Suite du chapitre I : Fin de vacances.

Chapitre II : Rentrée marquante.

Peu de temps après être rentré dans le train, Drago ressortit pour aller faire une ronde mais il fonça dans quelqu'un.

« Tu peux pas voir ou tu marche espèce de ………………. Mais Dray s'arrêta immédiatement quand il vit que c'était Hermione.

- Désoler Granger, dit-t-il avec une faible voix.

- Tu t'excuse maintenant ? demanda Hermione, tu m'insultes plus ? Bizarre… Qu'est-ce que tu nous mijotes ?

- Je ne mijote rien. Tout le monde change, non ? questionna le beau blond

- Peut-être mais pas toi, répondit la jeune Griffondor.

- Tu n'as pas le droit de me juger tu ne me connais même pas.

- Déjà assez pour ne pas te croire, prononça le jeune fille brune.

- J'ai changé et si tu ne veux pas me croire tant pis pour toi, mais tu pourrais au moins essayer, déclara le grand blond.

- Je vais essayer mais je ne te promet rien, puis se rappelant un jour se que sa grand-mère lui avait dit, elle répondit, c'est bon je te crois, j'accepte tes excuses.

- Je pourrai savoir se que tu fais dans les couloirs du train sans Potty et la Belette? questionna Drago.

- Ne les insultes pas, Mais si tu veux tout savoir je faisais une ronde pour m'assure que tout le monde étaient dans le train, et toi que faisais tu ? interrogea Hermione.

- Je fais se que tout préfets en chefs doit faire.

- Quoi ? Tu es l'autre préfet en chef ? réitéra la belle Griffondor.

- Si je te le dis c'est que c'est vrai, répondit Dray.

- Si j'ai pu te supporter pendant 6 ans je te supporterais encore 1 année, dit-elle.

- Tu ne crois tout de même pas que je recommencerais à t'insulter et à t'injurier ? questionna Drago.

- Sa n'est pas du tout se à quoi je pensais, répondit Hermione.

- Et pourrais-je savoir à quoi tu pensais ? questionna à nouveau le grand Serpentard.

- Tu veux savoir à quoi je pensais ? Tu es sur que sa va bien ? dit ironiquement la jeune Griffondor.

- Je me suis promis de ne plus traiter quelqu'un de « Sang de Bourbe » et oui je suis sur que je vais bien, répondit Drago.

- Ben alors je pense que je vais te laisser, je dois rejoindre mon compartiment, déclara-t-elle.

- Ton compartiment ? Tu ne vas pas rejoindre le balafré et la belette ? questionna-t-il.

- J'ai dû oublier de te le dire, dit Hermione, je suis le deuxième préfet en chef. Bon j'y vais.

- Et bien que de surprise, je vais enfin avoir la chance de te voir sans ta jupe trop longue et ta chemise trop grande, révéla Drago.

- Tu n'es qu'un pervers, doubler d'un menteur et d'un manipulateur.

- Tu as une très mauvaise opinion de moi Granger, dit ironiquement Malefoy.

- Je ne te dis que la vérité, et là se n'est pas toute la vérité, assura Hermione.

- Dis-moi donc toute la vérité sur moi, Miss-je-c'est-tout-sur-tout-le-monde-même-sur-ceux-qu'elle-ne-connait-pas, déclara le blond.

- La vérité tu la connais, ton père est un mangemort qui de plus est le plus fidèle partisan de Voldemort, il veux que tu suive sa trace, et de plus tu insultes tout le monde et tu es arrogant, comment veux-tu qu'on veuille apprendre à te connaître ? questionna la jeune femme.

- Tout d'abord je ne veux pas suivre la trace de mon père et deuxièmement si tu veux apprendre à me connaître il suffit de me demander se que tu veux savoir ! répondit le jeune homme.

- Pourquoi es-tu toi ? questionna la Griffondor.

- Je suis moi parce que je ne pas être quelqu'un d'autre, répondit le Serpentard.

- Tu pourrais si tu le voulais c'est juste une question de volonté, dit-elle.

- Il ne suffit pas de volonté pour changer. Dray

- C'est vrai il faut aussi l'amour d'une personne et il faut d'abord trouver cette personne, répliqua la Griffondor.

