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Cela faisait une heure que le comte Phantomhive avait été séparé de sa femme. Il l'avait vue de loin parler avec plus de la moitié des invités et jamais son sourire ne failli. A ceci il lui leva mentalement un toast.
Astre avait vraiment du mal à comprendre l'engouement de son épouse pour les salles bondées. En particulier pour celle-ci...
Bien qu'il était en partenariat avec Monsieur Venrino, cela ne l'empêchait pas d'éprouver une profonde aversion pour le couple maître des lieux. Si Elizabeth n'avait pas eux un penchant pour eux, le jeune homme n'aurait pas fait le moindre effort pour se rapprocher, et encore moins pour remettre les pieds chez eux.
Bien que le couple pouvait être extrêmement charmant à l'extérieur, toute les personnes présente savait ce qu'il se passait une fois leur réception terminée. Et elles étaient d'ailleurs très prisé pour cela. Les soirées livrées dans l'alcool, l'opium et la luxure. Les nuits préférées des "nobles" d'Angleterre.
Heureusement tout les invités n'y participaient pas. Pourquoi viendraient-ils alors? Pour rire de ceux qui en jouissent évidemment! Car il est bien connue que ce qui ne font que regarder sont meilleurs que ce qui participe.
Perdu dans ses pensées moroses, Astre n'avait pas entendu son épouse arriver à ses côtés. "Coucou!" elle salua rebondissante de bonheur avec une petite tape sur son épaule.
Sa soudaine apparition le fit légèrement sursauter. Puis constatant l'air rayonnant de la comtesse ses lèvres se courbèrent doucement dans un petit sourire. "Je suis heureux de voir que la soirée semble à ton goût."
Elizabeth lâcha un faible ricanement avant de répondre "Elle n'est pas exactement à mon goût, mais elle est sûrement loin de me déplaire complétement.". Puis elle sirota du verre à punch quelle avait dans sa main droite.
A ce dernier geste, le comte offrit un regard sceptique à son épouse. Il l'avait déjà vue boire deux, trois fois de cette boisson; et connaissant sa tolérance à l'alcool pour être basse, cela ne le rassurait pas vraiment.
Evidemment, la jeune femme ne manqua pas l'attention préoccupée de son mari à son égard. Alors de façon quelque peu moqueuse, elle le rassura "Tu peux ôter la lueur de détresse de ton oeil. Il n'y a pas d'alcool dans cette concoction." puis au creux de l'oreille de celui quelle aimait, murmura "Et franchement le goût s'en fait sentir."
Il ris légèrement à sa remarque, puis suivi "Si tu ne l'aimes pas pourquoi continus-tu de boire?"
"C'est le seul rafraichissement disponible qui ne contient pas d'alcool." puis étant près du buffet, Elizabeth attrapa un amuse gueule.
"Tu n'as pris qu'un seule verre de champagne. Tu peux t'en permettre un autre."
Le regard taquin, son épouse continua "Comment sais-tu que je n'ai pris qu'une seule coupe? Aurais-tu passé tout notre temps séparé à m'épier?"
Les joues de Astre ce soupoudrèrent de pourpre. Il se racla la gorge, "Quoi d'autre aurai-je pu faire? La compagnie qui nous entoure n'est pas vraiment celle que je préfère..."
"Tu aurais pu admirer le plafond." elle mima ses mots en dirigeant ses yeux vers les peintures. "J'ai toujours beaucoup aimée ce style rococo. Je trouve les couleurs très romantique."
Le comte fit comme sa femme, cependant sans grande joie "Mmh, je ne sais pas. Si je voulais voir des Hommes nus j'irai dans une maison close."
A cette déclaration la comtesse retourna rapidement son attention vers son mari avec une protestation coincée dans sa gorge, puis de façon ludique lui gifla l'épaule.
Ils essayèrent tout les deux de contenir leurs rires en buvant leurs boissons. Puis après quelques gorgées le couple c'était calmé. Un silence confortable s'installa.
