Youyou !

Vous l'avez echappée belle, un peu plus et je terminait pas ce chapitre aujourd'hui !

Ma j'ai réussi donc je peux le poster avec de partir (c'est que deux jours, z'en faites pas !)

Aller, les réponses aux review :

Serleena : voui, comme tu dit, la pauvre ! Elle a pas un père super sympas…merci et voilà la suite !

RIneZAmb : j'ai riiien contre l'accordéon ! Je trouve juste que c'est pas du tout du style de Riza d'écouter ce style de musique ! J'la vois plutôt rock ! et puis entre nous, l'accordéon c'est pas génial non plus…si ? Ah…Bref, son père ben…on l'emm et la suite la voilà ! merci pour la review !

Merci à tou les autres, Evilyuffie, Ayma, roxanne Black, Lili et Lil'Angel (oooh une nouvelle !)

Au faite, pour le père de Riza, normalement, on aprend dans le tome 10 un truc comme ça qu'il était le prof de Roy et su'il y a plein de truc bizard entre les trois. Je n'en tiens pas compte. De un parce que j'en suis qu'au tome 6…De deux parce que j'ai plus de justification pour la fugue de Riza…héhé !Et pis, de trois, ya plein de gens qu'on pas lu jusqu'à là !

M'en voulez pas trop !

Enjoy !

T'as de beaux yeux tu sais !

Les sanglots de Riza avaient disparus et un sourire serein se dessinait sur son visage rougit au fur et à mesure qu'elle se rapprochait de chez Roy. Plus rien d'autre n'avait d'importance à cet instant, même les hurlements de son père avaient quittés son esprit, elle voulait juste être avec LUI.

La pluie commença à tomber. Elle offrit ses joues bouffies à cette fraîcheur apaisante et continua d'avancer les yeux fermés. Plus que quelques minutes et elle serait près de lui.

Des sifflements résonnèrent dans la rue mais elle ne les entendit pas ; tout comme elle n'entendit pas les rires goguenards et les pas qui s'approchaient d'elle. Elle était déconnectée de la réalité.

Soudain, alors qu'il lui restait à peine trois mètres à parcourir pour sonner chez les Mustang, elle sentit une poigne lui broyer l'épaule et la forcée à se retournée.

« Hé salope ! J'aime bien qu'on me réponde quand je parle ! »

Ce qu'on pourrait facilement qualifier de vieux porc bourré se tenait devant elle, les yeux injectés de sang et l'haleine alcoolisée comme jamais. Ne voulant pas laisser la panique s'emparer d'elle, Riza se recula et libéra son épaule mais son dos vint se cogner contre un corps trempé. Pas besoin de tourner la tête, elle était encerclée.

« Une jolie fille comme toi, grogna un autre depuis sa droite, ça devrait pas traîner dans les rues le soir !

« Dit pas d'bêtises vieux, railla le premier, 'n aurait plus rien à faire nous ! »

Les ricanements qui s'ensuivirent ne firent que confirmer à la blonde ce qu'elle pensait depuis le début…et c'était loin de la rassurée. Mais elle avait une arme dans son sac, le tout était de l'attrapée, après elle serait sauvée.

« Prend-lui son sac vieux, repris l'homme, y va nous gêner !

« Non… il faut que je choppe ce foutu flingue ! Non, NON !

« Regarde c'qu'y a d'dans ! On dirait qu'elle y tient. »

De nouveaux les rires gras s'élevèrent mais Riza essaya de ne pas les entendre, de se concentrer sur se que faisait le gros balèze de gauche. Si celui qui la maintenant en place par derrière relâchait un peu la pression et que l'autre abruti renversait ces affaires par terre, elle pourrait récupérer le pistolet si elle en avait le temps…Mais ça faisait beaucoup de si…

D'ailleurs, rien ne se passa comme elle l'espérait. Seul point positif, aucuns des quatre inconnus n'avait remarqué l'arme.

