Merci, merci pour vos reviews !
Finalement, ce chapitre a été bien plus dur à écrire que ce que j'aurai cru. Un énoooooorme merci à Saschka. Elle a beaucoup bossé sur ce chapitre. En tant que secrétaire d'abord, en tant que bêta ensuite. Oui, à l'origine, j'ai écrit ce chapitre (merci mon stylo) sur papier et je lui ai envoyé par la poste. Elle l'a ensuite tapé sur le PC avant de le bêta lire. Elle est pas géniale ma sœur ? Ceci, à l'origine, devait vous permettre de lire ce chapitre avant que je ne retrouve notre PC, ce week end. Sauf qu'après une review de notre sérial-revieweuse notoire, et une discussion avec ma bêta attitrée, une bonne partie du chapitre était à revoir. Entre temps s'est glissé le mariage de ma meilleure amie, j'ai donc pas eu le temps de revoir tout ça plus tôt. Mais voilà enfin la version définitive de mon chapitre 12, avec mention « bon pour postage » apposée par ma bêta ! J'espère qu'il vous plaira. Bonne lecture !
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Rodney attendait déjà dans son laboratoire. Finalement, le fait d'être virtuel avait des avantages. Mais jamais il ne l'avouerait devant Sheppard. JA-MAIS.
Grâce aux caméras de sécurité, il les vit arriver. L'Ancien avait vraiment une mine dépitée. Etrange sensation que de voir son propre visage refléter autant de tristesse. D'un certain côté, il comprenait Tarcos, même s'il lui en voulait d'avoir pris sa place. Sans le lui avoir demandé, qui plus est !
Mais oui, il pouvait comprendre. Que n'aurait-il pas donné pour pouvoir rencontrer les Anciens ! La science est faite pour ça : faire de nos rêves les plus fous une réalité. Et la présence de l'Ancien parmi eux était un fabuleux rêve ! Il voudrait pouvoir lui poser des milliers de questions. Oh, non pas que son génie ne serait pas venu à bout des technologies anciennes. Non, avec du temps, sa formidable intelligence aurait percé les mystères de la science lantienne. Mais qui refuserait une aide pareille ?
Malgré tout, il en voulait à l'Ancien. Ce dernier avait cherché à se faire passer pour lui. Il avait purement et simplement voulu lui voler sa vie. Ca n'était pas rien tout de même. Ce type n'allait pas s'en tirer à si bon compte, foi de Rodney Mckay !
Cependant, pour obtenir ce qu'il voulait, c'est à dire vengeance et informations, il lui fallait garder ce Tarcos sous la main.
Les autres venaient d'entrer dans la salle. Rodney afficha un message sur l'écran de son ordinateur qui était resté branché :
Elizabeth. Nous ne pouvons pas nous contenter de remettre Tarcos dans sa boite et continuer comme si de rien n'était. Nous devons saisir cette opportunité : laissons l'artéfact branché sur notre réseau. Ainsi, Tarcos pourra toujours communiquer avec nous.
- Rodney, vous pensez sérieusement que j'aurai laissé ce pauvre homme dans sa boite de métal ! Bien sûr que nous allons laisser son disque de stockage branché à notre réseau !
Oh ! Très bien. Très, très bien, Elizabeth, ne vous vexez pas !
- Ce n'est pas un peu risqué, quand même ? Demanda le Sétidien.
- Je suis d'accord avec Ronon, dit Sheppard. Notre système informatique contrôle les fonctions essentielles de la cité, dont la porte des étoiles. Nous devrions réfléchir.
Voilà que les militaires se mettaient à réfléchir maintenant ! Mais où allait-on ?
Quitte à réfléchir, messieurs, faites-le jusqu'au bout : pensez à tous ce que peut nous apporter Tarcos. Connaissances, technologies, E2PZ…
Le docteur Weir l'interrompit :
- Je vous demanderai surtout de penser à l'être humain. Comme l'a dit Rodney, nous ne pouvons pas enfermer Tarcos. Ça reviendrait à le condamner à la prison à perpétuité. Et il n'a commis aucun crime méritant pareille punition, que je sache.
