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Le lendemain, tout ce déroula normalement. James était parti le matin, salué sur le porche par Elizabeth. Depuis la fenêtre de son bureau, le comte l'avait admiré s'en aller avec un regard suffisant; trop heureux de savoir que ce parasite ne se trouvait plus dans sa demeure.
La journée commençant bien pour Astre, il fut de bonne humeur la plupart du temps. Cependant la comtesse à présent sans compagnie, il lui fallu un certain moment avant de pouvoir s'échapper de l'ennui. Elle se promena d'abords longuement dans les jardins, puis plus tard ce mit à broder. La jeune femme aurait aimée aller voir ses oiseaux, seulement ils étaient en pleine hibernation. Alors hors de question de venir les déranger.
Au cour du temps, Elizabeth entendit plusieurs fois la cloche de la porte du manoir sonner. Elle savait que c'était des personnes venues voir exclusivement son époux. Puis, son mari lui ayant formellement interdit de s'approcher des Hommes avec qui il faisait affaire, la comtesse ne fit même pas un pas vers eux pour les accueillir. Cependant, de nature curieuse; elle ne pouvait s'empêcher de se lever doucement de sa place, ouvrir légèrement la porte menant au hall d'entrée et d'espionner le monde qui rentrait dans sa demeure. Quelque fois les invités se retournaient vers elle, mais la jeune femme était assez rapide pour ce cacher.
Puis lors d'un énième tintement de cloche, lorsque Elizabeth s'approchait pour épier, cette fois elle reconnue la personne entrant. Voyant un visage familier un grand sourire lui vain. Elle sortit sans honte ni peur du petit salon puis l'appela "Madame Eloie! Comme je suis heureuse de vous voir."
La vielle femme en question se tourna vers la voix l'ayant appelé et la salua humblement "Bonjour Madame la comtesse. Le plaisir est pour moi naturellement."
"Pourquoi cette visite soudaine?" demanda la maitresse de maison.
"Monsieur le comte ayant été en voyage d'affaire pendant longtemps, je viens l'accueillir de son retour. Je viens également m'acquitter de mon devoir envers l'orphelina qui ce trouve sur les terre Phantomhive, en venant donner le rapport de ces trois mois."
La maitresse de maison lui répondit gaiement "Oh je vois." ne sachant quoi dire pour que son amie ne la quitte pas tout de suite, elle regarda autour d'elle un peu gênée. Puis reprit avec un grand naturel, "Que diriez-vous de patienter en ma compagnie dans le petit salon? Le salon principal déborde déjà de nombres d'Hommes d'affaires. Je suis persuadée que vous serez plus sereine dans un endroit moins public."
"Ce serai avec plaisir, Madame la comtesse."
Alors, d'un mouvement gracieux de la main, la jeune femme ouvrit la voie à l'invitée. Elle la conduit au chaud près de la cheminé, et incita madame Eloie à s'assoir confortablement sur le canapé en face d'elle.
Mey-Rin avait apporté une tasse de thé supplémentaire, ainsi que quelque biscuit.
La directrice de l'orphelina apprécia le thé mais regarda les accompagnement de travers. Elizabeth le remarqua, "Les gâteaux ne sont-ils pas à votre goût?"
"Loin de là. Je n'ai point un palais aussi raffiné que le votre. Je ne serais juger ce que vous avez la bonté de m'offrir." la dame fit une pose puis repris, "Seulement, je trouve que ce n'est pas une heure propice au sucrerie."
Soudainement la comtesse eut une vague de honte traversant son corps. Elle ne voulait pas passer pour une femme gâtée qui s'adonne au pêché de la gourmandise. Regardant d'un air gênée sa servante, elle ordonna d'une voix inégale "Débarrassez cela."
Cependant madame Eloie l'arrêta de son ton neutre habituel, "Non, je vous en pris. Vous avez besoin de manger. Vous avez encore le corps d'une demoiselle, Comtesse. Si vous voulez accueillir un enfant, il vous faut le corps d'une femme." puis elle pris une gorgée de son thé.
Les joues de la jeune femme et de sa servante devinrent aussi rouge que des baies. Alors sans même un second regard, Mey-Rin se dépêcha de partir malgré les signaux de détresses que lui avait envoyée sa maîtresse. Elle savait qu'elle se ferait rouspéter par sa dame et tordre les oreilles par Sebastian plus tard; mais il était hors de question qu'elle entende cette discussion plus qu'embarrassante.
