Avant toute chose : MERCI MERCI MERCI pour vos reviews. (j'étais toute rouge devant mon écran)
J'ai des soucis d'internet en ce moment (pas de connexion ADSL, ordinateur trèèès lent) donc je vous répond de manière collective : MERCI !
Vous êtes toutes sur la bonne piste. Mais je ne confirmerai ni n'infirmerai aucune hypothèse car voici encore quelques petits indices à vous mettre sous la dent. Juste une petite note à Rieval : j'ai hésité pour le titre de cette fic à faire une allusion à un génie dans sa lampe… mais ça aurait tout révélé trop tôt, donc quand Saschka m'a proposé « disque dur », j'ai préféré opter pour le titre en place.
Dédicace spéciale à Nitta-chan : j'ai appris pour votre référente deuxième cycle : toutes mes condoléances (pour les autres : rassurez-vous, personne n'est mort, j'ai simplement tendance à abuser de l'ironie et de l'humour noir, désolée) Pour te remettre de cette terrible nouvelle, je te propose de te mettre à la suite de Pacte. Qu'en dis-tu ?
Et un gros merci à Saschka pour le travail de bêta. Il est bien plus clair comme ça ce chapitre !
Après ce petit disclaimer je vous laisse avec un…POV, hé oui ! Bonne lecture.
oooOOOoooOOOooo
Bon, comment fonctionne cette machine déjà ? Ah oui, il faut ouvrir les yeux, c'est ça. Aller, un petit peu de courage. Ouch, éblouissante la lumière !
Où est ce qu'il était ? Et qui avait eu la brillante idée de mettre les lumières aussi fortes ?
Il fut interrompu par une voix à l'accent étrange qui semblait lui parler.
- …oney……..va…ien.. ?
Traducteur s'il vous plait! Qu'est ce que c'était que ce cirque ?
- Rodney ..ous …entendez ?
Encore cette voix bizarre. Pourtant étrangement familière.
- …peut être déjà plus parler notre langue ? …
Une autre voix à l'accent étrange. Et ce qu'elle a dit. Se pourrait-il que ?… Oui, ça devait être ça…il ne rêvait pas, ça avait marché !
Mais il devait se montrer prudent. Peut être se doutaient-ils déjà de quelque chose. Malgré tout, rien n'était encore perdu. Il pouvait toujours prétexter que c'était ce foutu mal de tête qui lui faisait perdre la tête.
- …dites pas ç.. Radek… ça a … plus de temps au gén… O'Neill pour …communiquer … qu'ancien.
Cette voix là était encore différente. Mais combien étaient-ils autour de lui ? Rapide tour d'horizon. Eh, finalement, des yeux, ça marche pas si mal que ça.
Six. Six personnes rien que pour lui ! Il était gâté. Et il devait bien reconnaître qu'il y avait dans cette pièce une ou deux personnes qu'il trouvait parfaitement à son goût.
Oh là ! On se calme et on se concentre. Ne rien laisser paraître.
Ils avaient l'air de s'inquiéter à propos de sa santé mentale. Les brides de conversation qu'il avait réussit à comprendre le lui avait bien démontré. Il fallait leur faire croire que tout était normal. Sinon, il savait qu'il allait avoir de gros ennuis.
Il avait reconnu la voix qui venait de parler comme étant celle du docteur Weir. Il se tourna vers elle et tenta de lui sourire. Il y avait bien longtemps qu'il n'avait plus utilisé les muscles qui servaient à faire apparaître cette mimique sur un visage et il espérait que ça ne ressemblait pas à une grimace.
- Vais bien Elizabeth, inquiétez pas vous.
Hum, encore des progrès à faire sur la syntaxe mais c'était un bon début.
- Vous nous en voyez ravis docteur Mckay.
Il tourna la tête vers la jeune femme qui venait de parler.
Teyla, elle s'appelait Teyla. Ok, décidément, la machine ne marchait pas si mal que ça. Il se souvenait des noms de ses amis. Enfin, de ses amis, c'était vite dit, mais il aurait le temps de se pencher sur cette question plus tard.
Le fameux Radek interrompit ses réflexions :
- Rodney, vous nous avez fait une de ces peurs !
- Désolé.
Deuxième tentative de sourire.
- Est-ce que vous ressentez des choses bizarres ?
- Des choses bizarres ?
Le lieutenant-colonel s'avança :
- Je pense que ce que Zelenka veut dire, c'est : est-ce que vous avez ingurgité toute la connaissance des anciens ? Non, parce que si c'est le cas, on aurait bien besoin d'un ou deux E2PZ…
- Colonel !
Elizabeth ne paraissait pas apprécier la remarque du colonel qui se contenta de hausser les épaules.
- Je croyais que tout ce savoir risquait de le tuer ?
Au tour du grand costaud de faire entendre le son de sa voix. Le colonel le regarda d'un drôle d'air puis se tourna vers Mckay :
- Vous savez bien que je plaisante Rodney ! Zelenka et Beckett vont s'assurer que tout va bien et si jamais ce n'est pas le cas, je suis sûr qu'Hermiod vous arrangera ça en un rien de temps.
- Je vais bien. J'ai juste un peu mal à la tête.
Les règles de grammaire revenaient, elles aussi. Bien, très bien, il fallait maintenant sortir d'ici, le meilleur moyen étant sans aucun doute de les rassurer.
- Et je n'ai absolument aucune connaissance issue des anciens, si ça peut vous rassurer.
- Pas même une toute petite ?
- Colonel ! Le docteur Weir le fusilla du regard.
Beckett pris alors les choses en main :
- Vous allez rester en observation quelques heures, le temps de nous assurer que tout va bien. Si je me souviens bien des rapports du SGC que j'ai lu, le général O'Neil n'a pas montré de symptômes immédiatement.
Ah non, pas d'accord ! Il n'allait tout de même pas devoir rester à attendre sagement ici alors qu'il avait des millions de choses à faire !
- Je vous assure que ça va bien. Et j'ai encore du trav…
- Hors de question ! Ordre du médecin. Il se tourna vers les visiteurs. Bon, et maintenant que nous sommes tous rassurés, tout le monde dehors ! Il a besoin de repos et il y a bien trop de monde dans cette infirmerie.
Et zut ! Il allait devoir jouer serré pour pouvoir sortir de là au plus vite. Il avait tellement hâte de pouvoir utiliser son tout nouveau potentiel…
TBC…
Oui, je sais, c'est rageant. Et il va falloir attendre un petit peu pour la suite : elle est pas encore totalement au point. En plus, je vais être quelque temps sans internet (ô rage, ô désespoir,…bon, ok, on l'a déjà faite celle là) Je commence le boulot lundi et j'ai la chance de pouvoir être hébergée sur mon lieu de travail le temps de me trouver un vrai logement. Mais ça signifie pas de connexion internet d'ici un petit bout de temps. Mais à très bientôt quand même ! (Saschka m'hébergera les week end, ce qui signifie post de petit chapitre de temps en temps !)
Biz à vous toutes !
