Bon, je pars demain à la mer et j'ai déjà posté deux chapitres ce matin…Mais comme je vous aime beaucoup (quoi que, avec cette pénurie de review…) je vais être gentille et vous épargner une attente d'une semaine pour savoir où Roy a mit ces doigt ! lol
Alors c'est parti, mais je vous préviens, ce sera trèèès court !
Merci au passage à Lili (ou lilize, chais pas comment faut t'appeler manant) et à RIneZAmbe pour leur review !
D'ailleurs, RIne, j'espère que ce chapitre t'aidera a tenir le coup ! Et pis tu verras, la Belgique c'est pas non plus horrible ! lol Faut juste un peu froid…quoi que, on est en Aout ! Pour la prise…heu…no comment, mais je prend volontiers ton conseil ! lol ! Bizz
Aller, place à la lecture !
Enjoy (the best and fuck the rest !...désolé)
Enlève tes doigts!
Hinata émergeait lentement de son sommeil lorsqu'elle entendit un fracas dans la cuisine. L'esprit encore un peu embrouillé elle chercha à identifier l'imbécile qui s'était pris une chaise et fut surprise d'entendre Riza hurler :
« ENLEVE TES MAINS TOUT DE SUITE ! »
Elle rougit violement, se disant qu'il était préférable de ne pas les déranger…M'enfin, faire ça dans la cuisine !
A côté d'elle, Jean avait ouvert les yeux et la tête dans le brouillards, il tentait de se rappeler comment la brune avait finit dans son lit. Ou plutôt comment lui avait finit dans la chambre des filles…Apparemment, tout n'avait pas fonctionner comme prévus mais aucuns souvenir ne lui revenait. Il allait devoir décuver et pour ça, il fallait qu'il fume ! Il n'avait presque jamais le droit de le faire à cause de Riza qui lui faisait la chasse et même s'il avait fait des économies, il était en manque…
Les deux amoureux se regardèrent un instant et ce fut un autre manque qui agrippa les tripes du grand blond. Mais Hinata ne lui laissa pas le temps de s'avancer plus et l'envoya à la salle de bain.
« Tu pus l'alcool ! Va te brosser les dents et comme il faut ! »
Ensuite, elle s'avança vers la cuisine pour vérifier que tout ce passait bien (Hinata nous cacherai-t-elle un penchant voyeur ?) et ce qu'elle y trouva faillit la faire mourir de rire.
C'était bien Roy, comme elle l'avait supposé, qui s'était pris les pieds dans une chaise qui traînait au milieu du passage et qui avait réussit à s'ouvrir la main gauche et le haut de son poignet droit en tombant sur un cadavre de bouteille (on est pas chez Hitchcock que même ! pas de macabés !) Il saignait abondement et Riza se débattait avec une gaze devant lui.
« Ca piiique, geigna le garçon.
« C'est ton problème ça !...Je t'ai dit de pas mettre tes doigt sur mes fringues !
« Oui, maman, grogna l'intéressé.
« Pardon ?
« Rien…rien.
« Aller, ça devrait être bon là. Bouge pas trop ça va resaigner. Je vais chercher de quoi faire un bandage ; on t'emmènera à l'hosto quand on aura déjeuné.
« Content de voire que tu préfère me voire vider de mon sang que sauter un repas.
« Roy, le gronda-t-elle.
« J'ai compris, je bouge pas, j'attends et je me laisse mourir.
« Pff… Hina ! T'es levée ?
« Non, non, elle dors encore mais elle nous envoie une projection astrale pour nous dire bonjour.
« Roy !
« A vous entendre on dirait un vieux couple, pouffa la dite projection astrale. Si tu veux aller à la salle de bain, y a Jean.
« Et ben il va gerter vite fait, j'veux pas mourir !
« Roy, arrête de faire l'enfant !
« Mouais…On mange quoi ?
« ROY ! »
Cette fois, c'était les deux filles qui c'était insurgé et il préféra se taire devant leur regard agacé. Tout de même, il souffrait le martyre et on ne pensait qu'à lui crier dessus !
Il était neuf heures passé lorsque la troupe débarqua au centre des urgences. Ils s'était pourtant levés assez tôt (la faute à qui !) mais le temps de trouver quelqu'un qui veuilles les y conduire…
Bref, Roy avait eu droit à un point de suture -- « un seul ? Vous êtes sur ? C'est quand même bien entaillé…Non ?Ah… »-- et avait deux énormes bandages. Mais il avait arrêté de se plaindre, au grand bonheur des autres, pour retrouver tout son voyeurisme et comparer avec Havoc les formes des infirmières. Ce qui lui valut presque un nouveau passage aux urgences, si vous voyez ce que je veux dire.
Et puis une nouvelle journée commença, tranquille et ensoleillée pour nos vacanciers. Au programme : plage, sieste et…plage. Il faut dire qu'à Cunit, il n'y avait pas grand-chose d'autre à faire, à par le shopping et les boutiques de souvenirs mais les garçons s'étaient efforcer de faire oublier ce point là à leur compagnes.
Le vent se leva, amenant avec lui, un nouveau plan foireux dans l'esprit torturé des énergumènes qu'on devait soit disant appeler jeunes hommes. De quoi faire une autre soirée mouvementée…
Et voilou !
C'est court, je vous l'avoue, mais je vous avais prévenu !
Il faut que je prépare mes bagages donc je pas faire plus…J'espère que ça vous feras tenir jusqu'à dimanche prochain…Quoi que, je sais que vous trouverez bien d'autres fic à lire…snif, m'abandonnez paaaaas !
