Attention! Très important lisez! Avant de lire ceci sachez que je préfère respecter l'histoire que d'être politiquement correcte. Donc dans cette histoire il y aura certain thème ou phrase pouvant être tabous et vus comme raciste, xénophobe, misogyne, pedophile, inceste, antithéisme, homophone, maltraitance...ect
J'espère que ce qui liront mon histoire verront que ce qui sera dit ne sont pas mes réel pensée, mais des pensées dite normal et correcte à l'air victorienne.
Sachez que je ne juge pas non plus. Je ne cherche pas à faire la moral ou quoi que ce soit. Je veux seulement écrire une histoire d'amour de mon couple préféré historiquement correct. Je déteste lorsque dans nos film ou série moderne on change l'histoire pour nous rendre plus beau/gentille/tolérant/Mary-sue et que ça passe.
Les protagonistes ne seront pas exemptés de certaines idéologies/doctrine pouvant être dite inacceptables de nos jour. Je ferai bien sûr attentions à rester dans leurs personnages.
Voilà. Merci de lire. Désolée pour les fautes d'orthographe. Et j'espère que vous aimerez ce premier chapitre.
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Dans cette Angleterre du XIXème siècle, le soleil venait tout juste de se lever. Une brume fraîche et légère surplombé les plaine. Le couple Phantomhive toujours dans leur robe de chambre, était attablé à la table du petit déjeuné. Leur majordome les servait, le valet et la servante n'étant pas loin pour aider. Un silence serein régnait. Puis doucement, comme à leur habitude, Elizabeth initia la conversation après une gorgée de thé "As-tu quelque chose de spécial prévus pour aujourd'hui?"
Astre lui jeta un coup d'œil par dessus son journal avant de reprendre sa lecture. "Rien qui ne sorte de l'ordinaire." Un temps "Pourquoi?"
"Rien. J'espérais que nous pourrions nous promener ensemble aujourd'hui... Ou prendre le thé de l'après midi tout les deux... Ou ne serait-ce que dîner en tête à tête." Plus elle parlait plus sa voix diminuait, comme si ce qu'elle demandait était interdit. Puis la comtesse abaissa de sa main délicate le journal de son mari, ainsi la jeune femme pouvait le regarder droit dans les yeux. "Astre, je t'en prie écoute moi." Le comte souffla, et poussa son journal sur le côté. Son attention maintenant seulement posé sur sa femme. Il lui fit signe de continuer. "À part pour le petit déjeuné, nous ne passons aucun moment ensemble. Et encore parfois tu es à peine levé que tu es déjà à ton bureau. Mais cela n'est pas le plus grave. Ce qui m'inquiète vraiment c'est-" Astre, voyant où la discussion allait, l'arrêta nette d'un signe de main. Puis pris une gorgé de son thé.
"Je te l'ai déjà répété mille fois, j'ai du travail." Il déclara d'un ton sévère, signifiant qu'il n'y avait pas de place pour la discutions. Seulement croire qu'Elizabeth ce tairait juste parce qu'il le veut serait trop mal la connaître.
"Et tu crois que je ne le sais pas? Je me suis tus assez longtemps, Monsieur le comte Phantomhive! Au début c'était juste de temps à autre que tu ne venais pas à notre table pour manger. Maintenant c'est tout le temps. Et cela fais à peine cinq mois que nous somme mariés." Astre se leva, fini son thé, puis partit en direction de leur chambre. Mais cela n'arrêta pas la jeune femme. " Cinq mois!" Ils montaient les escaliers. "Tes cernes te tombes déjà jusqu'aux joues, et tu as perdus encore du poids." Ils étaient arrivés dans leur chambre, Sébastian aidait le comte à s'habiller, et Mey-rin la comtesse, chacun le dos tourné vers l'autre. "Tu es très pâle!" Elle déclara la voix pleine d'inquiétude. "Penses-tu au Moins à prendre le soleil?". Pendant un moment le seule bruit qui puisse être entendu fut celui des vêtements. Puis elle reprit "La dernier fois j'ai croisés une de tes connaissance commerciale, il m'a demandé si tu n'étais pas malade. Tu imagine à quoi tu ressemble pour les gens de l'extérieur! Même eux vois que tu as besoins de repos." Elizabeth, sa jupe et sa chemise d'équitation étant enfilée, se permit de se retourner vers son mari. "Tu m'écoute?" Elle le questionna. La servante coiffait les cheveux de sa maîtresse dans un beau chignon romantique.
