Hello tout le monde !

Voila j'entre officiellement en période de Blocus ce qui veut dire que je risque d'être très irrégulière pour poster les chapitres :( essayé de ne pas tenir compte et surtout ne vous inquiétez pas : nous continuons notre Fanfic !

Mais aujourd'hui je vais tout de même un effort pour poster le dernier chapitre avant l'épilogue (19ans plus tard) en guise de cadeau pour Noel xD

J'espère que ce chapitre vous plaira, beaucoup de choses à se dire tout en bas !

Voila avant de vous laisser nous vous souhaitons, Tinkerbell et moi-même de merveilleuses fêtes et d'avance une très bonne année 2018 !

A bientôt

M&T


Revieuw anonyme :

Guest: merciii pour ta revieuw et tes encouragements ! A très bientôt!


Chapitre 44 : Le dernier jour

Le soleil se leva peu à peu sur Poudlard et la Grande Salle resplendit de vie et de lumière. La présence de Harry était devenue indispensable dans les débordements de joie et de deuil, de chagrin et de fête. Tous voulaient qu'il soit là, avec eux, leur leader et leur symbole, leur sauveur et leur guide. A ses côtés, Ron et Hermione l'accompagnaient, parlant à ceux qui avaient perdu un être cher, serrer leurs mains, être témoin de leurs larmes, recevoir leur gratitude.

A mesure que s'écoulait la matinée, les nouvelles qui se répandaient, en provenance d'un peu partout, annonçant que, d'un bout à l'autre du pays, les victimes du sortilège de l'Imperium avaient repris conscience, que les Mangemorts étaient en fuite ou capturés, que les innocents enfermés à Azkaban étaient relâchés en ce moment même, et que Kingsley Shacklebolt avait été nommé ministre de la Magie à titre provisoire…

Ils transportèrent le cadavre de Voldemort dans une autre pièce, à l'écart de la Grande Salle, loin des corps de tous ceux qui étaient morts en le combattant. McGonagall avait remis en place les différentes tables, mais en s'y asseyant, personne n'avait tenu compte de la maison à laquelle il appartenait. Ils s'étaient tous mélangés, enseignants et élèves, fantômes et parents, centaures et elfes de maison.

Installés à l'écart des autres, tentant de passer inaperçus parmi la foule, les trois Malefoy se tenaient l'un contre l'autre, la mine grave, comme s'ils ne savaient pas très bien si leur place était ici. Personne ne leur accordait la moindre attention, et c'était mieux ainsi, pensa Drago tandis qu'il suivait des yeux Potter, allant et venant d'un groupe à l'autre, tentant de réconforter les survivants de la bataille qui le considérait comme leur sauveur. Alors qu'il passait devant lui, Drago ne put ignorer le signe de tête que lui lança Potter au loin. Curieusement, il n'éprouvait plus cette haine aveugle qu'il ressentait à chaque fois qu'il croisait son regard, mais à l'instant, Drago comprit qu'il lui était reconnaissant de lui avoir sauvé la vie. L'idée d'avoir une dette envers l'Elu ne le séduisait pas. Cependant il était en vie grâce à lui et cela, il ne l'oublierait jamais.

A plusieurs reprises, ses yeux se portaient sur Hermione, qui la plupart du temps, suivait Potter ou restait collée avec Weasley, le réconfortant de la perte de son frère. Il essayait de ne pas trop regarder dans sa direction, la voir près de lui, brisait son cœur. Jamais il n'oublierait cette image où Hermione s'était jetée dans ses bras pour l'embrasser. De manière frappante, Drago pouvait encore entendre raisonner dans sa tête la voix d'Hermione, lui annonçant qu'elle l'aimait lui… « oui, je l'aime. Nous nous sommes rapprochés après… l'incident chez toi ».

Il eut soudain l'envie d'enfuir son visage dans ses mains, de courir à toutes jambes et de quitter ce maudit château en ruines. Jamais il ne pourrait se pardonner… il avait perdu Hermione, il avait perdu son bébé… Il ne voulait pas que tout cela arrive. Il avait tenté de les sauver d'une mort certaine, mais d'une certaine manière, il les avait perdus tous les deux…

Il continuait d'observer la foule qui se diversifiait de plus en plus, des dizaines de personnes qui n'avaient pas participé à la bataille, mais dont les proches étaient blessés ou morts s'étaient rassemblées dans la grande salle. Drago avait de plus en plus de difficulté à supporter la foule. Il désirait plus que tout rentrer chez lui, partir loin de ces personnes qui lui jetaient des regards accusateurs.

