Bonjour, bonjour.
J'avais dit à quelqu'un que je préviendrait lorsqu'il y aurait des choses un peu olé olé. Alors voilà. Il n'y a pas vraiment de scène sexuel à proprement parlé. Mais il y a une forte notion de. Ainsi qu'une légère description de réaction et un langage un peu crue.
Alors voilà, voilà.
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Dans une chambre aux murs bordés de sculpture en bas relief, James Connor reposait lascivement sur le grand lit au centre de la pièce. Il était recouvert jusqu'à sa taille des couvertures de soi et velours où il y a quelque heure à peine le mâle c'était livré à une nuit de passion avec la propriétaire des lieux.
La femme en question, assise à ses côtés, c'était mise à fumer un cigare. L'odeur s'infiltra dans le nez de l'homme lui brûlant d'une manière désagréable les sinus. L'archéologue ce releva légèrement basculant la majorité de son poids sur ses coudes pour se soutenir. Avec ses paupière toujours quelque peu alourdit par le sommeil, sur un ton rocailleux il exprima son malaise "Eteignez votre drogue. Cela empeste."
Les pupilles de Madame Venrino ce décalèrent langoureusement vers la personne s'adressant à elle. Elle le regarda droit dans les yeux, posa le cigare sur le bout de ses lèvres, inspira le tabac, puis se pencha plus près de son invité pour finalement lui recracher la fumée en plein visage. "Vous apprendrez mon garçon, que l'on ne me commande pas."
James secoua paresseusement sa main dans le nuage de cendre. Son nez et sa bouche se tordant dans une grimace. "J'ai déjà accepté nombre de vos requête farfelue." Son regard se dirigea vers le vielle homme dormant sur un fauteuil roulant à l'extrémité du lit. Puis son attention se retourna vers la femme plantureuse face à lui. "Ne pourriez vous pas me faire ce cadeau?"
"Mon pauvre ami..." elle réinspira de son cigare, "Malheureusement votre cadeau était de m'avoir pour une nuit." et expira la fumée. Les déchet qu'elle produisit avec sa bouche, força son compagnon à plier ses yeux.
Ce dernier, dont le coeur en avait assez de ce faire malmené par toute les personnes qu'il croisait. Ce coeur, insupporté par encore un autre qui osait le prendre de haut, au bort d'une réponse physique pendait dangereusement. Mais ce rappelant que son seul soutien et ami n'est qu'un petit Baron sans grande fortune personnel; il ne sortirai jamais de la misère si il levait la main sur une soit disant fortune de l'Angleterre. Il devrait alors, avec un sourire un coin, s'en remettre à sa parole contre la sienne. "Ainsi vous dédaignez les nobles mais vous agissez comme eux. Un vrai comportement de petit nouveau riche. Comme c'est charmant. Hautain, hypocrite et décadent. Cela vous sied à merveille ma chère."
"Oh, voyons... Ne me cofonder pas avec un miroir. Je n'ai jamais détesté les nobles." à nouveau, Madame Venrino souffla la fumée qu'elle avait avalée tantôt dans le visage de James. "Et j'avais crue comprendre que vous aviez plutôt un penchant pour la noblesse, vue vos fréquentation. Surtout l'une d'entre elle." La dame fit une pause pour lui donner le temps de comprendre son insinuation, mais également pour donner une touche dramatique. Ensuite avec un soupir exagérer elle détourna théâtralement sa tête puis continua "Mais il semblait que j'avais tord."
Monsieur Connor, avait sans difficulté compris ce qu'elle avait voulue sous entendre. Cela le fit rire.
Tous le monde semblaient croire qu'il avait un attachement particulier envers la Comtesse Phantomhive.
"En effet." L'archéologue attrapa du bout de ses doigts le cigare de sa compagne, et sans une seconde pensée l'écrasa sur la table de chevet d'un blanc pur à ses côtés. "Vous ne pourriez pas vous tromper plus."
Ne lui tenant rancune pour son geste déplacé; la dame toujours souriante se rapprocha jusqu'à ce que leur épaule nue soit en contactes. "Vraiment... Et auriez-vous l'amabilité de m'éclairer. Je déteste que l'on me dise que j'ai tord sans m'expliquer pourquoi après."
"Et pourquoi le devrais-je? Votre cadeau était mon corps pour une nuit en face de votre mari agonisant."
A sa remarque l'hôtesse des lieux eu la soudaine envie d'entourer son cou de ses mains. Cependant l'homme avait sans aucun doute plus de force qu'elle n'en aurait jamais.
James vue le désarroi dans son regard et s'en amusa sans retenue. "Ah, ma pauvre... amie...Ne vous inquiétez pas. Je vais tout vous dires, car je sais que cela ne me portera préjudice."
L'américain s'assit dans une position où il lui serait plus facile de parler et la femme à ses côtés suivie son exemple.
"Voyez-vous Madame, laissez-moi d'abord vous éclairer sur un sujet où toutes l'Angleterre semblent se tromper. Non, je n'ai jamais eu le moindre désir charnel ou ne serait-ce que sentimentale envers la Comtesse Phantomhive."
Sur un ton moqueur, la dame demanda "Vraiment? Aucun désir?"
"Bien, pas sans aucune intention. Vous avez raison, j'avais bien eu du désir envers elle. Le désir de me rapprocher de la Comtesse pour ensuite me faire accepter par le Comte."
Les yeux de Madame Venrino s'écarquillèrent. "Pourquoi aller vers elle plutôt qu'aller vers lui directement?"
"Le conseil de Léon."
