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La comtesse Phantomhive était dans sa voiture. Il faisait sombre, la nuit était tombée, cependant les étoiles ne sont pas encore arrivées. Elle rentrait chez elle. Dans son grand manoir vide. Ce n'est pas qu'il y ai beaucoup de vie habituellement, mais son amour non là, la jeune femme se sentait encore plus seule.
Elle soupira. Elizabeth avait aimée la compagnie de ses amis, seulement elle se serait bien passée d'y aller. En ce moment elle n'avait le coeur à rien.
La voiture s'arrêta. Et Finny viens ouvrir la porte à sa maîtresse. "Nous sommes arrivés, Madame." Puis il l'aida a descendre.
"Finny, transporte ses deux boîtes dans ma chambre." Elle ordonna d'une voix fatiguée. C'était son cadeau de mariage et celui de son mari offert par Léon. Elle se força à faire un petit sourire "Et dit à Mey-rin de m'apporter mon repas dans ma chambre. Je suis exténuée, mais je meurs de faim." Après avoir donnée ses commandes la comtesse se dirigea vers ses appartements, puis elle alla dans la penderie. Normalement elle aurait appelée de l'aide pour se déshabiller, cependant elle voulait éviter toute conversation possible d'arriver.
La jeune femme mit un certain temps à se dévêtir n'ayant pas pour habitude de le faire elle même. Mais, elle y arriva. Et la simple pensée d'avoir réussi à enlever son corset toute seule la fit légèrement sourire. Une fois sa chemise de nuit et sa robe de chambre enfilée, Elizabeth alla s'asseoir devant sa coiffeuse, de là elle commença à enlever les épingles qui retenait ses cheveux. Dans le reflet de son miroir, elle put voir un plateau de nourriture posé sur son lit et les deux boîtes s'asseyant sur un des canapés de leurs chambre. Pour le moment elle n'y prêta pas beaucoup d'attention, puis continua à débarrasser son chignon des épingles. Ses cheveux maintenant libérés de leurs prises, la comtesse les brossa doucement, chantant une vieille mélodie.
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Le train en direction de Liverpool grondait et sifflet. Même en première classe on arrivait à distinguer le cracha noir épouvantable de la bête. Les cages se secouaient et le verre des vitres vibrait. Impossible de se reposer correctement se disait le jeune homme au cache œil. Il soupira, la nuit était froide. C'était le plus mauvais train qu'il ai jamais pris. Il donnerait n'importe quoi pour être dans les couvertures chaudes et moelleuses de son lit en ce moment. En repensant à ses draps une odeur familière lui vain à l'esprit. Une douce odeur de fruit et de fleur qui c'était imprégnée sur la literie au fil du temps. Une odeur agréable et apaisante. Astre respira à un rythme posé essayant de garder ce parfum dans son esprit. Mais il sortit de sa méditation lorsque le bruit disgracieux et incessant de ronflement de son coéquipier imposé devenait plus fort que le rugissement de la machine mécanique dans laquelle ils se trouvaient. Le regard du comte se tourna vers Sieglinde. Son corps était avachi sur le fauteuil et contre la fenêtre. Ses jambes légèrement écarté. Sa tête était en arrière laissant sa bouche grande ouverte et un filait de bave coulant jusqu'à son cou. Vision dégoûtante et écœurant, digne d'un ogre pensa le jeune homme.
Quelqu'un toqua à la porte et puis rentra. C'était le majordomes avec des couvertures. "Je vous ai apporté de quoi vous réchauffer mon seigneur." Michaelis en installa une sur les genoux de son maître puis se tourna vers la jeune allemande. Il la regarda pendant une minute soupirant de désespoir face à sa conduite. Sébastien sortir un mouchoir de sa poche et essuya le menton du médecin. Il la réinstalla convenablement puis recouvrit son corps avec la couverture restante. Son travail pour l'instant achevé il s'assit sur la même banquet que le jeune comte qu'il servait.
Les minutes se faisaient longues, mais heureusement pour eux Liverpool n'était plus si loin.
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Snake se trouvait dans le wagon à bagage. Les bagages simple ne l'intéressait pas, cela c'était ses amis qui s'en occupait. Lui il fouillait et crochetait les grandes caisses en bois accrochés solidement avec des cordes pour qu'elles ne tombes pas. La plupart avait des meubles, ou semblaient en avoir. Elles avaient un double fond, que si on soulevait, des jambes et des bras d'enfant si trouvait. Les membres était emballés dans du lin blanc, recouvert de sel, et entouré de lilas.
Snake écrit son rapport sur un petit bout de papier puis le noua au cou de Oscar. Le serpent passa par un conduit d'aération, sortant ainsi de la vue de son maître. Le valet voyant que son message allait bien être retranscrit se remit à chercher.
