Chapitre n°1
« - Acceptez-vous ma proposition, Miss Granger ou plutôt miss Aiedail ? demanda une dame assez âgée qui paraissait très stricte avec son chignon, vêtue d'un chapeau pointu et d'une robe noire.
- Ce que vous me demandez… Il me faudrait alors négocier avec le peuple de l'eau, ainsi qu'avec les centaures.
- … En effet, miss. C'est peut-être trop vous demander mais cette protection de l'école doit être plus efficace que l'ancienne. Sans cela, nous ne pourrons pas protéger les prochaines générations. Et ce sera la fin de…
- Poudlard. Je l'ai compris, professeur MacGonagall. Cela me prendra un peu de temps.
- Combien de temps ? interrogea le professeur de métamorphose, inquiète.
- Une semaine et demie, maximum. Cependant…
- Cependant ?
- Vous devrez me laisser le libre accès à toutes les salles, publiques et cachées du château. Et je devrai être seule dans le château durant tout le temps qu'il sera nécessaire.
- Accordé. Ce ne sera pas difficile, je pense, de faire prendre des vacances à Rusard.
- Professeur, je crains que vous n'ayez pas saisi complètement. J'ai précisé seule. Les elfes de maisons, les grenouilles qui traînent dans le château, les fantômes doivent partir aussi. Je vais devoir faire appel à une magie inconnue qui se doit de rester ainsi. Seuls les tableaux peuvent rester. Est-ce clair ?
- Mais… les elfes ne voudront jamais quitter le château. Ils vont croire qu'on les renvoie. Ce serait terrible. Et les fantômes ne peuvent pas quitter leur lieu de… de… hantage.
- Pour les elfes… amenez-les chez vous. En tant que directrice du château, ils vous… obéiront. Pour ce qui est des fantômes… emmenez-les. Ils vous obéiront. Je suis navrée mais c'est le prix à payer pour la protection de ce château. Voldemort a trop longtemps infiltré ce château. Je dois le purifier de fond en combles avant d'apposer la protection. Et cette purification éliminera tout être dans ce château, bon ou mauvais. Vous comprenez maintenant pourquoi je demande à ce que chaque être qui vit ici soit évacué ?
- Je vois. Je ferais le nécessaire. Ils seront tous évacués avant ce soir.
- Très bien. Je reviendrais donc ce soir à 20h. »
Sur ce, Hermione sortit du bureau de la directrice. Elle sortit dans le parc et s'approcha de la tombe de Dumbledore. Elle s'assit près de la pierre tombale. Elle soupira :
« - Si seulement vous étiez là… Tout serait si facile… »
Face au lac, elle entama un long chant mélodieux. Au bout de quelques minutes, une sirène majestueuse surgit du lac, joignant sa voix à la sienne. Lorsque le chant prit fin, la majestueuse sirène porta deux doigts à ses lèvres et abaissa ses doigts. Hermione en fit de même.
« - Que veux-tu, princesse à la voix mélodieuse ?
- Souveraine des eaux, les temps qui courent sont bien mauvais. Poudlard n'est plus protégé par la barrière et laisse entrer qui veut. J'ai besoin de votre puissance pour construire une autre barrière plus puissante et plus efficace.
La souveraine ne dit pas un mot, jugeant la jeune fille de toute sa hauteur.
- S'il vous plaît, nous, ou plutôt je vous en supplie. Aidez-moi dans la construction d'une barrière.
- Soit. Nous, le peuple de l'eau, vous aiderons dans ta tâche qui est tienne. On interviendra quand tu auras besoin de nous.
- Merci infiniment. Je suis votre éternelle débitrice.