Quand pourrons-nous rentrer ? Demanda Drago à voix basse, tandis qu'un groupe de sorciers du Ministère murmuraient sur leur passage.

Bientôt mon chéri, lui répondit sa mère. Nous devons régler… certaines affaires.

Drago ne répondit pas, préférant ne pas interroger ses parents sur ces « affaires » en question. Il ne voulait rien savoir, désirant plus que tout rester à l'écart. C'était fini. Il ne voulait plus être mêlé à son passé qui, il devait se l'avouer, ne tarderait pas à lui revenir au visage dès que la situation se sera calmée. Pour le moment, Drago préférait ne pas y penser. Malgré lui, il parcourra la pièce des yeux et reconnu aussitôt les cheveux bruns d'Hermione, sortir de la grande salle en compagnie d'une tête rousse : Weasley, pensa-t-il avec ce même sentiment d'intense jalousie. Il baissa les yeux, essayant d'oublier cette vision qui lui noua la gorge aussi violemment que si on l'étranglait d'une main ferme. Drago sentit cette sensation amère lui parcourir l'œsophage et il dut se retenir de ne pas laisser échapper les larmes qui commençaient à lui picoter les yeux. Son regard était fixé sur le sol et il ne vit pas arriver les deux membres du Ministère qui venaient chercher son père pour l'interroger. Ce dernier échangea avec sa mère un regard inquiet puis suivit d'un pas incertain les deux sorciers vers la porte de la grande salle avant de disparaître dans le hall d'entrée.

Drago… fit la voix brisée de sa mère, tout se passera bien.

En es-tu certaine, mère ? Que va-t-il se passer, maintenant ?

Enfin, il leva les yeux vers elle. Jamais il n'avait vu son beau visage aussi tourmenté. C'était comme si elle avait vieilli de plus de dix ans. Il aurait voulu la réconforter, la prendre dans ses bras pour lui murmurer que tout irait bien, mais il en était incapable.

Je… je l'ignore, mais une chose est certaine, je serai toujours là, Drago.

Elle prit une grosse bouffée d'air, comme si elle s'apprêtait à annoncer une terrible nouvelle. Elle jeta des coups d'œil furtif aux alentours pour s'assurer que personne ne pouvait entendre ce qu'elle s'apprêtait à dire et murmura d'une voix qu'elle essayait vainement de prendre sur le ton de la conversation :

Je suis au courant Drago… tu peux tout me dire.

De quoi parles-tu, mère ? Que veux-tu que…

Non, écoute-moi ! S'exclama-t-elle, décidée. Souviens-toi, quand tu avais quinze ans, je t'ai donné un cadeau très précieux… je t'ai donné ce collier particulier, orné d'une émeraude unique. On dit que si le diamant rayonne, il s'agit d'un amour véritable. Le savais-tu ? Bien sûre que non, je ne t'en avais pas parlé à cette époque… Je t'ai donné ce bijou de famille que ton père m'avait offert, et ton grand-père avant lui, je t'ai dit : « donne-le à la fille que tu aimes réellement et le diamant rayonnera si c'est elle que tu as choisie et que votre amour est véritable ». Cette nuit, durant la bataille de Poudlard, j'ai vu ce collier à son cou. Celui d'Hermione Granger.

Drago réfléchit, réalisant pleinement les paroles de sa mère. Il ne s'attendait pas à ce qu'elle aborde les sentiments qu'il ressentait à l'égard d'Hermione. C'était généralement un sujet dont on évitait de parler quand on appartenait à la famille Malefoy. Les joues en feu, ce fut comme s'il s'était senti espionné sous sa douche.

L'aimes-tu Drago ? Est-ce un amour sincère ?

