Entre quatre murs
Auteur : antedaemonia
Disclaiming : Oui, oui, je sais ! Rien ne m'appartient, blablabla…, et tout cet univers appartient à J.K.Rowling.
Genre : Fic Slash / Yaoi
Couple : HP / DM
Rating : R, et plus si possible…
Résumé : Et si Harry Potter devenait directeur de la prison d'Azkaban, pour protéger Severus Snape, emprisonné par le Ministère ? Et si, parmi les prisonniers, il retrouvait Draco Malfoy, incarcéré depuis 3 ans, victime de son père, de sa réputation, et de bien pire encore ?
Avertissement : Attention, attention, je préfère vous prévenir : dans ce chapitre, le vocabulaire est très cru, et les situations décrites sont assez violentes. Il y a notamment un viol. Donc si vous craignez de ne pas supporter, soyez assez aimable de ne pas lire ce chapitre ! (ni les suivants d'ailleurs)
A part ça, mille pardons pour ce retard qui s'est allongé au-delà de toute mesure. Maos voyez vous, pauvres petites âmes innocentes, vous qui croyez que l'esclavage a été aboli, eh bien je vous l'annonce sans détour : là où je bosse, ils ne sont pas au courant de ce petit détail juridico-humanitaire, et nous font bosser comme des damnés, avec des horaires de dingues. Sans vouloir vous raconter ma vie, dites vous que depuis le mois de janvier, je dors en moyenne 4 heures par nuit, ce qui fait que je ressemble à peu de chose près à un zombi.
Malgré tout, je n'abandonne pas mes fics (aucun risque), et surtout, je vous rappelle à toutes et tous que d'ici peu, vous aurez la chance et le plaisir indiscutable de pouvoir vous procurer Le Troisième Œil, le zine de Tiayel et Ivrian, 100 Yaoi et 95 pour centNC17 (auquel j'ai la chance de participer par mes chti dessins) !
Réponses aux reviews :
Maria : salut à toi, et merci de ton message. J'espère que cette longue attente ne t'a pas trop dérangée. Pour la femme qui a témoigné en faveur de Draco, c'est un personnage important, mais vous allez le découvrir lentement. Elle s'appelle Antinéa, et Draco a pensé à elle dans le chapitre deux (mais c'est passé inaperçu je crois). Il faudra être patiente pour en savoir plus…
Onarluca : les envies de meurtre quand tu arrives en fin de chapitre, c'est envers l'auteur ? Parce que dans ce cas, je suis mal. Vu le temps que j'ai mis pour mettre en ligne ce nouveau chapitre… Désolée en tout cas d'avoir provoquée tes pulsions meurtrières… gloups… j'espère que tu me pardonneras grâce à ce chapitre (et là, je viens de me rappeler ce qu'il y a dans ce chapitre, et je me dis que je suis suuuuuuper mal… vu ce qui arrive à Draco… hum bref, à la prochaine…) bye !
Artoung : toi qui voulait la suite, eh bien la voilà enfin (non, je n'étais pas morte, juste un peu surchargée de boulot… et ça va pas s'arranger…) Du coup, tu sais que je n'ai même pas pu t'écrire la moindre petite review pour « Tu m'as bien regardé Potter », et pourtant, j'ai suivi attentivement chaque nouveau chapitre, et j'ai adoré ! En plus, je viens de m'apercevoir qu'il y avait une nouvelle fic de toi, « Mes nuits sont plus belles que vos jours », et je viens de dévorer les deux chapitres ! Félicitations ! C'était excellent ! Tu écris remarquablement bien, mais tu m'as fait peur : j'ai bien cru que Harry et Draco n'allaient jamais réussir à s'avouer quoi que ce soit, et je craignais que ça finisse mal. Ouf, je suis rassurée ! Sinon, pour ma fic, pour que Harry ouvre les yeux, hum, comment dire… c'est pas pour tout de suite… Je crois que vous allez détester son comportement, mais bon, c'est fait pour, hein ? Comme ça, on l'adorera encore plus quand il changera pour de bon…
BlackNemesis : hééé, le dossier de Draco est confidentiel… pour l'instant… Le procès, et toute cette période là, sont des moments que j'ai hâte d'aborder, parce qu'ils aideront vraiment à comprendre l'histoire de Draco, et sa relation (pas terrible la relation) avec ses parents. Mais il faudra être un peu patiente, parce que ça viendra par petits bouts… Et quand je me mettrai à parler de Narcissa… j'ai déjà plein d'idées sur ce qu'elle est, et ce qu'elle a fait… ça va barder… Pour ce nouveau chapitre, je crois qu'en matière de narration « crue », je suis en train d'établir de nouveaux records sur mon échelle personnelle : y'a des fois, en recopiant mes brouillons, je suis obligée d'adoucir un peu le ton, parce que sinon, même le label nc17 ne sera plus assez fort… Bref, merci pour tous tes compliments, mais il y en a un que je ne suis pas prête de mériter, c'est celui de la ponctualité : j'ai vraiment trop tardée, cette fois ci, hein ? Gomen, comme disent toux ceux qui lisent du Gundam Wings (je suis plongée dans une fic de plus de 1000 pages en anglais en ce moment, et ça me parasite un peu l'esprit) Bref, à très bientôt Miss, et j'ai hâte de te lire, moi aussi ! Ciao !