- Non. Nous sommes quittes maintenant. Tu as sauvé un des miens, il y a longtemps, finit la sirène en replongeant. »
Avec un sourire reconnaissant, Hermione se leva et s'inclina devant le lac. Elle se dirigea vers la Forêt Interdite. Il lui fallait rencontrer et parlementer avec les centaures. Au fur et à mesure qu'elle s'enfonçait dans l'obscurité de la forêt, elle perdait son ancienne apparence pour reprendre son apparence naturelle. Ses traits de visage s'étaient affinés, jusqu'à devenir extrêmement fins. Ses yeux s'étaient éclaircis jusqu'à devenir cristal. Ses cheveux autrefois bouclés étaient lisses, argentés et réunis en une queue de cheval basse attachée par un fourreau de métal souple. Quelques vestiges de son ancienne apparence étaient restés : ses cheveux bouclaient légèrement sur la fin. Ses vêtements avaient également changés. Ses vêtements moldus avaient disparus pour laisser place à une cuirasse légère d'un métal lumineux et argenté, d'un blanc immaculé rehaussée d'or, une fine tunique de soie blanche. Des couteaux parsemaient son corps, une épée pendait à son côté et un arc magnifique barrait son dos©® ainsi qu'un carquois de flèches.
Tout au long de son chemin, elle se remémorait les derniers évènements : la mort de Dumbledore, la révélation de ses parents adoptifs, sa véritable apparence, LA révélation, l'apprentissage en mode accéléré de ses facultés. Et dire qu'il y a à peine 4 mois, ses plus gros soucis étaient d'avoir les meilleures notes dans toutes les matières et d'aider Harry, évidemment. Tout avait beaucoup changé en à peine quelques mois. On ne le lui disait pas, bien sûr. Mais elle savait qu'on comptait beaucoup sur elle, enfin sur sa protection… De simple apprentie sorcière née chez les moldus, elle était devenue héritière d'un peuple dont elle ne croyait pas l'existence… jusqu'à maintenant.
Un craquement la tira de ses pensées et la fit mettre sur ses gardes. Elle s'arrêta tout d'un coup. Elle attendit deux secondes et se retourna vivement vers la droite, l'endroit d'où provenait le bruit. Elle ne fut pas surprise d'être entourée en une fraction de seconde d'une horde de centaures. Elle prononça distinctement, non trop rapidement, ni trop lentement :
« - J'aimerais parler à votre chef.
- Nous n'avons rien à faire avec les humains, gronda une voix grave provenant de sa gauche.
Elle n'oscilla pas et ne montra aucun signe de nervosité ou de faiblesse.
- Certes. Mais je ne suis pas humaine.
- De quelle race es-tu ?
- Je ne peux parler qu'en présence de ton chef, centaure. Ce que j'ai à lui dire est très important, dit-elle tout en faisant attention à bien peser ses mots.
- Que veux-tu ? questionna une voix puissante qui s'avançait.
Les autres centaures s'écartèrent devant leur chef et firent une sorte de haie d'honneur. Le chef était grand et son torse était étonnement développé. Tout son corps exprimait puissance, force.
- Et surtout qui es-tu pour oser t'aventurer dans le territoire des centaures ? continua-t-il en s'arrêtant à deux pas d'elle.
- Je suis l'héritière du peuple des Elfes, Arya© Aiedail©.
- C'est impossible. Les elfes ont disparu il y a de ça des milliers d'années. Tu as l'apparence d'une elfe mais qu'est-ce qui nous prouve que tu en es une ?
Elle eut un petit sourire en coin à peine visible. Et en une demie fraction de seconde, tous les centaures eurent une égratignure, tous au même endroit, sur la joue droite. A peine avaient-ils eu le temps de cligner des yeux, qu'elle était déjà retournée à sa position initiale, son arc à la main.
- Cela vous suffit-il comme preuve ? demanda-t-elle avec une légère lueur d'insolence dans les yeux.
- Cela suffit. Quel est l'objet de ta visite ?
- Vous, le peuple des centaures, avez autrefois passé un pacte avec le peuple des elfes.
Le chef hocha de la tête.
- Après un combat entre le centaure Baal et l'elfe Lundrill, gagné par les elfes, vous nous avez promis votre aide en cas de besoin.