Le jeune homme soupira. Son majordome finissant d'ajuster son costume. "Et toi? M'écoutes-tu?" Il lui répondit d'un air désintéressé.
Elle fronça les sourcils. Et Mey-rin qui en était rendue à boutonner sa veste fut légèrement poussée pas sa dame. "Oh, ne joue pas à ce jeux là avec moi Astre!" Puis elle enfila ses gants de cuirs blancs. Le comte partit de la pièce pour aller vers son bureau, Elizabeth toujours à ses trousses, et la servante suivant de près tenant le chapeau et la cravache de madame. "Tu sais que ce que tu insinues est faut, et que si tu as besoins d'une oreille je serais toujours là pour toi. Si je ne t'écoutais pas je ne serais pas là entrain de te suivre." Il s'arrêta brusquement dans son élan, sa posture droite et confiante n'ayant pas bougée. La jeune femme ayant de bon réflexe elle se stoppa avant de risquer un impact.
Le comte se tourna d'un car vers sa femme et d'un air suffisant lui dit "J'en ai assez entendu, Elizabeth. Je n'ai pas le temps. Et je n'ai pas ton temps. J'ai du travail. Je ne suis pas une femme." Après avoir fais cette déclaration il le regretta instantanément. Surtout lorsqu'il vue la peine marquée sur son visage. Mais il ne le montra pas. Il ne montrera plus jamais aucune faiblesse devant elle. Il continua donc son chemin, et fit juste cette dernière remarque "Tu l'as dit toi même, cela ne fais que cinq moi que nous sommes mariés. Évitons de nous fâcher sur des choses futiles.". Puis il s'enferma dans son bureau, Sébastian le suivant.
La comtesse ne revenait pas de ce qu'elle venait d'entendre. Elle était désappointée, offusquée et extrêmement en colère. Elizabeth n'aurait jamais cru entendre une chose pareille venant de la bouche de celui qu'elle aimait et admirait. Dans sa frénésie, elle arracha la cravache et son chapeau de sa servante. Mey-rin fut légèrement surprise. Sa dame en colère, ne présageait jamais rien de bon.
Tout en descendant les marches du manoir, la jeune femme enfila son haut de forme. Elle installa correctement sa voilette sur son visage, pour finalement crier du haut de ses poumons "Finny mon cheval, et vite!"
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Le comte Phantomhive était déjà à son bureau, calculant et analysant les centaines de rapports provenant de ses domaines. Son majordome à côté, sortait des fichiers sur la compagnie Funtom qu'il aurait à régler plus tard. Ce même majordome, qui ne semblait pas vouloir enlever ce regard de son visage. Ce regard qui disait clairement : vous n'auriez pas dû. Vous êtes allez trop loin. Vous ne le pensiez pas vraiment. Elle n'avait pas totalement tord. On ne parle pas comme ça à une dame. Vous n'aurez pas de gâteau au chocolat pour le goûté. Ce regard... Ô combien irritant.
Le jeune homme soupira pour la énième fois aujourd'hui, puis parla "Qu'est-ce qu'il y a?"
Sébastian se retourna faussement surpris vers son maître "C'est à moi que vous vous adressez mon seigneur?"
Pour seule réponse il lui donna un regard blasé.
"Vous insinuez quelque chose?" Son majordome lui offrit un sourire.
"Arrête ce jeux démon. Tu sais de quoi je parle." Astre se renfrogna.
Sébastian se rapprocha du jeune homme, et se pencha près de son maître "Si vous insistez, mon seigneur. Je trouve que-" il nu même pas le temps de commencer sa réprimande que le comte l'avais déjà interrompu.
"Oh tait toi! Je ne te paye pas pour me commander." Tout en grognant, il continuait de gribouiller sur ses travaux.
