Bon, ok, je sais. Ils dorment pas sous des tentes mais là exceptionnellement, Sanzo a accepté de claquer du blé (enfin le blé de la Trinité) pour en acheter ! ... Ne crions pas au miracle, c'est pas pour autant qu'il est devenu gentil et généreux c'est juste qu'il en avait marre de dormir dans Jeep parce que ça lui donnait des crampes partout le matin.

Comment ça, ça se vois pas ? Sanzo est bon comédien (la preuve il a très bien joué le mort quand Hakkai faisait style de l'étrangler, on c'est tous mangé le paneau ! Gokusaiyuki ne pourra pas dire le contraire j'ai bien cru qu'elle allait se ruer sur le pc pr defoncer la gueule de Chin Izo kan il a « tué » son bonz cheri !(Cendre a du en faire autan ke ça ne m'étoneré pas))

Donc voila et tant pis si y des trucs qui colle pas au manga ou au chapitre précédent c'est pas grave, j'écris ça juste pour me payer des barres toute seule dans ma provence profonde et pour rendre notre bonze preferé encore + fou que dans le premier chapitre ! Et oui je suis sadique et je l'assume jusqu'au bout vous allez voir ! hé hé hé ... ! rir sadik

Goku intelligent. Possible ?

Sanzo est poussé à bout.

Chap. 2 : Hibiscus et pétage de câble.

Les tentes étaient montées et Gojyo sur le point de péter un câble tellement Goku l'avait énervé. Il a crut qu'il allait le tuer tellement il était chiant. Monsieur avait voulut faire son intelligent alors qu'il ne l'est pas du tout (il faut l'avouer) et il avait frôler la mort et foutu en l'air deux des quatre tentes.

Conclusion : Ils allaient devoir dormir à trois dans un tente, Sanzo ayant protégé la sienne avec des arguments de tailles (le flingue et le baffeur naturellement...!).

Le repas se passa dans le bordel le plus total (Gojyo aurait préféré un autre genre de bordel), puisque Goku avait voulu faire un repas spécial pour Sanzo et que celui-ci l'avait royalement envoyé bouler (Hakkai fit remarquer au bonze qu'avec 30 mètre d'un unique coup de baffeur Sanzo avait battu son record personnel) et que le macaque c'était mis à chialer tellement fort que tout les bestioles de la région c'était enfui au triple galop ne pouvant supporter le vacarme. Le samaritain, le pervers et le moine débauché en auraient fait autant si jeep n'avait pas disparu. Comme d'habitude Goku avait fait chier son monde.

Le soir venu, Sanzo prévient délicatement que, je cite, « si y'en a un seul qui fait du bruit cette nuit je lui défonce sa gueule de merdeux ! ». Hakkai fit remarquer à Goku que Sanzo était peut être un peu nerveux donc que ce soir il devrait éviter les bêtise. Le macaque étant dans une telle admiration de la tente de Sanzo qu'il, naturellement, n'avait absolument rien entendu.

Après que Gojyo se soit encore énervé sur Goku pour passé ses nerfs et que Hakkai l'ai retenu pour éviter les effusion de sang, tous le monde se coucha et s'endormit. Sauf une personne.

Minuit sonna (c'est juste une expression y'a pas de réveil, église ou autre dans les parages, je rappel qu'ils sont au milieu de nulle part...C'est aussi une façon de parler). Une ombre sortit de nulle part se faufila entre les tentes. Discrètement elle fouilla dans un buisson et en sortit en paquet. Elle le prit et se dirigea vers l'une des tentes. Comme elle ne voyait pas où elle mettait ses pieds l'ombre se rétama majestueusement sur le sol envoyant voler son sac. Après un petit « aïe » et un vigoureux frottage de crâne, l'ombre repris son paquet et continua sa marche. Devant l'une des tentes, elle s'arrêta pour inspirer profondément avant d'y rentrer.

Elle ressortit 10 minutes plus tard, son sac toujours dans le bras. Elle le recacha et retourna d'où elle était venue.

Le lendemain matin, Hakkai fut le premier à se réveiller. Se fut donc lui qui prépara le petit déjeuner (comme d'habitude en fait). Gojyo se traîna devant le feu de camps. Il ne fit rien pour aider le samaritain qui se tapait toues les corvées (sauf quand ils jouaient à pierre, papier, ciseaux et que Goku perdait). On aurait dit un couple.