Hey ! Minute ! Dois-je vous rappeler que je suis actuellement en dehors de mon enveloppe corporelle !
- Enveloppe corporelle que je m'apprête justement à vous rendre, intervint Tarcos.
- Je pense que nous devrions lui faire confiance, dit Teyla. C'est un Ancien, cela devrait vous suffire.
L'Athosienne avait raison. Non pas que McKay fasse confiance à cet individu, mais il était une source de renseignements potentiels qu'il ne fallait pas laisser passer. Rodney vit que Sheppard et Ronon ne trouvaient rien à redire.
Bon, je peux récupérer mon corps maintenant ?
Radek tendis à l'Ancien l'objet qui l'avait hébergé tant de siècles durant. On aurait dit une sorte de paire de jumelles anciennes. C'était cette forme, ajoutée à la présence d'écrans miniatures à la place des verres qui avaient fait conclure à Rodney qu'il s'agissait d'une « visionneuse » de donnée. Ça et les notes qui accompagnaient l'objet et qu'il avait réussit à traduire. D'après Tarcos, c'était l'usage premier de cet artéfact et, pour y avoir séjourné un moment, McKay savait qu'il contenait vraiment des fichiers de données anciennes.
Il entendit Elizabeth s'adresser à l'Ancien :
- A très bientôt Tarcos. Tout se passera bien.
Et lui ? On ne pensait pas à lui ? Il risquait autant que l'ancien dans cette histoire, si ce n'est plus.
Tarcos s'apprêtait à enclencher l'artéfact quand Radek le stoppa :
- Attendez ! Rodney, vous m'entendez ?
Cette question ! Bien sûr que je vous entends, Radek, au cas où vous n'auriez pas encore compris, je suis dans le réseau ce qui signifie…
- Ce qui signifie que vous n'êtes pas dans l'artéfact.
A l'aide des caméras du laboratoire, Rodney vit que les autres ne comprenaient pas. Lui, si. Et il n'y avait pas pensé. Zut ! Il faudrait encore qu'il remercie Radek. Enfin, peut être pas. Il pourrait toujours prétendre qu'il y avait pensé lui aussi mais qu'il n'avait pas eu le temps de le faire.
Elizabeth demanda :
- Je ne comprends pas, docteur Zelenka.
- C'est simple. Si Rodney est dans le réseau, il n'est plus dans l'artéfact. Et s'il n'est plus dans l'artéfact, alors la conscience de Tarcos se chargera bien dans l'appareil, mais celle de Rodney ne pourra pas réintégrer son corps.
Un éclair de compréhension s'afficha sur les visages des personnes présentes. Sheppard ne put s'empêcher:
- Et alors, monsieur le génie, on a des petits soucis de réflexion? Quitte à réfléchir, autant le faire jusqu'au bout.
Oh, ça va, Sheppard. J'y avais pensé figurez-vous. Je n'ai juste pas eu le temps de retourner dans l'artéfact. Je ne suis un virus informatique que depuis peu de temps, je vous le rappelle.
- Bien sûr, reprit Sheppard, et cela…
- Hum, les interrompit Zelenka. Rodney, vous devriez y aller.
Oui. A tout à l'heure. Carson, je compte sur vous au cas où il y aurait le moindre problème.
- Ne vous inquiétez pas Rodney, je ne bouge pas d'ici.
Retour du noir. Encore. Il n'aimait vraiment pas ça. Comment avait fait Tarcos pour supporter ça ?
Il attendit. Combien de temps ? Il ne put le dire. Difficile de garder la notion du temps qui passe quand rien ne se passe, justement. Vraiment, il se demandait comment Tarcos avait fait pour ne pas devenir complètement fou.
Un flash de lumière apparut soudainement devant ses yeux. Dans le même intervalle de temps, il ressentit une vive douleur au niveau de son coccyx, puis à l'arrière de sa tête.
