Bonjour
Alors je ne sais pour quelle raison, je n'arrive plus à répondre directement au commentaire sur le site fanfiction. Alors je vous répond ici :)
Pour guest: Merci beaucoup pour ce commentaire. Je suis extrêmement heureuse que tu aimes mon histoire malgré mes fautes. Comme d'habitude je vais faire de mon mieux et continuer mon histoire jusqu'au bout. (Et merci d'apprécier l'Histoire avec un grand H. Beaucoup préfère l'ignorer pour n'offenser personne. Seulement oublier n'efface pas, et après il y a des incohérences partout et sa m'énerve!) Voili voulou, bisou.
Pour SweetAngel91: Merci beaucoup. En ce qui concerne un bêta reader, j'ai une personne en tête. Seulement j'ai trop peur de gêner, et qu'il trouve mon histoire étrange. Même si je sais que cette personne lit actuellement de temps en temps mes histoires. Mais bon... Si je suis assez courageuse je lui demanderais. Bisou, et encore merci d'avoir commenté et de suivre l'histoire. Cela me fait très plaisir :)
Aussi, lors d'un chapitre précédent j'avais mit * sur l'action baise main, et après j'ai complètement oubliée de dire pourquoi. Et bien voilà maintenant l'explication. Souvent dans les films lorsqu'un homme fait un baise main à une dame il embrasse sa main. Et c'est là que je dit stop! En réalité il y avait au moins 5-10 cm d'espace entre la main et les lèvres. Puis bien sûr sur la main droite. Et petit fais en plus pour les intéressés cela se faisait seulement si vous aviez un toit au dessus de votre tête.
Bien maintenant que ça c'est fait.
Voici la suite~
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La comtesse Phantomhive arriva à son manoir en ouvrant grand les portes, ses invités suivant derrière elle. Elle fit quelque pas dans l'enceinte puis appela du haut de ses poumons Mey-rin.
La servante se présenta la minute après "Oui madame."
"Prépare ma tenue d'escrime et dit à Bard de préparer du thé." Elizabeth commanda joyeusement.
"Vous n'auriez pas du whisky ou du cognac. Je m'excuse mais je ne raffole pas du thé." Coupa James tout à fait détendu. La maîtresse des lieux fut quelque peu dérangée par cette demande. Après tout midi n'était même pas encore arrivé, et ce n'était pas la boisson la plus noble.
Le baron profita du silence pour se moquer de la requête de son ami. "Et malgré cela vous m'avez tout de même suivie en Angleterre." Les nobles présent rièrent en cœur à ce commentaires.
Cela détendit l'atmosphère et la jeune femme consenti donc au souhait de l'archéologue "Je vous laisse le whisky. Nous en avons mais c'est seulement pour les invités qui en désirs. Mon mari et moi n'en raffolons pas." Puis se tournant vers Mey-rin "Vous sortirez donc le whisky avec. Et n'oubliez pas les glaçons."
"Bien Madame." Sur ce la servante fit une révérence et alla s'acquitter de ses tâches.
"Bien messieurs je vous laisse attendre dans la salle d'exercice, car c'est là où nous nous affronteront. Je n'ai malheureusement pour vous aucun vêtement d'escrime. Cela ne vous dérange pas j'espère?" Questionna la maîtresse des lieux.
"Ne vous inquiétez pas Elizabeth. Nous nous contenterons de nos chemise pour essuyer notre défaite." Plaisanta Léon. Ils rigolèrent de nouveau, puis la comtesse partit vers ses quartiers pour se changer.
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"Bard, Bard, Bard!" Criais Mey-rin, descendant les escaliers menant vers la cuisine.
Le cuisinier lisait le journal du jour, assis tranquillement sur un tabouret en bois, fumant une cigarette. Voyant sa tranquillité partir il lui répondit d'un ton bourru "Quoi? Qu'est-ce qu'il y a."
Une fois arrivée en bas elle s'exclama "Tu ne devineras jamais qui il y a en haut!"
"La reine?" Il demanda de manière désintéressée.