Aella : ne t'en fait pas, je ne trouve jamais ça désagréable quand on me dit que je suis cruelle, au moins ça me prouve que j'ai réussi à installer une ambiance, et c'est ce que je veux ! Et puis je te rassure, oui ma fic commence un peu mal, oui ça va empirer jusqu'à ce qu'on atteigne le fin fond de l'horreur, mais ensuite, on remontera à la surface, enfin Harry remontera à la surface, et il entraînera Draco avec lui : conclusion : oui, il est prévu que ça finisse bien ! Ouf ! A part ça, les informations contenues dans les dossiers de Severus et Draco sont confidentielles, jusqu'à ce que je décide de les divulguer… Il faut donc de la …patience ! Bonne lecture, et j'espère que tu aimeras ce chapitre… Ciao !
Smirnoff : merci, si tu aimes ce que j'ai écrit jusqu'à présent, je peux espérer que tu vas apprécier ce qui suit : même si je suis au regret d'annoncer que O'Reilly… Oh, je dis rien, va plutôt lire ! Et à la prochaine !
Sahada : court mais efficace ! Mais si tu me traite de sadique à ce stade là de l'histoire, j'imagine même pas ce que tu vas dire à la fin de ce nouveau chapitre… En tout cas, je suis désolée d'avoir tant tarder, et j'essaierai de faire mieux la prochaine fois au niveau délai ! Allez, va lire ce chapitre, et à la prochaine !
Orphée Potter : …………………………… je sais pas trop comment te dire ça…… peut être que tu devrais zapper ce chapitre ci… et les prochains aussi… éventuellement, je pourrais t'envoyer un email lorsque le dernier chapitre sera updaté (dans très longtemps, pour que tu lises juste la fin heureuse où tout est rose avec des fleurs et des petits lapins tout mignons…). Mais pour ce qui est de ce chapitre ci, pour être honnête, je crains que tu ne veuille très vite utiliser le katana en question sur ma petite personne toute fragile, ce qui m'embêterait un chouia… vois tu, ce n'est pas que je sois douillette, mais je tiens à ma peau. Et ton conseil… eh bien il semblerait que je ne l'ai pas tout à fait suivi… Je crains que la « position de faiblesse » dont tu parlais… Et puis c'et pas demain la veille que Harry va faire un truc sympa, vu qu'il fait à peu prêt pire… Oh la la, rassure moi, tu n'as pas mon adresse, dis moi ? Sinon il va falloir que je m'achète un gilet pare balle renforcé… Heu… bonne lecture ?
CrazySnape : hello toi, tu as du avoir le temps d'updater tes propres fics dix fois avant que je ne mette ce chapitre ci ! Comment vont tes trads ? Pour Veela Enigma, tu as trouvé un autre site où elle était présente ? Je n'ai eu le temps d'écrire aucune review, ni à toi ni à personne, mais je continue à te lire ! Je suis contente d'apprendre que je suis comme un vaccin, si on me lis à faible dose, on s'habitue aux horreurs que je raconte : alors voici mon ordonnance pour le chapitre qui suit : double dose de tout ce que tu peux trouver pour calmer tes angoisses, triple dose de tout anti-anxiolytique en vente libre (le chocolat, c'est pas mal), et puis je crois que pour ce chapitre, ce ne sont pas les fou rires qui risquent de réveiller ta sœur… en revanche, les cris d'effroi, ça peut réveiller si on ne les étouffe pas assez vite… Te voilà prévenue ! Ciao miss, et à très bientôt !
Cordelune : houla houla houla ! Merciiiiiiiiiiii ! Je suis contente d'avoir fait si bonne impression, et le terme « fic parfaite » accolée à mon histoire… là je suis ravie ! J'espère mériter tous ces compliments dans la durée ! La fic est prévue pour être assez longue. Les trois ou quatre chapitres suivants sont déjà écrits, mais pas recopiés. La trame de l'histoire est tout entière dans ma ch'tite tête, en revanche je ne peux pas te dire combien de chapitre ça fera, ni comment ils seront découpés. Donc merci Emma, et reviens m'écrire quand tu veux ! Et puis bonne lecture ! Ciao !
