Youyou !

Comment vous dire…Vous m'avez terriblement manqués ! lol

Alala, 10 jours sans c'était horrible ! Et j'ai même pas récupérer tout mon retard dans les nouvelles publications, c'est dire !

Enfin, je suis de retour (pour vous jouer un mauvais tour !...sorry…) et je vous offre enfin la suite de cette chère petite fic. (Il était temps, n'estce pas ! lol)

Bon, comme d'hab, les réponses au reviews anonymes (quoi que peu nombreuses…snif) et après je vous laisse à la lecture !

RIne ZAmb : lol, contente de savoir que ma fic te fait autant rire ! ma fait gâche à pas t'étrangler, je voudrait pas te perdre ! lol. Héhé, j'avoue que le manque d'inspiration ammène souvent des idées bizare mais si ça t'a plut, tant mieux ! et désolé pour la taille des chapitre, mais j'aime mieux ça que vous faire attendre des semaines !

Nirva-kun : rolala, un mec qu'aime bien ma fic ! Géant ! lol, j'espère que t'est pas déjà parti et que tu pourras lire ce chapitre là…sinon bah bonne vac que même

pip-squeak : Bah j'ai pas pu poster avant de partir mais merci que même !

Silia : Waw, ça c'était de la review !lol merci !je pense que t'as raison, les gens sont tous en vacances et viennent plus metre de reviews…snif. J'espère qu'ils vont vite revenir ! lol Quand à mustang, bah comme tu dis, personne ne vaut ce gars là ! merci encore.

Et voilou ! aller, je vous embête plus, enjoy !

PS : désolé pour le titre de merde, mais j'ai un peu de mal en se moment…

J'aime pas les mouches

Sur la terrasse du café où nos quatre amis prenaient leur petit déjeuné, les garçons n'ayant pas réussit a préparer un repas potable à l'appartement, l'air était lourd et quasi irrespirable.

C'était leur troisième journée au bord de la mer et vu la limpidité du ciel, tout le monde allait envahir les plages. Les jeunes filles, toujours embêtées par cette histoire de maillot de bains, n'arrêtaient pas de se plaindre des touristes qui se précipitaient pour avoir un carré de sable.

Malheureusement, ce n'était pas vraiment réaliste. En effet, c'était la première semaine de vacances et la ville côtière était loin d'être boudée de touristes en quêtes de vagues. La portion de mer qu'ils apercevait depuis leur table en était la preuve : il était 10 heures et seulement deux familles y avaient installer leur serviette.

Du coup, après ce petit dèj', rien ne les empêcha d'aller se prélasser au soleil et les filles finirent par abandonner leur paréo pour aller faire trempette et rejoindre les garçons dans une bataille d'eau effarouchée. Au grand plaisir de ses derniers.

J'explique : quoi de plus naturelle de soulever une amie dans ses bras et de la balancée sur une cague lorsqu'on fait ce genre jeu ? Et quoi de plus normal d'en profiter pour les observées en maillot ? Et bien, même si ça ne me plait pas forcément, rien.

Mais les deux voyeurs n'étaient pas au bout de leurs surprises puisqu'ils se firent littéralement laminer par ces demoiselles et durent payer l'addition pour le repas de midi.

Repas qu'ils passèrent a essayer de freiner des bouffées de chaleurs…(Faut vraiment que j'explique là ?)

Par cette chaleur, personne ne s'était rhabiller et la terrasse était pleine de filles en bikini dont faisait parti Riza et Hinata, bien évidement. Et manger en face d'un bikini n'est pas simple pour un mec, vraiment pas simple. Surtout quand on attend patiemment que la propriétaire du dit bikini se décide à vous autoriser à partager son lit, si vous voyez ce que je veux dire.

Ils essayaient donc de regarder ailleurs, mais cet ailleurs signifiait en l'occurrence deux jeunes couples qui passaient plus de temps à s'embrasser qu'à manger, une femme enceinte qui tenait amoureusement la main de son mari et…des mouches qui s'accouplaient sur la serviette de Jean.

Vous me direz, avoir la trique à table, c'est pas bien grave puisqu'il y a justement la table pour cacher (on va oublier la petite filles de la table voisine qui, assise par terre, observait un phénomène bizarre) mais le problème, c'est qu'on y reste pas éternellement à table, et qu'il y a bien un moment où il faut se lever…Galère.

« Ca vous dit un tour en rosalie (suis pas sur que ça se dise comme ça…mais vous voyez les calèches qu'avance en pédalant ? bah c'est ça), demanda Riza en finissant son diabolo. J'en ai vu des jolies en venant ici.

« Ouii ! exulta sa voisine.

« Heu, grommela Jean, c'est pas les truc où faut pédaler ?

« Soit pas si fainéant, le gronda gentiment Hina. On va bien s'amuser !

« Mais il fait chaud…

« Jean ! Arrête de te plaindre sans arrêt !

« J'y peut rien, c'est parce que j'ai pas fumé depuis au moins… »

Il commença à compter sur ses doigts avec un regards douloureux pendant que les deux filles soupiraient.

« Juste une, lança-t-il soudain, aller, juste une !

« Nan, lâcha Riza, je t'ai déjà dit de pas clopper devant nous. Je tiens pas à finir avec un cancer du poumon !

« Hina, implora-t-il, j't'en priiis !

« Elle a raison. Et puis, ça peut te faire que du bien !

« Mouais… »

Il essaya encore un peu d'obtenir satisfaction avant d'abandonner. Cette intermède avait au moins au l'avantage de faire descendre la température interne des garçons.

L'après midi se déroula sans autre encombre. Ils pédalèrent deux bonnes heures sur la route qui longeait le littorale et ramenèrent la calèche au stade pour passer quelques heures dans l'eau. Puis ils rentrèrent à l'appartement.

Autant dire que se dernier soufrait du manque de soit des garçons : la porte entrouverte de leur chambre laissait entrevoir la bazar qui y régnait et ils écopèrent d'un corvée de rangement doublée de la plonge du soir.

Mais a vrai dire, cette besogne leur permit d'élaborer un plan qu'ils pensaient subtile et qui visait à rassembler chaque couple dans une chambre. Autant dire qu'il prévoyaient une soirée câline…

« Vous comptez y passer toutes la semaine, cria Riza au bout d'une heure. C'est quand même pas le ménage de printemps qu'on vous demande de faire !

« On arriiiive ! »

Ils sortirent en affichant un sourire oscillent entre la vicissitude et la satisfaction, s'échangèrent un regard lourd de sous entendus et s'installèrent à table avant de se faire houspiller : c'était à eux de placer le couvert…

Bon, ok, c'est pas très long, et il se passe pas non plus grand-chose…Mais c'est en préparation, vous l'aurez remarquer, alors z'avez juste a patienter jusqu'à la publication du prochain chapitre !

Disons que celui là c'est une transition…

Aller, oubliez pas les reviews !