Reposant délicatement son verre vide sur la table à côté d'eux la jeune femme l'échangea pour une flute de champagne "Je n'avais pris qu'une seule coupe car je voulais boire la deuxième avec toi." les pommette rougissante elle se rapprocha d'un pas vers son époux.
Avec un sourire railleur il lui répondit "Nous n'avons pourtant rien à célébrer." Astre mima les gestes de sa compagnes en remplaçant son verre de vin par une coupe de champagne.
"Voyons! Tu es sortis du manoir pour autre chose que des affaires commerciales. Si ce n'est pas à célébrer plus rien ne l'est."
A sa moquerie, toujours les lèvres dans un sourire en coin, le jeune homme leva les yeux au ciel; bien sûr, plus par bonne mesure que par réel contrariété.
Elizabeth tendit sa flute vers son mari. Il accepta sa requête silencieuse, entrechoquant cristal contre cristal, puis le couple prit une gorgée sans ce quitté du regard.
Dans un cour silence, ils dérivèrent leurs regards vers la piste de danse, avant que la comtesse ne parle à nouveau "As-tu appris des choses intéressante?"
"Je suppose que c'est ta façons de me dire que tu as des ragots dont tu souhaites me faire part. Si c'est cela, évite la politesse et raconte moi directement."
Ce fut au tour de la jeune femme de rouler des yeux, cependant son commentaire l'avait sincèrement quelque peu contrariée. Mais cela ne dura pas longtemps, et elle se mit tout de suite à articuler "Savais-tu que le couple Harcourt attendait un enfant?" c'était une fausse question, elle n'attendait pas vraiment de réponse de sa part. Et le comte l'ayant bien compris, ne dit rien et la laissa continuer. "Le couple prie pour un garçon; pourtant Madame Harcourt à mentionné que bien qu'il serait préférable d'avoir un garçon, elle avait toujours souhaitée une petite fille. Je lui ai alors répondue que dévoué comme ils le sont envers le seigneur ils auraient tout le temps du monde et la bénédiction des saints pour recevoir les deux. Seulement...", elle s'arrêta un moment, se rapprocha suffisamment de son mari pour nouer son bras avec le sien, puis repris en chuchotant "Seulement, elle m'énonça que elle ne pense pas avoir la force requise pour mettre au monde plus d'un enfant. Pourtant c'est une femme en parfaite santé, et lorsqu'elle m'enquit de ses mots elle me parue étrange. Je suis alors sûr qu'elle m'a menti." Puis Elizabeth repris d'un ton normal, "Bien évidemment je ne lui en tient pas rigueur, nous avons tous nos secret. Néanmoins je me demande ce qu'elle peux bien me cacher? Elle semblait vraiment en détresse..." elle bue une gorgée de son champagne puis se remit à chuchoter "Et à ce moment là, Madame Venrino fit un commentaire tout à fait épouvantable!"
Astre la coupa sur un ton plat "Attention Lizzy cela risque de commencé à m'intéresser."
Les sourcils de la comtesse se froncèrent et elle lança un regard mécontent à son époux, mais sa remarque ne l'empêcha pas de continuer, "Je disais!... Madame Venrino fit un commentaire épouvantable... Elle dit à Madame Harcourt que si elle n'était pas capable d'offrir le nombre d'enfant que son mari voulait, il serait bien assez aise d'aller les faires ailleurs." les yeux écarquillés la jeune femme s'adressa à son compagnon "Ne trouve tu pas cela révoltant!"
"Oh si, bien évidemment." le comte suivi sans que sa voix n'exprime le moindre sentiment.
"Naturellement, malgré mon penchant pour Madame Venrino, je ne pouvais la laisser parler à une amie de la sorte. D'autant plus que Madame Harcourt est comtesse tandis que Madame Venrino n'as aucun titre. Si ce n'était pour son mariage fortuné elle ne serait jamais sortis de sa vie modeste de fille de comptable." elle finit sa coupe puis la posa sur le plateau d'un serviteur passant, "Enfin... Revenons à ce qui c'est passé."