Lunedorell : Yeeeeeeeeeeeees ! J'ai eu 11 sur 10 ! Vous vous êtes concertées, toutes, pour me faire des compliments pareils ? Je suis ravie en tout cas. Pour le dossier de Draco, petite curieuse, il faudra faire preuve d'un peu de patience, vu que j'en révèlerai des bouts petit à petit. En tout cas, je te confirme que ça va être un peu plus compliqué qu'un simple « je le rencontre il me plait on finit ensemble ». Allez, je te laisse aller lire ! Bye !
Vif d'Or : hum… Harry n'est pas le seul à avoir des idées fixes, hein ? Bon, pour répondre à ta question, par ailleurs très pertinente, je dirai ceci : Harry aurait découvert trop tôt bien des choses si tout était écrit dans le dossier de Draco. Donc, comme je l'ai précisé, le sortilège de Rapporteur ne marche qu'avec les gardiens assermentés, à qui on ne va certainement pas raconter certaines choses… Donc tout n'apparaîtra pas dans le dossier. J'espère que mon explication est satisfaisante, parce que c'est la seule que j'ai ! Ciao
Lyly : heu, il faudrait que ça ait un intérêt pour l'histoire, ce qu'il y a dans le dossier de Severus. Je verrai en écrivant. Parfois, il y a des détails inattendus qui apparaissent quand j'écris. Peut être que Harry aura envie d'asticoter un peu Severus dans un prochain chapitre…
Twiggy : (dessin) hello Twiggy ! Avant toute chose, merci pour le Draco que tu m'as dessiné, je l'ai enregistré dans le dossier où sont mes fics, pour le garder en souvenir. Je suis en train de dessiner quelques illustrations pour Le Troisième Œil, le zine de Tiayel et Ivrian, mais après ça, je prendrai un peu de temps pour dessiner Draco tel qu'il est dans ma fic, et je te l'enverrai en priorité en remerciement ! A part ça, voilà enfin la suite, alors bonne lecture !
Mara Snape : merci beaucoup et si l'idée te plait, alors sache que tu ne vas pas être déçue, car Harry va vraiment abuser de sa position, et de Draco par la même occasion. Et puis si tu trouves que Lucius est parfait dans son rôle d'immonde salaud, attends de voir Narcissa : je te jure que tu auras des envies de meurtre ! Enfin bref, j'ai adoré ta review, ça m'a fait vraiment plaisir, alors encore merci, et à bientôt !
Nayou : patience, tu sauras tout… en temps voulu. Et notre petit Draco, on l'aime toutes quand il est vulnérable (en plus, essaie de bien le visualiser avec la coupe de cheveux que je lui est faite… c'est encore plus craquant !) Ciao et bonne lecture !
Minerve : là je suis bluffée. Comment sais tu que Harry va refaire la déco chez Sev ? Tu as lancé un virus nouvelle génération sur mon pc, et il a récupéré les chapitres suivants pour que tu puisses les lire en avant première, ou quoi ? Sinon, Harry n'a pas besoin de rêver, Draco va vraiment venir s'occuper de ses appartements, et plus si possible… Quant aux dégâts que va subir Draco, je crois hélas que O'Reilly rentre effectivement dans ta catégorie des connards brutaux…
Oxaline : hello ma belle ! Toujours contente de voir que tu es là. Le physique de Draco t'a plu ? Moi j'ai reçu un dessin de Twiggy sur mon petit Draco aux cheveux longs avec des chaînes aux pieds. Dès que j'aurai un peu de temps, je vais en faire ma propre version, et je te l'enverrai. Je pense que ça devrait te plaire… Eh oui, la blague à deux balles sur « vingt culs », c'était bien celle qui t'était dédicacée ! Ravie si ça t'a fait rire, c'est l'essentiel. Pour ce que tu disais, oui, Severus connaît beaucoup de choses sur Draco. Et je vous en dirai plus quand on commencera à savoir des trucs sur le passé de Draco, sur ce qu'il a fait pendant les Années Noires, et sur le procès.
Lovely A : coucou Ariane ! Me voici de retour avec ce nouveau chapitre. Désolée d'avoir tant tardée, surtout que c'est un chapitre important. C'est aussi un chapitre un peu difficile, mais je suppose que mes avertissements répétés ne te feront pas reculer, hein ? Alors bonne lecture, et à bientôt ! Bisous ma belle !
