre en espérant que le prochain soit plus rapide (c'est pas sure...).
Reviews
Roxane1: Chouette, je suis pas la seule a éprouver des sentiments répulsifs envers cette fille... Chez moi, toute les personnes à qui j'ai fait lire le mangas l'aime bien TT... Enfin bon, le plus important, c'est que mon Chiaro y meurt pas! (Je vais prier tous les jours pour que ca arrive pas...non, je dérive lol.) Elle peut lui faire tout ce qu'elle veut, mais pas le tuer. (Mais il me semble avoir lu quelques part spoiler si se révèle exact qu'il allait bien mourir a la fin... vu l'auteur, ça m'étonnerait pas d'ailleurs). Pour ce qui est de la continuation, je me fait pas de souci, y en sont déjà à dix tomes au japon, et la série n'est toujours pas terimné (je sens que je vais m'arracher les cheveux sur cette série). Mais j'aimerai juste qu'on arrête de décaler les dates de parutions en France...
Para-san: Je crois pourvoir dire sans trop m'avancer, que ça va en effet se terminer en yaoi. Déjà, rien qu'a voir les précédents de l'auteur, on le devine aisaimment, et tu verra qu'au cour de ta lecture, plusieurs "indices" son dicéminé dans les tomes.
Les quelques heures qu'il restait avant le départ de Chiaro passèrent trop lentement au goût de ce dernier, et bien trop vite au goût de César. Il avait beau connaître les compétences du jeune homme, il n'arrivait pas à se débarrasser de ce sentiment d'inquiétude qui envahissait son être au fur et à mesure que les heures s'écoulaient.
En milieu d'après midi, les deux amants empruntèrent un des nombreux passages secrets qui menaient hors du château. La lumière du soleil les éblouis lorsqu'ils sortirent du tunnel après de longues minutes de marche, et ils durent s'immobiliser quelques instants.
Une fois leur vus retrouvé, ils continuèrent leur route en direction de l'endroit où était attaché les chevaux. César observait son compagnon marchait à quelques mètres devant lui. Le soleil se reflétaient dans ses cheveux blonds, et il semblait absorbés ses moindre rayons.
César soupira. Décidemment, il était fait pour être libre, vivre dans ce monde de lumière et de clarté… alors que lui continuait son inéluctable descente en direction d'un monde gouvernait par la folie et les ténèbres. Et plus que tout, la peur d'entraîner cet ange avec lui, de le rendre prisonnier d'un monde où il n'avait pas sa place…
-"César?"
Perdu dans ses pensées, il ne s'était pas rendu compte qu'il s'était arrêté de marcher et avait laissé Chiaro s'éloigner. Ce dernier s'était retourné et revenait vers lui avec une expression inquiète.
-"Qu'y a-t-il?" demanda t'il.
-"Ce n'es rien, j'étais juste en train de réfléchir".
-"Tu réfléchis trop!" s'exclama Chiaro sur un ton moqueur.
César lui lança un regard faussement vexé que Chiaro ignore avant de lui empoigner le bras et le forçait à avancer. César se laissa faire en pensant que son amant avait sans doute raison.
Ils arrivèrent enfin à l'endroit où se trouvaient les chevaux, dans le centre d'une forêt. Celui de Chiaro était sellé. Il s'apprêtait à mettre le pied à l'étrier lorsque deux bras s'enroulèrent autour de sa taille. Le blond lâcha son cheval et se cala dans l'étreinte de son partenaire. César cala sa tête sur l'épaule de Chiaro.
-"Je t'en prie… fais attention." murmura t'il d'un ton presque suppliant.
Chiaro se retourna pour lui faire face, il n'était pas habitué à le voir s'inquiéter à ce point. Il lui sourit et posa une main sur son visage.
-"Cela ne te ressemble pas de t'inquiéter autant pour quelqu'un."
César baissa la tête, échappant au regard de son amant.
-"Je…"
-"Tu n'as pas à t'inquiéter, je t'assure qu'il ne m'arrivera rien." argumenta Chiaro du ton le plus rassurant possible. "Je serai revenu demain dans la matinée."
César resserra son emprise, comme s'il avait peur qu'il ne disparaisse subitement. Chiaro posa sa main sur son front et lui releva la tête. Il eut un mouvement de surprise en constatant que les yeux du brun étaient brillants, et dans lesquelles on pouvait distinguer aussi bien de l'inquiétude que de la peur.
-"Fais moi confiance." lui dit-il dans un souffle.
César l'observa quelques instants, perdu dans l'éclat si pure de ses yeux. Un mince sourire se dessina sur ses lèvres.
-"Si tu n'es pas revenu à l'aube… je viendrai te chercher…"
Chiaro sourit en entendant ces mots, un sourire franc. Il approcha son visage de celui de César et posa doucement ses lèvres sur les siennes. Le brun se laissa faire, profitant de cet instant avant que Chiaro ne rompe le baiser.
-"Merci" murmura t'il à son oreille.
