J'ai pas beaucoup de temps, je suis juste passé mettre ce chapitre.

merci à tlm pr vos rev! ce chap bien qu'il ne répond pas à tout, vous donnera une idée de ce qui s'est passé.

bonne lecture.

acte 3 Les 20 dernières années

La gazette du sorcier, le 2novembre 1982

Vous-Savez-Qui a été vaincu !

Après des années de règne du terreur par le plus terrible mage noir de ce siècle et peut être du millénaire, nous sommes les heureux premiers à vous informer de sa fin !

Vous vous demandez sans aucun doute à qui devons nous ce miracle.

Mais vous refuserez peut être de nous croire tellement cette histoire tragique est prodigieuse par son aboutissant.

Cependant si nous nous réveillons enfin d'une longue nuit cauchemardesque, ce bien est pourtant né d'un mal. Car cette félicité nous ait apporté par la survie d'un bébé et la mort de ses parents, un couple célèbre des plus grands défenseurs du bien de notre temps.

Commençons par le début.

La nuit du 31 octobre, jour d'Halloween, Vous-Savez-Qui décida de finir avec deux de ses plus dangereux opposants.

James Potter, descendant d'une noble lignée sorcière et son épouse Lili Potter née Evans. Ce jeune beau et courageux couple ont eu un fils qu'ils ont appelé Harry Potter.

L'enfant âgé de seulement un an verrait pour la dernière fois, ce jour de fête des morts, ses parents en vie. Ironique.

Vous-Savez-Qui attaqua les Potter cette terrible nuit et après avoir assassiné les très regretté James et Lili s'attaqua à leur bébé.

Et là, par on ne sait quel prodige, le sort mortel qu'il utilisa contre le jeune Harry se retourna contre lui l'anéantissant et laissant le petit sorcier avec une cicatrice en forme d'éclair sur le front.

Oui, Vous Savez-Qui vaincu par un bébé d'un an et quelque mois qui est aujourd'hui bien portant mais orphelin.

(…)

Toute notre reconnaissance au Survivant !

(…)

Théroie sur cette nuit page 22, interview des aurors qui ont vue les ruines de la maison des Potter page 31…

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Pétunia comme tout les matins se levait avant son mari pour aller préparer le petit déjeuner. Habillé d'une robe de chambre rose saumon et ses cheveux blond tenus au sommet de son crâne pas de gros bigoudis mauves elle sortit de la chambre non sans un regard énamouré lancé à son époux ronflant tranquillement dans leur lit conjugal.

En passant par le couloir, elle ouvrit la porte de la chambre de son fils doucement pour faire le moins de bruit possible. Les murs de la pièce étaient peints en bleu, et la chambre remplis de jouets pour bébé. Au centre, un landau blanc où un porcin … (nda : oups mes mains on dérapés sur le claviers.) un bébé dans une grenouillère blanche surchargé de dentelles dormait.

Se sentant très heureuse et épanouie de sa parfaite petite famille, Pétunia descendit les escaliers et alla ouvrir la porte d'entrée pour récupérer les bouteilles de lait frais.

Cependant aujourd'hui ne serait pas un jour comme d'habitude pour les Dursley.

Sous les cris aigue d'une jeune femme, un poupon aux yeux émeraude se réveilla en sursaut.

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« ILS SE FOUTENT DE NOUS ! » Beugla Vernon !

Dans sa robe de chambre brune, habillé d'un marcel et caleçon gris, l'homme ruminait de colère. Sa moustache avait les poils tout hérissés et une veine violacée battait à sa tempe. Il tenait dans son poing une lettre froissée.

« Chut Vernon ! Les voisins vont t'entendre ! » S'inquiéta Pétunia. Ses yeux bleus perçant se tournèrent vers la fenêtre comme si elle s'attendait à voir surgir quelqu'un.

Les cris de leur fils résonnèrent soudain.