Soal : je ne sais pas si les idées de Harry sont « intéressantes » ou royalement tordues, mais en tout cas, une chose est sûre, c'est qu'il réfléchit avec une partie de son anatomie qui n'est pas le cerveau… Aïe aïe aïe, il va vraiment falloir que je réveille le truc qui lui sert de morale à un moment donné de l'histoire ! Mais tant que ça n'est pas arrivé, je te laisse imaginer ce qui va arriver… et c'est Draco qui va en faire les frais, le pauvre 'ptit…
Black Sharne : tu étais obligée d'atteindre ton pc en toute illégalité, dans le dos de tes parents ? Mais ma pauvre ! Je te plains de tout mon cœur. Je n'y survivrais pas si ça devait m'arriver. Bon, en même temps, je vis plus chez mes parents depuis des années, donc ça règle le problème. Et puis ma mère a fini par accepter, je crois, le fait que j'ai des horaires délirants et que rien ne guérira cette incurable calamitée qui lui tient lieu de fille (oui, je parle de moi, là) … Bref, j'espère que tout ça s'est arrangé depuis cette review. A part ça dis moi, as-tu un peu avancé le chapitre suivant de Boys don't cry ? Aura-t-on une suite bientôt ? Moi, ces dernières semaines, j'ai lu des fics anglaises de GW, dont certaines étaient tout simplement géniales ! Mais bon, je te parlerai de tout ça une autre fois, là je vais me dépêcher de finir les réponses aux review pour pouvoir poster ce chapitre ! Ciao !
Crackos : le fait de m'écrire pour me dire que tu aimes ma fic est déjà très agréable pour moi. Alors je ne vais pas me plaindre parce que ton message est un peu court. Ecrit moi plus longuement pour ce chapitre ci, si tu veux ! J'en serai ravie ! En tout cas ne t'en fait pas, je continue ! (même si mes updates vont s'espacer un peu par manque de temps pour l'instant…)
Omi : ta review a touchée juste en plusieurs points, et j'en suis très contente ! Pour les cheveux de Draco, tu as tout à fait raison, ils ne peuvent pas pousser autant en 3 ans, il y a une autre raison (mais il faudra attendre un peu pour que la véritable raison, inscrite dans le dossier de Draco, ne soit lue par Harry… Désolée !) Quant au comportement de Harry, et à ce qu'il envisage de faire, tu as totalement raison, ça va bien être un viol. Même si Harry essaie de mettre des mots différents sur ce qu'il fait, c'est comme un viol que le ressentira Draco. Mais là encore, il faudra attendre un peu pour tout ça, tu es en avance de quelques chapitres, là ! Ciao et bonne lecture.
Mimi : la dernière fois, tu ne m'en voulais pas pour mon retard, alors j'espère qu'il en est de même cette fois ci ! Enfin, voilà la suite quand même, en espérant qu'elle vaille la peine d'avoir attendu autant ! Bisous (en amie aussi) et à bientôt !
Margarita6 : merci, et continue à m'écrire, même si tu n'a rien à ajouté, à part que tu as aimé ! Moi, ça me suffit ! Bye !
Daikyo : salut toi. Eh bien, merci du compliment, et ne t'en fait pas, je continue ma fic. C'est prévu comme ça. Bonne lecture et à une prochaine fois !
Ambre : hello Laure ! Sais tu que nous ne vivons pas très loin l'une de l'autre ? Moi je suis dans une ville un peu au nord de Bordeaux ! Bon, à part ça, je suis ravie que tu aimes cette fic (même si je suis un peu… heu… désespérée quand je vois ce que lisent les jeunes filles de 15 ans de nos jours ! C'est du R/ NC17 ce que j'écris quand même ! Mais où va-t-on ma bonne dame ? C'est pas très sérieux tout ça ! Retourne lire Madame Bovary ! Heuuuuu, non, quand même pas… Je fais une allergie à ce bouquin, je l'ai trop étudié quand j'étais au lycée…) Allez, j'arrête de te chambrer sur ton âge, et je te dis bonne lecture ! Ciao !
Leviathoune : merci pour tes deux reviews. Ca me fait très plaisir. Si tu aimes quand Draco souffre et que Harry est un crétin fini, alors oui, je te le garantie, cette fic, tu vas l'adorer ! Et ce chapitre là va te le prouver. Ton pauvre Draco, comme tu dis, il va s'en prendre plein la tronche, car c'est prévu comme ça. Et Harry ne va pas franchement aider dans un premier temps… Allez, je te laisse aller lire. Ciao !
Draya Felton : hello, et merci de ton message. Pardon d'avoir tant tardée pour cette suite. Elle était déjà écrite, mais c'est la recopier qui m'a pris du temps. Je n'avais aucun moment de libre. Je suis vraiment contente que tu aimes, et j'essaierai de recopier le prochain chapitre plus rapidement (eh oui, il est déjà écrit !) Ciao !
aLiNou : salut à toi. Voici la suite. J'espère que l'attente en aura valu la peine. En tous cas, bonne lecture, et à la prochaine !
Vyviane : salut ! Merci pour tes trois reviews, ça me fait plaisir que tu aies pris la peine de m'envoyer un message pour chaque chapitre. Pour la peine, je te donne un petit indice. Harry a changé beaucoup… en apparence. Intérieurement, plus profondément, il y a des choses qui n'ont pas changées. Sinon, il serait tout simplement un personnage détestable… surtout avec ce qu'il va faire à Draco. Allez, va lire, et dis moi ce que tu en penses ! Ciao
Omi : eeeh, en effet, je t'ai déjà répondu un peu plus haut. Pardon d'avoir tant tardée. Mais vraiment tu n'as pas à t'en faire. Je n'abandonne jamais quelque chose que j'ai commencé. Et je finirais chacune de mes fics. J'en ai même d'autres en tête ; mais je préfère finir ces deux là d'abord ! Je te laisse donc pour que tu puisses aller lire rapidement : j'ai déjà trop testée ta patience, n'est ce pas ? Bisous !