"Oh... Rosemary... C'est vrai qu'il a d'abord connu Elizabeth puis par son intermédiaire le Comte."
"Seulement je ne suis pas lui! Et ainsi nous voici..."
"Et bien contrairement à vous Léon connait sa place."
"Je ne connais la mienne que trop bien. Seulement je ne m'y complait pas dedans."
"Pourquoi toujours être ami avec lui alors?"
"C'est une personne fidèle, curieuse, et avec un grand coeur. Comme preuve, il s'occupe toujours de ses soeurs malgré qu'elles aient l'âge de se marier."
"Vous n'avez pas tord je suppose... Une autre question?"
"Je vous en pris."
"Pourquoi vouloir être ami avec la famille Phantomhive?"
James ne répondit pas tout de suite. Il inspira, puis avec une lueur de fatigue dans ses yeux expira "Je ne suis rien. Un immigré américain en Angleterre. Forcément j'aurait était dans le radar de la noblesse et de la loi un moment ou un autre. Rien de mieux que le feu pour combattre le feu. Ainsi il me fallait quelqu'un qui était proche de la loi et de la noblesse."
Madame Venrino ce mit à rire aux éclats. L'archéologue la regarda avec un air insulté. Il compté attendre que son rire s'éteigne pour parler, seulement elle le devança "Nous reparlerons de votre faculté à joué les victimes postérieurement. Tout d'abord, j'aimerais savoir; à présent que votre petit plan n'a pas marché, pourquoi continuez-vous à fréquenté Lizzy? D'autant plus que le Comte Phantomhive ne semble vraiment pas vous apprécier. Et l'avoir comme ennemie n'est pas une chose que l'on recommande."
Toujours avec un regard renfrogné, et n'oubliant certainement pas la première phrase adressée avant son énième question à son encontre; Monsieur Connor répondit "C'est une personne agréable d'être autour." éclipsant le froncement de son visage, un sourire narquois s'installa "Puis peut-être, justement, parce-que j'aime voir le si haut Comte agoniser."
"Mais pour l'instant il n'a fait que gagner contre vous."
Les yeux de l'homme se tournèrent vite et avec colère vers la maîtresse des lieux. "Plu pour longtemps. Lorsque sa femme me tomberas dans les bras et que je l'aurais rendue cocue, il n'aura plus l'audace de ne serait-ce que sortir de son manoir."
La dame qui l'accompagnait ne dit rien. Pas parce qu'elle ne pouvait ou n'avait rien à dire, mais parce qu'elle a choisie de se taire.
Si elle devait être honnête. Madame Venrino pensait que c'était l'une des idées les plus stupide qu'elle ait entendue. La seule chose que James gagnerait en faisant ceci est une balle dans la tête dans le meilleur des cas.
Mais, elle a toujours eu un penchant pour le dramatique. L'arrêter serez gâcher son propre plaisir. Alors avec un sourire candide, elle posa sa main sur la poitrine nue de son compagnon et se pencha plus près "Comme vous êtes mauvais. Mais je doit dire que j'aime assez cela. Appelez moi lorsque Lizzy sera dans votre lit. J'adorerais vous rejoindre tous les deux."
Le visage emprunt de dégout, ce fut au tour de l'américain de poser une question "Vous aller donc aussi vers les femmes?"
"Oui et non. Mon cher époux adore me voir avec elle. Mais personnellement je n'en suis pas fan. Néanmoins pour lui je ferais n'importe quoi." Elle sourie et marqua une pause en décalant ses yeux vers son mari, puis tout naturellement continua "Cependant j'adore les voir ce faire rembourrer. Leurs joues devenir rouge, la bouche grande ouverte; mais tellement noyée dans le plaisir qu'aucun son n'arrive à sortir; jusqu'à ce que l'orgasme arrive enfin. Leurs bassins spasmant, puis elles sortent un long gémissement procurée par l'extase finalement obtenue... Elizabeth qui à toujours l'air si pieuse et innocente... Je parie que le comte la touche à peine. Nous pourrions alors la voir découvrir la chose. Ce serait si mignon."
"Je me serait passé de la description, vous êtes aimables."
Madame Venrino ne pris même pas la peine de lui faire croire qu'elle prêtais attention à son sarcasme. "Ceci étant dit, j'aimerais beaucoup également voir le comte la regarder se faire retrousser?"
"Vous êtes folle." James déclara d'un air livide.
Une fois de plus elle l'ignora, "Voyez-vous, j'ai toujours fantasmer de me faire prendre par un autre homme pendant que le comte nous regarderais avec dégout et une lueur de supériorité dans son oeil. Mais pensez-vous qu'il aurait la même réaction si c'était sa femme? Ou alors ce découvrirait-il un plaisir et commencerait à ce toucher au rythme de ses gémissement?... Ou encore, qu'il se mettrait à sangloter comme un petit enfant et essayerait de nous l'enlever?" la femme tourna enfin son attention vers l'homme à ses côtés "Qu'en pensez-vous?"
Monsieur Connor cligna une fois des yeux, souffla, et répondit enfin "Je pense que vous vous entendriez bien avec Freud."
"Oh merci beaucoup."
"Croyez moi, ce n'était pas un compliment."
"Mais tout insulte de votre part devient compliment pour ma personne Monsieur.
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Ce sera tout pour ce chapitre. Il est beaucoup moins long que les autres mais je pense sortir le prochain dans pas si longtemps.
Merci de suivre mon histoire. J'aime toujours vos commentaires, même si souvent je ne sais pas comment y répondre. Mais ils ne sont pas moins appréciés. Je suis juste socialement légèrement bancale.