Voyant le regard déterminé que sa mère lui lançait, il se ressaisissait et lui répondit le plus sérieusement du monde :

Il fut un temps, où je le croyais réellement mère. Quand je lui ai offert notre collier familial, plus que tout j'espérais qu'elle soit la prochaine Mrs Malefoy. Mais aujourd'hui, avec tout ce qu'il s'est passé… au manoir, marmonna-t-il honteusement, je sais que ce n'est plus qu'un rêve qui jamais ne se réalisera.

Oh… Drago, fit Narcissa d'une voix brisée, ses yeux bleus pétillants de larmes, je suis tellement désolée…

Pourquoi ? Demanda Drago d'un ton froid en plongeant ses yeux dans les siens. Tu dois plutôt être soulagé non ? Tu ne voudrais pas qu'une sang-de-bourbe…

Drago ! Coupa sa mère en jetant des regards apeurés autour d'elle, ne tient plus de tels propos, ici ! Tu sais très bien que la seule chose qui compte réellement, c'est ton bonheur !

Ah oui ?

Tu comprendras quand un jour tu auras des enfants…

Elle s'interrompit, comme si elle n'osait continuer sa phrase.

Il n'est jamais trop tard… reprit-elle timidement pour briser le silence qui s'était installé entre eux.

Si, c'est le cas ! S'exclama-t-il, elle ne m'aime plus ! Elle ne veut plus me voir…

Pourtant, elle portait toujours le collier, souligna sa mère.

Il ne répondit pas, repensant aux paroles d'Hermione à ce sujet : « Je n'ai plus pensé à l'enlever ». Il savait qu'elle lui avait menti. C'était uniquement pour cette raison qu'il avait décidé de rester dans la bataille de Poudlard. Cependant, il ne pouvait s'empêcher de repenser au baiser qu'elle avait échangé avec Weasmoche dans ce couloir… il avait le cœur brisé d'admettre qu'elle ne l'aimait peut-être plus… qu'il avait perdu son grand amour. Jamais plus il ne pourrait aimer de cette façon. Après tout, elle avait été l'unique fille qu'il aimait depuis ce jour dans le Poudlard express.

Et le bébé ? Demanda-t-elle à voix basse.

Il la regarda, ses yeux écarquillés. Décidément, pensa-t-il sombrement, sa mère est une occlumente hors pair. Une lame lui transperça le cœur quand il secoua la tête de droite à gauche. Une larme coula le long de la joue de Narcissa Malefoy.

Mon chéri, ajouta sa mère voyant qu'il ne répondait pas, rien n'est perdu !

Elle jeta un coup d'œil vers la porte de la grande salle et lui dit d'une voix douce :

Va la rejoindre, bats-toi pour elle.

Que dirait père ? Serait-il de cet avis ? C'est une… une… Elle est du côté de Potter !

Les choses vont changer, rien ne sera plus pareil. Montre-lui la voie.

Sans s'en rendre compte, Drago se leva. D'un pas décidé, il tourna les talons sous le regard de sa mère et quitta la grande salle. Le hall d'entrée était dévasté, des débris de marbre et de verre répandu au sol, se mélangeant à l'arc-en-ciel de pierres précieuses qui représentait, dans un autre monde, les points de chaque maison. En haut des escaliers, il vit Rusard balayant d'un pas traînant une pile de débris, miss Teigne se baladant à côté de lui. Alors qu'il contemplait l'ancien concierge d'un air hautain, il vit arriver Potter, Weasley et Hermione de l'autre côté de la porte qui menaient aux escaliers. Aussitôt, il se tapit dans un coin sombre, derrière les restes d'une statue qui était restée miraculeusement intacte et attendit qu'ils descendent ensemble les grands escaliers en marbre. Drago les observa par derrière la statue, le trio dévalant les marches de l'escalier d'un air épanoui. Avec un déchirement au cœur, il pu voir Weasley passer un bras autour des épaules d'Hermione tandis qu'ils riaient aux éclats, savourant la fin de la guerre.

Son instinct lui souffla de les laisser passer, de l'oublier pour lui laisser une chance d'être heureuse… loin de lui. Cependant, il ne pouvait ignorer les protestations de son cœur à l'idée de la perdre. Il devait essayer, il devait se battre ! Il s'abaissa, prit une petite pierre qui se trouvait à ses pieds et la lança délicatement vers Hermione, ne se souciant plus, à présent, du risque qu'il courrait si Potter ou Weasley le voyait.