- Le problème est que cette personne je l'ai trouver, répondit le beau blond, mais elle n'a pas les mêmes sentiments à mon égard.

- Les sentiments peuvent prendre du temps à venir mais tu pourras l'attendre si tu l'aime vraiment, assura Hermione, le temps est très précieux.

- Pourquoi me dis-tu tout çà ? questionna Dray.

- Tous les professeurs veulent qu'il y est une bonne ambiance entres les deux préfets en chef, surtout pour Griffondor et Serpentard, répondit-elle.

- Tu as peux-être raison après tout ! Qui c'est ce que nous réserve l'avenir…

- Bon je pense qu'il faudrait qu'on y aille la réunion va bientôt commencer, dit Hermione

- En avant, honneur aux demoiselles, dit-il sur un ton honnête.

- Galant en plus de çà ! Je ne te connaissais pas cette qualité, répliqua-t-elle en riant.

- Tu en ignores encore d'autre mais peut-être que je commence à changer avec toi, fut ça seule réponse.

- Pourquoi juste avec moi ? questionna-t-elle.

- Pour rien, répondit le Serpentard.

- Si tu le dis.

- Mais je le dis, répliqua Drago. »

Puis ils s'en allèrent en direction du compartiment où la réunion se tenait.

Quand ils entrèrent le professeur Mac Gonagall fut surpris de les voir arriver ensembles et sans se disputer même plutôt en riant.

« Monsieur Malefoy, Miss Granger vous en avez mis dû temps, déclara le professeur Mac Gonagall.

- Pardonnez nous professeur, dit poliment la jeune Griffondor.

- Asseyez-vous maintenant. Nous allons parler des taches que vous accompliraient en temps que préfets en chefs. »

Ils discutèrent pendant une longue heure puis les préfets et les professeur purent rejoindre leur compartiment. Hermione passa devant le compartiment de ses amis et s'y arrêta pour parler.

« Salut tous le monde, qu'est-ce que vous faîtes de beau ? questionna Hermione.

- Ben comme tu vois mon frère et Harry parlent de leur programme d'entraînement et moi je lis Sorcière-Hebdo, certifia Virginia, Ginny pour ceux ou celles qui préfèrent ! et je me renseigne aussi sur les derniers potins.

- T'as un programme très chargé dit-moi, dit Hermione en rigolant.

- Ben faut bien se renseigner, exposa la rousse.

- Bon je vous laisse mais mettez vos robes on arrivent bientôt. »

Dès qu'elle eut fini sa brève visite, Hermione retourna dans son compartiment où elle trouva Drago plongé dans un livre sur les sortilèges de désarmement

« Tiens, Granger, tu es de retour ? demanda le blond en levant les yeux de son livre.

- Sa t'étonnes on dirait ? réitéra la brune.

- Pas du tout, je me demandais juste quand tu avais l'intention de revenir.

- Serais-tu inquiet pour moi ? questionna Hermione.

- Je pense que tu es assez grande pour prendre soin de toi toute seule mais je me languissais de ta compagnie, déclara Dray.

- Tu ne te languissais pas par hasard de ta sensu ? questionna la belle Griffondor.

- Parkinson ? Elle ne me sert à rien, elle ne sort que des conneries et si elle me veut, c'est juste à cause de mon héritage, certifia le Serpentard.

- De combien hériterais-tu si tes parents venaient à mourir ? interrogea la Griffondor.

- Pourquoi voudrais-tu le savoir ?

- Je suis tout simplement curieuse, dit Hermione.

- Mieux vaut pour toi que tu ne le sache pas exactement, mais mon héritage s'élèverait à environ 2 à 3 millions de galions, déclara le beau et riche Serpentard.

- C'est une belle petite somme que tu aurais, ne t'étonnes donc pas qu'elle te veuille pour ton argent, assura la jeune femme.

- Malheureusement pour elle mon argent ne sert pas à entretenir les prostituées de son états, garantit le jeune homme. »

Une fois que leur discussion fut fini le train s'arrêta, et les élèves de seconde année jusqu'à la septième montèrent dans les carrosses attelés par les sombrals que seuls ceux ayant vu la mort purent voir.

