Couple : Royai

Note 1 : merci beaucoup à misstitcha, Ayma, Lara Timquogni (correction) et Eve ma copine-folle-de-manga d'être mes bêta lectrices sur ce premier essai de lemon.

Note 2 : Je ne sais pas si je vais faire une suite à ce chapitre, si vous en voulez une avec la suite de leur relation, leurs enfants, la vie à deux, j'en passe et des plus tordus, faites-le moi savoir dans une review, pendant ce temps, elle sera considérée comme complète.

Chapitre 11 : Nuit de passion

Vendredi 28 Juillet, Appartement de Riza Hawkeye, 20h30

La sonnerie clinquante de la porte d'entrée fit sursauter la blonde dans sa cuisine. Elle posa précipitamment le plat qu'elle avait dans les mains, se les essuya vite fait et alla ouvrir.

Elle s'était habillée à peu près de la même façon que pour l'anniversaire d'Havoc, un chemisier violet foncé qui mettait en valeur sa poitrine, et une jupe blanche arrivant aux genoux.

Ses yeux noisette s'arrêtèrent d'abord sur le bouquets de roses jaunes puis sur le jeune homme brun les lui tendant.

Roy était élégamment vêtu d'un jean bleu et d'une chemise blanche ouverte sur son torse bronzé. Son autre main était négligemment mise dans sa poche, et sa bouche s'étirait en un sourire qui aurait pâlir Casanova.

« Pour le soleil de ma vie. » déclara-t-il d'une voix sensuelle.

Riza sourit à leur vue et attrapa les fleurs.

« Merci Roy, elles sont vraiment magnifiques ! »

Elle sauta à son cou et lui déposa un baiser sonore sur les lèvres. Elle l'invita ensuite à rentrer et alla mettre les fleurs dans un vase.

Il profita de son absence momentanée pour inspecter la pièce. La veille au soir, lorsqu'il l'avait ramenée, l'appartement était plongé dans une demi obscurité due aux éclairages de la rue.

Là, il vit un petit salon accueillant et décoré assez simplement dans des tons chauds. A droite, près de la fenêtre, était dressée une table aux chandelles pour deux personnes. Devant lui se tenait un canapé faisant face à un poste de télévision (1). Le reste était composé d'un couloir menant à la chambre et sûrement à la salle de bains, et d'une porte donnant sur la cuisine. Le tout complété par des étagères débordantes de livres et de bibelots en tout genres.

Lorsqu'elle revint de la cuisine, ce fut pour sauter à son cou et l'embrasser passionnément.

Il y répondit en plaçant des bras possessifs autour de sa taille. Ils se séparèrent un peu essoufflés.

« J'espère que tu as faim, parce que je me suis démenée ce soir… » Dit-elle en plongeant son regard dans le sien.

« Enormément… de toi. » répondit-il en frottant son nez contre le sien.

« Ca c'est pour le dessert… Il faudra être patient… » Murmura-t-elle en se séparant de lui.

Elle l'invita à venir s'asseoir et alla chercher l'entrée du repas.

« Hum, ça a l'air bon… »

« Tant mieux, parce que j'ai fait tout ça avec amour pour toi… »

Roy lui dédia un regard coquin puis il déboucha la première bouteille de vin et trinquèrent.

OoOoOoO

21h10 Ca n'a pas changé de lieu, pas encore…

Le repas se passa normalement. Ils discutèrent de tout et de rien, les classiques famille et travail.

Ils en étaient à leur troisième verre de vin jusqu'à ce que Riza fasse quelque chose qui arracha un sourire de trois kilomètres au brun.

Elle remontait avec délicatesse son pied le long de la jambe de Roy tout en le fixant dans les yeux.

Onyx contre rubis, il l'observa poser lentement son verre sur la table. Roy tenait encore le sien quand elle se leva et s'assit sur ses genoux.

Riza enleva son verre des mains et le vida d'un trait.

Tout en le reposant, elle lui agrippa fermement la nuque. De l'autre elle effleurait le visage de son colonel.

Finalement, elle entoura son cou avec ses mains et l'embrassa langoureusement.