L'odeur de nourriture se faufila dans la tente jusqu'aux petites narines délicates de Goku qui d'un bond se leva et fonça devant la marmite. Le clebs était réveillé. La battle vanne matinal commença opposant Gojyo à Goku et prenant Hakkai comme arbitre. « Baka saru », « kappa pervers », « babouin », « cafard », « macaque » se succédaient à une vitesse faramineuse. Jusqu'à temps que :

-- Putain vos gueule ! Vous allez pas me faire chier dès le matin non ? On bouffe quoi ?

Le moine le plus râle du monde venait de se réveiller. Ils se retournèrent pour vérifier (par mesure de sécurité, ils sont dingues mais pas suicidaires non plus) que le bonze n'avait pas, déjà, dégainé son flingue ou son baffeur. Trois paires d'yeux se braquèrent sur lui. Gros silence.

Gojyo fut le premier à craquer. Il explosa de rire. Hakkai le suivit de peu et Goku était en admiration un grand sourire débile sur la figure.

-- Quoi ? Qu'est ce qu'il y'a encore ?

-- On sait qu'il fait noir dans le tente mais tu pourrais faire gaffe à se que tu met ! T'as trop l'air con !

-- Sanzo-samaaaaaa ! Vous êtes magnifiiiiiiique ! ça vous va si bieeeeen !

Hakkai continua à rire et ne dit rien pour que ça évite de se retourner contre lui.

-- C'est vraiment votre couleur ! Et ces fleurs vous vont si bieeeen ! continua Goku.

-- Fleurs ?

Sanzo leva un sourcil avant de baisser la tête pour voir pourquoi on se foutait de sa gueule et qu'on lui parlait de fleurs et de couleur. Tétanisé. Il ne pouvait plus bouger, horrifié par sa tenue.

Il portait son habituelle rode de moine à quelques nuance prêt. Son yukata n'avait pas sa couleur beige habituelle. Il était violet avec de gros hibiscus jaunes imprimés dessus. Ses plaques avaient étaient remplacées par une matière dure non identifiée avec pour couleur une sorte de mélange violet jaune affreux. Et ses manches noires étaient devenues dorées dans la nuit. Ses chaussettes aussi. Mais le pire c'était le sutra. Doré sur les bord, violet à l'intérieur, les écritures sacrées avant étaient remplacées par d'énorme « Sanzo je vous aime », « Vous êtes si beau ! », « J'admire vos fesses ! », « Sanzo-sama », et beaucoup d'autres le tout avec des petits cœur à profusion tout partout. Le crime était signé.

Alors que ça faisait un petit moment que le moine ne bougeait plus, Hakkai s'approcha de lui.

-- Sanzo ? demanda t'il doucement.

-- ...

--Sanzo ?

Il posa une main sur l'épaule du bonze. Ce contacte le fit réagir. Il se mit à trembler. Hakkai sembla bon de s'éloigner. Gojyo riait toujours autant et se tenait même le ventre alors que Goku avait les yeux étincelants d'admiration.

Le samaritain s'éloigna à distance raisonnable Jeep dans les bras et traînant Gojyo par le col, toujours plié de rire. Le singe se retrouva en tête à tête avec le moine tremblant de rage.

La tempête éclata. Sanzo sorti son baffeur et Goku commença à comprendre se qui allait lui arriver. Le bonze leva son bras et le baffeur partis à tout vitesse en direction du singe.

Nous ferons tomber un rideau (violet avec des hibiscus jaune !) sur ce passage étant donné qu'il est d'une violence inouïe même pour un manga comme saiyuki. La seule chose que je peut vous dire

entre ouvre le rideau et le referme immédiatement

c que Goku doit avoir très, très mal...

Ce n'est pas pour autant que l'auteur est une flemmarde (quoique) mais c qu'elle manque de temps (et d'argent !) mais elle promet de se rattraper sur le prochain chapitre, Gokusaiyuki ayant eu le début en avant première pourra vous donner son avis !

Fin de l'intermède

Strié. Rouge et bleu avec dégradé de violet. Pleins de bosses partout. Un œil clos. Une boule dans la bouche. Quatre dents en moins et du sang giclant d'un peu partout. Voici à quoi ressemblait Goku après le levé de rideau (comme quoi on a bien fait de le baisser !).

Hakkai ne put pas faire grand-chose vu l'étendu des dégâts. Et Sanzo n'était toujours pas calmé. Il voulait encore frappé (un chance qu'il n'ai pas trouvé son pistolet !) et surtout récupérer ses vêtements et son sutra. Gojyo, que le massacre avait refroidi, avait été chargé de maitriser le bonze.