Il fallait qu'elle trouve une solution et vite ! Elle n'était pas particulièrement douée pour le combat au corps à corps alors mettre KO quatre hommes adultes, même saouls, ne serait pas possible…A moins que…

Elle jeta un coup d'œil sur sa gauche et vit une ombre passer derrière une fenêtre éclairée. Sans attendre une seconde de plus…

« KYYYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! »

Roy se figea sur le palier de sa chambre. Sa mère n'aurait jamais hurler à ce point juste parce qu'il mettait du temps à descendre dîner…Et puis le cris venait de dehors, il en était sûr. Mais ce qui lavait le plus troublé, c'était la certitude qui lui criait qu'il s'agissait de la voix de Riza…

Ni une ni deux, il déboula dans l'entrée et se précipita sous la pluie malgré les protestations de ses parents. Pour que Riza crie comme ça, il en fallait beaucoup ! Surtout que ça ressemblait beaucoup plus à un hurlement de terreur qu'à ses habituels cris de rage qu'elle lui envoyait à la figure.

« Roy ! Ici abruti ! »

Tournant la tête, il aperçu la jeune fille entourée par ses assaillant qui ne semblaient pas très frais. Son cerveau essaya de trouver une solution qui ne la mettrait pas en danger mais ce fut finalement un réflexe protecteur qui le fit se jeter sur le gaillard qui venait de gifler Riza.

Un crochet du droit le mit K.O. mais il en restait trois et pas des moindres…

« Tu vas voire p'tit con ! »

Sur de son coup, Roy leur lança un regard arrogant et joignit ses doigts, prêt à les faire claqués.

Riza n'y connaissait pas grand-chose en alchimie ; mais elle était plutôt bonne en science et faire du feu sous cette pluie battante ne lui semblait pas très réalisable…Apparemment le brun contait passer outre mais elle voulait quand même récupérer son arme, juste au cas où.

Profitant de la diversion qu'il lui offrait, elle se jeta sur le coté, roula jusqu'à son sac et y plongea une main tremblante.

« Vite, vite ! Bon sang il est où !

« Hé toi ! lança celui que Roy venait d'assommé en reprenant connaissance, où tu vas comme ça ?

« Un pas de plus et je vous fait tous cramer, menaça l'adolescent.

« Ah ouais, et comment ?

« Comme ça ! »

CLACK !

…

« Alors ? »

Les quatre hommes ricanèrent tendit que Roy regardait son gant avec une incompréhension totale. Riza choisit ce moment pour dégainer son arme et tira en l'air.

« Oh oh ! Ma jolie, tu vas te faire mal, repris un des bourrés.

« Reculez ! Aller, allez vous en !

« On devrait avoir peur d'un fillette avec un pistolet ? C'est ça ? Ahahah !

« Pourquoi… ? que…marmonnait l'alchimiste, complètement désintéressé.

« tu est impuissant sous la pluie Roy, il y a trop d'humidité !

« Impuissant !...impuissant…déprime totale (niark ! j'avais adoré ce passage dans l'anime ! z'avez qu'à imaginer Roy tout bleu… ;p )

« Et vous, reculez !

« Tu nous touchera pas !

« Riz', fait attention…

« Vous en faites pas pour moi les gars, les armes c'est mon rayon. Mais j'ai envie de faire une démonstration en pleine rue alors vous me débarrassez le plancher ! »

Toujours mort de rire, les ivrognes ne réagirent que lorsqu'une balle vint creuser un sillon dans le béton, à deux centimètres d'eux.

« Alors ? Il vous en fait une dans le crâne ou vous partez ?

« On s'casse. De toute façon c'tait une planche à pain ! »

Cette fois-ci, ils durent prendre la fuite sous une pluie de coups de feu, la queue entre les jambes. (oh ! quelle belle expression, et tellement bien appropriée !)

« Moi je trouve pas que t'es une planche à pain, déclara roy au bout de quelques minutes.

« Oh la ferme !

« Et puis tu sais que t'as vraiment de jolis yeux quand tu t'énerve ! Et se froncement de sourcil quand tu vise…

« Roy !

« Quoi !

« Y a ta mère sur le palier je crois…

« Ah…oups… »

Et voilou, la suite sera pas postée avant jeudi voire vendredi (je pars deux jours chez mes vi…mes grands parents ! mais j'l'ai déjà dit je crois..) donc j'espère que ça vous suffira pour patienter !

Bizz et oubliez pas les reviews !