Roy, surpris par l'attitude soudain prédatrice de sa belle, se laissa d'abord faire puis prit la suite des opérations.

Ses mains reprirent la même posture que le matin, une lui enserrant la taille et l'autre lui tenant fermement la cuisse.

La prise d'initiative de son partenaire parut plaire à la jeune femme car son corps frissonna à ce contact. Elle passa sa langue sur ses dents, essayant de forcer le passage. Il les desserra et leurs langues s'entremêlèrent passionnément.

Riza pressa un peu plus sa poitrine contre le torse du brun, ce qui fit s'augmenter leurs températures internes. Il passa sa main sous se genoux et de l'autre il soutint fermement ses épaules. La calant bien contre lui, et elle s'accrochant à son cou de toutes ses forces, il se leva.

Néanmoins, il prit le temps de retirer ses chaussures par le talon et de leur donner un coup de pied bien placé les envoyant devant la porte de la cuisine.

Roy l'emmena jusque dans la chambre, où il ouvrit légèrement les yeux pour voir où il mettait les pieds et appuya sur l'interrupteur d'un coup de coude. Les lampes de chevets s'allumèrent et il découvrit quelque chose qui freina son élan.

Une masse noire…

Poilue à truffe rose…

Qui observait les oreilles dressées les deux intrus…

Lui qui profitait allégrement du lit de sa maîtresse…

Riza, ayant senti Roy s'arrêter de marcher, ouvrit les yeux et décolla sa bouche.

Sous un certain grognement de frustration de la part du brun. La vue d'Hayate sur son lit ne la surprit pas plus que ça.

« Hayate, au panier mon trésor… »

Le dit trésor couina un peu de déception mais obéit. Il sortit de la pièce non sans avoir regardé méchamment Roy, reconnaissant l'homme qui l'avait enfermé dans la cuisine. Ils le suivirent des yeux, retinrent un fou rire puis Roy ferma la porte d'un coup de talon.

Il fixa la blonde dont les yeux s'étaient allumés d'une lueur coquine.

« Où en étions-nous ma belle ? »

« Je crois que tu t'apprêtais à me faire l'amour, non ? »

« Eh bien, je te propose que nous continuions. »

« Avec plaisir… »

Ils sourirent puis recommencèrent à s'embrasser. Roy marcha jusqu'au lit et la posa délicatement sur la couverture.

Elle dénoua ses bras et les posa de chaque côté de sa tête, faisant s'étirer son chemisier sur sa poitrine. Lui posa un genou sur le lit et se pencha sur elle, appuyant ses mains de chaque côté de son abdomen.

Le brun ne manqua pas une miette de la vision offerte par Riza. Il profita de sa position pour la déshabiller du regard. Ses yeux s'arrêtèrent d'abord sur sa chevelure d'or étalée sur l'oreiller. Il descendit lentement sur sa gorge blanche puis la naissance de ses seins, sa taille.

Il finit par examiner attentivement les boutons de son haut.

« Qu'est ce que tu attends ? » murmura-t-elle.

« J'observe le terrain… »

« ? »

Riza haussa un sourcil d'incompréhension.

« Et je dis que ce chemisier m'a l'air bien insolent… »

Il s'appuya sur une de ses mains et de l'autre il commença à défaire les boutons du chemisier.

« Donc on va l'enlever… »

Le vêtement passa sur les épaules de la jeune femme puis elle se redressa et l'envoya promener. Roy retint son souffle à la vue de sa belle en soutien-gorge, et sentit le rouge lui chauffer les joues.

« Et cette chemise me bouche la vue… » Dit-elle, en réponse à son petit jeu.

A son tour, elle leva les bras afin de défaire les boutons. Il fit comme elle et l'expédia rejoindre son copain violet, lui permettant de respirer un coup. Ce qui n'empêcha pas son pantalon de le serrer violemment.

En voyant Roy torse nu, de la sueur commencer à couler lentement le long de ses pectoraux, elle ne put empêcher son bas-ventre de s'enflammer.

« Que dirais-tu de retirer cette jupe ? » dit-il pour un peu détendre l'atmosphère.

