LOCKED UP

Par Myschka et BlackNemesis

Disclaimer : L'univers de Harry Potter ainsi que les personnage n'appartiennent qu'à JK Rowling. Nous les empruntons juste le temps d'une fic, et nous n'en retirons aucun bénéfice à part celui d'être lues.

Rating : M pour le vocabulaire et certains passages. Par contre pour ceux qui attendent des lemon, vous risquez d'être déçus, nous ne comptons normalement aller que jusqu'au lime (et c'est pas pour tout de suite…c'est même pas dit qu'on en mette, en fait.)

Résumé : Après la chute de Voldemort, le Ministre de la Magie a une dernière faveur à demander à Harry Potter. Acceptera-t-il, en particulier si Draco Malfoy est au centre de l'affaire ?

Note des auteuses : Bonjour à tous ! Voici le chapitre 1 de « Locked up », avec l'arrivée de Harry à Azkaban. Il est un peu court, mais les suivants seront plus longs, promis. En espérant que cela vous plaise…Bonne lecture !

RARs : Les réponses aux reviews non signées pour le prologue sont sur le blog de Myschka (voir dans notre profil).

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Cette fic est entièrement dédiée à BadAngel666.

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CHAPITRE PREMIER

Draco avait du mal à contenir son agacement. Il était dix sept heures et cela faisait une heure qu'il aurait dû sortir pour prendre l'air. Il avait froid, mais surtout il supportait de moins en moins l'odeur âcre de sa cellule humide. Il donna un coup de pied dans les livres qui jonchaient le sol et il pesta lorsqu'une quinte de toux secoua sa cage thoracique. Au moment où il allait abandonner toute idée de mettre le nez dehors, un gardien vint ouvrir sa porte. Draco le suivit dans les escaliers sans mot dire, puis il aspira une grande bouffée d'air frais dès que la grille de la petite cour s'ouvrit. Comme d'habitude, il était seul, mais il ne se formalisait pas pour si peu. Il n'aimait pas la présence des autres prisonniers de toutes façons. Il estimait n'avoir rien en commun avec eux.

Il sortit une cigarette un peu tordue de la poche de sa robe terne et élimée, puis il la plaça entre ses lèvres gercées par le froid. Il s'adossa contre le mur, les yeux fermés, appréciant simplement le vent léger contre son visage et la fumée dans ses poumons. Il toussa un peu mais cela n'avait aucune importance pour lui. Cela faisait longtemps qu'il était enrhumé, et ça ne risquait pas de s'améliorer vu ses conditions de vie. Il fit un sourire en direction de personne. S'ils savaient, au Ministère, qu'il avait connu des endroits bien pires qu'Azkaban, ils seraient moins sûrs de l'avoir à l'usure.

Il entendit la porte s'ouvrir mais il ne tourna pas la tête. C'était son moment. Le moment où il respirait. Il ne voulait pas d'intrusion intempestive. Il voulait juste être en tête à tête avec sa cigarette et la brise de cette fin d'après midi.

« Tiens Malfoy, je t'amène un compagnon de jeu. Il te réchauffera dans ta cellule, » susurra le gardien de sa voix désagréable.

Draco lui fit vivement face. Il n'était pas supposé avoir de compagnon de cellule. D'ailleurs, il n'en voulait pas.

Lorsqu'il vit les yeux verts de jade qui le détaillaient avec une pointe de tristesse, Draco retira lentement sa cigarette de sa bouche. Il prenait toute la mesure de l'expression « les bras m'en tombent » alors que Potter restait là, sans bouger, un désagréable petit sourire compatissant retroussant les coins de ses lèvres.

Draco savait que le rouge lui montait aux joues. Il se sentait humilié d'être vu ainsi. Sale, le teint blafard, les yeux cernés et les lèvres gercées, une robe de prisonnier usée jusqu'à la corde pour tout vêtement alors que Potter semblait dans une forme éblouissante avec ses joues rosies par l'air frais, ses yeux verts étincelants, ses lèvres pleines et sa robe impeccable, ouverte sur un jean et un pull parfaitement taillés.

