FMA n'est pas à moi, mai je me permet quand même de faire n'importe quoi avec les personages...ne m'en voyez pas trop
Dur dur d'être une ado...
Riza Hawkeye a eu 16 ans, comme tout le monde. Elle a connue l'adolescence comme n'importe quelle filles, même si elle avait la réputation d'être un garçon manqué. Et si elle avait rencontré Roy à cette époque là ?...
Driiiing ! Driiing !
« Rah ! J'en ai marre de ce reveil !
Driiing !
« Oui, oui, c'est bon, j'ai compris…
Driii…
« Pfff…Quelle heure il est là ?...6h 45…Quoi ! Mer chuis à la bourre ! »
Riza s'extirpa difficilement de ses couvertures qui tentait de retenir ses jambes prisonnières et commença la marche laborieuse qu'elle devait faire tout les matins pour rejoindre la cuisine et prendre son petit déjeuné.
A coup de tasses de café, elle émergea complètement de son sommeil et, sans vraiment prendre le temps de faire un vrai petit dej', s'élança vers la salle d'eau pour se préparée.
Dix minutes plus tard, elle marchait frénétiquement dans les rues de central, ses cheveux coupés cours légèrement en bataille et les boutons de sa chemise fermés n'importe comment, tentant de défroissé un pantalon pris au hasard sur la table à repassée de sa mère (parmi la pile non repassée, bien évidement…).
Elle arriva au lycée pile à l'heure et réussit même à s'engouffrer dans la salle de classe avant que le professeur ne referme la porte.
« Miss Hawkeye, toujours là à temps
« Désolé monsieur.
« Ca n'a pas encore sonné, allez vous asseoir. Sortez vos livres, aujourd'hui nous verrons l'arithmétique.
« Pff… »
Je vous épargne la suite, tout le monde sais ce qu'est un cours de maths…et une journée au lycée aussi ; donc intéressons nous à la sortie des cours !
« Hawkeye! Hey! Hawkeye! Riza!
« Mustang, lâche moi les basques tu veux!
« Aller, soie sympas, vient avec moi à la fête du lycée !
« Je t'ai déjà dis non. J'irai pas à c'te fête !
« Tu n'iras pas ? Même pas avec moi ?
« Encore moi ! Alors t'es gentil mais fout moi la paix.
« Tu vas où
« Loin de toi !
« Riza…
« Quoi encore !
« Je peux venir m'entraîner avec toi ? au tire je veux dire. Aller, s' te plaît !
« Tss…T'es vraiment con.
« Je peux venir ?
« De toute façon ils te laisserons pas entrer. »
Mais Roy Mustang ne s'avouait jamais vaincu pour si peux. Riza était la seul fille (mignonne j'entends) a ne pas avoir accepter de sortir avec lui et il comptait bien y remédier au plus vite. Après tout, quiconque réussissait à amener la belle blonde à une soirée pouvait être considéré comme un héros. Alors ce serait lui, le héros !
Il suivit donc la jeune fille jusqu'au bâtiment où se déroulait les stands de tire, profitant d'être derrière elle pour admirer sa démarche agile sans pourtant être aguicheuse, et, il faut bien l'avouer, son postérieur bien sous tout rapports qui le narguait derrière la bauge de l'adolescente.
Arrivés à destination, elle lui jeta un coup d'œil, comme si elle espérait qu'il ai abandonné et soit rentré chez lui, avant de rentrer dans le hall.
« Riza ! l'accueillit la réceptionniste. Comme d'habitude je suppose.
« Oui.
« Tient…Oh ! Mais je vous que tu nous ammène du beau monde ! bienvenu jeune homme. »
Ne tenant pas à entendre une fois encore Roy jouer les Don Juan, elle s'empara de l'arme et des chargeurs que lui tendait la secrétaire et se dirigea vers la salle d'entraînement.
Trouvant un emplacement libre, elle commença à vider le premier chargeur sur la silhouette cartonnée. Se faisant, elle se surprise à penser à Mustang, ce qui lui manquer d'un centimètre le centre de la tête de la cible.