"Non. Il y a le Baron moustachu, et un homme dont je ne connais pas encore le prénom. Mais tu l'aurais vue!" La servante soupira "Il est beau comme un dieu."
"Super." Il referma son journal et écrasa sa cigarette sous sa chaussure.
Puis, de loin. On entendit une autre voix appeler le prénom de Bard. La voix se rapprocha de par la porte menant vers le jardin et arriva finalement jusqu'à la cuisine pour s'exclamer "Tu ne devineras jamais qui est en haut! Oh Mey-rin tu es là aussi. Tu ne devineras ja-"
Le cuisinier le coupa "Je pense qu'elle ta entendus la première fois."
Finny tout joyeux déclara alors sa découverte "Il y a en haut le Baron moustachu, et un autre homme. Et, et il me rappelle quelqu'un. Enfin, pas exactement quelqu'un. Plus quelque chose... Mais il a fallut un quelqu'un pour faire le quelque chose."
Bard le coupa de nouveau "C'est bon, c'est bon. On a compris je crois."
"Ou pas du tout." Murmura la servante.
Le cuisinier se releva "Bien. De toute façon nous avons des choses plus importantes à faire." Puis il commença à partir par la porte qui menait vers le jardin.
"Où vas tu?" Demanda le jardinier.
Bard s'arrêta "Ça depend. Où ils se trouvent?"
"Je crois avoir entendue la jeune maîtresse dire qu'ils se trouveraient dans la salle d'exercice." Mey-rin dit, pensant à voix haute.
Le plus âgé des Hommes reprit sa marche tout en déclarant "Eh bien. Je me trouverai devant la fenêtre de la salle d'exercice alors."
La dame à lunette le rattrapa par l'arrière de son col avant qu'il ne parte "Que compte tu faire là bas! Les espionner! Des choses plus importantes à faire mon œil."
Le cuisinier s'extirpa avec habilité de la prise de la servante "Ne joue pas les innocentes! Tu allais faire la même chose."
Les joues de Mey-rin se colorèrent d'un rouge profond. Elle ne cachait jamais très bien ses pensées, et la honte d'avoir pensé à jouer les voyeurismes la rattrapa vite. Mais dans une tentative désespérée de camoufler ses idées malsaines la servante croisa les bras et se mit à tousser, d'une voix forte et d'une façon quelque peu grincheuse elle changea le sujet en sa faveur "De toute manière tu ne peu partir. Tu Dois préparer le thé pour trois personnes et un vert de whisky avec des glaçons. Maintenant vous m'excuserai messieurs. Je dois allé aider la jeune Madame à enfiler sa tenue d'escrime." Puis d'un pas ferme elle se détourna, marchant vers les escaliers.
"Qu'elle thé?" Le cuisinier cria sa demande.
"La jeune maîtresse n'a pas précisée." Répondit la servante en claquant la porte à sa sortie.
"Bon, bas vas pour du traditionnel." Déclara Bard en se grattant l'arrière de la tête la colère de Mey-rin l'affectant à peine.
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En attendant l'arrivée de la dame des lieux, les messieurs avaient déjà enlevés leurs vestes et commencés à s'échauffer. Edward avait appelé Finny pour sortir quatre rapières, et le serviteur c'était exécuté. Une fois sa tâche accompli il disposa sous le regard scrutateurs de James.
"C'est tout de même étrange que dans un si grand manoir, nous soyons obligés de faire appel à un jardinier pour nous procurer des épées." Rigola l'archéologue. "Veuyez m'excuser Marquis. Mais votre beau frère, ne serait-il pas avare?" Il dit d'une manière quelque peu sarcastique.
Monsieur Midford fut tout de suite pris de court par les propos que venait de tenir l'homme en face de lui. Il et resta les yeux écarquillés et bouche bée. La seule réaction du Baron fut de se recroqueviller légèrement sur lui même et d'afficher un visage embarrassé. Il aurait aimé dire qu'il ne s'attendait pas à un tel commentaire de la part de son ami. Seulement il le connaissait trop bien et savait qu'à un moment donné il aurait dit une phrase non orthodoxe alertant sur son passage toute l'Angleterre.