Mais qu'est-ce qui se passe ?
- ..dney..
Et ça, c'était quoi ?
- …odney…va ?
Oh ça y est. Eclair de génie. Ce stupide ancien n'a même pas pensé à s'asseoir avant d'actionner l'artéfact ! Génial. Il allait avoir des bleus et une bosse à l'arrière du crâne. Il faudrait qu'il dise à l'Ancien sa façon de penser quant à sa manière de prendre soin de son corps.
Un homme de mon intelligence, ça se respecte, tout de même !
- Rodney, vous m'entendez ? Ouvrez les yeux. Equipe médicale demandée au laboratoire de physique.
McKay ouvrit les yeux en grimaçant :
- Ne vous donnez pas cette peine, Carson, je vais bien. Enfin, si on veut.
- Ah! Enfin vous répondez. Vous allez bien ?
- Vous êtes sourd ou quoi ? Je viens de vous dire « si on veut », ce qui veut dire en langage clair : non, ça ne va pas.
- Rodney…
- Oui, Quoi ! Je viens de m'étaler de tout mon long sur le sol de ce laboratoire. Pensez-vous que cela fasse mal ? Et bien moi je vous le dis : ça fait TRES mal !
- Je sais. Vous allez venir à l'infirmerie avec moi.
- Est-ce vraiment nécessaire ?
Il posait la question pour la forme. Il savait qu'il devait aller à l'infirmerie : la chute avait peut être provoqué un traumatisme crânien important et peut être était-il en train de faire une hémorragie interne.
- Oui Rodney, je veux être certain que tout va bien cette fois.
McKay fut installé sur un brancard arrivé là avec l'équipe qu'avait demandé Carson. Mais avant de s'en remettre aux bons soins de son ami, il voulut tout de même savoir :
- Radek ? Ça a marché ? Je veux dire, pour Tarcos ?
- Je ne sais pas. Il ne s'est pas encore manifesté.
- Alors faites en sorte de le contacter vous-même. Faut-il vraiment que je fasse tout ici ?
Avant que les brancardiers ne l'aient fait quitter les lieux, Rodney put entendre le colonel Sheppard s'adresser aux personnes encore présentes dans le laboratoire.
- En tout cas, une chose est sûre : ça, c'est McKay. Ce sale caractère est inimitable !
- Je vous ai entendu colonel et je ne vous permets pas !
Le Canadien allait envoyer une réplique bien sentie à l'Américain mais l'équipe de Beckett venait de l'emmener hors de portée de voix de Sheppard. Qu'importe, celui-ci ne perdrait (1) rien pour attendre. Un sale caractère, lui ! Non mais vraiment n'importe quoi. Le génie était vraiment incompris dans cette cité.
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McKay était allongé dans le lit que lui réservait son ami Carson. Quarante huit heures d'observation. Rien que ça ! "Juste pour être certain qu'il n'y a pas d'effets secondaires indésirables".
Tu parles !
L'écossais était simplement rongé par la culpabilité de n'avoir pas vu qu'un Ancien avait pris possession du corps de son ami. Et Carson soignait cette culpabilité en redoublant d'attentions médicales alors que Rodney se sentait parfaitement bien.
McKay vit Zelenka arriver à pas feutrés dans l'antre de Beckett.
Ah! Tiens. Un peu de distraction !
Rodney s'adressa au Tchèque d'un air moqueur :
- Radek ! Que me vaut l'honneur de votre visite ? Vous ne pouvez pas vous passer de moi, hein ? Qu'est-ce qui se passe ? Quel est le problème ?
- Il n'y a aucun problème, Rodney, tout va bien.
- Ah! Oui ? Fit le Canadien d'un air un peu déçu.
Il avait espéré qu'une bourde de ses subordonnés l'oblige à quitter l'infirmerie pour remettre les choses en ordre. Raté !