Cette fois ce fut au tour du majordome de soupirer. Sébastian n'allait pas insister, il connaissait son maître depuis assez longtemps pour savoir à quel point il est stupide et borné. " Si vous le permettez, mon seigneur, j'irais à mes autres tâches.". Astre lui fit un geste dédaigneux de la main pour qu'il s'en aille. Le démon presque partit, se permit néanmoins de dire un dernier mots "Au faite. Vous ne me payez pas, mon seigneur." Et, à peine, il eut le temps de fermer la porte, que Astre, c'étant munit d'un quelconque dossier, se mit à lancer le projectile vers lui par colère. Bien évidemment il manqua de très loin sa cible.
Étant maintenant seul il prit une grande inspiration avant de s'affaler dans son fauteuil. Il agrippa le pont de son nez entre son pouce et son majeur. Il souffla. Le jeune homme regarda autour de lui. Ses yeux parés de cernes passèrent par ses papiers au sol, pour finalement atterrir sur son horloge. 8h00 elle indiquait. Le garçon ouvris un des tiroirs de son bureau et en sortit une belle boîte à cigares. Il en alluma un. Sieglinde lui a dit qu'avec son asthme il ferait mieux d'éviter les cigares. Mais qu'est-ce que ça pouvait faire. Il ne mourra pas de ça.
Ses épaules étés lourdes. Elizabeth a raison, il est crevé. Mais il ne peut pas dormir, et il finit par la traiter comme une moins que rien. Mais c'est à cause de la fatigue il se dit, la faute à la fatigue, c'est toujours sa faute. Elle transforme notre corps en plomb. Elle nous jettes du sable dans les yeux. Elle forme un dôme autour de nous, et si quelqu'un y pénètre, elle nous force à nous énerver.
Pourtant, il n'a pas le temps d'y penser. Le comte Phantomhive se remit droit sur sa chaise. Respira une dernière fois son cigare. Plume en mains attaqua de nouveau ses papiers. Puis cria d'une voix contrôlée "Sebastian. Ramasse."
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Dans les champs de la campagne anglaise, le cheval de Lady Phantomhive courrait à vive allure. Une colère ardente brûlait dans le creux de son coeur, et rendait son corps bouillant de rage. Cependant elle restait fière, la comtesse ne s'à baissera pas à des gestes brusques et large pour exprimer son désarroi. Elle resta droite sur son cheval, sa posture d'amazone de bougeant pas d'un pouce.
Les éléments précédent s'entrechoquaient dans sa tête. Il fallait qu'elle s'en débarrasse. Elizabeth pensa à aller à l'orphelinat. Elle y allait au moins deux ou trois fois par semaine. Donc y rendre une visite ne serait pas bizarre. Les enfants étaient toujours tous si mignon avec elle. Ils la mettaient toujours alaises, la détendait, et l'épuisait aussi parfois. Mais seulement par leurs jeux. Ils sont vraiment adorables.
Bien, c'est décidé. Elle irait là bas. Seulement cette fois elle n'a rien à leurs offrir. Ce serait déplacés de venir les mains vide. Sa mère la gronderait. Mais sa mère n'est pas là donc... T'en pis.
Au bout d'une heure elle était devant l'orphelinat. Elle descendit de son cheval, la jeune femme ne prit pas la peine de l'attacher. Il ne s'enfuira pas, c'est Sebastian qui l'a élevé. Et si jamais il par, Elizabeth aura juste à siffler.
Elle toqua à la porte. Maria viens lui ouvrir. Maria c'est une femme de trente deux ans, qui travaille ici. Elle a les cheveux châtains clairs, et un certains embonpoints. Elle a un accent fort prononcer, car elle est fille de paysans. Elle est mariée depuis qu'elle à 15ans. Son mari ne fait jamais rien de ses journées à part boire, faire des paries sur des jeux stupide, et réclamer de l'argent à sa femme lorsqu'il ne la bat pas... Malgré cela elle garde toujours le sourire. Elle a 9 enfants, que des garçons la pauvre. Un peu chahuteurs mais pas méchants. Les trois aînés on trouver du travail à Londres. On ne les a pas vus depuis bien longtemps, et ne sachant pas écrire, aucune nouvelle d'eux n'ai parvenu. Le reste de ses fils aides des paysans au alentour ou des maisons de nobles, ramenant un peu d'argent à la maison. Sauf les deux derniers. Le plus grand a cinq ans, si il ne passe pas son temps ici, il le passe chez son grand père pour apprendre le métier. Le petit dernier n'a que deux ans, et celons l'orphelinat il montre des qualités exceptionnelles lorsqu'il s'agit de fuir sa mère à l'heure de sa toilette.