Nayou : euh, j'espère que tu peux quand même penser à autre chose qu'à ma fic… même si c'est très flatteur pour moi ! Allez, regarde, la suite est là, va vite la lire ! Et à bientôt ! Ciao
Chapitre quatre : J'aurai sa peau !
A la nuit tombée, le vent se calma un peu, et le grondement sourd de l'océan émergea derrière les plaintes aigues des bourrasques. Azkaban ressemblait à un morceau de lave noire qu'un volcan sous marin aurait vomi, dépourvu de vie d'espoir. Les faibles rayons d'un quartier de lune décroissant avaient peine à égailler de paysage.
Harry avait rejoint ses quartiers peu de temps auparavant. Mais rompu de fatigue, il n'avait accordé qu'un coup d'œil paresseux à la chambre accueillante, à la salle de bain confortable, et au petit salon dans lequel trônait une majestueuse bibliothèque. Il avait juste apprécié la rondeur de la fenêtre qui surplombait son lit, et s'était écroulé tout habillé à côté de Voldy, qui était roulé en boule sur l'oreiller. Harry pressa sa joue contre le petit reptile, et sombra dans le sommeil.
Si Dobby avait été présent, il se serait assuré que Harry Potter, Monsieur, Maître, soit installé confortablement. Mais l'elfe de maison avait du rester à Square Grimmault pour s'occuper de l'ancienne demeure en l'absence de son occupant. Harry dormit donc avec ses chaussures encore aux pieds, et se réveilla le lendemain, à 6 heures, avec une méchante crampe dans le mollet gauche, et un sacré mal de dos.
« Bordel de bordel de bordel… Foutue île… » grommela t-il en se traînant à la salle de bain, où il laissa l'eau couler 5 bonnes minutes avant de se rendre compte qu'il n'obtiendrait rien d'autre qu'un faible filet d'eau tiédasse. « Apparitio Baguette », fit-il en tendant la main, et sa baguette apparut entre ses doigts.
Quelques sorts plus tard, le jet d'eau de la douche était fort et bouillant, la baignoire ne fuyait plus, des chandelles éternelles s'allumaient dès qu'on ouvrait la porte, et les miroirs avaient été rendus muets, après que Harry se soit lassé d'entendre pour la quatrième fois « mais tu vas faire quelque chose pour cette tignasse, n'est ce pas ? »
A 7 heures tapantes, alors que Harry finissait de redécorer son petit salon à coup de baguette magique, le Chef Hubb entra avec, à sa suite, deux Matraqueurs qui encadraient une femme Mangemort. Harry reconnut l'un des Gardiens, Dockins, qui l'avait accueilli la veille à sa sortie du Portoloin. L'autre, une femme, s'appelait apparemment Huxtable, et sa ressemblance avec un taureau était frappante. La prisonnière, qui portait un plateau repas, le servit rapidement, puis elle commença le ménage sous la stricte surveillance de sa gardienne.
« Comment était cette première nuit, Directeur Potter ? » demanda Hubb, sans que la réponse ait l'air d'avoir la moindre importance.
« La dernière fois que j'ai aussi bien dormi, j'avais Voldemort à mes trousses, et je ne maîtrisais pas l'occlumancie », grogna Harry en mordant dans un petit pain chaud. Au moins, le café était assez fort pour le maintenir éveillé toute la journée.
« Le détenu Snape va être transféré dans sa nouvelle cellule. Je pensais que, peut être, vous voudriez aller vérifier les sortilèges que j'ai employés pour rendre toute évasion impossible… »
Harry acquiesça, l'esprit sombre et tourmenté, en pensant que c'est plutôt les intrusions dans la cellule de Snape qu'il fallait éviter. Mais Harry était mal à l'aise. Quoi qu'il fasse, ses souvenirs de la veille ne le laissaient pas en paix. Pourtant il aurait voulu oublier ce qu'il avait vu…
La journée fut d'un ennui mortel. Et Harry présageait que chaque jour risquait de ressembler au précédent, au point d'en perdre le compte.
Azkaban était une voie de garage pour quelqu'un dont la notoriété pouvait faire de l'ombre au Ministre lui-même. Hermione avait sans doute eu raison de penser qu'en lui proposant ce poste – en le poussant à accepter ce poste –, le Ministre Gordon s'assurait juste d'être débarrassé d'un adversaire politique potentiel.