"Oui, je m'en voudrait de raté cela." il conféra avec indifférence.
"Après l'insulte de notre hôte envers Madame Harcourt, j'avais envie de lui répondre quelque chose de tout aussi abjecte. Elle ne méritais vraiment pas qu'on bafoue son honneur ainsi! Mais je me suis abstenue... avec grande difficulté je l'admet...". La conteuse ricana "Après tout cela Madame Harcourt m'a dit que mon visage était si rouge que l'on aurait pu me confondre avec une tomate! Oh, mais je m'égare encore!"
"Oui, concentre toi un peu s'il te plaît."
Au lieu de le réprimander pour un autre de ses sarcasmes, Elizabeth lui demanda "Peux-tu me passer l'assiette d'hors oeuvres s'il te plaît."
Il s'exécuta et lui tendit le plateau, elle pris un amuse gueule et avant de reposer le plat Astre fit comme son épouse. Seulement, contrairement à cette dernier il n'avait pas du tout apprécié le goût de la nourriture. Il avala avec difficulté la bouché qu'il avais croqué, puis son nez froncé dans le dégout, il donna un regard dépité à la jeune femme à ses côtés. Elle retenue un rire en voyant son expression.
Ils agirent en même temps, discrètement le couple vérifia autour d'eux si quelqu'un les observait. Ne constatant personne, sans avoir besoin de croiser les yeux de l'autre, la comtesse ouvrit la bouche et son mari y déposa le toast.
Un sourire complice en silence, et la femme du comte ce rappela qu'elle n'avait pas finis son histoire. "Où j'en étais?"
"Tu étais rouge?"
"Non, avant."
"Tu allais insulter Madame Venrino."
Elle lui tapa l'épaule, "Non justement! Après son commentaire envers Madame Harcourt j'ai préféré plutôt rassurer la comtesse. Je lui ai alors dit quelque chose dans les lignes de: Ne vous en faites pas. Il n'ait pas du genre du comte votre mari de s'abaisser à ce genre de chose."
"Et cela la aidé?"
"Pas vraiment, mais au moins Madame Venrino n'avait pas le dernier mot."
A cela Astre leva les yeux au ciel.
La colère lui monta aux joues à cette action, "Oh crois moi! J'aurais aimé lui dire: que lorsqu'on à un mari de trois fois son âge aux portes de la mort, et que l'on à toujours pas ne serait-ce qu'un enfant; la raison vous hurle de ne pas vous exprimer. Seulement on ne peux l'entendre que si nous en sommes dotés en premier lieux."
Pendant un instant son compagnon la regarda avec surprise, "Eh bien, pourquoi tu ne lui as pas dit. J'aurais accouru à tes côtés rien que pour le divertissement de voir son visage trop maquillé s'offusquer." il rit.
Toujours légèrement énervée, son épouse répliqua "J'ai ouï dire que tu avais déjà réussi à humilié et blessé plus de la moitié des invités. Il faut bien que j'équilibre la balance, sinon le jour où nous tiendrons une réception personne ne répondra au invitation."
"Ne me fais pas espérer." murmura le comte. Il s'attendait à ce qu'elle lui réponde en gémissant, seulement rien ne viens. Il tourna son attention vers elle, et regarda où ses yeux semblait concentré. Il comprit alors qu'elle regardait la piste de danse.
"Tu as vue, Léon danse avec notre hôte."
D'une voix peu intéressé il répondit "Léon?"
"Le Baron Rosemary!"
"Ah, oui."
Un silence passa où les deux ne firent que admirer les couples valsant.
Puis la jeune femme le coupa, "Quand je pense qu'il en est fou amoureux depuis qu'il a 15ans."
"Qui?" Astre demanda confus.