Ça vient de chez Madame Guipure, sans aucun doute, songea Draco avec nostalgie en voyant l'élégance alliée à la sobriété de la robe.

Il se maudit intérieurement de penser chiffons lorsque le Sauveur du monde sorcier se tenait devant lui, le détaillant sans vergogne de la tête aux pieds, attendant manifestement que Draco parle le premier.

Mais Draco n'avait rien à dire, à part peut être : « mais qu'est ce que tu fais là ? »

Il ne posa pas la question cependant.

Il se contenta de toiser Potter avec toute la hauteur dont il était capable en passant une main dans ses cheveux de la manière la plus décontractée possible. Harry l'applaudit mentalement, parce qu'il fallait être sacrément audacieux et fier pour se donner un air supérieur dans de telles circonstances.

« Malfoy, dis bonjour au grand Harry Potter, lança alors le gardien d'un air si satisfait que Harry eut envie de lui coller son poing dans la figure pour lui faire perdre ce sourire mauvais. Il va partager la cellule avec toi, sauf que lui, il aura droit à de meilleures conditions de vie puisque lui, il ne protège pas l'enfoiré qui a tué Albus Dumbledore.

- Va te faire foutre Clint, » siffla Draco en tirant nerveusement sur sa cigarette.

Harry fut surpris d'entendre Draco parler de cette manière, parce que ce n'était pas du tout son genre à Poudlard. Au contraire, il était plutôt enclin à reprendre chaque personne qui parlait vulgairement autour de lui. Le gardien fit un pas en avant vers le blond mais Harry le stoppa d'un regard incendiaire.

« Malfoy a du mal à oublier qu'il ne fait plus partie de la jet set et qu'il n'a pas le droit de parler sur ce ton à ceux qui lui sont supérieurs, expliqua mollement Clint en se tournant vers Harry. Monseigneur joue les fortes têtes mais j'en ai maté des plus coriaces, croyez-moi. Savez vous qu'il s'amuse à faire la grève de la faim depuis deux jours ?

- Je ne fais pas la grève de la faim, répliqua sèchement Draco. Je refuse simplement de toucher la nourriture, puisque ça fait deux jours que vous m'avez coupé l'eau courante et que je ne peux donc pas me laver les mains.

- Sa Majesté ne supporte pas de pisser sans qu'on la lui tienne pour l'hygiène ?

- Au risque de me répéter, va te faire foutre, Clint !

- S'il vous plait, Clint, intervint Harry qui commençait déjà à saturer, passons sur les détails et venons-en à l'essentiel.

- Très bien Monsieur Potter, tout ce que vous voudrez. Je vous conduis dans votre cellule commune, vous y serez plus tranquilles pour vos retrouvailles. »

Le sourire malsain du gardien fit froid dans le dos de Harry. Il savait à quoi l'autre faisait allusion : à la rumeur selon laquelle des « extérieurs » à la prison payaient pour venir choisir des détenus et passer la nuit avec eux, comme dans une maison close. Kingsley Shakelbolt, Ministre de la Justice, avait sérieusement enquêté sur cette affaire et il s'était avéré que de telles pratiques n'existaient que dans les fantasmes de certains gardiens et d'une certaine partie de la population sorcière. Harry en avait été soulagé. Les occupants d'Azkaban avaient beau être des criminels, ils n'étaient pas des poupées dont on pouvait disposer à loisir.