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Le comte était somnolent à présent. Ses oreilles s'étant habitués aux bruits parasite, il était plus facile de se détendre. Seulement il sortit bien vite de sa transes lorsqu'une masse verte lui tomba dessus. Dans sa panique, il cria et envoya l'animal valser du revers de sa mains.
Sébastien retient son rire, et ramassa le reptile "Calmez-vous mon seigneur. Ce n'est que Oscar." Le serpent après cette accueille peu chaleureux grognait après Astre.
Le jeune homme pris une longue respiration et d'une façon incertaine s'excusa auprès de l'être vert "Hum... Oui...euh...désolé. Je suppose."
Le majordome détacha le bout de papier accroché à Oscar puis le tendis à son maître. Le comte le pris et y lu.
Caisse en bois. Meuble. Double fond. Bras, jambe enfant. Lilas, lin, sel.
Astre donna le papier à son majordome "Brûle le." Et son serviteur s'exécuta. Il posa sa main vers le serpent, signe que le jeune homme attendais que le reptile monte. Une fois Oscar sur son bras il chuchota près de lui "Tu diras à Snake de laisser l'un de vous dans une des caisses. Une fois la caisse arrivée à destination, celui envoyé nous retrouvera grâce à l'odorat. Mais si la caisse commence à trop s'éloigner, au point qu'il ne pourra plus nous retrouver après, il devra rebrousser chemin tout de suite." Le serpent l'écouta jusqu'à la fin, puis reparti par là où il était venu.
Le comte soupira, et resta affaissé sur son siège. Plusieurs minute passèrent dans le silence. Les rouages de la machine ne perdant pas leurs objectif. Puis doucement, se glissant à l'horizon dans le brouillard de la nuit, la ville commençait à pointer le bout de son nez.
Le jeune homme, à l'apparition de leur destinations, trouva qu'il serait de bon ton de réveiller son partenaire maintenant. Alors, du bout de sa canne il se décida à secouer négligemment son ami. Sébastien lui donna un regard noir pour ses mauvaises manières, mais il n'y fit pas attention. Comme Sieglinde ne semblait pas décidée à se réveiller, cela l'agaça et il grogna. Puis avec une délicatesse qui reflétait ses manières de Gentleman en ce moment même, Astre lui asséna un coup de pied dans les chevilles. A la douleur la jeune fille se réveilla tout de suite. Grimaçant et frottant l'endroit martyrisé l'allemande lui dit "Tu sais très bien que je suis sensible près des pieds. Où est passé votre chère étiquette anglaise Phantomhive?"
"Quelque part en train de moisir avec votre élégance." Il répondit d'un ton neutre.
Elle ronchonna, tira la langue comme si elle avait toujours onze ans, puis au bout d'un moment, le regardant droit dans les yeux, Sieglinde lui demanda "Eh bien. Pourquoi m'avoir éveillée, mon cher?"
"Tout d'abord, nous somme bientôt arrivé. Ensuite, il y a une discussion que nous devons avoir avant de descendre de ce train." Il déclara posément.
"Pourquoi ne pas m'en avoir parlé lorsque nous étions dans ta calèche?" Questionna le jeune médecin.
D'un air blasé il lui dit "Tout simplement parce-que je n'avais pas envi de vous parler. D'ailleurs, je n'en ai toujours pas l'envi. Mais bon... pour la couronne... vous savez... il faut savoir faire, je dirais même plus se forcer à faire des choses contraignante."
D'un ton plat elle acquiesça "Je vois..."
Le comte pris une profonde inspiration "Parfait! Bien. Revenons en à l'essentiel... Vous accorderez, que deux personne dont les noms son connus dans toute l'Angleterre pour être un scientifique allemand fou et un vendeur de jouet plus le chien de la reine, se promenant côte à côte à Liverpool capital industrielle, est plus que louche et alerterait n'importe qui avec un peu de bon sens."
Sieglinde acquiesça "Personnellement je pense que le problème c'est toi." Un silence passa, et le majordome se retenait de rire. "Je veux dire: lorsque tu vas quelque part l'endroit devient automatiquement louche. C'est pas parce qu'on est tout les deux. Tu vois ce que je veux dire? Par exemple, quand tu vas te coucher, ton lit deviens louche par intérim." Astre ne dit toujours pas un mots et semblait fortement vouloir en finir. Puis l'allemande repris "Mais sinon, jusque là ton raisonnement est juste. Continue je t'en prie."
Astre souffla à nouveaux "Bien. Dans ce cas pour éviter toute interrogation de la part d'autrui. Nous nous ferrons passer pour un couple de riche commerçant de tissus, qui cherche à exporter ses marchandises plus rapidement et facilement. Ainsi nous avons choisie la magnifique ville qu'est Liverpool pour nous aider!" après cette déclaration, le comte redoutait les remarques et blagues de mauvais goût que son partenaire allait lui sortir.