Edward finit finalement par se remettre de son choque. Ayant eut le temps d'analyser les paroles exacte de l'Américain, il ne pouvait décidément pas laisser cela passé. On venait d'insulter son beau frère du pêché d'avarice après tout. Toute fois, il ne laissa pas sa colère prendre le dessus. Il est un gentleman d'Angleterre, et la colère était aussi un pêché. Alors d'une voix forte, mais contrôlée, il déclara "Pour une personne sans titre vous êtes bien sûr de vous. Surtout pour oser articulé de telle chose." Il se rapprocha du visage de James, le regarda droit dans les yeux, puis dans un souffle lui dit "Savez-vous même ce que vous venez de proclamer?" Puis sans hésiter il lui gifla le visage du revers de sa main. "Évitez d'ébruiter de telle absurdité. Je vous en serez gré."
La tête baissé par la force de la frappe, l'homme le regarda avec colère. Néanmoins, la mâchoire et les poings serrée, il s'excusa "Veuyez me pardonnez Monsieur le Marquis. Cela ne se reproduira plus."
"J'espère bien. Soyez reconnaissant que je ne vous ai pas déjà expulsé de cette maison. Si vous voulez vraiment vous faire pardonner ne revenez plus sur ses terres après cette rencontre. Je refuse de voir ma sœur fréquenter une personne aussi peu recommendable." Déclara le marquis la fureur empreinte sur son visage. Puis légèrement peiné il se tourna vers Léon "Vous me décevez Rosemary. Savoir que vous sympathisez avec ce genre de personne."
Le Baron s'inclina "Vous m'en voyez désolé Monsieur le Marquis. Seulement je vous assures que malgré son humour quelque peu déplacé, Monsieur Connor est tout à fais un homme de bien. Donnez lui une seconde chance."
Edward décala son regard de nouveau vers l'archéologue. Il le jugea de haut en bas. Et d'un ton sec déclara "Nous verrons..."
Léon souris et se releva "Merci Monsieur le Marquis."
Toujours avec les dents serrées James répéta la phrase de son ami "Oui. Merci Monsieur le Marquis."
Puis comme une brise fraîche, la Comtesse arriva habillé de sa tenue d'escrime. Sans même remarqué le climat dangereux elle s'exclama joyeusement "Me voici Messieurs, êtes vous prêt?" La délicatesse de ses pas et l'élégance de sa personne calma quelque peu les tentions présente. Néanmoins l'atmosphère n'était toujours pas des plus chaleureuses. On pouvait clairement sentir que quelque chose s'était passée. Alors la dame s'inquiétant du bien être de ses invités osa prudemment demander si il était arrivé quoi que ce soit "Tout vas bien mes amis?"
Tout souri le Marquis Midford répondit "Nous nous portons à merveille ma cher Elizabeth. Nous avons seulement eu quelque désaccord concernant des affaires d'hommes."
"Oh! Bien dans ce cas je préfère ne point m'en mêler." La jeune femme se rapprocha de ses invités "Sinon Messieurs, auriez-vous l'obligeance de bien vouloir m'informer qui seras le premier des ses courageux à vouloir m'affronter?"
Pendant que les nobles discutais de l'ordre des matchs, en arrière-plan une servante au lunette ronde posait doucement un plateau de thé sur une petite table en marbre blanc entourée de trois chaise Louis XVI. Pensant qu'ils ne la remarqueraient pas, elle en profita pour admirer le belle inconnue. Le regardant maintenant sans sa veste pour le cacher et ses manche remontées Mey-rin le trouvât encore plus beau. Ses muscles était bien plus visible ainsi. Puis lorsque ses yeux arrivèrent vers son visage, elle remarqua qu'il la regardait avec un sourire en coin et des yeux malicieux. La servante sursauta au choque d'être prise sur le fait. Sans attendre une seconde de plus les joues rougis par la honte elle s'enfuit. Seulement en ouvrant la porte Mey-rin se cogna le front. Le bruit alerta les nobles et ils se retournèrent vers elle. La servante s'inclina vite fais pour s'excuser et continua sa fuite.