- En effet, fit le chef, tête légèrement baissée par humilité.
- Il est temps de respecter ce pacte. Je dois établir une nouvelle barrière beaucoup plus puissante autour de Poudlard. Et j'ai besoin de votre puissance.
- Nous respecterons le pacte, le temps venu, affirma le chef. »
Hermione salua le chef qui en fit de même. Et elle s'en alla.
Lorsqu'elle arriva à la lisière de la forêt, elle consulta sa montre. Parfait, il était 20 heures. Elle se déporta dans le bureau de la directrice. Le petit « plop » de son apparition fit sursauter la directrice qui était en train de lire une missive du Ministère.
« - Professeur.
- Miss Aiedail.
- Appelez-moi miss Granger. Ce sera plus aisé.
- Soit, miss Granger.
- Tous les habitants du château sont-ils partis ?
- A ma connaissance, oui.
- Professeur, je me répète et j'avoue que je n'aime pas trop ça. Le « nettoyage » du château éliminera toute trace de vie, autant les fantômes que les elfes de maison.
- Oui, oui. Ils sont tous partis miss Granger, répéta la directrice, légèrement agacée.
Hermione lui sourit.
- Tant mieux. Il ne reste plus que vous.
- Je vous souhaite bonne chance, miss Granger.
- Merci, professeur. Faîtes attention à vous sur le retour.
- Vous aussi, miss Granger. Contactez-moi dès que ce sera fini.
- Bien entendu. Bonne soirée.
- Bonne soirée à vous aussi. »
La directrice disparut en un « plouf » et Hermione se retrouva seule dans le bureau de la directrice. Tout autour d'elle, les tableaux semblaient la regarder avec attention. Avec un toussotement pour éclaircir sa voix, elle s'adressa aux directeurs encadrés :
« - Messieurs les directeurs. Aujourd'hui une de vos élèves a besoin de vous et de votre puissance magique. Vous avez depuis longtemps contribué à faire de cet endroit, un lieu d'apprentissage de la magie protégé et sécurisé. Il est temps de continuer votre œuvre. Directeurs de Poudlard, je vous en conjure, prêtez-moi votre puissance magique pour perpétuer cet endroit. »
Une magie se libéra des tableaux et plongea vers Hermione, tel une flèche. Cette dernière l'attendait, les bras ouverts. La magie la toucha de plein fouet et entra en elle. Hermione se sentait Gryffondor, Serpentard, Poufsouffle et Serdaigle à la fois. Une aura blanche l'entourait. Elle se déporta en haut de la tour d'astronomie.
Elle était au centre du toit de la tour. Ses vêtements avaient encore changé. Son armement avait laissé place à une robe blanche. Une simple robe blanche dépourvue de dentelles ou de fanfreluches. Une simple robe blanche de coton. Les bras grands ouverts, elle parlait une autre langue ; une langue ancienne disparue depuis des milliers d'années. La tête levée vers le ciel, ses yeux avaient tournés au blanc. Des nuages gris venaient de toute part pour venir s'amasser juste au dessus de Poudlard, plus précisément au dessus de la tour d'astronomie. Le chaud et le froid ne font généralement pas bon ménage. Des éclairs commencèrent à se faire entendre un peu partout.