J'arrive pas à y croire ! Me laisser avoir par cet abruti, ce coureur de jupon ! Toujours à roucouler avec n'importe quelle poufiasse venant agiter son cul devant ses yeux. C'en est navrant…Hein ! Qu'est ce que je dit là ! Je m'en contrefiche de lui ! Bon sang Riza, tu ne tombera pas dans le panneau comme un andouille !
Sur ce, elle changea de chargeur et de cible et recommença à percer de toutes parts l'homme de carton, s'imaginant qu'il s'agissait de ce satané Mustang.
D'ailleurs, il ne réapparaissait toujours pas celui-là. Il avait du prendre un rendez-vous avec la secrétaire et avait vite oublier qu'il devait venir l'embêter. C'est du moins ce qu'elle pensait jusqu'à ce que la cible à côté de la sienne de s'enflamme.
Retirant son casque de ses oreilles, elle entendit des gloussements surexcités et la voie au combien énervante de Roy déclarer qu'il ne s'agissait que d'un petit aperçut de ses talents et gnagnagna.
« Rhaa ! J'y crois pas ! Comment elle peut le laisser réduire en cendre le matériel et déconcentrer tout le monde avec son alchimie de mes deux !
« Un problème Hawkeye, susurrât-il depuis son boxe. Je ne voulais pas te gêner, bien sûr ! Mais Caroline a tellement insister pour voire mon alchimie, je e pouvais pas lui refuser cela !
« T'es qu'un pauvre baratineur !
« Oh…Tu me vexe là !
« Si peut ! Faudra t'y faire Mustang, je suis pas une de tes pintades !
« Riza, ne soyez pas méchante avec Roy, il est adorable.
« Il est adorable, reprit-elle en imitant Caroline. Non mais je rêve, c'en ai dévalorisant pour les femmes !
« Bouh ! vint chuchoter Roy à son oreille. Je t'ai mise en colère ?
« Mustang…Ou tu enlève tes pattes de mes hanches et tu retourne voire Caroline, ou je te vide mon chargeur entre les yeux. C'est clair ?
« Faut pas t'énerver chérie ! »
C'en était trop pour la jeune fille. Elle se retourna violement, reculant d'un pas pour pouvoir remonter son bras et braqua son arme sur le front du brun.
« Je ne suis, en aucun cas, ta chérie. Alors pour la dernière fois, dégage de là !
« Tu sais que t'es drôlement sexy comme ça Hawkeye !
« Mustang !
« Et j'adore la façon dont tu crie mon nom, c'est… »
La sécurité du pistolet venait de s'enlevée et Roy perdait progressivement son sourire de vainqueur.
« Riza, murmura timidement Caroline. Riza, vous ne devriez pas faire ça, je ne voudrait pas être obliger de vous retirer votre licence…Vous êtes notre plus brillante élève, ne gâchez pas tout pour un amour déçu…
« Un amour déçu ! explosa la blonde. Moi ? Moi et…lui ? Hahaha ! C'est une blague n'est ce pas ! Vous croyez vraiment que je suis amoureuse de…de ça !
« Heu…je…
« Croyez moi, mademoiselle. Ce n'est pas parce que cvous êtes tomber csous le charme que toutes les filles le font ! Et loin de là même ! Je dirais que ce sont les idiotes qui tombent amoureuses de ce genre de garçons. Ils vous appâtent avec des mots et des yeux doux pour vous prendre sur la banquette s'une voiture et crier haut et fort qu'il s'est taper tout le lycée. Bien sûr, vous finissez larguée comme une vielle chaussette. Mais vous avez permis à Monsieur de battre son record !
« Tu le pense vraiment Riza, que je suis comme ça ?
« Si je le pense ? Mais j'en suis sûre ! Et, vous tu Mustang, je suis bien plus fière de ne pas être sur ta liste que ta dernière conquête était heureuse de l'être ! Maintenant, je voudrait finir ce chargeur ; alors si tu veux que ce ne soit pas sur ta pauvre carcasse, déguerpie le plancher !
« Vraiment Riza, tu est la seule fille qui mérite que l'on se batte pour l'avoir !
« Hein ! »
Et il la laissa là, les bras ballant, poings serrés sur la crosse de son arme, le regard perplexe, essayant de comprendre se que voulait dire cette dernière phrase. Il avait réussit la première partie du plan : la faire douter sur ces sentiments.
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