« Oh mon pauvre Duddy ! » Dit Pétunia en se précipitant dans les escaliers.

Vernon jeta un coup d'oeil furieux, comme si c'était sa faute, le bébé assis sur le tapis qui regardait autour de lui de ses grands yeux verts embués de larme s'agitant pour qu'on le prenne.

Pétunia redescendit avec leur fils et s'installa sur le canapé. Elle eut à peine le temps de sortir un sein que l'enfant l'attrapa dans sa bouche et bu goulûment le lait. (nda : Il a plus d'un an ! Faudrait penser à le sevrer ! )

Vernon regarda son fils avec tendresse. « C'est bien mon fils. Tu sais ce que tu veux. » (nda : Devenir un gros porc ! ouaaaais)

Il alla s'asseoir sur le fauteuil et soupira. « Nous ne méritons pas ça. »

Harry, poussa un petit cri plaintif cherchant désespérément des yeux ses parents. « Maman… papa … » Hoqueta t'il entre deux sanglots.

Pétunia s'assombrit à la pensée que Dudley ne savait pas dire papa encore. (nda : il dit que « veux… »)

En repensant à sa sœur jalousée et honnie, elle ressentit une bouffée de haine irrationnelle pour le fils de celle-ci.

« C'est trop fort. Pourrir mon enfance avec sa monstruosité ne lui suffisait pas ! Il faut que même morte elle me nuise encore. Pourquoi devrais-je m'occuper de son enfant atteint de son mal sans aucun doute. Je souhaite simplement vivre une vie normal et sans rien de bizarre ! Est-ce trop demandé ?»

Elle éclata en sanglot et serrant fort conte son sein son fils.

« Non, pas question que Dudley vive la même chose que moi. Que croit ce fichu Dumbledore ? Nous devons riens à ces gens ! Il nous prenne pourquoi ? La poubelle de ma sœur ! »

« Tu as raison ma chérie. Nous le mettrons à l'orphelinat… »

« Pour qu'il contamine les autres enfants ! Non l'orphelinat est un trop bon endroit pour cette créature… »

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Vernon conduisait tout en jetant de fréquent coup d'œil inquiet dans le rétroviseur.

Il était seul sur une route de campagne en plein milieu de la nuit.

A l'arrière endormie dans le siège enfant, le petit bébé aux cheveux noir ébouriffés vêtues d'habit chaud bien que légèrement trop large et grand pour lui.

Vernon savait qu'ils avaient pris la meilleure décision, mais il craignait qu'on le surprenne.

Les autres personnes normales ignorants de l'existence de ces ignominies ne comprendraient pas son geste.

Alors qu'il agissait simplement pour le bien de sa famille et peut être l'humanité, les gens verraient seulement qu'il s'apprêtait à abandonné un petit garçon d'un an en pleine forêt.

Pétunia était chez Marge avec leur fils. Ils avaient cachés à tout le monde l'arrivée d'un second enfant et avait fait croire qu'ils partaient en week-end en famille.

Leur objectif était de se débarrasser de la chose et faire comme s'il ne l'avait jamais trouvé au bas de leur porte.

C'était l'idée de Pétunia.

Bien que la route soit déserte à une heure si tardive, Vernon mis son clignotant et tourna sur une petit chemin de terre qui l'enfonça dans la forêt jusqu'à une barrière en bois.

Inspirant profondément, il tenta de calmer la peur et la monté d'adrénaline qui le faisait trembler et suer.

Il sortit de sa voiture et ouvrit la portière arrière.

Craignant de réveiller la chose, avec précaution il défit la ceinture de sécurité et l'installa dans un panier d'osier dans lequel il rabattit une couverture cachant entièrement l'enfant.

C'était sans doute plus facile « d'oublier » un panier en osier avec des couvertures en pleine forêt, qu'un petit être vivant.

Après avoir marché un certain temps, Vernon posa son fardeau au pied d'un arbre.