Draco haussa les épaules et il s'engagea dans l'escalier étroit en prenant un soin tout particulier à ignorer la présence du Survivant. Lorsqu'ils marchèrent côte à côte dans le couloir et que leurs épaules se frôlèrent, il n'accorda pas un regard en direction du brun. Ce qui tombait plutôt bien car ce dernier ne se préoccupait pas non plus de lui. Il était bien plus intéressé par la cellule devant laquelle le gardien venait de s'arrêter. Harry entra et il respira lentement par la bouche pour ne pas sentir l'odeur de moisi qui polluait la pièce. Décidément, le Ministère avait pensé à toutes les incommodités possibles pour faire parler Draco. Harry exigea cependant que l'eau soit rétablie dans le petit lavabo placé au fond de la pièce, à côté de la cuvette des toilettes et Clint, d'un mouvement de baguette magique, rendit à Draco l'eau dont il avait besoin.

Aussitôt, Draco partit tirer la chasse d'eau d'un air écoeuré, le rouge aux joues, et Harry eut soudain un élan de compassion envers le blond, compassion qu'il se refusait à éprouver.

Il fut satisfait de constater que durant les dix minutes d'absence de Draco, le coin gauche de la geôle avait été aménagé pour lui. Il avait un lit confortable, plusieurs couvertures, des livres neufs et un petit bureau sur lequel avait été déposée une corbeille de fruits. Dès que Clint referma la grille pour les enfermer et vaquer à ses occupations, Draco poussa un long soupir exaspéré. Harry prit une pomme verte et il croqua dedans en s'installant sur son lit pendant que Draco restait debout devant lui, les bras croisés, le regard foudroyant. Harry lui fit un sourire décontracté en mordant à nouveau dans son fruit. Il fut étonné de trouver amusant d'essayer de pousser Malfoy à bout.

« Sers-toi Malfoy, dit-il alors en montrant la corbeille pleine.

- Qu'est ce que tu fais là, Potter ? Explosa Draco.

- Je mange une pomme…Et accessoirement j'écris un livre de sociologie sur l'incarcération. Je suis ici pour observer. Tu es mon rat de laboratoire en quelque sorte. »

Draco le fusilla de ses iris gris avant d'aller se laver les mains une bonne dizaine de fois. Sa fierté l'empêcha cependant de prendre l'orange qui lui faisait tant envie.

« Je ne te crois pas, lança-t-il en s'essuyant les mains. Tu écris des livres fantastiques, et ça m'étonnerait que tu t'intéresses de près ou de loin à la sociologie.

- Comment sais-tu que j'écris des histoires fantastiques ? Demanda Harry alors que le blond se mouchait bruyamment.

- Parce que j'en ai lu deux, » répondit Draco en ramassant un livre qu'il jeta sur Harry…Il s'agissait de son premier roman. « Ce n'est pas mauvais. J'aurais travaillé d'avantage certains passages si j'avais été à ta place, mais après tout, tu n'as jamais été très perfectionniste, contrairement à Granger. Ça m'étonne qu'elle ne t'ait pas forcé à développer plus encore la partie où la fillette découvre ses dons de…

- Hermione est morte, » interrompit sèchement Harry.

Draco s'assit sur son lit trop dur avec lenteur, le visage décomposé comme s'il venait d'apprendre une mauvaise nouvelle, ce qui n'était pourtant pas le cas puisqu'il haïssait Hermione.

« Potter, je suis navré, j'ignorais qu'elle était…Toutes mes excuses. »

Harry manqua de s'étouffer avec un morceau de pomme tant il était étonné. Draco ne s'était excusé qu'une fois auparavant, et il n'était pas sincère. Or à présent, il donnait réellement l'impression de penser chacun de ses mots.

« Ce sont des choses qui arrivent, répondit Harry en jetant son reste de fruit dans la corbeille à papiers rouillée. Pour éviter toute autre situation de ce genre, Ron Weasley n'a pas survécu non plus à la guerre et je t'interdis de prononcer son nom dans nos futures conversations.

- De toutes façons je n'ai pas l'intention de converser avec toi, » siffla Draco en s'allongeant.

Plus un mot ne fut échangé pendant deux heures. Jusqu'au moment où Draco se leva, l'air furieux. Harry le regarda se diriger d'un pas décidé vers les minuscules toilettes.