- Je vous apporte votre ordinateur. Tarcos voudrait pouvoir vous parler.
Radek semblait extrêmement mal à l'aise : il évitait de croiser le regard de Rodney. Exactement comme l'avait fait Carson après que…
Oh, non. Surtout, pas ça ! N'y pense pas Rodney, n'y pense pas ! Il ne s'est rien passé du tout.
- Radek ?
- Oui ? dit le Tchèque, toujours sans le regarder.
- Quoi qu'il se soit passé avec l'Ancien, je ne veux pas en entendre parler, c'est bien compris ?
Il avait employé à dessein un ton plus menaçant que nécessaire. Radek était son subordonné et il ne pouvait pas se permettre de perdre son autorité et sa crédibilité vis à vis de lui.
- Rodney, j'ai bien compris que ce n'était pas vous qui…
- Tttt ! Qu'est-ce que je viens de vous dire ?
- Ok, ok, comme vous voudrez, soupira Zelenka.
Le Canadien se saisit de l'ordinateur que lui avait apporté son collègue et lui demanda :
- Autre chose ?
- Non.
- Alors qu'est-ce que vous faites encore ici ?
Le scientifique Tchèque ne sut que répondre et partit en grommelant quelque chose que Rodney ne comprit pas. Il fut un instant tenté de le rappeler pour entendre en face ce qu'il avait à lui dire. Mais un message venait d'apparaître sur l'écran et il choisit de se focaliser sur lui plutôt que sur l'apprentissage de nouveaux jurons tchèques.
Bonsoir docteur McKay. Comment vous sentez-vous ?
- J'ai extrêmement mal la tête si vous voulez savoir.
Désolé.
- Désolé ? C'est tout ce que vous trouvez à dire !
Et que voulez-vous que je vous dise d'autre ?
- Vous avez essayé de me voler mon corps, de vous faire passer pour moi auprès de mes collègues, quant à ce que vous avez fait à Zelenka, je ne veux même pas le savoir. Mais, pire que tout, vous ne paraissez pas le moins du monde désolé de m'avoir enfermé dans votre base de données !
C'était la seule solution.
- D'accord, mais laissez-moi vous posez une question. Que se serait-il passé si je n'avais pas réussi à contacter les autres ? Hein, dites-moi ?
Le message mit du temps à s'afficher.
J'avoue que je n'en sait rien.
- Quoi, et c'est tout ? « Vous n'en savez rien » ? Vous croyez que je vais me contenter de ça ?
Là encore, Tarcos mit du temps avant de répondre.
Honnêtement, je crois que je vous aurais laissé dans l'artefact.
Rodney crut s'étouffer.
Quand j'ai échafaudé mon plan, je comptais sur le fait que je pourrai me faire passer pour la personne qui aurait trouvé l'artefact. Cela m'aurait laissé le temps de découvrir votre expédition et de voir si les sacrifices que j'avais faits en valait le coup.
Rodney ne put s'empêcher de l'interrompre d'une voix offusquée :
- Mais c'est du meurtre !
Vous exagérez. Vous n'êtes pas mort que je sache. Et je suis loin d'être idiot. Je savais parfaitement que je ne pourrai pas donner le change éternellement. Mais je devais tenter le coup tout en me protégeant. Je connaissais Elizabeth mais je n'avais finalement aucun moyen de savoir comment je serai accueilli par vous autre. Et je vous rappelle que je n'ai pas fait de difficultés pour vous rendre votre corps.
Rodney ne savait quoi répondre. Entre lui rappeler l'immoralité de son acte et le manque d'honnêteté dont il avait fait preuve en usurpant son identité, son cœur balançait. Finalement, il lui demanda :
- Si vous étiez conscient de ne pas pouvoir rester « en chair et en os » parmi nous, pourquoi faire ça ? Vous auriez pu partir avec les autres. Vous seriez un ascensionné aujourd'hui.
L'ascension ? Non merci. Je la leur laisse volontiers. Et je vous l'ai déjà dit, mon seul but était de vous rencontrer.