Maria, voyant qui venait leurs rendre visite, fit un grand sourire "M'dame la comtesse! Comment vous allez? Venez vite rentrez." Elle se décala sur le cotée pour laissé passer la jeune femme, puis refermer la porte derrière elle. "C'est pas commun d'vous voir à cette heure la. Vous venez plutôt vers l'après-midi d'habitude. Enfin bon, on vas pas se plaindre les p'tits vous adores. Bien que maintenant c'est pas trop le moment..."
Elizabeth allait répondre, seulement une voix résonna dans le couloir. "Maria, qui était-ce?"
La susnommée, les mains sur les hanches répondit "Pas la peine d'utiliser le passé m'dame. Elle est toujours là.". La fille de paysan fit signe à la jeune femme blonde de la suivre, ainsi elles arrivèrent toute deux dans la pièce central. C'était une grande salle rectangulaire, elle servait aussi bien de salle à manger que de salon, ou salle de jeux dans certain cas. Une longue table en bois jonchait à la gauche de cette pièce, et elle était entourée de bon nombre de chaise. A droite une multitude de photos étaient posées sur une cheminée en brique, son feu était éteint, l'automne ne devrait pas tarder à arriver, mais pour l'instant le temps, bien que l'on soit en Angleterre, était assez chaud pour ne pas l'allumer. Non loin de là, un tapis kaki et blanc sales, deux fauteuils rouge sang. Et sur l'un de ses fauteuils une vieille dame, à ses côtés un landau en osier, et à ses pieds deux petits enfants, dont un est le dernier fils de Maria.
Elizabeth fut la première à la saluer "Bonjour madame Eloie."
Le regard de cette dernière se tourna lentement dans leurs direction. Voyant qui était là, elle se leva, puis fit une révérence "Madame la comtesse, c'est un plaisir de voir." Elle montra de sa main le fauteuil en face d'elle "Asseyez-vous, je vous en pris.". Ceci est Madame Eloïse Eloie. Elle a 63 ans, et est maîtresse des lieux. En apparence c'est une femme maigre à la peau flétri et pâle. Son caractère n'est pas mieux. La discipline est son mots d'ordre, mais pour tout vous dire elle n'a pas totalement tord. C'est grâce à ça qu'elle a réussi sa vie. Elle est un peu trop sévère parfois, et fais peur une fois en colère. Mais Maria est là pour la calmer, donc ça va. Avant c'était son mari qui la retenait de trop gronder les enfants. Seulement il est mort il y a onze ans. Accident de travaux. Il est tombé du toit qu'il réparait. Ce fut un coup dur pour l'orphelinat. C'était un mari aimant et un vrai papa gâteau avec les enfants. Madame Eloie a eu du mal à s'en remettre. Bien que d'ordinaire elle n'est pas très souriante, à ce moment là elle l'était encore moins. Lorsqu'il est partit , elle c'est rappelée de toute les petites chose qu'il faisait pour elle... Comme enrouler une couverture autour de ses épaules lorsque la brise soufflait trop fort. Eloïse se plaint toujours d'être gelée, alors lui il faisait en sorte qu'elle n'ai pas trop froid. Mais tous ça c'est bien vite terminé. Ses deux filles aînées en furent dévastées, et son fils anéanti. Nous n'avons jamais vue Eloïse pleurer. Mais parfois lorsqu'elle regarde la photo de son défunt mari, ses yeux s'humidifie.
Elizabeth fit comme on lui avait demandée et s'installa sur le fauteuil rouge. Enfin, pas sans jeter un coup d'œil à qui se trouvait dans le landau. "Je ne le connais pas celui là. Comment il s'appelle?" Elle demanda son visage brillant d'amour maternel.