Soudain, un éclair plus puissant que les autres vint s'abattre à un pas d'Hermione. Cette dernière ne bougea pas d'un poil, les yeux à demi-fermés, la tête droite. Lorsque l'éclair se retira, il laissa place à une sorte de toute petite clé en forme d'étoile. Cette petite clé dorée flottait devant Hermione qui approcha ses mains comme si elle allait prendre quelque chose de fragile. Au fur et à mesure qu'elle approchait ses mains, la clé se mit à tourner de plus en plus vite dans tous les sens et à s'élever plus haut. Pendant ce temps, Hermione prononçait son incantation :
« - Clé du sceau sacré, moi, Arya© Aiedail©, héritière du peuple des elfes, t'ordonne de reprendre ta véritable apparence. Apparais ! »
Un sceptre apparut avec au bout une étoile de cristal ornée d'une note de musique d'argent. Ses mains firent tournoyer le sceptre comme s'ils étaient dotés d'une vie à part entière, n'obéissant qu'à eux-mêmes. Pendant ce temps, Hermione récitait une autre incantation :
« Par les pouvoirs de cette planète, cicatrisation ! »
Au moment même où elle prononçait cette formule, ses mains cessèrent de faire tournoyer le sceptre pour le brandir au dessus de la tête de sa propriétaire. Une intense lueur blanche fut émise par le sceptre et elle envahit tout le château. Au bout d'à peine quelques secondes, une demie sphère blanche intense recouvrait le château, le parc compris. Hermione était au dessus du château, flottant dans les airs grâce à une paire d'ailes blanches qui lui étaient poussées dans le dos.
Alors que la lueur blanche s'amenuisait, Hermione fonça vers le parc. Il fallait faire vite et ne laissait le temps à aucune personne d'entrer dans le domaine du château. Elle lança un appel télépathique aux peuples de l'eau et aux peuples des centaures.
Toutes les sirènes et ondins sortirent de l'eau et se mirent à chanter, ne faisant qu'une seule voix puissante et envoûtante. Les centaures apparaissaient à la lisière de la forêt et formaient une chaîne. La magie des sirènes alliée à celle des centaures se précipita sur Hermione qui incantait. Une boule au départ intensément blanche se formait entre ses mains, se développant de plus en plus, devenant ainsi de plus en plus transparente. La sphère se développait de plus en plus, jusqu'à englober sa créatrice, puis le château entier.
Hermione n'arrêtait pas d'incanter, le peuple de l'eau de chanter et le peuple des centaures semblait tenir bon, malgré les grosses gouttes de sueur qui perlaient sur leur front. Quelques minutes plus tard, la sphère devint un dôme recouvrant le château et le parc, y compris le lac. Hermione qui avait les yeux fermés jusque-là jeta un regard aux centaures. Un regard qui en disait long, leur offrant un cadeau : bénéficier de la protection qu'elle leur offrait. Le chef accepta le cadeau d'un hochement de la tête.
Un léger sourire orna les lèvres d'Hermione. Un hurlement sortit d'elle, alors qu'elle étendit le dôme sur chacun des centaures. A bout de force, elle fit apparaître un petit cristal à peine plus gros que l'index replié. Il semblait sortir du plus profond d'elle-même. Elle le regarda avec tendresse puis l'éleva dans les airs. Le cristal rejoint le sommet du dôme pour s'y fondre. Le dôme s'éclaira d'une lumière bleutée qui diminua d'intensité jusqu'à rendre le dôme complètement transparent.
Ca y était. La protection de Poudlard était achevée. Un sourire satisfait ornant ses lèvres roses, Hermione s'écroula à terre, les yeux fermés.
Le lendemain matin, elle fut réveillée par le chant des oiseaux. Elle sentit la bonne odeur d'herbe. Elle se releva et vit qu'une couverture de feuilles avait été déposée sur elle ainsi qu'une fleur de nénuphar remplie de lait de louve. Elle eut un sourire reconnaissant et les remercia de tout son cœur. Elle but avec délice le lait, reprenant ainsi des forces. Elle roula les feuilles pour les déposer à la lisière de la forêt, respectant le territoire des centaures. Et elle déposa la fleur de nénuphar, soigneusement nettoyée sur l'eau. Elle s'inclina devant le lac et devant la forêt et se dirigea devant les grilles d'entrée de Poudlard.
Elle passa devant l'enclos des Sombrals. Elle revêtait toujours la robe blanche de la veille et malgré qu'elle ait passé sa nuit dans l'herbe, elle était d'un blanc immaculé. Elle portait à ses pieds, des sandales dorées qui s'attachaient comme des ballerines, les rubans s'entourant autour de ses jambes fuselées. Elle dût attendre à peine quelques minutes que la directrice se présenta devant la grille fermée de Poudlard. La directrice la salua :
« - Bon jour miss Granger. Est-elle en place ?
