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Avec l'aide de sa servante, la comtesse avait enfilée une robe d'après midi convenable pour recevoir. Mais encore une fois, elle fut obligée de clarifier que l'on ne touche à sa coiffure.

Elle marcha jusqu'au salon où l'américain patientait. Snake lui ouvrit les portes double, et elle salua son ami avec bonheur. "Connor! C'est un plaisir de vous voir."

Le susnommé c'était levé à l'arrivée de la maîtresse des lieux. Prenant en compte l'apparence de son hôte, ses yeux restèrent quelque seconde de trop sur la tenue particulière de ses cheveux. Mais ne voulant sembler impolie James fit mine de ne le remarquer et alla lui faire un baise main. "Le plaisir est pour moi, madame la comtesse. "

Elizabeth lui sourit en retour puis alla s'asseoir sur un canapé; suivant son geste, l'archéologue s'installa sur un fauteuil adjacent.

La maîtresse des lieux démarra la conversation, "Mon majordome ma rapporté que vous étiez venue vous quérir de mon état? C'est aimable à vous."

"En effet, Madame. Après le départ soudain de vous et votre époux, nous nous sommes tous inquiétés. D'autant plus que Monsieur le comte semblait très en colère..." les pupilles de Connor se baladèrent de gauche à droite vérifiant qu'ils n'étaient pas épié.

La comtesse distingua sa méfiance, et regarda autour de la pièce. "Quelque chose vous tracasses?"

L'homme à ses côtés se racla la gorge. Et repris "Non, absolument pas... Seulement, ma prochaine question, si vous me permettez de la poser, pourrais vous semblez déplacée."

Son visage montra une légère inquiétude, "Eh bien... Je vous en pris. Je ne serais si cela me déplais qu'après l'avoir entendue."

James se rapprocha du bord de son siège, se penchant en avant vers la jeune femme. Cette dernière copia son acte, tendant son oreille plus près des lèvres de son ami.

Ainsi, dans un murmure il demanda "Monsieur le comte votre marie vous violentes-t'il?"

Elizabeth se recula brusquement et les yeux grand ouvert s'offusqua à voix haute "Veuillez m'excuser?!"

Connor ce précipita de continuer "Sachez, Madame, que je conviens que j'ai dépassé une limite. Et, qu'il est par ailleurs tout à fait normal pour un époux de remettre sa compagne sur le droit chemin si elle en dévie. Seulement, par respect pour vous Elizabeth, je ne peux vous imaginer en train de s'égarer d'un chemin respectable. Sans oublier que la ligne entre la correction et la tyrannie est bien plus grande que certain ne le pense." il pris les mains de la comtesse dans les siennes "Je ne cherche nullement à rabaisser votre personne ou celle de votre marie. Mais comprenez qu'en tant qu'ami, je m'inquiète de vous voir auprès de quelqu'un ne sachant contrôler ses émotions."

La jeune femme pris une forte inspiration, essayant de refroidir son visage dont le sang avait afflué jusqu'à ses joues par la colère. Puis après un temps de silence, d'une voix calme elle parla "Veuillez reculer, monsieur Connor. ".

Le susnommé fit comme ordonné et défit ses mains de celle de son hôte. Il avait un air faiblement peiné, mais sans plus. Comme si d'une certaine façon, il savait parfaitement ce qu'il était en train de ce produire.

"Je vous assure, monsieur, que mon époux ne me maltraite d'aucune façon et n'y songerais même jamais." l'expression sévère que la comtesse avait essayée de maintenir s'adoucit un peu. "Il ne cesse de faire des efforts pour me plaire." elle ramena vers l'avant de son épaule droite sa tresse "Regardez, c'est même lui qui ma coiffée aujourd'hui." se remémorant sa matinée ses joues se soupoudrèrent de rose.

D'un oeil peu impressionné, voir condescendant, l'homme lui tenant compagnie étudia les boucles d'or tordue avec maladresse. Il ne comprit pas pourquoi elle semblait lui montrer comme si cela était une rivière de diamant.