"Mais Léon!"
"Ah... Il est amoureux de qui?"
"Mais de Madame Venrino!"
"Oh... " le jeune homme contempla un peu plus le couple dansant, "Il a mauvais goût."
"Tu trouves? Madame Venrino est pourtant belle femme."
"Evidemment. Belle femme peut-être, mais belle dame loin de là. Enfin, je suppose que lorsqu'on est sot nous sommes attirés par les sottes."
"Oh je ne suis pas d'accord. Le Baron est quelqu'un de très cultivé!"
"Tout connaître ne veux pas dire tout comprendre."
Elle roula des yeux "Tu joues avec les mots pour avoir raison." avec un sourire en coin elle continua "Peut-être es-tu justes jaloux de Léon?"
"Jaloux?" le jeune homme lui répondit sceptique.
"Oui, jaloux. Comme tout les autres hommes autour de cette salle. Après tout Madame Venrino est d'une grande beauté. Peut-être aimerais-tu être celui qui la tien dans tes bras?"
Le comte rit, "I minutes à peine tu voulais la prendre par le cou, et maintenant tu lui trouves toutes les qualités. Peut-être n'aurais-tu pas dû prendre ce champagne après tout."
La jeune femme haussa les épaules "Mes sentiments ne change pas l'apparence d'une personne."
"Oui, mais le comportement de cette dit personne peux grandement changer son apparence."
"Je comprend où tu veux en venir. Seulement, une personne belle peut être rustre cela ne changera pas qu'il est beau. Parfois on lui excuse même ses fautes aux dépens de sa beauté."
"Et nous en avons un belle exemple ce soir."
Une fois de plus un silence confortable s'installa. Les deux nobles continuant tranquillement de regarder les danseurs.
Cependant, le comte se trouvais être un peu moins calme. Il avait plusieurs fois au cour de la soirée vue son épouse les yeux plongé sur les couples valsant. Et il savais que Elizabeth aimé autant danser qu'il préférait être chez lui en train de lire un livre près de la cheminée.
Ses mains devenaient moites. Malgré le fait qu'ils aient déjà dansé ensemble un nombre incalculable de fois, lui demander lui faisait toujours battre le coeur de nervosité.
Alors en prenant une faible respiration il se tourna vers la femme à ses côtés "Lorsque la musique ce sera arrêté, voudras-tu commencer la prochaine danse avec moi?"
Tout en souriant elle lui répondit "Oh, non merci, ça va aller."
"Mmh, très bien." Il acquiesça. Seulement ce n'est qu'après un certain moment qu'il comprit vraiment ce que venait de dire son épouse.
Elle venait de décliner une offre à danser. Jamais elle n'avait refuser de danser. Même lorsqu'une personne qu'elle ne connaissait pas lui demandait elle acceptait toujours; ce qui lui avait value plus d'une fois les remontrances de Madame la Marquise Midford.
Astre se demanda d'abord si il avait fait un faux pas pour susciter une telle réaction. Mais ce rappelant que la comtesse était une personne portant son coeur sur sa manche, il aurait tout de suite vue si elle avait semblée en colère lorsqu'elle le refusa.
En faisant attention à ce que sa femme ne le surprenne pas en train d'inspecter son état, il la regarda de haut en bas.
Il remarqua que ses joues n'avait pas perdus leurs couleurs rouge écarlate depuis longtemps. Lorsqu'elle était venue le rejoindre ses joues brillaient déjà d'un rose profond; étant dans une salle pleine de monde, Astre l'attribua à la chaleur et n'y prêta pas plus de réflexion que cela. Bien qu'il l'avait taquiné sur l'alcool, Elizabeth nu pas assez bue pour être soul et son attitude était loin d'une personne qui aurait perdu raison par la boisson.
Peut-être ne voulait-elle pas le bousculer? Elle savais qu'il n'aimait pas particulièrement la danse. Mais malgré toute ses pensées, cela reste la première fois que son épouse refuse un plaisir qu'il propose de lui accorder.