- Bien sûr. Vous avez renoncé à tout ce que vous aviez pour simplement nous dire bonjour.
Vous ne pourriez pas comprendre.
- On parie ? Je suis quelqu'un de très intelligent, vous savez.
Très intelligent vous dites ?
Un texte qui s'affiche sur un écran, ça n'a pas d'intonation. Pourtant, McKay aurait juré que l'Ancien se fichait de lui.
Vous semblez pourtant buter sur un problème de taille niveau technologie Lantienne.
Le doute n'était plus permis : ce type se payait sa tête.
- Ah oui ? Et de quel problème parlez-vous monsieur l'Ancien ?
Arrêtez de m'appeler « monsieur », je suis plus jeune que vous.
- Etre âgé de dix milles ans, vous trouvez que ça fait jeune ?
J'en vais vingt-neuf quand je me suis transféré dans ma base de données. J'ai fait le calcul en années terriennes, bien entendu. Pour en revenir à ce que je disais, je voulais parler des E2PZ.
Le visage de Rodney s'illumina. Bon, ok, il devait se venger de ce type. Mais cela pourrait attendre. Là, il était question d'E2PZ. On ne plaisante pas avec ces choses-là. Il prendrait sa revanche plus tard. Il demanda, plein d'espoir :
- Vous savez où en trouver ?
Mieux que ça, docteur McKay. Je vais vous aider à en fabriquer un.
Rodney resta bouche-bée devant son ordinateur. Fabriquer un E2PZ ? Ils allaient pouvoir fabriquer un E2PZ ? Mais c'était le plus beau jour de sa vie ! Un flot d'image se mit à tourbillonner dans sa tête : porte des étoiles, boucliers, armes contre les Wraiths…
Docteur McKay, Vous allez bien ?
Rocney, perdu parmi toutes les applications qu'offrait une telle source d'énergie mis du temps avant de voir que Tarcos s'adressait à lui.
-Oh Oui ! Je vais même très bien.
Il posa son ordinateur sur le bord de son lit, retira délicatement la perfusion que Carson avait tenue à lui poser et ôta les électrodes qui le reliaient aux différents moniteurs. Des bips stridents retentirent aussitôt, mais Rodney n'y prêta pas la moindre attention. Il cherchait un bout de sparadrap pour son bras meurtri par l'aiguille de la perfusion.
Docteur McKay ?
- Nous n'avons pas de temps à perdre. Vous allez me montrer comment…
Il fut interrompu par l'arrivée d'une tornade de blouses blanches à la tête de laquelle se trouvait un Carson Beckett affolé.
- Rodney ! Mais qu'est-ce que vous faites !
Tout en recouvrant son bras d'un pansement qui aurait caché une plaie de cinq bons centimètres de long, le-dit Rodney répondit au médecin.
- Ah ! Carson. Je regrette d'avoir à vous quitter si vite mais j'ai à faire.
Le Canadien posa une tape amicale sur l'épaule de l'Ecossais et sortit de l'infirmerie avant qu'on ne l'arrête, son PC Portable sous le bras …
TBC…
Alhenorr, c'est après que ma sœur m'ai lu ta review par téléphone que je me suis aperçue que dans la première version de ce chapitre, Rodney pardonnait beaucoup trop facilement à Tarcos. Je l'ai donc revue en fonction des remarques très justes que tu m'avais faites. Merci à toi !
Comme quoi, les reviews ne servent pas qu'à flatter l'ego des auteurs…
A bientôt pour la suite. Encore merci Saschka !
1. Alors, j'ai appris quelque chose aujourd'hui, je me coucherai moins bête ce soir. On dit « il ne perd rien pour attendre » et non pas « il ne paye rien pour attendre », comme je le croyais jusqu'à maintenant. On a cherché dans le dico avec Saschka car elle me soutenait qu'on disait « perd » et moi, je lui soutenais le contraire. And the winner is Saschka !