A chaque seconde que son esprit lui laissait de libre, les pensées du jeune directeur revenaient avec une précision de métronome à l'inspection des cachots faits la veille, avec le chef des Matraqueurs. Il pressentait que Azkaban était sûrement le dernier endroit au monde où il devrait se trouver à l'heure actuelle.
Je ne suis pas capable de supporter ça. Il y a trop de ressentiments en moi, trop de choses irrésolues laissées à l'abandon depuis la chute de Voldemort…
Le jour précédent, Hubb avait terminé la visite de sa prison par une promenade le long des corridors où s'entassaient les cellules des Mangemorts. Le quartier réservé aux femmes, situé dans l'aile Sud, et au dessus du sol, était déjà morbide. Pourtant le nombre réduit de femmes condamnées comme partisans de Voldemort – elles étaient 76 à Azkaban – rendait leur réclusion encore supportable. Chacune avait sa cellule, et la journée, les portes des cachots étaient ouvertes pour que les femmes se rencontrent et s'occupent à de petits travaux de lecture ou de broderie. Si l'on faisait abstraction des Matraqueuses qui patrouillaient en faisant claquer leur baguette contre les barreaux des cellules, il régnait une sorte de quiétude seulement rompue par le ressac de la marée contre les falaises toutes proches.
Ensuite, Hubb avait mené Harry vers les cachots des hommes…
Dans l'aile Nord. Ouverte au vent glacial. Ces hommes autrefois si fiers de la pureté de leur sang et de leur lignage s'entassaient à quatre par cellule, alors qu'il n'y avait que deux lits… Et quels lits… des paillasses infestées de puces. La plupart des anciens Mangemorts dormaient déjà, recroquevillés sur eux-mêmes, leurs corps tremblants enroulés dans des couvertures de mauvaise facture. Leur déchéance faisait-elle plaisir à voir ? Le Ministère se faisait-il honneur en les traitant comme de la vermine ?
Harry ne savait que penser. Une partie de lui jubilait de les voir réduits à cette existence misérable, eux autrefois si imbus de leurs personnes, eux jadis si méprisants envers les nés moldus ou les sangs mêlés…
Une partie de lui seulement.
L'autre partie était au bord de l'asphyxie. La voix d'Albus Dumbledore résonnait dans son esprit comme le glas de ses haines… « Quoi qu'il arrive, notre plus grande fierté, ce sera de ne pas nous comporter comme eux… »
Albus…votre confiance en l'âme humaine était trop grande. Regardez ce que vos semblables sont capables de faire dès qu'on leur donne l'occasion de dominer… Ils avilissent. Ils salissent. Ils enlaidissent. Ils corrompent…
Et puis ils étaient arrivés devant la cellule des Malfoy. Une cellule que le père et le fils partageaient avec McNair et Goyle. Que des vieux amis, quoi ! Ceux là ne dormaient pas. Ou du moins pas tous. Goyle senior était allongé, sa carcasse tournée vers le mur suintant d'humidité. McNair et Lucius Malfoy, assis par terre, parlaient à voix basse. De Draco, pas de trace.
« Où est ton fils, Malfoy ? » avait grogné Hubbs.
Lucius avait souri en apercevant Harry.
« O'Reilly est venu le chercher, » avait-il susurré en s'appuyant contre le lit, derrière lui.
C'est pas croyable. Ce bâtard n'a rien perdu de son arrogance. Les Malfoy ont vraiment un problème avec la notion de « perdre la bataille ». Il n'a l'air de rien regretter de ses actes. Putain, c'est le baiser du Détraqueur qu'il lui aurait fallu, à celui là !
Hubbs avait tourné les talons, furieux, et Harry l'avait suivi, curieux. Pourquoi diable un Gardien aurait-il emmené Malfoy junior ?
Quoi, le petit fils à papa réussit encore à obtenir des privilèges, même en prison ?
La question n'était pas restée longtemps sans réponse. Le chef des Matraqueurs savait apparemment où aller, puisqu'il se dirigea vers les douches. Et les pensées de Harry firent place à un vide honteux lorsqu'il entra dans la pièce à son tour.
Deux torches projetaient une lumière maladive sur des carreaux de faïence d'un blanc crasseux, encore humides de leur dernière utilisation. Au sol, une sorte de rigole entraînait les eaux usées vers le fond de la pièce, tandis que de chaque côté s'alignaient les pommeaux de douche. Aucun meuble, aucune cloison qui aurait pu cacher les détenus et entraver la surveillance des Gardiens. Juste une grande pièce rectangulaire et lugubre que Harry craignait de ne plus jamais pouvoir oublier.
