CHAPITRE 6:
Lorsque Pollock se reveilla à l'hopital, la première chose qu'il vit fût le visage endormi de Jess à ses côtés. Elle était si belle ! C'était êtrange qu'il se dise ça maintenant ce n'était pas vraiment le moment ni l'endroit le plus propice à ce genre de réflexions. Pourtant c'était plus fort que lui, il ne pouvait pas s'empêcher de la regarder. Elle avait du sentir son regard insistant posé sur elle car Jess se reveilla à son tour. Elle leva les yeux vers Pollock. Elle fût soulagée de constater qu'il était enfin réveillé. Les médecins lui avaient dit qu'il était hors de danger mais elle avait tout de même insisté pour rester avec lui, elle était trop inquiéte pour écouter ce que disaient de parfaits inconnus en blouses blanches.Elle sourit à Pollock, dans son sourire ce dernier pouvait lire le soulagement. Elle s'était donc tant inquiété que ça !
"-Salut ! se décida à dire Jess au bout de quelques minutes.
-Salut, réplica Pollock tout en se mettant en position assise.
Jess ne put s'empêcher de remarquer que les chemises de l'hopital étaient vraiment très transparente. Elle pouvait nettement distinguer les contours de son torse, de ses muscles. Mon Dieu ce qu'il pouvait être sexy !
-Vous allez mieux ? demanda-t-elle, tout en s'interrogeant sur ce qu'elle verrai si Pollock se mettait debout.
-Je crois, oui. Qu'est ce qui s'est passé ? il y a eu une explosion ?
-Oui, Mark Stevens est mort. D'aprés la police la bombe avait été pklacé dans son bureau donc c'est lui qui était visé. Vous croyez que ça a un rapport avec motre affaire ?
-C'est possible. un avocat comme Stevens a beaucoup d'ennemis mais qu'une bombe eplose le jour même où le FBI viens l'interroger c'est plus qu'une coincidence. Répondit pollock.
Il posa de nouveau son regard sur Jess. Il scruta les courbes de son visage, de son corps. Il reporta son attention sur ses yeux et vit qu'elle l'observait également. Elle avait dut remarquer qu'il la regardait de façon "non professionnelle". Il se sentit soudain honteux et très géné, une partie de lui avait envie de s'excuser mais une autre trouvait la situation plutôt intéressante. Aprés tout peut être qu'il lui plaissait lui aussi. Pollock chassa immédiatement cette pensé. C'était stupide, elle devait préférer les hommes plus jeunes, de son âge.
Un silence géné s'était instalé. Jess aussi avait remarqué que Pollock la regardait et comme lui elle se disait qu'en fait il n'avait pas du apprécier la façon dont elle-même l'avait observé.
-Vous savez j'ai vraiment eu très peur aprés l'explosion, se décida-t-elle finalement à dire.
-C'est normale, c'est un événement assez traumatisant.
-Non, je veux dire j'ai eu peur pour vous.
John la regarda fixement. Elle s'était donc vraiment fait du soucis pour lui, ce n'était juste un effet de son imagination.
-Moi aussi j'ai eu peur pour vous. Parvient-il à pronocer.Un nouveau silence s'intalla. Chacun réfléchissant aux parole qu'ils avaient prononcés.
Aprés un long moment Pollock entreprit péniblement de sortir de son lit.
-Qu'est ce que vous faites, monsieurs ? Vous n'étes pas en état de vous lever !
-Vous ne croyez tout de même pas que je vais rester coincé ici ? c'est hors de question. D'abord parce que l'enquête n'est pas encore terminée et ensuite parce que je deteste les hopitaux.
-Le médecin m'a dit que vous deviez rester quelques jours, il veut vous garder en observation. Et pour l'enquête, je peux m'en occuper.
-Je me sens très bien. quand à l'affaire il n'est pas question une seule seconde que vous la meniez toute seule. Quelqu'un a mis une bombe dans le bureau d'un avocat, prenant le risque de tuer des dizaine de personnes, alors ça m'étonnerais qu'il hésite à suprimer un agent du FBI. Par conséquent, je vous accompagne.Jess s'apprétait à répondre quelque chose mais Pollock la pris de vitesse. Je refuse de prendre le risque de vous predre Jessica. Ajouta-t-il tout en essayant de se mettre debout.