Et comme il s'y attendait, Sieglinde lui offrir un regard se voulant séducteur "Mais bien sûr, Honey." Elle lui fit un clin d'œil "Qu'elle est notre nom, mon amour."
Le jeune homme la regarda avec irritation et dégoût "Andrew... Nous serons les Andrew. Sophie Andrew et Mark Andrew."
"Mmmmmh parfait." Elle s'exclama avec un sourire taquin.
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Une fois le train arrêtée, le chien de garde de la reine et sa suite descendirent en direction d'un hôtel. Sieglinde avait du retourner sur son fauteuil roulant ce qui s'en suivis de tout un tas de plainte, que le comte s'efforçait à ne pas prendre en compte. Lorsqu'ils furent arrivés, Astre demanda une chambre pour lui et le médecin, puis une chambre pour ses serviteurs.
Les pièces où le jeune homme et l'allemande allaient cohabiter, étaient assez modeste pour leur rang. Le sol était en parquet, les murs tapissés avec des motifs à la mode, et les fenêtres étaient recouvertes de rideau en velours vert sapin. Il y avait un lit pour deux avec deux table de chevet de chaque côtés, une commode, puis une coiffeuse. Sur le mur de gauche il y avait une porte en bois vernis qui les reliaient à une salle de bain. Pour compléter le tout, un lustre à quatre fleur perché au plafond, et un petit tableaux impressionnistes décoratif accroché sur le mur portant vers le couloir.
Sieglinde profita de l'espace libre de la chambre pour se dégourdir les jambes. Ensuite elle s'étala sur le lit avec un bruit que le comte classa de disgracieux. Pourtant cela ne l'empêcha pas d'en faire de même. Le voyage l'avait exténué. Il était à présent 5h00 du matin, et ils n'avaient plus que 3h avant de se lever et inspecter la ville. Ce jour fit l'une des rare fois où le garçon n'eu aucun mal à s'endormir.
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Sur le manoir Phantomhive le soleil c'était levé depuis 4h déjà.
Emmitouflée dans ses couvertures moelleuses et chaudes, la comtesse du domaine ne voulait plus sortir de son lit. Respirant doucement, son visage enfoncé dans les coussins, Elizabeth était déjà réveiller depuis au moins deux heure. Mey-rin lui avait servie le petit déjeuné, et elle l'avait manger avec plaisir. Seulement sachant qu'elle n'aurait rien d'important dans la journée, la jeune femme ne voyait pas l'utilité de se lever. Encore plus lorsque son lit était si confortable. Puis Mey-rin vain toquer à sa porte. La comtesse gémit de la gêne occasionnée, néanmoins elle se redressa sur son matelas, et de sa plus belle voix lui dit "Entrée."
La servante s'exécuta, et parla avec un sourire "Votre frère est venue vous rendre visite Madame."
À ses mots Elizabeth s'égaya. Elle poussa ses couvertures aussi vite que possible et se mit à courir or de sa chambre. Du haut des escaliers du hall d'entrée elle aperçu son frère. "Edward!" Elle cria pleine de joie. Le susnommé se retourna vers elle, lui offrit un sourire éclatant, et tandis ses bras vers elle. La jeune femme descendit rapidement les escaliers puis sauta dans les bras de son frère. "Tu m'avais manquée." Elle lui déclara.
Sans lâcher l'étreinte il lui répondit "Toi aussi tu m'as manqué." Puis il la regarda "Mais, tu n'es pas habillée?"
La comtesse s'enleva de ses bras, et le visage légèrement rouge de honte lui dit "J'ai peut-être un peu traînée au lit. Un peu..."
Le marquis rigola "Tu as de la chance que mère ne soit pas là." Comme signe de le garder secret, Elisabeth mit son doigt devant sa bouche en ricanant. Ils continuèrent de rire dans une complicité fraternelle avant que l'homme blond ne recommence à parler "Cheslock m'a dit que tu étais chez les Rosemary hier. Cela c'est bien passé?"
La jeune femme perdu un peu son sourire, mais continua tout de même "Oui, oui. Tout c'est bien passé."
Edward remarqua son changement d'attitude. Il savait que la relation de sa sœur avec Astre c'était dégradée. À chaque fois qu'elle ne se sentait pas bien, c'est lui qu'elle appelait. Il la reprit dans ses bras puis lui dit "Tu veux que j'aille frapper Phantomhive?"
La comtesse ricana "Comment peux tu en arriver à la conclusion que c'est lui qui est en faute pour mon mal-être maintenant?"
Le marquis répondit "Parce-que lorsque tu es morose c'est toujours sa faute. C'est parce qu'il ne t'a pas accompagnée chez les Rosemary que tu es triste!" Cette fois c'est lui qui s'enleva de l'étreinte "D'ailleurs où est-il?"
Elizabeth soupira "Partit en mission pour la reine."