Car au milieu de ce décor sordide, le corps de Draco ressemblait à celui d'un ange perdu en enfer. Sa peau pâle était parcourue de frissons tandis que de ses paumes, il s'appuyait au mur, les jointures de ses doigts plus blanches encore que le reste de sa peau. Ses yeux étaient clos, et sa respiration haletante. Le Gardien O'Reilly, qui devait bien faire le double de son poids, l'avait plaqué contre une des parois, et se frottait à lui avec rapidité et sans douceur. Le Matraqueur avait attrapé les longs cheveux blonds et les avaient enroulés autour de son poing comme il l'aurait fait d'une corde. Sa voix répétait sans arrêt les mêmes mots, comme une ignoble litanie « Salope, prends ça ma salope… »
Tétanisé, Harry nota tout cela en une fraction de seconde, comme une photographie mentale d'une incroyable précision, avant que Hubbs ne réagisse.
« O'Reilly ! » ragea le Chef des Gardiens, les poings serrés de colère.
L'homme se retourna en sursautant, et eut la décence de rougir. Il lâcha Draco, qui tomba, agenouillé, les yeux rivés au sol. On aurait dit une poupée de chiffon, un jouet maltraité et vite abandonné.
Le cœur de Harry manque un battement. Pourquoi n'arrivait-il pas à associer ce corps brisé au souvenir vivace du garçon indomptable qu'il avait tant haï ?
Pourquoi cela lui rappelait-il brusquement les larmes qui s'étaient échappées des beaux yeux gris le jour où il avait été condamné à 4 ans à Azkaban ? Juste parce qu'il s'appelait Malfoy et qu'on l'avait considéré comme un partisan de Voldemort malgré l'absence de marque sur son avant-bras. Juste parce qu'il fallait des coupables… des Sangs Purs. Des visages à haïr tranquillement. Des noms sur qui cracher, et d'autres à aduler… Une brusque remontée d'acide donna à Harry l'envie de vomir. L'odeur qui remontait des douches, mélangée aux relents de sexe, lui soulevait le cœur.
« …Malfoy ? Veux tu que je te fasse accompagner à l'infirmerie ? » avait demandé Harry d'une voix blanche à la silhouette recroquevillée, tremblante, salie…
Draco avait resserré ses bras autour de son torse, et s'était relevé avec difficulté, se tenant au mur, le dos tourné à l'ex-Gryffondor et le visage baissé.
Bordel, que lui ont-ils fait pour qu'il ressemble à ça ? songea le jeune homme brun. Mais ses pensées furent interrompues par la lueur d'amusement dans les prunelles aciers. Draco Malfoy venait de se retourner, et le regardait droit dans les yeux, sans ciller : même si tout son corps criait la souffrance, son visage, lui, ne reflétait rien.
« Potter, Potter… Je ne connaissais pas tes tendances voyeur, mon petit pote Potter… » ricana le blond d'une voix douce et cynique.
« Malfoy, » grogna Harry, soudain furieux. Le prisonnier se redressa, et d'un geste empreint de sensualité, il lissa sa chevelure en arrière, remettant de l'ordre dans les longues mèches d'or blanc. Puis, du revers de la main, il épousseta rapidement sa robe souillée, prenant son temps pour remettre de l'ordre dans sa tenue.
« Putain, Malfoy, tu as toujours été un fils de pute ! J'ignorais juste que tu deviendrais la pute toi-même, » lâcha Harry, furieux d'être ignoré par le blond à qui il avait failli donner sa compassion une minute plus tôt.
« Hein ? Oh. Ca prouve juste que Trelawney avait raison, Potter. Tu n'as aucun don pour deviner l'avenir des gens… » répondit le Sang Pur en toisant Harry, qui le dépassait pourtant de quelques centimètres. Puis il lui adressa un demi sourire qui ressemblait plus à une grimace de dégoût, et passa devant lui pour s'arrêter devant O'Reilly.
« J'estime que ton dû a été pris, chéri. Ne t'avise pas de venir réclamer. »
Le Gardien grogna dans une langue incompréhensible, et ne parut pas ravi de s'être rhabillé sans s'être vidé.
Malfoy est une pute. Bien sûr je l'ai toujours su, mais… Ah, merde !
Une longue plainte vint tirer Harry de ses réflexions. Il était assis à son nouveau bureau depuis plus d'une heure. Et cette heure entière s'était envolée dans la contemplation muette du ciel gris qui déversait des trombes d'eau.
Les événements de la veille tournaient en boucle dans l'esprit surchauffé du jeune brun. Les longs cheveux blonds enroulés autour du poing de l'homme. La lueur de pernicieuse malice dans les prunelles grises, et ces mains, pâles et fines, qui lissaient le vêtement pour recouvrir les jambes fines et musclées. Et les fesses, rondes et fermes, qu'il n'avait fait qu'entrapercevoir un court instant.
« Mauvais plan, vraiment… très, très mauvais plan ! Foutu Serpentard, qu'avait-il besoin d'être aussi… putain, aussi bandant ! Je ne suis pas réputé pour rester inactif très longtemps, et voilà que ce merdeux vient se pavaner devant moi en offrant son cul à un Gardien aussi mal foutu que… que… » La voix de Harry se transforma en murmure indistinct, puis il se tut. Mais son esprit, confus et échauffé, continuait néanmoins à tourner autour ce cet inextricable problème, celui du désir qui s'était éveillé en lui.