Les questions tournant dans son esprit, le jeune homme soupira. Si il voulait s'assurer de son bien être, il avait juste à lui demander. Même si la comtesse décidait de lui répondre avec un mensonge, cette dernier n'étant pas doué dans cet art, il le verrait tout de suite.
"Elizabeth, te sens-tu bien?"
Légèrement surprise la susnommé se retourna vers lui, puis avec le pire faux sourire qui n'ai jamais existé, acquiesça "Je ne pourrais pas me sentir mieux!"
D'un air mécontent le comte lui pris la main et dit "Nous partons."
Sans étonnement, son épouse le retient sur place. "Non! Je t'assure que tout vas bien. J'ai seulement un peu chaud. Pourquoi n'allons nous pas plutôt boire quelque chose de frais? Oh, je sais! Tu n'as pas encore goûté la boisson fruité. Madame Venrino à dit que c'était une concoction spécial pour cette soirée."
Ainsi elle le traîna près te la table où reposait un grand saladier en cristal surmonté d'argent rempli d'un liquide couleur saumon avec des rondelles de citrons flottant ici et là.
D'un oeil jugeur Astre épier le mélange, tandis que la jeune femme qui l'accompagnait remplis deux verres avec la louche qui avait été posé à côté.
Une fois fini elle tendis l'une des deux coupes à son époux. Ce dernier qui attrapa la concoction offerte avec hésitation puis pris lentement une gorgé.
Les premières secondes le liquide était spéciale. Un peu moins épais qu'une soupe mais frais et fruité. C'était en fait plutôt agréable. Mais une fois avalé, il restait un arrière goût en bouche tout à fais infame.
Le comte regarda sa femme est d'un ton plat dit "C'est ignoble."
Son commentaire la fit rire, "N'est ce pas!" puis elle continua tout de même de boire.
Pour ne pas être impolie il pris une deuxième gorgé. Cependant cette fois il inspecta plus en profondeur le goût. Cette odeur âpre et amer qui ce dégageait du mélange ne lui était pas complétement étrangère. Seulement il n'arrivait pas à se souvenir où il l'avait déjà senti...
Il était sûr que ce n'était pas du poison sinon plus de la moitié des invitées serait déjà en train d'agoniser.
Sur ses gardes le jeune homme s'enquit auprès de sa compagne "Tu es sûr de ne rien ressentir plus que de la chaleur?"
Alternant entre regardé au sol et dans l'oeil de celui qu'elle aimait, elle savait que cela ne servait à rien de mentir à Astre. Alors légèrement gênée elle répondit tout bas "Je me sens sensible..."
"Sensible?... Pourrais-tu développer?"
En se raclant la gorge, Elizabeth dit "Je ne savais pas que tu avais également une formation en médecine..."
N'étant plus depuis longtemps d'humeur joueuse, il parla sèchement "Je t'ai demandé de développer."
Toujours sans le regarder, le visage plus rouge qu'un coquelicot, elle se rapprocha de son mari, puis se penchant avec hésitation vers son oreille pour avouer "Je brule lorsqu'on me touche."
Cette simple phrase fit bondir les sens du comte. Alors l'oeil écarquillé à la bouge béate, comme un éclair la provenance du goût infame de la boisson lui reviens.
Bouillonnant d'embarra et de rage, il arracha le verre de la main de son épouse. Puis reposant violemment sur la table les récipients, il jura dans son souffle.
Emporté par la colère, il agrippa fermement le poigné de la comtesse, et se dirigea de façon précipité vers la sortis.
Il aurait réussis à s'en aller, si cela n'avait été pour la soudaine apparition de Madame Venrino. "Eh bien Phantomhive, vous semblez furieux? Ce qui n'est pas vraiment étonnant lorsqu'on connait votre personne, mais il serait mal venue de ma part si je ne demandais pas de quoi vous souffrez."