Elizabeth maintenant seule dans ce dialogue inconfortable, força un sourire et sirota sa boisson.
"Je vous avise d'ailleurs de le faire le plus tôt possible. Comme nous le savons tous, monsieur le comte est extrêmement pris par son travail."
La maîtresse des lieux la coupa avec un faux rire, et essaya de changer le sujet de la conversation "Vous avez raison. Je pense que si nos parent ne nous avez pas fiancé à nôtres naissance, Astre aurait épousé son travail à ma place!"
Mais la directrice de l'orphelina ne pris pas l'hameçon. Elle lui offrit un sourire raide, puis continua "Comme je le disais: le comte est extrêmement pris par son travail. Nous ne savons quant-il sera déjà repartis sur les routes. De plus l'hiver est une des meilleurs saison pour confectionner. Ainsi l'enfant naîtra en fin d'été ou en début d'automne. C'est un temps presque parfait pour un nourrissons."
Le visage en feu, la comtesse hochait la tête aux conseils. Puis voulant à tout pris éviter le sujet de s'éterniser, elle essaya de stopper les inquiétudes de son inviter. "Laissé moi vous rassurer, nous nous y adonnons au moins une fois par mois." malheureusement les connaissances de la jeune femme son très limité lorsque les devoirs conjugaux sont mentionnés.
Alors à cette déclaration Madame Eloie écarquilla les yeux. "Seulement?"
Voyant qu'elle n'avait rien améliorée, Elizabeth gémit intérieurement, et se mit à bégayer "Bien comme vous l'avez dit tantôt, j'ai un marie très occupés. Et ses occupations lui prennent toute son énergie. Alors il est occupé à dormir et manger pour récupérer. Et ne peu donc s'occuper de moi..."
Remarquant l'état paniqué de son hôte, la vielle femme posa sa tasse de thé. "Effectivement, tout cela est très préoccupant." elle se leva, et vain s'asseoir au côté de la maîtresse des lieux. "Calmer vous ma chère. Cela n'est rien de grave. Il est étonnant à vos âges que vous ne pratiqué pas plus que ça. Mais comme vous l'avez démontré, je pense que tout ces ennuis vienne d'une mauvaise organisation." elle s'arrêta momentanément pour prendre l'assiette de biscuit et la tendre vers la comtesse. Cette dernier ce détendit au comportement maternel et pris un gâteau. "Bien. Vous avez vous même énoncé les principaux problème qui embarrasse votre vie de couple. Donc essayons de voir si nous pouvons améliorer cela. Mais commençons d'abord par les bases. Quelle est la règle absolue que doit connaître toute bonne Maîtresse de maison?"
"Protéger l'être aimer au péril de sa vie!" répondit vivement Lizzy.
Un rire sec s'échappa de la bouche de Madame Eloie. Pour les personnes non avertie, cela pourrait sembler rude. Mais en vérité c'était simplement son rire normale. "Je reconnais bien là les mots de la Marquise Midford votre mère. Mais non, ce n'est pas cela."
"Oh..."
"La règle d'or est: Une bonne maîtresse de maison doit pouvoir servir son époux sans jamais le contrarier. Pour cela elle doit faire tout se qu'il veut. Bien sûr, dans le respect des moeurs et de l'église. Même si certaine personne trouve qu'il est normal pour un homme d'aller aux maisons closes; laisser moi vous dires que c'est tout à fait révoltant. Cela n'est que preuve, que la femme à échoué à son devoir conjugal en laissant son époux s'écarter du droit chemin."
Légèrement perplexe, Elizabeth demanda "Mais, si il ne désire jamais rien? Que lorsque vous le voyez surmenez, pâle, affaiblie, vous essayez de l'aider; cependant il ne veux pas de votre aide et vous repousses?"
"Alors ce n'est pas qu'il ne désire rien, c'est qu'il ne vous fait pas confiance. Et cela veut dire que vous êtes la causes des malheurs de votre marie."
Soudainement Sebastian rentra dans la pièce "Monsieur le Comte est prêt à vous recevoir Madame Eloie." il jeta temporairement un regard à la femme de son maître, sentant son esprit troublé. Seulement il n'en fit rien pour le moment.