Une fois dans la grande salle, la répartition des premières années put commencé. Le choipeau nous contait sa chanson habituelle quand les élèves vinrent le mettre sur leurs têtes. Cinq nouveaux élèves furent envoyées à Griffondor, trois à Serpentard, deux à Poufsouffle et encore deux autres à Serdaigle. Le professeur Dumbledor fit son discourt et présenta les quatre préfets et les deux préfets en chefs.

« Cette année je vous prie d'applaudir nos deux préfets en chefs qui ne sont autres que Miss Granger et Monsieur Malefoy. »

Une ruée d'applaudissement s'éleva à la table des Griffondor comme à celle des Serpentard. Drago et Hermione se jetèrent un clin d'œil discret, se qui les fit sourires. Et quand Hermione fut arrivé à sa table, Ron lui dit :

« Tu nous avez pas dit que s'était l'autre imbécile qui était préfet en chef !

- Il n'est pas un imbécile, gronda Hermione.

- Mais qu'est qui te prend de le défendre, il ta toujours traité comme de la vermine et même plus que de la vermine et toi se que tu trouve à faire c'est de le défendre ? critiqua le rouquin.

- Drago a changé, il est différent de se que tu imagine, mais je croit bien que se soit le seul a pouvoir changé comme il le fait, riposta la brune. »

Au même moment à la table des Serpentard.

« Drago d'amour, pourquoi ne m'avez tu pas dis que s'était la Sang-de-Bourbe qui était préfet en chef, s'exclama Pansy, si elle te pose ne serai-ce qu'un seul problème parle-moi en et je lui règlerais son problème.

- Je ne suis pas ton Drago d'amour, et si tu touche à un seul des cheveux d'Hermione je te jure que tu le regrettera et que même ton père ne pourrais rien faire, déclara sèchement Dray.

- Malefoy laisse moi faire, intervint Blaise.

- Je ne veux pas que cette Sang-de-Bourbe t'approche, soutint le bouledogue

- Pansy, Pansy, tu ne comprend pas ce que Malefoy veut te dire, certifia le beau brun au cheveux presque noir, ce qu'il veut te dire et qu'en faîte lui et Hermione sont devenu assez proches et que si tu tente de lui faire quoi que se soit, même ton père ne pourras pas te sortir de ce pétrin. Compris ?

- Est-ce que c'est vrai mon amour ? demanda-t-elle à Drago.

- Nous allons éclaircir quelques points d'accord Pansy ? questionna-t-il.

- Bien sur mon amour.

- Le premier est que je ne suis pas ton amour, le second que c'est vrai, le troisième que tout (en général) se que dit Blaise est vrai, le quatrième que je ne veux plus jamais que tu me trouve un surnom stupide, et pour finir le dernier c'est que je veux que tu me lâches et que tu te mêles de tes affaires et pas des miennes vu que je considère que je suis assez grand pour les gérer toutes seule, est-ce que maintenant c'est compris, dit-il avec fermeté.

- Mais voyons Dray chérie ……… (Elle nu pas le temps de finir sa phrase que Dray la coupa.)

- Qu'est-ce que je viens de dire, bordel de putin de merde maintenant je voudrais que tu m'écoute très attentivement, je ne veux plus du tout, jamais, que tu te mêle de mes affaires ni de celles d'Hermione, hurla-t-il.

- Quand ton père apprendra que tu fréquente cet sale Sang-de-Bourbe, cet chose impur, il te fera enfermé dans les cachots, beugla Pansy. (En général c'est pas les vaches qui beuglent ?)

- Et bien si il veux m'enfermé aux cachots il n'a qu'à le faire de toute manière sa ne te concerne pas, brailla le Blond.

- Mademoiselle Parkinson , Monsieur Malefoy veuillez ne pas déranger le dîner, ou bien alors sortait de la Grande Salle pour finir votre engueulade, dit calmement le professeur Dumbledor.

- C'est pas la peine professeur, cet discussion est fini, annonça Drago. »

Puis tous le monde recommença, comme si de rien n'était, à manger se que les elfes de maisons avaient préparés en cuisine.