Il repartit à son véhicule sans un regard en arrière.

Il allait retourner à sa vie tranquille et normale en oubliant le passage court dans leur existence d'un certain Harry Potter.

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La gazette du sorcier,Le 8 novembre 1982

EMPRISONNEMENT A VIE A AZKABAN POUR SIRIUS BLACK

(…)

Pour avoir tué dans une rue 13 moldus et le sorcier Peter Pettigrow mort en héros pour avoir tenter d'arrêter ce mangemort fou furieux désireux de venger son maître, Sirius Black est condamné à l'emprisonnement à vie à Azkaban. Il sera incarcéré dans le quartier de haute sécurité ou se trouve les plus terribles criminels tel que les Lestrange qui ont commis le crime atroce d'abuser du sortilège Doloris sur le couple Londubat entraînant des séquelles irréversibles …

(…)

Remise posthume de l'ordre de Merlin 1ere classe à Peter Pettigrow page 18

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10 ans plus tard, Poudlard

Minerva Macgonal entra pour la première fois de son existence sans frapper dans le bureau du directeur.

Son visage sévère était pâle et sa lèvre inférieure tremblait légèrement.

« Albus… monsieur le directeur… c'est terrible ! »

Dumbledore qui était occupé à préparé l'emploi du temps des premières années leva les yeux et regarda avec étonnement son professeur de métamorphose.

Il était très rare que Minerva perde son calme. Et même quand c'était le cas, elle était de ceux dont la colère était froide.

« Et bien ma chère Minerva, que se passe t'il de si grave qui a pu te mettre dans cette état. »

La directrice de Griffondor se laissa tomber sur un siège et tendit une enveloppe au directeur. Albus fronça les sourcils en la prenant.

Il y était marqué en encre vert émeraude :

Harry Potter,

4 Privet Drive

« Peux tu m'expliquer ? »

« Le hibou censé apporter ce courrier est revenue. Vous savez ce que cela signifie. »

« Je crains que oui. » répliqua t'il en se rembrunissant.

« Le jeune Harry ne se trouve pas dans cette maison ! Pourtant nous l'y avons bien déposé ! » Elle semblait à présent furieuse. « Je vous l'avez dit Albus que nous aurions du garder un œil sur lui et ne pas faire confiance à ces gens ! je vous avez prévenue je… »

« Et vous aviez parfaitement raison Minerva. » Coupa Albus. « Mais l'heure n'est pas à remontrance. Nous devons nous rendre chez les Dursley, peut être il y a une explication logique. Ne tirons pas des conclusions hâtives. » Déclara sombrement le vieil homme.

Il priait de tout cœur que le jeune garçon était en parfaite santé et qu'ils allaient le retrouver.

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« Harry, le fils de Lili? Mon neveux ? Mais pourquoi pensez-vous qu'il devrait ici ? »

(…)

« Attendez de quoi m'accusez vous exactement ? Vous avez laissé un petit garçon d'un an à ma porte soi-disant avec une lettre pour nous expliquer la situation… Et bien désolé mais je n'ai vu ni l'un ni l'autre. Et je peux vous dire qu'il fallait être fou pour laisser un enfant comme ça, tout seul dehors dans le monde dans lequel nous vivons… »

( …)

« Je pensais que mon neveux avait été confié à une famille de gens de votre sorte. Je n'avais aucune raison de m'inquiéter de son sort. »

(…)

« Excusez moi mais je n'était pas en bon terme avec ma sœur. Et même si j'ai été affecté par son décès comment voulez-vous que je puisse penser que c'était à moi qu'on confierait la garde de son fils? »

« Je prend tout ceci avec calme ? Et bien vous avez tort. J'ai la nausée. Je suis quelque peu surprise du peu de responsabilité ont les gens comme vous. Vous auriez pu très bien sonné pour nous réveiller car après tout qu'importait l'heure tardive vu la gravité de l'affaire…. Mais non, vous vous êtes tirés après avoir laisser votre fardeau tout seul en pensant avoir fait votre devoir. Pour moi tout ceci est de votre faute et ma famille et moi n'avons rien à nous repprocher. »