Elizabeth vit son regard. Etant toujours contrariée qu'on ait insulté celui qu'elle aimait, la maîtresse des lieux rétorqua avec un peu de venin dans sa voix. "Si vous n'êtes pas capable de comprendre les subtilités tendres de mon époux, n'en soyez pas accablé. Ce n'est pas vous que cela concernes de toutes manières."

L'archéologue lui adressa un sourire, "Vous avez raison, madame la comtesse. Veuillez me pardonner. C'est juste... Que depuis l'une de mes rencontres en tête à tête avec le comte, certain de ses mots son resté gravée dans mon esprit."

"Si c'est à cause d'un autre de ses sarcasmes, je vous assures que pour le bien de votre santé mentale, vous devriez arrêter de les prendre au sérieux.

Il lâcha un léger rire dans son souffle. "Oui, je sais, Madame la comtesse. Il ne le pense pas forcément. Mais-" Seulement Elizabeth le coupa.

"Non. Ce n'est pas ça."

"Pardon?..."

"Je disais: ce n'est pas cela. Ce n'est pas qu'il ne pense pas ce qu'il dit. Après tout, j'ai beau le connaître depuis sa naissance, je ne sais jamais vraiment si il plaisante ou est sérieux à certain moment."

"Je vois..." Répondit James avec hésitation.

"Ce que j'entendais par: ne point prêter attention à ses sarcasmes. C'est souvent parce que c'est la vérité et que cela peut profondément nous blesser."

L'archéologue ne s'attendais pas à une telle déclaration. Cela le déstabilisa brièvement, mais il trouva tout de suite comment le tourner à son avantage. ""Nous" vous dîtes? Ses paroles vous blesses..."

"Non...Eh bien, oui de temps à autre... Mais je suis assez grande pour ne pas en pleurer comme une enfant. Ce n'est pas la première, et sûrement pas la dernière fois, que je reçois des remarques cinglantes."

Monsieur Connor repris les mains de la jeune femme en face de lui, puis avec un regard tendre lui concéda "Elizabeth... Je vous assures que si vous avez le moindre problème vous pouvez me le confier."

Gêné par le contact soudain, elle essaya de s'en extirper délicatement. Mais visiblement il y avait mis plus de force. "Je vous remercie. Mais mon époux est la pour entendre toutes mes lamentations. Et c'est à mon tour de vous assurer qu'il m'écoute toujours attentivement. Il prétend souvent le contraire, mais il n'a jamais lue Orgueil et Préjugé et pourtant connais l'histoire par coeur grâce à mes complaintes sur Monsieur Wickham." cette fois la dame de la maison tira avec plus de force et arriva facilement à s'enlever de la prise de son ami. Libérée, elle se leva brusquement du canapée. "Bien! Si maintenant vous voulez bien m'excuser. Je suis encore épuisée des évènements de la nuits dernières. Je vous serez alors gré de rentrer chez vous." d'un pas décidé la comtesse alla ouvrir les portes du salon "Je vous remercie encore de votre visite. Snake vous accompagnera jusqu'à la porte." et sans un dernier mots, elle ce dirigea vers les escaliers menants à sa chambre.

Le dernier appelé par la maîtresse des lieux, ce trouvait avoir attendue tout le long d'être quémander pour un service et n'avais pas bougé de sa place depuis qu'il avait accompagné la jeune femme jusqu'au salon tantôt. Il fut surpris de voir les portes s'ouvrirent sans qu'on lui demande, et avait sursauté à l'apparition soudaine des deux adultes. Néanmoins, Snake avait entendue la dernière phrase de la comtesse, et comptait bien respecter son ordre. Il s'approcha graduellement de l'invité et en évitant bien de le toucher mais restant près lui montra la vois a prendre avec son bras droit. "La sortie est par ici. Dit Emily. Veuillez me suivre. Dit Oscar."

Le valet n'ayant pas été là lorsque Jasme apprenait à faire connaissance avec la femme de son maître; l'américain fut quelque peu perturbé par son comportement et les serpents lui tournant autour. Lorsque Elizabeth eu appelé Snake il ne s'attendais pas à ce que cela soit littéral. Ses yeux firent des vas et viens entre ce nouveau personnage et la comtesse pendant un moment avant de finir par ce décoincer la gorge.