L'homme blond la regarda avec peine. La voir aussi démunis lui brisais le cœur. Surtout si la cause de cette tristesse était son beau-frère. Puis il lui donna une dernière étreinte et lui proposa ceci "Que dirais-tu de faire du cheval? Le temps est magnifique aujourd'hui! Puis nous pourrions faire de l'escrime après. Tu veux?"
La jeune femme sourie, lui déposa un baisé sur la joue et dit "Tu es le meilleur grand frère du monde." Puis elle commença à remonter les escaliers. "Attend dans le salon. Je vais me préparer."
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Cela faisait un moment que Monsieur Midford et Madame Phantomhive étaient sortis, leur chevaux aux galops dans la campagne anglaise. Ils ont fais la course trois fois. La première fois Elizabeth à gagnée. La deuxième fois ce fut Edward. Et comme à la troisième fois ils n'arrivaient pas à savoir qui l'avait remporté le marquis laissa le point à sa sœur. Ils avaient également croisés quelque paysans du domaine Phantomhive. Alors naturellement, ils les saluèrent. La promenade se déroulait bien, et la comtesse avait oubliée ses soucis.
Le sentier qu'il venait d'entamer commença à se diriger vers la forêt. Sans tarder la jeune femme lança comme défis qu'elle arriverait avant lui au bois. Son frère la rattrapa vite, mais commença à ralentir lorsqu'il entendus crié.
"Marquis Midford." Appela-t-on encore.
Et c'est la que plus loin dans la forêt il vit deux personne. Dont une qu'il connaissait très bien. "Baron Rosemary! Comment allez-vous?" Les deux finir par se rejoindre et s'arrêtèrent pour se saluer.
"Bien, et vous?" Il demanda poliment.
"À merveille, je vous remercie." Edward regarda le deuxième homme "Et qui est votre ami?"
Léon allait répondre, cependant Elizabeth arriva "Léon, James! Quelle plaisir de vous revoir."
Les deux gentlemans appelé saluèrent de leurs chapeaux. "Le plaisir est pour nous Madame la comtesse." ce permit de répondre James.
L'homme brun commenta "Eh bien, Edward. Maintenant tu connais son prénom."
La jeune femme du groupe rougis "Oh veuillez m'excuser. Ce n'était point dans mes attentions de vous couper la parole."
Léon rigola "Il n'y a rien de mal Elizabeth. Je ne faisais que vous taquiner." Son regard se retourna de nouveau vers le marquis "Je vous présente James Connor. Archéologues et comme il le dit si bien lui même..."
Le susnommé continua "Et médecins à mes heures perdus."
"Ravis de vous rencontrer Monsieur Connor. Je suis le Marquis Edward Midford, chef des chevaliers d'Angleterre, et également le frère de la dame qui nous accompagne." Il lui tendis sa main.
James la serra sans hésitation "C'est un honneur Monsieur le Marquis."
"Puis-je me permettre de vous posez une question messieurs?" Demanda la comtesse.
Le Baron se permit de répondre pour eux deux "Je vous en pris, nous sommes tout ouïs."
"Qu'est-ce qui vous amènes sur les terres de mon mari, et que faites-vous aussi loin des vôtres? N'était elle pas assez belle pour y galoper?" Cette fois se fut à son tour de le taquiner.
"À vrais dire Madame, je crains que ce ne soit ma faute." James parla. "Nous avons tant parlé de nos voyages hier que nous avons peu écouter les vôtres."
Elizabeth rigola légèrement "Je crains de vous décevoir mon cher. Je n'ai jamais vécu de grand voyage."
"Vraiment? Mais alors où auriez-vous appris l'escrime si ce n'est en Egypte parmi les plus grands épéistes!" Questionna t'il avec une innocence feinte.
"Oh! Je vois que l'on vous a parlé de mon don à l'épée." Elle déclara tout en regardant Léon avec des yeux accusateurs. La seule réaction de se dernier fus d'hausser les épaules en ricanant.
"Effectivement Madame. Et je voulais voir si les rumeurs disaient vrais." L'archéologue acquiesça.
"Eh bien. C'est vôtre jour de chance Messieurs! Mon frère et moi voulions justement nous affronter. Que diriez-vous de vous joindre à nous?" La jeune femme leurs proposa spontanément, puis sans attendre leurs réponse, elle fit faire demi tour à son cheval et galopa en direction du manoir. On pouvait voir une lueur de défis rayonner dans ses yeux. Et Edward se trouvait avoir la même flamme. Donc sans broncher, la troupe partit à vive allure vers l'imposante maison des Phantomhive.
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Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui.
J'espère que ce chapitre vous a plus, et je vous remercie de suivre mon histoire.
N'hésitez pas à laisser des commentaires qu'ils soit négatifs ou positifs ils aide et encourage à écrire.
À la prochaine!