« Ne te gêne surtout pas… »

Il défit le bouton et posa ses mains doucement sur sa taille. Il fit glisser le tissu le long de ses jambes et le laissa tomber par terre.

« Oh, mais que vois-je, des chaussures squatteuses ? Pas bien… »

Il s'attaqua aux sandales de cuir qui finirent par céder. Quand il reposa son regard sur elle, il ressentit aussi un feu naître au plus profond de son être.

Riza émit un petit rire à la vue d'un Roy indécis puis s'appuya sur ses avant-bras, mettant encore plus en valeur sa poitrine.

« C'est pas juste, tu es encore en pantalon… »

Il reprit rapidement ses esprits et sa bouche se tordit en un rictus vicieux.

« T'inquiètes, je m'en charge… »

Il descendit du lit et se mit debout devant elle. Tout en fixant la blonde dans les yeux, il entreprit de dénouer sa ceinture et d'ouvrir sa braguette. Le vêtement longea ses jambes musclées, révélant son boxer noir et en même temps la bosse prenant forme petit à petit.

A cette vue plus qu'alléchante, Riza se mordit la lèvre inférieure, et sentit le feu redoubler d'intensité.

Toujours onyx contre rubis, il envoya valser le pantalon tombé à ses pieds et se mit à marcher très lentement. Il contourna le lit et vint s'agenouiller dessus.

Tel un prédateur, Roy s'avança prudemment vers Riza.

Qui soudain se redressa encore un peu et mit ses mains en avant, comme pour lui dire stop.

« Tu m'enlèves ça immédiatement… » Dit-elle en regardant une certaine partie de son corps.

Il suivit son regard et tomba sur…

Ses chaussettes…

« Oups. »

Il les retira rapidement et les balança sur ses autres affaires. Ceci fait, il reprit sa lente avancée vers la blonde. Pendant ce temps, elle enleva son soutien-gorge, arrachant un léger grognement style lion en rut au brun.

Roy arriva auprès d'elle et la détailla de haut en bas. Il finit par s'asseoir sur ses talons devant elle et la regarda dans le blanc des yeux.

« Tu es sûre de ce que tu veux ? On peut toujours faire machine arrière… »

Riza posa ses mains sur son torse luisant de sueur, traçant des lignes du bout des doigts, ce qui déclencha un gémissement au brun.

« Je t'aime Roy et j'ai suffisamment de confiance en toi pour te laisser me faire l'amour. Je veux que cette nuit soit mémorable pour nous deux. »

Roy hocha la tête, montrant qu'il avait compris et prit ses poignets. Il embrassa les paumes chaudes de la jeune femme et ferma les yeux.

Elle l'imita et bientôt leurs deux corps s'allongèrent en parfaite harmonie, Riza se retrouvant sur lui. Sa poitrine se pressait avec plus de force sur le torse de Roy, qui sentait maintenant la chaleur envahir son corps en entier.

Elle s'assit exprès sur la bosse formée sous le tissu noir, ce qui arracha un grognement rauque au jeune homme. Riza fit onduler son bassin dessus et libéra ses mains de son emprise manuelle. Lui, les posa sur ses hanches et elle lui entoura le visage.

Bientôt leurs bouches se mêlèrent en un langoureux baiser. Des soupirs plus intensifs retentirent dans toute la pièce.

Amusé par le traitement spécial que la blonde lui faisait subir, il ne le permit plus longtemps, sa nature dominatrice de mâle reprenant le dessus. Un de ses bras vint soutenir sa nuque et l'autre il caressa son flanc, la faisant gémir encore plus fort.

Ravi d'avoir trouvé une autre de ses zones érogènes, avec les cuisses, il continua un peu, ne se lassant pas d'entendre Riza lui faire comprendre qu'elle aimait ça.

Roy prit ensuite la suite des opérations, la faisant basculer sous lui, permettant à la jeune femme de nouer ses bras autour de son cou et d'appuyer tout son corps contre le sien.

Il décida que le moment était venu pour sa petite culotte d'aller se faire voir et mit en quête de l'enlever. Sa main se faufila d'abord sous le tissu, excitant la jeune femme qui fit tomber sa tête en arrière, rompant ainsi leur baiser.