"Attendez!" Connor commença à la poursuivre. "Vous ne m'avez pas laisser terminer! Laissez moi terminer!" courant après elle dans les escaliers, il finit par la rattraper, s'accrochant à l'un de ses poignets "Elizabeth! Je vous pris de me croire. Mon intention n'était pas de vous vexer! Je comprend que vous pouvez être chamboulé par mes mots. Seulement, fiez-vous à moi lorsque je vous sommes de m'écouter. Les mots gravé dans mon esprit par le comte son loin d'être des insulte contre ma personne. Si ils m'accablent autant c'est car ils sont dirigés vers vous Elizabeth..."

La comtesse ne se tourna pas, mais ne fit aucune démarche pour se défaire de la mains de James. Maitrisant sa fureur, elle dit "Cela fait plus de quatre fois aujourd'hui que vous m'appelez par mon prénom. Je vous rappel que le titre de mon époux est aussi le mien. J'en ai hérité lorsque nous avons échangés nos voeux devant le seigneur et sa majesté la reine. Ne point le respecter viens à insulter l'homme avec qui le seigneur ma liée, notre mère à tous la reine d'Angleterre, et Dieu lui même." le silence s'installa quelque seconde, le temps pour l'américain de lâcher la maîtresse des lieux. "Maintenant, Monsieur Connor. Ma mère, la marquise Midford, ma élevé en gente dame. Et bien que vous n'ayez aucun titre ou ne serait-ce qu'un accomplissement à votre nom... je vais vous laissez vous exprimer une dernière fois pour cette journée. Ne laisser pas ma bonté être utilisée en vain. Soyez concis." finalement elle se retourna vers lui. Ses pupilles émeraude assombris par l'embarras et la fatigue, trouvaient tout de même le moyen de briller d'une colère ardente derrière ses cils. Ses yeux vert qui de deux marches plus haut regardait férocement le pauvre homme sous elle.

Ce dernier savais que ce qu'il avait entreprit était dangereux. Critiquer le comte devant Elizabeth était égale à sauter dans les abysses. Mais pour un peu qu'il y ai un fragment de lumière au bout, il était prêt à prendre se risque.

Alors, comme elle lui avait ordonné, il ne tergiversa pas "Lors de ma première rencontre avec le comte, lorsque vous étiez partit vous changer parce que la neige avait entaché vos jupon. J'eux une conversation avec votre époux. Me voyant comme une menace face à votre amour pour lui, il me dégrada sans s'arrêter. Et à la fin m'avoua que même si il ne vous aimez pas, il savait que vous ne le quitteriez pas car vous étiez trop éprises de sa personnes et trop sottes."

La comtesse ne dit rien. Ses yeux était grand ouvert, et ses lèvres imperceptiblement séparée. Le silence se fit lourd. Snake qui avait précédemment commencé a grimper les escaliers pour rattraper l'homme à qui il était sensé montrer la sortie, s'était arrêter lorsque sa maîtresse c'était mise à parler. Il avait entendue tout ce qu'avait dit la comtesse et très clairement ce qu'avait dit James. Le valet ne savais pas trop où se mettre. Il hésita à envoyer un serpent vers Astre. Mais ce qui venait de ce passer ne tenait pas sur un bout de papier. Donc ne ce permettant même pas de refermer ses paupières pendant un millième de seconde, il attendait que Elizabeth fasse un geste vers lui.

Seulement après plus d'une minute dans le silence, rien ne ce passa. Connor repris la parole "J'espère que vous ne pensez pas que je fais cela pour vous ridiculiser ou vous affliger, Madame la comtesse. Je ne vous informe de ceci qu'avec les meilleurs intentions. Celle de vous voir heureuse et en sécurité." il installa son chapeau haut de forme sur sa tête. "Au plaisir de vous revoir, Madame la comtesse Phantomhive." Puis descendit les marches jusqu'à arriver à la porte d'entrée. Snake le suivit trébuchant un pas sur cinq, toujours surpris par l'altercation dont il avait été témoin.