Il se retourna, César l'ayant relâché de son étreinte. Il le regarda monter sur son cheval. Leurs regards se croisèrent quelques instants.
-"Je serai revenu à l'aube" promis le blond avant de talonner son cheval.
César le regard s'éloigner alors qu'un vent froid commençait à souffler. Pour la première fois, un sentiment de malaise avait envahi tout son être. Pas de ceux qui était liés aux démons… mais ceux où la peur et l'angoisse l'empêchaient presque de respirer. Jamais il n'avait ressenti ces sentiments aussi fortement auparavant.
Et pourtant, il lui faisait confiance. Chiaro avait entre ses mains son cœur… son âme… Jamais il n'avait eu autant confiance en quelqu'un… mais ce malaise persistait, lui donnant la nausée, le plongeant dans un monde de peur et d'appréhension.
De longues minutes après que le cavalier soit parti, le jeune brun fit demi tour en direction de leur cachette, se disant qu'une fois encore, Morphée refuserait de le prendre dan ses bras pour cette nuit.
Deux heures… deux longues heures qu'il chevauché depuis qu'il avait quitté César. Et il arrivait enfin au lieu donné par ce dernier, et bien qu'il aurait pu être une bonne demi-heure plus tôt, il avait préféré faire quelques détours, profitant enfin de sa liberté. Celle-la même qui lui rappelait sa vie avant qu'il ne fasse la connaissance de celui qui était devenu son amant.
Cette pensée lui fit perdre son sourire. Pourquoi César s'était t'il conduit ainsi? Il ne s'inquiétait jamais pour rien, et ça, Chiaro l'avait appris en vivant à ses cotés pendant de nombreuses années. Il talonna son cheval, le faisant accélérer. Il lui avait promis de revenir à l'aube, et la nuit commençait déjà à tomber.
D'après ce qu'on lui avait expliqué, le groupe d'assassin qu'il était sensé supprimer devait se regrouper sur la colline où il se trouvait actuellement pour ensuite pénétrer dans Rome et tuer un des cardinaux de la cour. Il s'enfonça dans le bois pour aller y cacher son cheval, et retourna à sa lisière où il se cacha derrière un buisson, à l'affût du moindre bruit. De longs moments passèrent avant qu'enfin une silhouette apparue dans la lumière de la lune, rejoint en quelques minutes par plusieurs autres. Un fois qu'il fut sur qu'ils étaient tous au complet, il s'approcha lentement derrière eux, profitant de l'obscurité d'une nuit sans lune. S'il fallait les tuer, autant profiter de l'effet de surprise.
Arrivé à quelques mètres derrière eux, il bondit sur le premier homme qui se trouvait à proximité. Le temps que les autres comprennent ce qui se passait, il en avait déjà tuer deux autres. Ses ennemis commençaient finalement à s'organiser, et malgré son bras qui la ralentissait un peu, son expérience était un atout incontestable.
Seulement, une chose clochait dans ce combat. Il lui semblait que le style de combat qu'utilisaient ses opposants lui était familier… Il ne les avait cependant jamais croisé auparavant.
Une douleur fulgurante le tira des digressions de son esprit et qui le fit vaciller. Son arme tomba à terre, et un des hommes lui saisit son bras douloureux pour le lui plaquer dans le dos. Il ne put retenir un gémissement de douleur.
-"Il semblerait que tu ais quelques problème avec ton bras." susurra la voix de celui qui le tenait avec un ointe d'ironie.
-"Comment…?"
Il ne finit pas sa pensée qu'il fut je ter à terre. C'était impossible, ils ne pouvaient savoir pour son bras… Sa tête était lourde, engourdi par la douleur qui lui brouillait la vue.
"Un traître…?" pensa t'il. "C'est impossible, nous l'aurions…"
Un poids s'ajouta sur sa poitrine, et il distingua un des hommes se pencher au dessus de son visage.
-"Nous étions sensés t'éliminer." commença t'il. "Mais je pense que nous allons en premier lieu nous amuser un peu avec toi…" Un sourire cruel apparut sur ses lèvres. "T'es pas si mal foutu que ça pour un mec"
Non… il ne pouvait mourir ici… Il Lui avait promis de revenir… Chiaro sentit une odeur âcre emplir ses narines, l'endormissent lentement.
-"Qui… êtes-vous?" réussit-il à questionner dans un dernier effort.
Tout ce qu'il obtint comme réponse fut le rire sardonique des hommes qui l'entourait, avant que son esprit ne tombe dans le brouillard du coma.
Au programme du prochain chapitre (pour donner un apercu, vu que ca risque d'être long lol): Le héros sans peur et sans reproche... euh non d'accord, c'est pas une bonne entame. Je recommence. Au programme du prochain chapitre, un César pour le moins inquiet par à la recherche de son amant mystérieusement disparus. Mais que va t'il donc trouver?
Bon, je crois que je vais abandonner là ma carrière dans les résumé lol.
