Réponses aux reviews :

Chrisanimefan : Merci ! J'espère rester tout aussi «surprenante» !

Pitchounette : J'ai jamais su comment ça s'écrit «kryptonic»… Sinon, tu es prête à parier qui est la plus dingue de nous deux ? Attention, va y avoir du sport !… : S'élançant au-delà des nuages, dans un gigantesque éclair de lumière bleue, Sevy junior traversa le ciel, dépassant des océans de cumulo-nimbus. Face à lui, se dressait les nuages noirs de la Tempête, serviteurs zélés du Seigneur des Ténèbres. Ils vomissaient des torrents d'horreur, ensevelissant sous leurs ombres un pays de désolation, où la famine et la peur étaient sœurs de la Mort souveraine. Ils virent le Super-Bambin surgir vers eux. Ils s'armèrent donc de leurs plus folles imprécations diaboliques, près à dégorger leur violence sur l'enfant. Mais Sevy junior, de sa cape de pourpre, sortit sa baguette d'ivoire et la pointa vers les nuages de l'épouvante. Il ajusta son tir et… La suite au prochain numéro…

Nardy : J'avoue, j'ai mis du temps à capter le calembour : m'étreint/ train… Je sais, je suis un peu à la masse parfois… A part ça, il paraît que je suis sadique ? Nooon ! Mais non ! Faut pas croire les rumeurs ! ;-)

Dragounette : J'en ai pas fini avec la chère famille de Severus (preuve à l'appui avec une petite allusion dans ce chapitre)… Concernant Bella et l'imperium, je sais pas… Je pensais m'arrêter là avec elle… Quoique… Oh, allez, je vais y réfléchir !

Gothikadithounette (normalement, je n'ai oublié aucune lettre…) : (chap 10 et 11) … Gothika, ma grande ! Contente de te revoir dans le coin ! Alors, concernant le chapitre 8, j'ai vérifié et il y a la fin sur le site a priori, donc… Mais si tu n'a pas pu le lire en entier, je peux te l'envoyer par e-mail… Bella n'est pas amoureuse de Sirius, mais de Severus (si, si… et moi aussi d'ailleurs je le suis). Et oui, c'est une grande tragédienne !

Oxaline : Plus de Draco et d'Harry ?… hum… Je crois qu'ils sont présents pour ce chapitre…

Minerve : Ca, c'est sûr, Voldemort n'aurait pas été content… Mais bon, plus de peur que de mal pour Severus ! En fait, je n'étais pas très satisfaite de la crise de jalousie de Bella. Alors, comme ça m'agaçait, j'ai tourné ça en tragédie racinienne, c'est-à-dire avec des mots comme «cruel !», «je souffre de t'aimer !», etc. (mais ce n'est pas une critique de Racine, car j'aime bien Phèdre par exemple !)

Bonne lecture !

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Chapitre 11 : Jusqu'à minuit, à la St-Sylvestre

Subrepticement, l'élève, encapuchonné dans sa robe de sorcier, se faufila parmi les groupes d'étudiants se rendant dans la cour pour assister à un feu d'artifice. Il réussit à rester en arrière de la cohue et, sans que personne ne s'en rende compte, il fit promptement demi-tour et quitta la foule. Avec empressement, il se précipita au premier escalier venu, monta au troisième étage, réfléchit, vérifia qu'il avait bien la fiole bleue, puis gravit un étage de plus.

Il arriva dans un couloir très sombre.

«Lumos !»

Une douce clarté sortit de sa baguette. Il observa les portraits qui le fixaient avec des yeux endormis depuis leurs murs. Après avoir fureté en vain, il trouva celui de Faye Nordebrook, une sorcière borgne, à qui il manquait également le nez et les oreilles.

«Que me veux-tu, morveux ? cria le portrait de la femme à l'élève.

- La ferme, vieille peau !»

Puis, sans plus faire attention aux imprécations de la mégère, l'élève murmura une formule qui fit pivoter le portrait sur lui-même, découvrant ainsi une pièce. Et dans cette même pièce, attendait un autre garçon, à qui il exhiba, triomphant, la fiole bleue.

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«Severus, bon sang, il est onze heures du soir ! Lâche tes chaudrons et tes bocaux d'yeux moisis ! … Tu voudrais pas aller voir le feu d'artifice par le plus grand des hasards ? … Tu réponds pas ? Bof, de toute façon je sais que tu dirais «non»… Merlin, qu'est-ce que c'est encore ?!»

Anxieux et dégoûté, Sirius se pencha vers le bocal que venait de poser près de lui Severus ; il lut sur l'étiquette : «Foie de mandragore, 30 ans d'âge». Réprimant et un soupir de lassitude et une nausée envahissante, Black cocha donc, sur une liste, la case du foie de mandragore.

«Tu sais… Ne prends pas mal ce que je vais dire ! … Mais il faut que tu comprennes que bien que nous soyons amants, on a le droit de se garder quelques petits… «trucs» pour soi ! Sans se sentir obligé de faire partager l'autre…

- Je croyais que tu voulais une fusion parfaite entre nous ? le taquina cyniquement Severus.