« Retourne toi Potter, ordonna Draco en se positionnant devant la cuvette.

- Je n'ai certainement pas l'intention de te reluquer pendant que tu pisses, » fit remarquer Harry en fixant le mur derrière lui.

Il entendit le blond faire son possible pour ne pas être trop bruyant et il commença à maudire Rufus Scrimgeour et ses idées brillantes pour faire parler Draco. Parce que la situation n'était pas seulement gênante pour le fils Malfoy, elle l'était aussi pour Harry.

« Je n'y crois pas, entendit-il marmonner dans le fond de la cellule. Putain que c'est embarrassant. »

Harry soupira…Enerver Malfoy, c'était le maître mot.

« Ne fais pas ta princesse, Malfoy, tu as certainement dû uriner devant ce cher Snape lors de votre escapade entre Mangemorts.

- Si on te le demande, tu diras que tu ne sais pas, » répliqua Draco en tirant la chasse.

Il se recoucha et il retomba dans un mutisme complet jusqu'à ce que sa voix traînante sorte Harry de ses rêveries.

« Tu penses à quoi en ce moment, Potter ?

- Tu vas te foutre de moi.

- Non. A moins que ce soit vraiment drôle…Alors ?

- Je pense à mon chien, c'est idiot, n'est ce pas ?

- Je ne trouve pas, répondit Draco de sa voix traînante un peu enrouée. Pour un cœur tendre comme toi, ça n'a rien d'idiot, c'est juste prévisible. Cela fait longtemps que tu l'as ?

- Deux ans tout juste. Je l'ai adopté lorsque ses maîtres ont été tués par Voldemort. Il m'a vraiment aidé à me sentir plus serein à la fin de la guerre. Jusqu'ici, je ne l'avais jamais laissé plus d'une journée tout seul et il commence à me manquer. A cette heure là, normalement, je suis en train d'écrire pendant qu'il dort couché sur mes pieds.

- Cela doit être agréable d'avoir un animal de compagnie. Mon père n'a jamais voulu que j'aie un chat. Qu'en as-tu fait en attendant ? Et quel est son nom ?

- Je préfère taire son nom, sinon là c'est sûr, tu vas te foutre de ma gueule. Je l'ai laissé chez un ami, Théodore Nott.

- Nott ? S'exclama Draco en se redressant. Tu es ami avec Nott !

- Oui, c'est quelqu'un de très bien. En plus il adore Meuhmeuh.

- Meuh…Meuh ? » Questionna Draco en éclatant de rire malgré la douleur sur ses lèvres gercées.

Harry fit un sourire amusé et il attendit que le blond se calme avant d'expliquer pour la centième fois depuis qu'il avait ce chien que non, il n'avait pas choisi un tel nom. Draco hocha la tête puis il demanda à Harry de se retourner une fois de plus car il voulait se laver. Harry était étonné de constater qu'à aucun moment, le blond n'avait essayé de profiter des avantages dont bénéficiait le Survivant. Il ne cherchait pas à se servir de la cabine de douche, il faisait comme à son habitude, comme si toutes les affaires installées pour Harry n'étaient pas là. Le brun en profita pour prendre une douche, affreusement gêné de sentir l'eau chaude couler sur lui en sachant que Draco se lavait à l'eau froide…Il en voulait à Snape pour ça aussi. Après tout, l'ancien professeur avait laissé Draco se faire attraper et il s'était sauvé sans se retourner, d'après le Daily Prophet.

Lorsqu'il sortit de la cabine, Draco était allongé sur son lit, recroquevillé sur lui-même pour se tenir chaud.

« Tu m'en vois navré Potter, mais je suis fatigué alors si tu veux bien, nous discuterons demain, comme les vieux amis que nous sommes, » fit il avec un rictus sarcastique.