Les yeux brillant de détresse, Elizabeth contemplait impuissante son époux foudroyer leur ôte du regard.
"Vous..." Astre fulminait. "Je ne pensais pas avoir à vous rappeler que j'ai un titre. Et que par obligations d'être d'une classe bien plus élevé que la votre; même si j'admet qu'il est aisé d'être au dessus de vous, et de bien plus d'une manière; vous vous devez de prononcer mon titre lorsque vous vous adressez à ma personne. Avec ma sorti je vous offre l'occasions d'apprendre à vous comporter de façon respectable jusqu'à notre prochaine rencontre."
Sans montrer le moindre sentiment de contrariété la dame continua d'un ton léger "Vous vous en allez déjà?"
Le jeune homme décida de ne pas lui répondre, de la contourner et se diriger vers le hall d'entrée vide de tous monde.
Embarrasser mais aussi démunie face au action de son mari, la jeune femme arracha son poignet de l'emprise du comte. Puis se retournant vers leur ôte avec un regard recherchant grâce, elle dit "Nous vous demandons de bien vouloir excuser notre départ soudain. Monsieur le comte mon époux s'inquiète seulement de mon bien être."
"Vous ne vous sentez pas bien?" demanda Madame Venrino les yeux bordé de soin.
Astre voulait à tout prix que la comtesse cesse de vouloir discuter avec la dame des lieux. Alors à nouveau il essaya de tirer sa femme loin de cette endroit. Mais elle était physiquement bien plus forte que lui, ainsi sans mal elle l'évita. "Oui je me sens quelque peu fébrile. Mais rien d'alarmant je vous assure."
Et comme par magie, la plantureuse Madame Venrino sembla comprendre la situation. Avec un sourire en coin, elle suivit "Cela ne m'étonne guère. Vous avez après tout beaucoup bu."
La déclaration de cette dernier troubla Elizabeth. Et pendant un moment elle eu peur qu'on lui ai menti sur le contenue de sa boisson "Vous m'aviez pourtant certifier qu'il n'y avait pas d'alcool?..."
La dame rit, "Oh Elizabeth vous êtes si mignonne lorsque vous êtes dépourvue. Mais ranger cette mine maussade, je peux vous assurer qu'il n'y a pas ne serait-ce qu'une seule goutte d'alcool dans la boisson que vous avez siroté toute la soirée."
"Taisez-vous!" explosa le comte. Poussant son épouse derrière lui, la mâchoire séré et l'oeil enflammé par la colère; il s'adressa à Madame Venrino à peine à quelque centimètre de son visage "Sachez que si vous n'aviez pas été une dame vos deux genoux aurez déjà était brisé par le manche de ma canne."
"Astre!" réprimanda la jeune femme.
Seulement, une fois de plus, des lèvres peintes d'un rouge profond répondirent après un ricanement, "Ne vous en faites pas ma chère. Je suis une personne ouverte d'esprit... Je peux comprendre que les plaisirs d'un aphrodisiaque ne sont pas au goût de tous le monde."
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TIN TIN TIN!
J'avais envie de finir cash. Si vous n'aimez pas se genre de fin brute pour un chapitre dites le moi.
Si il y a des fautes visible n'hésitez pas à me les notifier!
Merci d'avoir lue; désolée pour les fautes d'orthographes; et merci pour votre soutien cela me fait très plaisir!
Bonus:
JE RACONTE MA VIE (partagé la votre aussi si vous voulez)
J'AI EU MA PREMIERE ANNEE DE FAC EN HISTOIRE DE L'ART ET ARCHEOLOGIE! YOUHOU!
Avec mention assez bien en plus! C'est la première fois que j'ai une mention!
Et du coup comme je m'étais orientée vers l'archéologie au deuxième semestre je vais rester dans cette filière l'année prochaine.
Je suis trop contente. *danse de la joie*
Et vous comment ça ce passe?