Maria lui répondit "Le p'tit gars il nous est arrivé hier soir. Donc il a pas encore de nom."
Madame Eloie continue "Les enfants veulent l'appeler le bridé, à cause de ses yeux. Ce qui est ridicule, nous en conviendront." Elle regarda la jeune femme de haut en bas "Comptez-vous ôter vôtre chapeau madame la comtesse?"
Elizabeth rougis d'embarras, "Oh, oui! Veuillez m'excuser..." Puis enleva vite fais son couvre chefs. "Au faite. C'est vrais qu'il n'a pas une tête normale cet enfant. Il vient d'Asie?"
La maîtresse des lieux acquiesça "J'en ai bien peur oui. C'est bien la peine de voyager si après c'est pour abandonner ses enfants."
"Oh! Voyons m'dame ne dite pas ça. Si ça se trouve les pauves gens ils ont pas eu le choix!" Réprimanda sa seconde.
La comtesse se leva pour s'approcher du landau "Enfin bon. Cela ne l'empêche pas d'être adorable. Je peux le porter?"
"Je vous en prie." Accorda l'aînée de ses dames.
Elizabeth ne perdit pas de temps puis le pris dans ses bras. "Oh, comme il est mignon! Il est encore plus beau de près." Puis lui posa un baisé sur le front. Portant toujours précieusement le bébé elle retourna s'assoir. "La maison parait bien calme aujourd'hui. Ou son les enfants?"
Madame Eloie leva les yeux au ciel. "Ils sont punis."
"Eh? Qu'ont-ils fait?" Questionna la jeune femme.
"Ils ont fais une bataille de polochons, m'dame." Maria, bien qu'ayant voulut garder son sérieux, ses lèvres ne purent s'empêcher de se tirer vers le haut à la mémoire.
La maîtresse des lieux grimaça en voyant la réaction de sa subalterne "Vous ne devriez pas en rires Maria! La façon dont ils ont agis était extrêmement grossière pour de futur Lady et Gentlemen."
"Parce que vous comptez toujours en faire des gens de haute société d'eux? Pourquoi faire? Si il en font partie un jour, les gens ne feront que se moquer en apprenant leurs origines. Croyez moi! C'est bien mieux de rester dans sa case." Elle se tourna vers Elizabeth "C'est pas contre vous m'dame la comtesse, vous êtes très gentille vous, mais...
"Ne t'inquiète pas, Maria. Je ne l'ai pas mal pris. Je suis même d'accord avec toi. Les gens dans haut ne sont pas faciles. Puis mélanger trop les sociétés ce n'est pas bon. Ça apporte toujours des problèmes." Répondit sincèrement Elizabeth.
Maria se retourna vers son employeur "Vous voyez m'dame. Même la noblesse est de mon côté."
La vielle femme fronça les sourcils "Retourne à tes corvées, insolente. Être les rejetés de la société ne les autorises pas à se comporter comme des sauvages! Maintenant par."
La susnommé ronchonna, et traîna des pieds pour partir "Bien m'dame..."
"Veuillez nous excusez madame la comtesse. Nos personnes sont indignes de votre présence." Et sur ses mots elle baissa gracieusement.
"Je vous en pris madame Eloie. Cela sont des chose qui arrives. Puis je suis venue à un mauvais moment c'est tout." Elizabeth lui sourit "D'ailleurs. Que diriez-vous de George pour ce bel homme." Elle proposa, en donnant un petit bisous au bébé.
La vielle propriétaire lui rendis son sourire "À votre convenance madame la comtesse."
"Oh, non. Il faut que tout le monde soit d'accord. Demandez si cela convient aux enfants aussi. Après tout c'est leurs nouveaux petit frère."
"Si vous le désirez ce sera fait."
Tout d'un coup des exclamations de joies, et des pas de course raisonnèrent dans la maison. On sentait le sol trembler sous ses pieds, et le bébé dans les bras de l'invitée se mit à pleurer de l'agitation. Bientôt 27 enfants étaient réunis autour de la comtesse pour la saluer. L'embrassant, et câlinant se qu'il avait réussi à attraper. Ils posaient mille questions à la fois, et racontaient mille chose en même temps. Elizabeth essayait de les calmer, mais elle n'était pas très douée lorsqu'il s'agissait de contrôler autant d'enfants d'un coup. Heureusement Madame Eloie était là. Elle eu juste à taper deux fois dans ses mains, et les enfants se calmèrent. "Voyons les enfants! Un peu de tenues. Je vous rappelle que vous êtes punis. Puis comment savez-vous que Madame la comtesse est là?"