Il n'avait soudain plus grand chose à voir avec le Malfoy presque aimable de tout à l'heure. Il semblait même agacé, comme si la discussion civilisée qu'ils avaient eue quelques minutes auparavant n'était qu'une erreur de parcours, une faiblesse passagère – Harry songea que malgré tout, il devait se sentir sacrément seul pour s'être laissé aller à lui parler normalement.

« Tu es malade ? Demanda néanmoins Harry en s'approchant pour lui toucher le front.

- Juste un rhume qui ne passe pas mais ne t'en fais pas, ça ne m'empêchera pas de me foutre de toi à cause du nom de ton chien à la première heure demain matin – ne me touche pas, je n'ai pas besoin de ta compassion, » répliqua le jeune homme blond en repoussant sèchement sa main.

Harry esquissa un sourire puis il se coucha. Encore une fois, il éprouvait de la honte à laisser Draco grelotter dans la précarité alors que lui avait un lit douillet et de chaudes couvertures.

« Tu es sûr de ne pas vouloir une couverture supplémentaire ? » demanda Harry en remontant les draps sur lui. « Ce n'est pas très raisonnable de rester comme ça alors que tu es malade.

- Non merci Potter, j'adore avoir froid quand j'ai la crève, ça ira. »

Harry haussa les épaules à la répartie cinglante, et il attendit dans l'obscurité que le sommeil veuille bien l'accueillir. Au beau milieu de la nuit, pourtant, il fut réveillé lorsqu'il entendit Draco tousser et se mettre à claquer des dents. Se retournant en grommelant dans son lit, il attendit que son compagnon de cellule se calme, mais les minutes passaient sans que le jeune homme semble aller mieux. Avec un soupir agacé, il repoussa les épaisses couvertures qui le recouvraient et s'assit sur le rebord de son lit, un frisson désagréable le parcourant quand un courant d'air vint s'infiltrer sous ses vêtements.

« Tu m'étonnes qu'il tremble, vue la température, » grogna doucement Harry. « Le Ministère veut faire des économies d'énergie ou quoi ? »

Il se leva silencieusement et, attrapant deux des couvertures qui recouvraient son lit, il se dirigea vers la misérable paillasse qu'occupait son ancien camarade de classe. La pénombre qui régnait dans la pièce exiguë n'était pas assez profonde pour qu'il ne puisse pas distinguer avec précision les traits fatigués de Draco. Le jeune homme semblait plutôt mal en point, une fois que son visage était débarrassé de l'expression hautaine qu'il arborait en permanence, se rendit-il compte avec un peu d'effarement. Et au rythme où allaient les choses, il faudrait peu de temps pour que le traitement qui lui était infligé par le Ministère ne l'affaiblisse vraiment, et que le simple rhume dont il était victime se transforme en bronchite sérieuse – voire pire. Harry toucha légèrement le front pâle et frémit lorsqu'il sentit à quel point la fièvre rendait sa peau brûlante.

Avec un froncement de sourcils contrarié, il déposa le plus doucement possible les deux couvertures sur le corps maigre de Draco, prenant soin de ne pas le réveiller – il ne manquerait plus que Malfoy se rende compte de ce qu'il faisait et qu'il lui jette ses couvertures à la figure ! Il regagna ensuite sa couche en se faisant la réflexion que Rufus Scrimgeour était tout de même une belle ordure. Dire qu'il se plaignait quelques années auparavant de l'incompétence de Fudge…Finalement, il semblait bien que tous les politiques sorciers se ressemblaient dès qu'il s'agissait de conserver le pouvoir…

A suivre…

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Voilà, nous espérons que ce chapitre vous aura plu ! Le prochain arrivera dans à peu près un mois. Oui, c'est plutôt long, mais n'oubliez pas que nous avons d'autres fics en cours chacune de notre côté et qu'il ne nous est pas facile de combiner nos vies de famille, nos fics perso et la coécriture. Quoiqu'il en soit, nous essaierons de rester les plus régulières possible.

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