Léon rigola de l'action et Elizabeth le suivit mais en s'excusant pour les manières de sa servante "Veuyez nous excuser. Elle est un peu maladroite, pourtant elle nous offre un excellent service." La comtesse s'éloigna des messieurs puis se mit en garde "Alors mon cher frère! Êtes vous prêt?"
Edward se mit en ligne avec la comtesse, puis en garde "Toujours ma cher sœur."
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Après quelque heures d'attaque, esquive, contre attaque, retrait, et touche le Baron et l'archéologue étaient épuisés s'étant affalés sur les chaises près de leurs boissons. La maîtresse des lieux elle était légèrement essoufflée et s'épongeait délicatement le visage avec une serviette. Tandis que le Marquis pour sa personne c'est à peine si il transpirait.
La jeune femme de l'assemblée s'exclama "Décidément Edward, je n'équivaudrait jamais votre endurance."
Prenant une gorgée de thé son frère lui répondit "Et moi jamais votre agilité Elizabeth."
"Et moi jamais rien." Plaisanta Monsieur Rosemary.
James suivis son rire, puis complimenta la dame de la maison "Madame la comtesse, laissé moi vous dire que les paroles que l'on ma rapportée concernant votre don son loin d'être exagérée. Vous êtes un véritable prodige, enfin que dis-je, génie d'escrime."
La susnommée ricana au compliment d'un rire de clochette "Merci beaucoup James. Vous êtes trop aimable."
"Oh, ne jouez pas les personnes humbles en ma compagnie. Acceptez seulement mes compliments, cela sera le plus beau remerciement." Dit l'archéologue tout en ce réservant un verre de whisky.
La jeune femme continua de rire puis acquiesça "Très bien Monsieur. Je me fait un plaisir de les accepter."
Au coins de son œil James vu Edward le regarder comme si il était la pire chose existante au monde. Seulement il lui donna juste un sourire puis reposa son regard sur la comtesse.
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Ils continuèrent de passer le temps ensemble jusqu'à une heure et quart de l'après-midi. Après cela Le Baron et son ami partirent. Elizabeth resta à leur dire au revoir sur le bas de la porte jusqu'à ce qu'il ne soit plus que des petits points au loin sur le sentier.
Une fois ses amis partis elle se retourna vers Edward qui la regardait d'un air légèrement sévère. Ne savant pas pourquoi son frère lui offrait une telle réaction, ses sourcils se froncèrent d'inquiétude. "Il y a quelque chose qui ne vas pas?" Elle demanda gentiment prenant les mains du Marquis.
À cette question Monsieur Midford soupira. Il enleva délicatement ses mains de la prise tendre de sa sœur, puis la conduit doucement, une main posée entre ses omoplates, à l'intérieur du manoir. "Ce n'est rien Elizabeth. Allons manger, veux-tu?"
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Pendant ce temps dans un hôtel de Liverpool. Un Comte et un scientifique planifiaient leurs enquêtes. Ou plutôt un jeune adulte souffrant de crise d'asthme essayait de planifier une enquête tandis qu'une grande enfant s'amusait avec ses expériences fumante.
Depuis le début il n'avait rien dit, restant sagement assis sur le lit ses dossiers et plan étalé autour de lui. Mais lorsque sa troisième petite machine se mit à éclater, faisant voler boulon et écrou le blessant à la joue il en eut assez. Astre se leva d'une traite puis se dirigea vers l'allemande assis parterre. "Bien. Maintenant ça suffit Sullivan! J'en ai assez!" Il proclama.
"Doucement. On pourrait t'entendre mon chère Mark." Dit Sieglinde prêtant plus attention à sa machine cassée que son partenaire.
Le Comte pris l'arête de son nez entre son pousse et son index, puis inhala profondément pour ce calmer. Seulement la seule chose qu'il fit après fut de tousser violemment à cause de la fumée qu'une des machines recrachaient en continue. C'est la que Sébastian se mit à intervenir.