Le plus grand des garçons, Rémi, répondit "C'est Maria qui nous a prévenus."
La vielle femme soupira de désespoir. Elizabeth ne put s'empêcher de ricaner au spectacle. Mais changea vite fais de sujet "Eh bien! Justement les enfants nous parlions de vous."
L'un des garçons, aux cheveux extrêmement brun nommé Tom, s'exclama "Nous?"
La comtesse acquiesça. "Oui. Nous choisissions un prénom pour vôtres nouveaux petit frère."
Une petite fille aux boucles rousse s'approcha "Mais on en a déjà trouvé un. C'est le bridé." Les enfants rigolèrent autour.
Rémi parla, et ainsi stoppa les rires "Mais un vrais prénom Léa. Tu aimerais qu'on t'appelle poils de carottes."
La petite fille répondit boudeuse croisant les bras "De toute façon vous m'appelez comme ça même si j'ai un vrai prénom."
"Les enfants." Madame Eloie commençait à s'impatienter. Ils se turent à nouveaux.
La comtesse enleva une fois de plus la tension "Donc, je disais, un prénom. Et je vous propose de l'appeler George! Cela vous vas?"
Tom demanda "C'est pas un prénom trop beau pour un bébé aussi moche?"
Un autre petit au lunette trop grande pour lui s'offusqua "C'est méchant. Toi de toute façon t'es rien qu'un pas beau. Le bébé c'est pas parce qu'il a un problème aux yeux qu'il est moche. Regarde, Lili elle a aussi des yeux tout petit, et pourtant tu-"
Le petit Tom en question arrêta l'autre en couvrant sa bouche de ses mains "Tait toi Luca tu parle trop!"
Elizabeth continuait de rire au singeries des enfants. C'était trop mignon et drôle à regarder. Mais elle du les arrêter "Bon! Je vous laisse y réfléchir, jusqu'à la fin de la semaine. Maintenant, je doit rentrer chez moi."
La réaction des petits fut tout de suite déception, et plainte. La comtesse se leva pour aller reposer le bébé dans son landau. Et elle venait à peine de poser le bébé, que un déchirement de tissus si fit entendre. Tout le monde se retourna vers la source du bruit. Et c'était vers une petite fille toute blonde dont les cheveux étaient tressées, qui avait provoquée ce son. Dans ses mains elle tenait le chapeau d'Elizabeth, la voilette était presque complètement déchirée.
Ce qui ne ravie pas Madame Eloie "Oh, Jane! Venait ici tout de suite." La petit fille obéi, mais avec peur. "Vous avez vue ce que vous avez fait." Elle lui arracha le chapeau des mains puis frappa les fesses de la criminel. "Vous serrez privez de repas. Au coins!". La petite Jane pleurait et allez y aller, mais la comtesse la stoppa.
"Voyons, ce n'est pas la peine de s'emporter pour si peu. Des chapeaux comme celui là j'en ai plein." Elle offrit son mouchoir en tissu à la petite fille, puis pris doucement son haut de forme des mains de la maîtresse des lieux. Elle enleva ce qui restait de la voilette. Le tissu du chapeau s'en retrouva légèrement abîmé, mais ce n'était pas grave. "Voilà. Comme neuf!" Elle le posa sur la tête de Léa. "D'ailleurs je vous en fait cadeau. C'est pour m'excuser d'être venue sans présent cette fois."
De sa plus belle voix de gentlemen Rémi répondit "Mais votre simple présence est un cadeau Madame." Puis fit une profonde révérence. Cela détendit l'atmosphère, et tout le monde rigola.
"Merci Monsieur Rémi. Mais maintenant je dois vraiment y aller." Elle fit elle même une belle révérence. Et pris le chemin vers la porte.