Elle détourna la tête et leurs regards se croisèrent. Aussitôt, Hermione fit un bref mouvement de tête vers la porte d'entrée et détourna comme si de rien n'était, son attention vers ses amis. Dès qu'ils furent entrés dans la grande salle, Drago sortit d'un pas précipité du château et attendit Hermione sur les marches de l'école. Il respira profondément une immense bouffée de l'air matinal et se sentit, pour la première fois depuis de longues heures, serein. Il était tellement plongé dans ses pensées, à contempler la vue de cet immense parc qu'il sursauta lorsqu'Hermione s'assit à côté de lui. Pendant une longue minute, ils restèrent silencieux, leur regard perdu sur les vestiges laissés par la guerre. Enfin, Drago lui demanda :

Tu veux faire un tour ?

Elle le considéra longuement avant d'accepter. Ils marchèrent ensemble en silence, sans en être gênés pour autant. Ils n'avaient pas besoin de mots pour se comprendre. Ils étaient là, tous les deux et cela leur suffisaient. Drago la conduisit vers le pont de Poudlard, suffisamment loin du château pour parler en toute tranquillité. Il se retourna vers elle et la regarda. Même les cheveux en bataille, la mine sale et fatiguée, il la trouvait magnifique.

Drago…

Hermione… fit-il, au même moment.

Ils se regardèrent amusés puis éclatèrent d'un rire tellement spontané qu'il en eut des frissons.

C'est drôle, fit Hermione lorsqu'ils reprirent leur sérieux, une page se tourne et une autre est sur le point de s'écrire.

Elle poussa un soupir nostalgique et poursuivit :

Quand j'étais petite, mes parents m'ont offert à Noel le livre de « Charlie et la chocolaterie ». C''est très connu dans le monde des moldus, tu sais. J'ai adoré ce livre ! C'était le premier que je lisais seule et inlassablement, je l'ai dévoré ! Chaque soir, avant de m'endormir, je relisais les aventures de Charlie Bucket, dit-elle dans un petit rire en se rappelant ses années d'enfances.

A chaque fois que je terminais ce livre, ce même sentiment de nostalgie surgissait toujours en moi, ce sentiment que l'on ressent lorsque l'on termine une histoire qui nous tenait à cœur, quand on sait que tout est fini.

Alors c'est la fin ? La fin de notre histoire ? Demanda Drago.

Il plongea profondément son regard dans le sien, oubliant le monde qui les entourait. Il ne voyait plus Poudlard, ni son parc saccagé par la bataille. Il ne voyait plus que ses yeux marron pétillants. Son visage était à quelques centimètres du sien, il n'avait plus été aussi proche d'elle depuis des mois. Il du faire un effort surhumain pour ne pas l'embrasser en cet instant.

J'imagine, répondit Hermione lentement, que c'est le moment où les héros de l'histoire se disent au revoir et prennent des chemins différents…

Même s'il redoutait ce moment, il ne put s'empêcher de ressentir une douleur fulgurante lui transpercer la poitrine. D'un geste délicat, elle retira le pendentif de son cou et le déposa dans la paume de sa main. Il contempla le collier qu'il lui avait offert à Noel, n'arrivant pas à réaliser son geste.

C'est réellement ce que tu désires, Hermione ? Demanda-t-il, la gorge nouée.

Oui, je crois que c'est la meilleure solution. Honnêtement, nous savions très bien que nous deux… c'était impossible, avoua tristement Hermione.

Il dut difficilement admettre qu'elle avait raison même s'il avait toujours nourri au plus profond de lui-même l'espoir qu'il se trompait. Pendant une fraction de seconde, il fut tenté d'accepter sa proposition. Après tout, c'était la solution la plus facile : oublier et tourner la page. Cependant, une voix au fond de lui – celle de sa mère- lui hurlait de se battre pour elle. Plus que tout, il la désirait, c'était celle qu'il avait toujours choisie.

Non, tu te trompes, Granger. Nos chemins finissent toujours par se croiser, tu le sais très bien.

Elle écarquilla les yeux, visiblement surprise de sa réponse.

Drago… je suis désolée, mais c'est la triste vérité. Il y a trop de mensonges autour de nous… je suis incapable de révéler au grand jour notre histoire… les conséquences seraient catastrophiques ! Il vaut mieux se taire à tout jamais.