(…)

« Je suis fatigué et mon époux ainsi que mon fils ne vont pas tarder à rentrer. Est-ce trop vous demandez de sortir de ma vie et celle des miens une fois pour toute. Mon fils est normal et je tiens à ce qu'il le reste. Au revoir monsieur Dumbledore. »

(…)

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La Gazette du sorcier, le 31 Juillet 1992

LE SURVIVANT DISPARU

(…)

Nous sommes encore sur le choc de la terrible nouvelle.

En effet, tandis que notre monde se reconstruisait dans la paix grâce à un petit garçon, que nous vivions tous tranquillement sans peur du lendemain nous ignorions que celui-ci avait disparut.

Cela fait 10 ans en vérité que personne ne sait où il se trouve.

On se demande avec quel inconscience et peu de reconnaissance le ministère ait laissé une telle chose arrivée à notre sauveur...

Bien que les chances de retrouver notre jeune sauveur son quasi inexistante, le ministère met tout en œuvre pour tenter de le retrouver…

(…)

oO0Oo

10 ans plus tard, Square Grimmauld, Ordre du phénix

Severus arriva par feu de cheminette dans la cuisine. Il épousseta ses longues robes noires et regarda autour de lui.

La marque des ténèbres dans son bras l'élancée, mais ce n'était pas grand chose. Après tout il sortait d'une réunion de mangemort et leur maître sans avoir reçu un doloris.

Si à présent la réunion de l'ordre se passait sans que lui et le sale cabot ne se saute dessus, se serait une journée moins pourri que d'habitude.

«Bonjour Severus.» Salua poliment Molly Weasley.

La femme rousse avait maigri et son visage était marqué par l'anxiété et le chagrin.

«Molly.» Répondit plus sèchement qu'il l'aurait voulu Severus.

Mais Molly habitué ne lui en tint pas rigueur.

«Tout le monde n'est pas encore arrivée.Si tu veux, je peux te servir du thé.»

Le maître des potions hocha la tête et s'assit en face de la femme qui lui servit dans une tasse la boisson chaude.

Les Weasley n'avait pas eu de chance.

Leur fille Virginia, surnommé Ginny, lors de sa première année à Poudlard, à cause d'un journal intime qui avait permis au seigneur des ténèbres de ressurgir était dans une sorte d'état entre l'inconscient et l'éveil, comme bloqué à jamais. Incapable de communiquer ou avoir la moindre initiative que se soit bouger ou dormir. Elle se contentait de rester immobile regardant sans voir, écoutant sans entendre. N'ayant plus aucune sensation ou émotion.

Elle était à Saint Mangouste.

Elle aurait pu être morte, si Draco n'était pas venu le voir pour le prévenir à temps et que Severus n'avait pas trouvé grâce à l'aide de ce même jeune homme, la chambre des secrets.

Ils étaient arrivé seulement à temps pour sauver de la mort la jeune Weasley.

Le seigneur des ténèbres étaient de retour. Il avait emporté la vie de plusieurs élèves avant qu'on arrive à tuer le basilique et que cette partie d'âme se sauve pour aller fusionner avec l'esprit errant de son maître .

Depuis, rien n'allait plus chez les Weasley.

Et surtout la guerre avait repris.

Sirius Black avait été innocenté et passait le plus clair de son temps à chercher son filleul.

C'était stupide de l'avis de Severus.

Le rejeton des Potter ne pouvait avoir survécut. Même Lupin, le fichu loup-garou le savait.

Pourtant, il ne pouvait pas avoir plus tort...

à suivre...

Voilà j'espère que vous avez apprécié.

Bisous, et une petite rev.

bye