Seulement Madame Eloie la rattrapa. "Attendez, Madame la comtesse. Vous ne pouvez pas partir tête nue." Elle lui tendis un canotier "Tenait c'est l'un des miens. Il ne sied guère à quelqu'un de vôtre rang. Mais cela gardera la modestie. Je vous pris de le prendre Madame la comtesse."
Elizabeth lui sourit "Et moi je vous pris de le garder. Ma modestie s'en tirera très bien."
La vielle femme commença à balbutier "Mais, Madame-". Elle nu pas le temps de finir sa phrase, que la comtesse était déjà sur son cheval.
"Ne vous en faites pas Madame Eloie. Il n'y a jamais personne là où je galop. Et si par mégarde il y a quelqu'un, je serais seulement une noble femme ayant perdus son chapeau." Sur cette dernière phrase elle s'en alla à vive allure.
Maria venait de sortir, et s'installa au côté de sa dame. "Elle a de la chance M'dame la comtesse. Moi j'aurais fais une chose pareille, mon mari il m'aurait directement fouetter."
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Elizabeth venait d'arriver au manoir. Mey-rin l'accueillit "Bon retour Madame. Oh! Mais où est votre chapeau."
"Je l'ai donné aux enfants de l'orphelinat." Elle prit les mains de sa servante "Oh, Mey-rin tu aurais dû être là. Il y a un nouveau petit et il est tellement mignon! Même si il est asiatique." La comtesse retira ses gants. "Fait moi couler un bain, Mey-rin."
La tireuse d'élite s'amusait de voir sa maîtresse aussi heureuse. Puis elle se rappela de quelque chose. "Au faite, Madame!" Elle fouilla dans ses poches puis en sortie une lettre "Cette lettre est arrivée pour vous. C'est de la par des Jumelles Rosemary." Elizabeth pris la lettre, et Mey-rin sans alla préparer ce que sa maîtresse lui avait demandée.
La comtesse ouvrit la lettre. Puis lit.
Chère Elizabeth Phantomhive. (Comme ce nom vous vas bien ma chère.)
Elizabeth roula ses yeux avec un sourire.
Notre tendre grand frère Léon, est rentré hier matin de son long voyage au Japon. Nous avons alors décidé d'organiser une petite réception, cette après-midi, où il pourra nous conter ses aventures. Bien évidemment, vous qui nous connaissez trop bien, s'avons que vous ne manqueriez pour rien au monde, un après-midi entre amis préparée à la dernière minute.
Venez juste avant que quatre heures ne sonne ma chère. Sinon tu rateras le début de l'histoire. Et si ton mari n'est pas trop occupé à jouer les solitaires, propose lui de venir.
Nous t'embrassons.
De la par des soeurs Rosemary Anna et Louise.
Elizabeth sourit mais d'un sourire triste. Elle, elle allait y aller c'est sûr. Mais Astre... Bien qu'elle connaissait déjà la réponse, elle tenta tout de même sa chance. La comtesse venait d'arriver devant son bureau. Elle toqua. Pas de réponse. Elle frappa à nouveau. Toujours rien. Elizabeth se permit d'entrer. Le bureau était vide. Elle soupira.
"Vous cherchez smile Madame? Dit Emily."
La comtesse se retourna légèrement surprise "Oh! Snake! Je ne t'avais pas entendu arriver." Son regard passa du valet au serpent sur son épaule "Oui, Emily. Je cherche Astre. Tu sais où il est? C'est rare de le voir quitter son bureau. Puis il m'avait dit qu'il n'avait rien de spécial aujourd'hui."
"La reine la quémandée. Dit Emily."
"Ah... Très bien... Merci." Elle s'en alla vers sa chambre, déçu de ne pas pouvoir s'y rendre avec celui qu'elle aimait. Elizabeth même si elle savait qu'il aurait dit non. Aurait aimée qu'il soit là, et que pour une fois il dise oui. Ainsi, ils y seraient allés. Tout les deux. Même si au finale il finirait juste par chuchoter des phrases pleine de sarcasme à son oreille. Mais elle veut les entendre, elle, ses phrases. Souvent elles sont pleine de sens et drôle. Juste l'imaginer les dires... Ce n'est pas drôle...