L'air hébétée, la jeune femme se mit à voyager vers ses appartements. Les bruissements du tissus de sa robe trainant sur le marbre du couloir accompagnait le claquement des talons de ses bottines. Il était à peine 15h, cependant l'extérieur n'offrait qu'un éclairage grisâtre. Les lumière du manoir aurait put être allumé. Mais trop concentrée sur le silence soudain, Elizabeth ne pris pas la peine de faire demis tour pour actionner l'interrupteur.

Finalement elle arriva devant la porte de sa chambre. Elle l'ouvrit avec délicatesse, le bois et les vis grinçant malgré les soins apporté. Avec le même mouvement la comtesse referma la porte. Puis sur le même rythme sur lequel elle avait marchée dans le couloir, elle alla vers le côté droit du lit. Se reposant sur la literie, le poids de son corps fit s'affaisser le matelas la où elle c'était allongé. Les rideaux ne recouvrant pas les fenêtres, la jeune femme regardait la neige tomber calmement du ciel, un mouvement hypnotisant.

Puis, aussi doucement que ses flocons, ses souvenirs de la nuit précédente revinrent: ses discussions entre amie; sa défense de madame Harcourt; le champagne, les danses, le punch... l'aphrodisiaque. Sa sortie précipité de la demeure des Venrino; l'air bloqué dans ses poumons; le froid de ses mains, et la transpiration gelée dans son dos brulant. Les nausées, le tremblement constant de ses jambes; les vertiges; les picotements infâme et tortueux dans chacun de ses membres crispés. Les secousses de la route se répercutent sur la cabine de la voiture... La voix de son époux... Ses bras l'enlaçant. Ses mains essayant de lui enfiler ses gants sur ses mains glacée. Puis l'auberge; une employé désagréable; le manque de vêtement de nuit, l'apparence vielle de leur lit étroit. Le feu crépitant; les laines lourde sur son corps la protégeant du monde extérieur. Son coeur battant erratiquement d'être aussi peu vêtue et proche de celui qu'elle aime. A la suite un matin mouvementé s'en suit. La route désagréable, et le petit déjeuné ayant été médiocre. A midi à peine une heure avec son époux. Puis 14h l'arrivé de James. D'abord heureuse. Puis en quelque minute elle ne l'était plus.

Elizabeth repensa à chaque mots qu'il eut dit. Elle n'en loupa pas un seule. Elle ne croirait pas ses dernières paroles. Elle le refuse. Il a tord.

Seulement, sur la même cadence que les flots d'eaux salés descendant de ses yeux pour s'effondrer sur la taies de son oreiller, un soupçons de doute se créa en son coeur. Car malgré toutes ses bravades, sa force musculaire, son agilité et son endurance, son esprit semblait vouloir resté faible et cela l'accablait autant que tout le reste.

Peut-être que cela était tout simplement trop pour une journée.

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AYO WHAT'S UP!

Me revoila! L'année scolaire et finit. Je n'ai pas mon année à cause de ma santé mais également parce que l'administration a merdé et que du coup aucune de mes évaluations passée ne compte! Et leur réponse à ça "ah bas on est désolée"

...

Vous la sentez ma rage...

Après je ne vais pas mentir. Je ne suis pas une étudiante parfaite, donc bien sûr que certain de mes contrôle devait être raté.

J'aurais pu prendre le rattrapage au sérieux, mais ça faisait beaucoup trop à rattraper. Puis j'avais décidé de me concentrer sur les journées international de l'archéologie. Je me suis occupées de certaine classe de primaire et leur ai montré le fruit de mes recherches lors de mon stage avec l'association archéologique qui ma accepté. Je les ai amené à s'ouvrir à une démarche archéologique cherchant avec moi ce que certaine chose pouvait nous raconter.

Et je ne regrette rien!

Sur un autre jour j'ai même eu les compliments de l'adjoint au maire et ai rencontrer des personnes autant passionnée par l'histoire que moi! Et on m'as dit que j'était passionnante! Mon égaux était heureux d'être là.

Bien que ma santé ma rattrapée pendant ses journées de l'archéologie, alors je n'ai pas pu toute les faires. Ca ma attristée mais j'était heureuse d'avoir pu être là le temps que mon corps le pouvais.

Sinon j'espère que vous avez eu une meilleur année que moi. C'est les vacances d'été! lâcher moi vos réussites et vos échecs!