Le brun en profita pour aller mordiller la base de son cou, la faisant soupirer encore plus. Elle se mordit la lèvre inférieure, n'étant pas sûre que ses voisins apprécieraient ses cris de plaisir.

Si ce n'était déjà fait…

Après plusieurs minutes, Roy retira ses doigts maintenant humides et serra fortement le tissu. Doucement, il le fit glisser le long de ses cuisses ¤nouveaux gémissements¤, aidé par Riza qui leva les jambes du plus haut qu'elle put.

Le sous-vêtement finit par terre. Il en profita pour aller ensuite lui titiller les seins avec le bout de ses doigts.

Le contact entre son sexe et celui devenu dur de Roy, intensifia de plus en plus le feu lui déchirant le bas-ventre.

Elle dénoua une de ses mains, longeant son dos trempé de sueur et frissonnant. Riza glissa son pouce sous l'élastique du boxer et le fit lentement descendre, en profitant pour effleurer le rebondi ferme de ses fesses.

Elle agrippa sa nuque avec son autre main.

Le jeune homme l'enleva comme il put avec une main et deux pieds et le boxer alla dire bonjour au plancher de la chambre.

Riza sentit l'érection de Roy contre sa cuisse, déclenchant chez elle de nouveaux gémissements. Elle crispa ses doigts dans ses cheveux.

Il se redressa un peu et présenta à son entrée.

Abandonnant un instant le suçon humide sur le cou de la blonde, il murmura :

« Tu es prête ? »

« Vas-y… » Répondit-elle dans un souffle.

Roy la pénétra le plus doucement qu'il put. Sentir son amant la remplir déclencha de violents spasmes venant par ondes intenses dans son ventre. Il la laissa s'habituer à sa présence puis commença des va et viens d'abord lentement.

Ses mains vinrent encercler son visage et ils recommencèrent à s'embrasser.

La jeune femme passa ses mains sur ses flancs, faisant frissonner le brun. Du bout des doigts, elle dessina des arabesques sur son dos, excitant encore un peu Roy qui mit plus de force et de vitesse dans sa pénétration.

Ses baisers devinrent plus fougueux, enfonçant et tournoyant sa langue dans la bouche de sa belle.

Soudain, elle eut une réaction auquel il ne s'attendait absolument pas. Elle posa ses mains sur ses épaules et le renversa d'un coup de hanche sur le côté.

Malgré le fait qu'il soit plus fort physiquement qu'elle, il la laissa faire, attendant de voir ce dont elle était capable.

Toujours liés par leur baiser, elle déplaça ses mains sur ses pectoraux, alternant massages et caresses. Lui avait depuis le début sa main sous sa nuque, la fit descendre le long de sa colonne vertébrale.

Riza se cambra et rompit leur baiser. Maintenant, ils se regardaient droit dans les yeux, admirant le plaisir sur les traits de l'autre.

Elle gémit de plus en plus fort, sentant l'orgasme pointer. Leurs respirations se firent plus haletantes, et le feu dégénérait, se transformant en un brasier ardent.

Néanmoins, elle prit le temps de faire onduler son bassin sur son pénis, lui arrachant quelques grognements rauques. Satisfaite de son petit manège, elle se pencha sur lui et reprit d'assaut ses lèvres.

Il ne resta pas inactif, enserrant vigoureusement sa taille et l'accompagnant dans son mouvement. Lui non plus constatait qu'il ne pourrait plus tenir très longtemps.

Roy usa de ses dernières forces dans un ultime aller-retour, avant de sentir des ondes de chaleur intenses parcourir son bas-ventre, puis le long de sa verge. Ses muscles se contractèrent et il expulsa son sperme par saccades.

Riza le suivit peu de temps après, s'effondrant sur lui. Elle posa son front sur son épaule et essaya de reprendre son souffle. Il l'entoura de ses bras musclés et fourra sa tête dans son cou.

Ils restèrent un moment dans cette position, l'un dans l'autre, profitant du contact de leurs corps.