Il se leva difficilement, ce qui poussa Jess a aller l'aider à se soutenir puisqu'il lui était impossible de lui faire entendre raison. Pollock prit temporairement appuie sur son épaule. Il fût surpris de sentir sa peau sous sa paume, elle était douce. Jess quant à elle avait posé sa main sur le tors de Pollock pour éviter qu'il ne tombe en avant. Elle pouvait sentir ses muscles contre sa main et fût secoué d'un frisson. Elle avait envie de carresser son corps mais était incapable de faire le moindre geste, de peur d'écourter ce moment. Elle leva les yeux vers Pollock et vit qu'il était à l'évidence tout aussi troublé qu'elle.
-Je pense toujours que vous devriez resté couché, monsieurs, dit-t-elle dans un murmure.
Pollock savait qu'il aurait dû répondre quelque chose mais il semblerai qu'a ce moment là son cerveau s'était comme mit en stand by. Au lieu de ça, il dirigea sa main libre jusqu'au visage de Jess et le carresa doucement. Elle ferma les yeux, savourant chaque instant, chaque carresse, et attendant de voir ce qui allait ce passait ensuite. La partie du cerveau de Pollock qui fonctionnait encore lui hurlait d'arrêter et de s'excuser auprés de la jeune femme avant qu'il ne soit trop tard, attribuant son geste à une faiblesse passagère. Mais cette partie fût vite étouffée par le désir grandissant qui l'habitait. Ses lèvres rencontrére celle de Jess presque malgrés lui. Ce fût d'abord un effleurement puis le baiser s'approfondit. Jess glissa insidueusement sa langue entre les lèvres de Pollock qui n'opposa aucune résistance. La langue de Jess commença à carresser tendrement celle de Pollock mais très vite la tendresse laissa place à la passion. Leurs corps se rapporchèrent. Pollock agrippa ferment les hanches de Jess pour la serrai contre lui. Ses mains exploraient le corps de Jess, tout comme celles de Jess exploraient le sien. Elle traçait des courbes sur son torse, ses muscles, son dos, ses fesses, ses mains remontaient de temps à autre sur sa nuque pour enfermer davantage les lèvres de John.
Pollock se sentait extrêment bien à cet instant, dans cette position, lui et sa douce et belle agent s'embrassaient avec passion. Tout à coup il fût pris d'une peur soudaine. C'était comme ci son cerveau venait de se reconnecter. C'était son agent qu'il embrassait, qu'il carressait, elle était sous ses ordres, il n'avait absolument aucun droit de faire ça. Il risquait leurs carrières à tout les deux. Toutes ses angoisses remontèrent à la surface. il était beaucoup trop pour elle, il avait déjà des enfants, ce n'est pas ce dont rêve une jeune femme de 24 ans. il n'avait rien à lui offrir, et tout à lui faire perdre. En plus même s'il prinait tous ces risques, combien de temps mettrait-elle avant de le quittait pour un home plus jeune, avec moins ee responsbilité. Il ne voulait pas souffrir et plus encore il ne voulait pas la faire souffrir. Il devait s'arrêter tout de suite.
Il rassembla toute la force mentale dont il disposait, il fallait au moins ça pour réussir à le faire se séparer de Jess, et il mit fin à leur baiser. Il retira ses bras qui jusque là entouraient la taille de Jess. Cette dernière rouvrie les yeux, toujours sous le coup d'une très forte exitation. Elle vit pollock qui la regardait l'air géné, cherchant ce qu'il allait dire, et elle compris instantanément. Il regrattait ! C'était lui qui avait comencé à l'embrasser, à la carresser, et il aosait faire ça ! Faire machine arrière, il allait lui demander de faire comme ci rien ne s'était passé ! Elle sentit la rege montait en elle en même temps que les larmesqu'elle essayait de retenir.
-Je suis désolé, commença John, je n'aurait pas du. Je... On ne peut pas..."
Il n'eu malheureusement pas le temps de finir sa phrase, il fût interrompu par la violente gifle qu'il venait de recevoir.