La directrice de l'orphelina hocha la tête vers le majordome, se leva, puis fit une révérence "Ce fut un plaisir de partager ce moment avec vous Madame la Comtesse. Au plaisir de vous revoir." Et ainsi la jeune femme se retrouva seule dans ses pensées.
Elle! La raison des malheurs de Astre! La comtesse ne pouvait s'y résoudre. Ce n'était pas possible. Celui qu'elle aimait serait dans cette état d'épuisement par sa faute?
Une tornade de chagrin la traversa et Elizabeth se mit à pleurer à chaude larme. Elle essaya de recouvrir le bruit de ses sanglots avec ses mains, cependant si vous vous teniez dans le couloir en ce moment vous entendriez clairement le bruit de ses lamentations.
Hoquetant pour reprendre l'air qu'elle avait perdue, cela donna quelque seconde à la jeune femme pour réfléchir.
Elle prend cela trop à coeur. Après tout ce n'est qu'une hypothèse! Madame Eloie est une personne extraordinaire mais elle ne détient pas la vérité absolue. Elle devrait probablement se renseigner auprès de sa mère.
Seulement, la comtesse n'avait pas l'énergie de prévenir de son arrivée au manoir Midford, ni la patience pour un voyage vers ses réponses. Elle décida qu'il serait plus rapide d'appeler sa mère par téléphone. La marquise n'est pas éprise des nouvelles technologies et trouvera cela impolie de sa part. Mais sa fille est sûr que juste pour cette fois, elle l'excusera.
Par conséquent, Elizabeth sortie un mouchoir de sa poche, essuya délicatement ses larmes, puis en contradiction avec sa conscience lui criant de se calmer, elle se précipita vers le salon principal, là où le téléphone séjournait.
Elle ouvrit les doubles portes brusquement. Puis sa respiration qui avait été erratique jusque là, se coupa instantanément. La jeune femme venait de faire une énorme erreur.
Devant elle se trouvait une dizaine d'homme au regard tout aussi étonné qu'elle.
Aucun des invités présents dans la pièce ne s'attendaient à voir une femme arrivé à la place du majordome de la maison. Alors pendant une minute le silence régna entre les acteurs de cette scène.
Puis se rappelant soudain de l'étiquette anglaise, les gentils hommes se mirent tous à se mouvoir en même temps. Ceux qui avait été assis jusque là se levèrent promptement; ceux fumants éteignirent rapidement leurs cigares, et l'un d'eu eu l'idée d'ouvrir une fenêtre pour faire partir la fumée.
Se sentant horriblement idiote de sa maladresse, Elizabeth ne bougea pas d'un cil jusqu'à ce qu'un des hommes lui parle. "Bonjour Madame..."
"Phantomhive. Je suis la comtesse Phantomhive." répondit-elle gênée.
Leurs attitudes raides de surprises devient raides de peurs. Un autre invité parla "C'est un immense honneur, que dit-je, privilège, que de faire enfin votre rencontre Madame la comtesse." et ne voulant perdre face devant l'épouse du chien de garde de la reine, ils se mirent tous à la saluer de façon hyperbolique.
La jeune femme ne savait quoi faire. Astre allait être furieux après elle. Cette simple pensé lui donnait envie de se morfondre à nouveau. Seulement elle ne pouvait afficher un tel visage devant les partenaires commerciaux de son époux. Alors elle pris une grande inspiration et déclara "Veuillez m'excusez pour cette soudaine apparition. Cela était fort impolie de ma part. Perdu dans ma réflexion je ne fis plus attention à mon entourage. Je vous pris une fois de plus de bien vouloir me pardonner."
"Je vous en pris Madame la comtesse. Vous n'avez pas à vous excuser, c'est votre demeure." dit l'un des hommes.
"Oui, ne vous en troublez pas. Si vous aviez une affaire urgente dans ce salon, nous serions heureux de le libérer sur le champs!" repris une autre personne.
Elizabeth leurs donna un sourire forcé "Ce n'est pas la peine. J'avais seulement besoin du téléphone." sa voix craqua légèrement, et les larmes remontèrent. Elle avait honte. "Mais je vais attendre." voulant partir le plus vite possible, elle se détourna, mais un invité attrapa sa main.