- Bonjour professeur. Essayez par vous-même.
La vieille directrice essaya d'ouvrir la grille mais sa main fut aussitôt repoussée par une force invisible. Elle se métamorphosa en chat mais ne parvint pas à franchir la grille. Elle lança un expelliarmus en direction d'Hermione mais le sort ricocha contre la barrière pour enfin terminer contre un arbre.
- Stupéfiant, parvint à articuler la directrice.
- N'est-ce pas ? Je n'étais pas moi-même sûre que j'y arriverais, fit Hermione avec un sourire.
- Maintenant pouvez-vous me laisser entrer, miss ? demanda la directrice.
- Elle ne dépend plus de moi. Elle est animée d'un mécanisme propre. Tout ce que vous avez à faire est de vous avancer vers la grille pour la coller contre votre corps jusqu'à la toucher entièrement. Elle fera le reste, expliqua Hermione, avec un léger sourire. »
La directrice s'approcha prudemment de la grille et à peine avait-elle effleuré la grille qu'elle se sentit comme englobée dans un liquide un peu visqueux. Elle resta quelques secondes comme ça avant de pouvoir entrer dans le domaine du château.
« - C'est une expérience… étrange, dit la directrice en s'époussetant, même si sa tenue était impeccable.
- Sous ce dôme, vous pouvez être sûre qu'aucune âme malveillante ne viendra vous espionner ou vous détruire. Les personnes étrangères à l'école, autres que le personnel, le corps enseignant et les élèves ne pourront entrer. Ils seront immédiatement expulsés dans la forêt. Et la Forêt se chargera de leur cas. Personne animée par une violente volonté de détruire ne peut franchir ce dôme. Nous pouvons parler ici librement. De même, les lettres provenant ou destinées à des personnes néfastes, sont détruites au moment même où les lettres touchent le dôme. Toutes les salles, du type la salle sur demande, ont été condamnées et scellées. On ne peut évidemment pas transplaner ou franchir le dôme par la voie des airs.
- Et en ce qui concerne les allées et venues ?
- J'allais y venir. Les élèves, le personnel et le corps enseignant pourront aller et venir à leur guise. Cependant si une fois dehors, ils sont soumis à l'Imperium ou autre sortilège du même type, ils ne pourront plus entrer. Autre exemple, si par exemple notre professeur de soins aux créatures magiques venaient à ramener un animal maléfique ou un animagus mal intentionné, notre professeur – dans le cas où il ne serait pas soumis aux sortilèges comme l'Imperium et où il ne serait pas animé par des mauvaises intentions – franchira la barrière mais l'animal ou l'animagus restera de l'autre côté de la barrière.
- Même vous, miss ?
- Surtout moi.
- Je comprends.
- Bien. Je crois que vous n'avez plus besoin de moi. J'ai d'autres affaires à régler. A la rentrée, professeur ! Prenez soin de vous.
Notamment comment annoncer à Harry ce qui m'arrive.
- Vous aussi, miss. A la rentrée. »
La dame regarda Hermione franchir la barrière avec facilité puis transplaner.
Hermione, je ne crois pas à la divination mais je suis sûre que tu auras un bel avenir.
Note de l'auteur : Lol ! Je n'ai pas eu la patience de poster la suite. ° Voilà un chapitre bien long ! pfffiiouu ! Si vous avez eu le courage de lire jusque-là, chapeau ! Allez rassemblez un peu plus de force pour me dire ce que vous en avez pensé ! Allez de gros bisous pour récompense ! Smmaaaaaacccckkk !
Note de l'auteur 2 : J'aurais peut-être dû couper ce chapitre en 2 pour que ce soit plus facile. Vous en pensez quoi ? Si oui, d'après vous, où aurais-je dû le couper ?