Et si je refuse ?! Je suis enfin prêt Hermione, à crier haut et fort mes sentiments pour toi ! Non écoute-moi ! Dit-il voyant qu'elle s'apprêtait à répondre, les choses vont changer désormais, je suis prêt à montrer réellement qui est le vrai Drago ! N'est-ce pas ce que tu voulais depuis le début ?

Elle le regarda longuement, ne sachant plus quoi répondre.

Oui… je le voulais et je le désire toujours ! Cependant j'ignore si je suis prête à subir les conséquences de ce choix… au risquer de perdre mes meilleurs amis. Ils sont tout pour moi, comme des frères !

Ses yeux brillaient de larmes à présent et Drago sut que des larmes ne tarderaient pas à couler le long de sa joue. Il continua de l'écouter, sa voix devenant de plus en plus aiguë.

« La nuit où nous avons perdu le bébé, j'ai réalisé une chose : je suis à Gryffondor et toi à Serpentard. Trop de barrière, de principes nous opposent, Drago ! Je ne peux fermer les yeux sur ce fait ! J'ai compris à ce moment-là que tu ne serais jamais venu à mon secours… tu l'as laissée… faire !

Elle vous aurait tué sur le champ si j'avais avoué !

C'est vrai… mais une part au fond de toi refusait d'agir, n'ai-je pas raison ?

Il ne pouvait répondre et il garda honteusement le silence. Cette fois, des larmes coulaient silencieusement le long des joues d'Hermione, se mêlant à la poussière qui salissait son visage. C'était pire qu'une déchirure. Une souffrance inimaginable qu'il se demandait s'il pourrait un jour retrouver toute trace de bonheur.

Hermione, dit-il en pleurant à son tour, je suis tellement désolé…

J'aurai aimé que les choses se passent autrement, Drago, fit-elle entre deux sanglots.

Il ne répondit pas, son regard était tourné vers le parc, se refusant de la regarder peut-être pour la dernière fois. Il sentit qu'elle lui prit la main, l'obligeant à se retourner puis y déposa quelque chose dans sa paume.

Jamais je n'oublierai tous ces moments ensemble.

Je ne t'abandonnerai pas Hermione, dit-il déterminer, pas cette fois.

Drago…

Non ! Je n'arrêterai jamais d'espérer.

Ils se regardèrent droit dans les yeux, avant qu'Hermione ne se penche vers sa joue pour y déposer un tendre baiser. Il ferma les yeux, savourant chaque sensation du contact de ses lèvres contre sa peau. Il ressentit des frissons lui parcourir la peau quand elle décolla ses lèvres.

Bonne chance Drago Malefoy.

Elle tourna les talons et se dirigea vers Poudlard, sans se retourner. Il retint le reste des larmes qui lui montaient aux joues, regardant partir Hermione Granger, la sang-de-bourbe qu'il aimait. D'un geste tremblant, il remit le pendentif dans sa poche, sans se rendre compte qu'à l'instant précis, l'émeraude s'illuminait.


FIIIINNNN

Voila la fin du tome 7, nous nous retrouvons pour le dernier chapitre, il s'agit de l'épilogue (19ans plus tard) ^^ Bha oui autant continuer jusqu'au bout la trame ;)

Bon pour ce dernier chapitre, je suppose que vous allez nous tuer ahah n'oublié pas que le collier scintille ! Donc il existe toujours des sentiments très profonds entre les deux ! C'est vrai qu'Hermione pourrait accorder son pardon à Drago mais elle reste très marquée par les événements du manoir et surtout, elle s'est rendue compte que Drago est un Serpentard et le restera :/

Surtout, ne soyez pas déçues ! Nous avons prévu encore tellement de choses à leurs sujets donc sans spoil, je peux vous dire que la suite promet des rebondissements (venant entièrement de nous cette fois ci ;) )

Sur ce, n'hésitez pas à nous faire part de votre avis dans des revieuuuwwwws !

Allez lecteurs fantomes, manifestez-vous pour une fois nous donner votre avis constructifs ;)

Voila nous vous souhaitons une fois de plus de joyeuses fêtes!

M&T