CHAPITRE 4: L'hôtel
"-Waou! Ce type est une vrai épave, c'est incroyable qu'il puisse encore renseigner les flics sur quoi que ce soit. S'exclama Jess
-C'est ce qui arrive quand on prend les saloperies qu'on deal. En tout cas je pense pas qu'il ai pu enlever Samantha, il n'aurait jamais réussi Chouté come ça. En plus je ne vois pas pour quelles raisons il l'aurait fait.
-Vous croyez qu'elle s'est mise à reprendre de la drogue ?
-Son dealer dit qu'il ne l'a pas revue depuis plus d'un an, il n'a pas de raison de nous mentir mais son témoignage n'est pas trés fiable, je ne suis pas sûr qu'il sache en quelle année on est."
Jess approuva d'un hochement de tête. Ils restèrent silencieux un moment. Pollock avait tenu à ce qu'il fasse le point avant d'aller interroger Stevens le lendemain. Ils se trouvaient donc dans sa chambre et avaient commendé des pizzas. Jess n'avait pu s'empêcvher d'avoir quelques pensées pas très professionnelles lorsque Pollock lui avait proposé d'aller dans sa chambre. Bien sûr elle les avait tout de suite repoussée en se danda ce qui clochait chez elle ces derniers temps. De plus elle savait que Pollock était un grand professionnel et qu'il n'avait sûrement pas pensé à ça en le lui proposant. D'accord il venait de divorcer mais ce n'était pas une raison pour s'imaginer passé la nuit dans ses bras. Des bras trés musclés d'ailleurs ! Non ça suffit maintenant ! Il fallait vrament qu'elle se sorte cette idée de la tête. D'abord, c'était son patron; ensuite elle était certaine que de son côté il n'avait aucune envie de faire ce genre de chose avec elle; Et surtout C'ETAIT JOHN POLLOCK!
"-J'ai des doutes. dit l'homme en question
- Quoi ! demada Jess en sursautant, Pollock l'ayant interrompue au beau milieu de ses reflexions. Ele avait l'impression d'avoir était prise en flagrant délit.
- Je ne pense pas qu'elle ai replongé, repris Pollock, elle a fait tellement d'efforts pour se construire une vie stable. Je la vois mal détruire tout ça de cette manière.
-Oui je ne crois pas non plus, approuva Jess qui venait de reprendre le fil de la conversation.
- Je vais appeller son père pour qu'ils nous parle de ce coups de fil qu'il a reçu il y a quelques semaines, enchaina-t-il en se dirigeant vers la porte préférant visiblement être seul pour parler avec le gouverneur du Mississippi."
A présent seule, Jessica se commença a regarder de plus prés ce qui se trouvait dans la chambre. Sur la table de nuit se trouvait une photo des enfants de Pollock, Jess ne pu resister au désir d'ouvrir le tiroir qui se trouvait en bas, la curiosité prenant le pes sur la peur d'être surprise par un directeur fou de rage. Elle l'ouvrir et le referma aussitôt, à l'interrieur se trouvait une boîte de préservatifs. Ce n'était pas telment le fait que Pollock se balade avec des capotes qui choqué Jess, aprés tout il était divorcé il avait le droit de vivre sa vie, non ce qui l'avait choquée c'était plutôt les pensées pour le mieux explicites qui lui avait traversé (et qui continuaient à la harceler) l'esprit à la suite de cette découverte.
Pollock revint enfin dans la chambre et s'adossa contre le lit, la fatigue accumulée durant la journée se lisait sur son visage.
"-J'ai parlé à Johnson, déclara-t-il enfin, il maintient sa version, il n'a pas parlé avec sa fille au téléphone. Il pense que ce pourrait être un de ses employés qui aurait décroché à sa place. Il a précisé qu'il les interrogerait personnellement à ce sujet.
-Vous le croyez, Monsieur ?