"Je m'excuse de vous retenir, seulement l'affliction qui recouvre votre visage, n'a je pense, échappée à aucun d'entre nous. Et il serait inconcevable qu'en temps que gentils hommes d'Angleterre, nous vous laissions partir sans vous demander ce qui vous accables."
Les larmes aux bords des yeux elle chuchota "Je vous remercies, mais ce n'est pas la peine." seulement la jeune femme a toujours porté son coeur sur sa manche. Et bien vite, des flots coulèrent le long de ses joux.
Les invités désemparés, ne savaient quoi faire pour aider la comtesse. Ils s'écartèrent des canapé et fauteuil pour la laissé s'asseoir là où elle désirait. Elizabeth n'y réfléchie pas trop et s'installa sur la méridienne la plus proches. Un vielle homme lui offrit son mouchoir. Et ils attendirent embarrassés que ses pleurs ce calmes.
Après plus d'une demie heure de sanglot, la respiration de la comtesse s'ajusta. Elle avait les yeux rouge, mais au moins l'eau salé n'en découlait plu.
Regardant autour d'elle, la jeune femme balbutia "Je suis affreusement confuse de vous avoir dérangé pour ma personne."
Une silhouette rondelette s'adressa à elle "Ne vous en faites pas madame la comtesse. C'est nous qui somme désolé de n'avoir pu vous aider mieux que cela." il lui présenta une belle boîte bleu marine puis l'ouvrit "Peut-être qu'une gourmandise vous redonneras le sourire?"
Elizabeth regarda avec bonheur le contenue de la boîte en constatant les pâtes de fruit "Comme c'est aimable de votre part." ses yeux se dirigèrent vers l'homme "Pourriez-vous me dire les parfums?"
"Bien sûr! Je suis fier de vous présentez les nouvelles saveurs des confiseries Phantom. Ceci est notre arrangement de luxe pour les palais réclamants de l'exotisme. La première rangé est à la mangue; la seconde à la banane; la troisième, bien qu'un classique reste exotique, est à l'orange; puis enfin la dernier rangé est à l'ananas."
La jeune femme écouta diligemment et fut étonné par le dernier fruit. "A l'ananas dites-vous! Oh cela doit couter extrêmement chère?"
"Eh bien, je dois vous avouer Madame que le coût de sa préparation est élevé. Mais le plan marketing de votre époux est absolument imparable, alors nous ne crénions rien."
Elizabeth souris au éloge faites à son mari, puis regardant à nouveau la boîte elle piqua l'une des sucrerie. Retenant leurs souffles les invités attendirent son verdict. Elle se tourna vers eux avec un grand sourire "C'est exquis. Vous direz à vos chef qu'ils ont fait un travail remarquable."
"Je leurs communiquerez avec plaisir."
L'atmosphère qui c'était adoucis devient en un instant glacial. Barrant la route à une éventuel fuite, au milieu de l'encadrement des portes doubles, ce trouvait le comte Phantomhive les regardant tous d'un oeil froid. Les yeux tous dirigés vers la comtesse au paravent, étaient maintenant recouvert d'un voile de peur, en admirant la silhouette droite du chien de garde de la reine.
Elizabeth se leva brusquement "Astre! Je-"
Mais elle n'eu le temps de commencer sa phrase que le maitre des lieux la coupa d'un ton neutre "Dans mon bureau. Maintenant."
D'un air inquiet la jeune femme s'exécuta, et partit aussi vite qu'elle le pu.
Une fois qu'elle n'était plus à porté de voix, le comte leur offrit un faux sourire "Cela ne prendra pas longtemps. Merci de votre patience." Puis il se retourna pour rejoindre sa femme.
Seulement, le jeune homme été resté les bras derrière le dos tout le long de cette simple minute. Et c'est lorsqu'il partit que les invités comprirent pourquoi. Ce n'était pas pour imposer sa présence et montrer sa confiance, mais pour cacher l'arme qui aurait trouée leurs tête si ils avaient été imprudent.
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he yo bitchs what's up?
J'ai finis ce chapitre mais j'ai hâtes que vous voyez la suite. Ca va être trop bien!
comme d'hab dsl pour les fautes. et non je ne sais pas lorsque je publirais le prochain chapitre. je suis aussi imprévisible que le confinement.
J'espere que ca vous a plus. A la prochaine.