C'est d'une bonne queue bien dure dont tu as besoin, Draco. C'est ça qui te remettrait à ta place. Une putain de bonne queue bien dure qui s'enfonce en toi…
Harry fit glisser sa main le long de son ventre pour rejoindre la partie de son anatomie la plus réveillée. Son sexe cognait désagréablement contre le tissu de son pantalon. Et la chaleur, dans son bas ventre, demandait à être dépensée. Mais Harry répugnait à s'occuper de son propre plaisir. Il voulait une autre paire de mains. Une langue chaude et douce. Des lèvres délicates…
Je veux Malfoy. Je veux ce fils de pute, maintenant !
Un bref éclat de lucidité le fit hésiter : le visage désapprobateur de Remus, la mine renfrognée de Hermione, passèrent dans son esprit. Aucun de ses amis n'aimait son comportement. Hermione le disputait souvent là-dessus, lui reprochant d'utiliser ses partenaires, de les prendre sans rien leur offrir… Harry n'était pas tout à fait d'accord. Il leur donnait du plaisir, et aucun n'était jamais venu se plaindre de ses performances au plumard.
Et puis merde ! 'Mione n'est pas là, Remus non plus, ni Ginny, ni Minerva… Qui donc ira leur raconter ce que je fiche avec Malfoy ? Et qui irait me le reprocher ? Ha ! Il se laisse baiser pour obtenir des faveurs, à tous les coups ! Une vraie pute… Alors qui me reprochera d'en profiter aussi ? Et puis de toutes façons, ils ne le sauront jamais… Allez vous faire foutre. Y'avait qu'à pas m'envoyer dans ce trou perdu.
La mauvaise foi l'emporta finalement sur les maigres restants de morale qui débattaient encore dans son esprit. Sa résolution prise, il fit donner les ordres en lançant quelques sorts à des morceaux de parchemin pliés, qui s'empressèrent de voleter jusqu'à leur destinataire, et une demi heure plus tard, des coups frappés à la porte le prévinrent de l'arrivée de sa proie.
Harry s'était installé dans l'un des profonds fauteuils qui entouraient la cheminée. Le feu ronflait agréablement, et le thé fumant attendait sur un petit guéridon non loin.
D'un geste vague de sa baguette, Harry déverrouilla la porte de ses appartements, et ouvrit le battant qui alla s'écraser contre le mur, laissant apparaître les deux silhouettes qui attendaient derrière. Quand les deux hommes avancèrent, il projeta Draco en avant, celui-ci tombant sur les genoux à quelques mètres de lui, tandis qu'il rejetait le Gardien derrière la porte qu'il bloqua d'un sort compliqué. Celui là, même Hubbs ne saurait comment le contourner.
Le tout ne prit que deux ou trois secondes, et n'avait pas demandé plus de concentration à Harry qu'il ne lui en fallait pour respirer ou pour marcher droit. Il était loin, le temps où il lui fallait lire un livre pour comprendre un sort. Aujourd'hui, entendre une incantation, si difficile fut-elle, ou sentir l'effet d'un sortilège, suffisait pour qu'il puisse le reproduire. Et pour enchaîner quatre actes de magie comme il venait de le faire, il lui suffisait de murmurer les incantations. Il aurait même pu les penser… A son niveau, cela ne faisait plus grande différence.
Dans la pièce désormais close, il ne restait donc plus que lui… et le prisonnier. Son prisonnier. La tension, qui n'avait toujours pas quitté une partie de son corps, s'exprima à nouveau sous la forme d'une pression persistante dans son pantalon. Sa robe de sorcier la cachait heureusement, mais l'excitation faisait courir le long de son épine dorsale des courants d'électricité. Il y avait longtemps qu'un de ses partenaires n'avait pas été capable de produire en lui ce feu brûlant qui déchirait ses entrailles. La plupart de ses rencontres se terminaient par une partie de jambe en l'air, satisfaisante certes, mais pas au point d'en perdre la raison… ou de se souvenir des noms de ses amants.
Mais… Draco Malfoy… ça c'était autre chose. Son nom même réveillait en Harry un torrent de sensations imprévisibles.
« Hello Malfoy, content de me voir ? »
…
Vous allez encore m'en vouloir d'avoir coupé à cet endroit là, hein ? Si, si, je le sens bien… Mais je n'y peux rien, c'est vraiment l'endroit idéal pour arrêter le chapitre ! Ailleurs, ça ne donnerait pas le même effet…
…
En tous cas, merci pour le très grand nombre de review que j'ai reçues pour le chapitre précédent, et j'espère que vous serez aussi nombreuses à me donner un avis sur ce que vous avez lu ici. Bye !