-Oh non, Je suis sûr qu'il me raconte des bobards, il cache quelque chose et ça a un rapport avec ce que sa fille lui a dit au téléphone.
-Comment le savez vous ?
- J'en sais rien, Mastriani, je le sens.
-Je croyais que c'était moi la médium. Dit Jess avec un large sourrir.
Pollock lui sourrir à son tour avant d'aller s'assoire à côté d'elle.
-Vous pensez qu'il a quelque chose à voir avec ladisoarition de sa fille ? repris Jess sur un ton plus sérieux
- Ca je n'en suis pas sûr, mais il est clair qu'il place ses intérêts avant ceux de sa fille. Quand il m'a demandé de rester discret dans cette affaire ma première réaction a était de me dire qu'il essayait de de la protéger mais je me suis vite rendu compte que c'était lui qu'il voulait protéger en premier lieu. Ca me sidére qu'un père puisse prêter aussi peu d'importance à ses enfants. dit-il soudain songeur. Vous croyez que je suis un bon père Mastriani? Finit'il par dire dans un murmure
-J'en suis convaincue monsieur, répondit Jess avec un regard plein de tendresse
-Comment pouvez vous en être aussi sûr ? Vous ne m'avez jamais vu avec eux.
- Mais je vous ai entendu parler d'eux, on voit que vous les aimés et que vous feriai n'importe quoi pour eux. Alors je sais que vous étes un bon père.
Pollock regarda Jess, il était soudain bien plus troublé par la jeune femme qu'il ne l'avait jamais était jusqu'alors, il était aussi touché par ce qu'elle venait de lui dire.
-Vous étes gentil Jess, mais je sais que je ne suis pas assez souvent avec eux, j'ai peur qu'un jour il me deteste pour ça.
-Mon père n'était pas souvent à la maison lui non plus, il devait s'occuper de deux restaurants, mais je ne lui en voulait pas pour ça, je savait pourquoi il devait partir aussi fréquement, et je suis sûr que vos enfants le comprennent eux aussi.
-Merçi.Dit John
Il ne pouvait plus détourner les yeux du visage de la jeune femme, elle était telment belle. il l'avait remarqué avant bien sûr, mais il était marié et il préférait s'éviter ce genre de pensés. pourtant là dans cete chambre, seul avec elle, il éprouvait un profond désir de l'embrasser. il regarda ses lévres un instants, puis ce ressaisit tout à coup. Non mais ça va pas qu'est ce qui te prend ! Elle va te prendre pour un pervers si tu fait un truc pareil, et elle va sûrment t'en mettre une par la même occassion.
-Il est tard, dit-il , vous devriez aller vous coucher. Ajouta-t-il préférant mettre de la distance entre lui et sa jeune et belle agent, de peur de céder au désir de l'embrasser.
-Oui vous avez raison. Répondit Jess quelque peu troublée par ce soudain chagement d'attitude. Bonne nuit monsieur, finit-elle par dire tout en sortant de la chambre de Pollock pour se diriger vers la sienne. Elle entendit un vague Bonne nuit tandis que la porte se refermait derrière elle."
Elle était perdue, elle avait pourtant bien sentie le regard presque amoureux de Pollock se poser sur elle. Ele avait même cru le voir regarde ses lévres. Elle n'en était pas vraiment certaine parce qu'elle avait été bien trop occupée à dévorer les siennes des yeux et à lutter contre l'envie de les dévorer avec sa bouche. Elle s'était sûrement trompée, ce qu'elle avait pris pour du désir n'était probablement rien d'autre qu'un élan de tendresse amical. Il était peu probabla que ses sentiments vis à vis de Pollock soient réciproques. Car maintenant elle ne pouvait plus se mentir, elle savait qu'elle était tombée malgrès elle amoureuse de John Pollock.
Voilà J'espére que ça vous a plu, chapitre 5 bientôt en ligne. En attendant dites moi ce que vous en pensez.