Finalement, après avoir repris une respiration normale, Roy la fit basculer sur le lit, faisant sortir en même temps son sexe du fourreau chaud et humide de la jeune femme.

Roy enleva la couverture d'en dessous d'eux et recouvrit leurs corps. La jeune femme vint se bouiner contre lui, posant un main sur son cœur.

Il l'entoura de ses bras protecteurs et la serra fort.

Durant le temps qu'ils mirent pour rejoindre le pays des rêves, ils ne s'échangèrent aucun mot.

Qu'y avait-il à commenter sur ce qu'ils venaient de faire ?

Ils étaient heureux, et ça se lisait sur leurs visages.

La pleine lune ce soir là éclaira deux amants au visage souriant.

OoOoOoO

Vendredi 28 Juillet 1915, Central City, lieu inconnu… 22h30

« Allez bande de feignasses, y'en a encore trois tas qui vous attendent ! » cria une voix furieuse. « Vous ne rentrerez pas chez vous avant d'avoir tout terminé ! »

« Il veut notre peau celui-là ou quoi ? » se lamenta une petite silhouette brune émergeant de derrière une pile de vaisselle sale.

« Ta gueule et apporte, j'ai pas envie de finir ma vie ici ! » répliqua un certain rouquin.

Le pauvre sergent posa la pile vacillante à côté du sous-lieutenant et se massa les bras endoloris.

CLAC

Mais c'était sans compter le coup de torchon d'un chef qu'il se reçut derrière la tête.

« Magne-toi le gringalet ! Sinon, j'te fais récurer le carrelage à la brosse à dent ! »

Breda rigola à la vue du brun se précipitant sur son évier.

CLAC

« Et toi la belle au bois dormant, tu me laves tout ça et en vitesse ! » cria le chef en direction du roux.

« Je me plaindrais plus quand ma mère me demandera de l'aider à faire la vaisselle… » Maugréa le binoclard.

OoOoOoO

Samedi 29 Juillet 1915, Appartement de Riza Hawkeye, 10h45

Les rayons déjà chauds du soleil éclairaient deux formes se dessinant sous la couverture.

Le jeune homme était réveillé depuis un moment, mais il laissait dormir la blonde collée à lui.

D'ailleurs, il ne se lassait pas de la regarder.

Ses cheveux d'or étaient étalés sur l'oreiller, les traits de son visage parfaitement détendus.

Il caressait du bout des doigts sa joue et de l'autre main, il la tenait par une épaule contre son torse.

Au bout d'une demi-heure, elle finit par ouvrir difficilement les yeux.

« Bien dormi ? »

Elle cligna un peu des yeux, éblouie par le soleil et leva la tête vers le brun.

« Oui… Après ce qu'on a fait, c'est normal… Tu as été génial. »

Il lui déposa un baiser sur le front.

« Ravi de l'entendre. Toi aussi. »

« Maintenant qu'on est un vrai couple… »

« Oui ? » répondit-il, légèrement surpris par ce début de phrase.

Riza se déplaça de manière à s'allonger à demi sur lui. Elle croisa ses bras sur le torse du brun et posa son menton dessus, de manière à plonger son regard dans le sien.

« On peut faire des choses que les couples font en temps normal… »

« Bien sûr. »

Roy était de plus en plus intrigué.

« On a laissé tout en plan hier… »

Roy fronça les sourcils.

« Tu m'aides à faire la vaisselle ? »

Owari

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(1) Je ne sais pas si la télé existait à leur époque, mais c'est juste pour le fun…

Pour ceux qui ne le sauraient pas, owari veut dire fin en japonais

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Snif... Ca m'a fait bizarre d'écrire owari à la fin de ce chapitre... Mais bon, je suis contente d'avoir eu le courage de finir mon projet de vous le faire partager.

Merci aux reviewers, sans eux et leurs encouragements, je ne sais pas si j'aurais continué, et aux lecteurs, merci beaucoup de vous être interressé à mon humble travail.

Pour clore cette fic, je vous dis à tous à très bientôt pour un one-shot placé cette fois sous le signe de l'angoisse...

Kisu No Tora