En quelque enjambées il était près de la fenêtre. Il allait l'ouvrir, mais sentant déjà l'air pollué à travers les vitres il se retiens. À la place il décida de confisquer les affaires du scientifique en les emportant à l'extérieur de la pièce.
À cette actions Sieglinde ronchonna, mais en entendant la toux forte de Astre elle se releva à l'aide des meubles l'entourant, puis juste après elle fit en sorte que le jeune adulte l'accompagnant s'assoit sur une partie du lit qui n'était pas recouvert par des papiers.
"Là, là. Tout vas bien mon cher époux. Je suis là." Elle dit d'une manière désintéressée tout en lui caressant le dos et l'aidant à reprendre sa respiration.
"Je te déteste." Cracha Astre entre deux toux.
"Je sais mon amour. Respire, respire." Sieglinde continua d'ignorer les propos du Comte tout en mimant ses propre parole. Le silence régna pendant quelque instant et le jeune homme avait réussi à reprendre sa respiration.
Il inspira et expira doucement une dernière fois pour se calmer complètement, puis il regarda le scientifique droit dans les yeux "Tu es un véritable danger pour l'humanité."
En réponse elle lui sourit et lui offrit un baisé sur la joue. À cette action Astre s'écarta le plus possible d'elle puis se mit à frotter furieusement sa joue embrasser avec ses manches comme si elle avait été empoisonnée. "Ne refait plus jamais ça!" Il cria avec dégoût.
En regardant sa réaction l'Allemande ne fit qu'éclater de rire. "Tu es si prude."
À cette remarque le Comte ne fit que ronchonner et grogner. Puis sans même qu'on ne le vois arriver, Sébastian c'était déjà mit à soigner la blessure que son maître avait sur la joue provoquer par l'explosion de la machine de Sullivan. "Vous devriez vous calmer Mademoiselle. Enfin Madame Andrew." Le majordome referma la boîte de premier secours. "Et vous devriez vous souvenir que le prénom de votre femme est Sophie, Monsieur."
Le Comte soupira, et sans aucun tact changea de sujet "Toujours aucune nouvelle des serpents?"
"Non, Monsieur." Répondit humblement le serviteur. Pourtant il ajouta ceci "La patience est une vertu, monsieur. Et cela ne fait même pas un jour qu'il est partit. Nous pouvons en déduire que-"
Mais Sébastian ne pu jamais terminer sa phrases Snake venait d'entrer. Il prit bien soin de refermer la porte derrière lui, puis se rapprocha de l'oreille du Comte pour lui murmurer "Trois caisse ont été déposées devant une taverne avec un insigne cassé et un homme borgne moustachu. Puis une fillette maigre à la peau sombre comme le cacao est apparue et à traînés les caisses à l'intérieur. Juste après, les hommes avec le reste des caisses son partit à la gare pour demander des tickets en direction de Manchester. Dit Emily."
"Bien. Merci Snake." Remercia Astre. Après cela le jeune homme se mit à réfléchit quelques instant la main sous le menton pour l'aider à mieux ce concentrer.
Cinq minute c'était à peine passée, que appuyant son dos contre un mur, il commença à donner ses ordres "Sébastian ramène la nègre ici, je l'interrogerai. Snake reste avec Sullivan dans notre chambre." Astre se redressa et commença à enfiler son manteau "Moi je vais à la gare nous chercher des tickets. Exécution!"
"Oui, mon seigneur." Dirent les deux serviteur. Évidemment sans oublier Snake murmurant le nom d'Emily.
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Voilà ce sera tout pour aujourd'hui.
J'espère que ce chapitre vous aura plus.
Et merci beaucoup de suivre et d'apprécier mon histoire. Je vais continuer à faire de mon mieux ( ̄^ ̄)ゞ
*voix de youtubeur* n'hésitez pas à laisser un pouce bleu et à lâcher des commentaires. Kiss kiss (fall in love)
*ending de jojo commence à jouer* to be continued.