- Cela n'inclut pas les soirées de réveillon à faire l'inventaire de tout ton stock !! Je dis pas que je veux pas t'aider, c'est faux ! D'autant plus que je me suis proposé tout de suite… Mais nous sommes le 31 décembre, il est 23h, dans vingt minutes débutera le feu d'artifice pour la nouvelle année, et… et voilà que nous sommes cloîtrés dans les cachots à faire l'inventaire de ton attirail répugnant !

- C'est pas répugnant…»

Attrapant un nouveau bocal dans son armoire, Severus le posa devant Sirius, qui lut sur l'étiquette : «Furoncles pré-cuits de sprout à pétard».

«Pas répugnant, hein ? fit Sirius en cochant la case des furoncles sur sa liste.»

Severus, qui s'activait sans s'arrêter depuis une heure déjà, stoppa net devant une étagère, la main sur la hanche en une attitude perplexe.

«Et puis, continuait Sirius. Ca me fout les jetons tous ces bocaux que tu gardes pour tes potions… Sérieux, ça donne encore moins envie d'y goûter… De temps en temps, je ne peux même pas m'empêcher d'imaginer que je trempe moi aussi dans du formol, à l'instar de tes yeux de dragons et de tes cœurs de chauves-souris, et que tu me regardes en te demandant à quelle potion tu vas me marier… A propos de mariage, je…

- Tiens, c'est étrange…

- Quoi donc ?

- Je croyais avoir rangé mes écailles de basilic sur cette étagère et elles n'y sont plus…»

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Ils avaient chauds, si chauds déjà. A demi plongée dans l'obscurité, la pièce n'était éclairée que par le feu ronflant d'une cheminée. Et la chaleur ne cessait de monter…

En tremblant, Draco parvint à retirer son t-shirt et enlaça tout aussitôt Harry dans ses bras. Torse contre torse, leur peau nue les irradiait l'un et l'autre. Les yeux mis-clos, ils se volaient des baisers furtifs et maladroits ; ils étaient trop empressés et par conséquent ils semblaient bégayer leurs caresses : elles étaient nerveuses, mais cependant pas hésitantes, osant au contraire tous les délices de l'érotisme. Draco sentit une main fureter dans ses cheveux et bientôt une bouche vint emprisonner ses lèvres. Il y répondit en mordillant cette bouche de ses dents.

Sans s'en rendre compte, Draco plaqua Harry au mur, sans pour autant arrêter leur baiser. Et toujours leurs mains vagabondaient, incapables de se fixer à un endroit tant elles avaient hâte de découvrir d'autres voluptés. Cela attisait efficacement leur chaleur, qui leur déclenchait des frissons dans leurs veines, gonflant leur ardeur et augmentant leur envie.

Languissamment furieux et fiévreux, ils se débarrassèrent de leurs sous-vêtements, en effleurant au passage le plaisir douloureux qui les pressait.

Parcourant le cou d'Harry, Draco l'embrassa au creux de la clavicule. Le Gryffondor, tâtonnant maladroitement tout en gémissant de plaisir, parvint à glisser vers le lit, où il se laissa tomber sur le dos, entraînant avec lui Malefoy. Ce dernier, s'allongeant sur lui, l'embrassa à nouveau, ses deux mains encadrant le visage de son amant.

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«Il ressemblait à quoi ce bocal ?

- C'était une fiole bleue.

- Ouais… Ben, a priori, ça devrait être visible.

- Oui, mais comme je te le dis, elle n'est nulle part.»

Pestant contre les élèves, toujours à chambouler sa classe, et contre Peeves, toujours à voler tout ce qu'il trouve, Severus entreprit de fouiller pour la énième fois ses différents coffres et ses armoires. Sirius, lui, avait déposé la liste des ingrédients sur ses genoux et le regardait faire, un air de tranquille philosophie relativiste sur le visage.

«Severus, il est tard… Nous sommes fatigués, tous les deux ; allons-nous coucher et demain tu auras les idées plus claires pour trouver ta fiole…

- Et non, soupira Rogue en refermant un dernier coffre. On me l'a volée cette fiole… Il n'y a pas de doutes là dessus…

- Bon, bah, raison de plus pour aller se coucher… Tu ne vas aller fouiller les élèves maintenant pour découvrir le voleur, n'est-ce pas ?… Hum ?… Donc ça ne sert à rien d'en faire plus ce soir…

- Tu plaisantes ? La liste des ingrédients est encore longue…

- Tu m'exaspère.

- Pardon ?

- Non, rien… Ch'uis las, c'est tout…»

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Draco se retira d'Harry en un soubresaut mal assuré, tandis que Potter exhalait un dernier soupir d'extase. Soufflant, le Serpentard se laissa aller sur le ventre à côté du Gryffondor, alors que ce dernier se redressait vivement pour s'étendre sur le dos du blond. Draco crut sentir un picotement, un déchirement lorsque Harry le pénétra. Puis, il ressentit un bien-être inconcevable, le même que celui qu'il éprouvait en possédant Potter : la sensation de ne faire qu'un avec son amant, d'être une seule chaire, un seul élan de douleur et de plaisir transfiguré.

Lentement, Harry allait et venait, s'enfonçant toujours un peu plus, de plus en plus pressé et empressé. Et à chaque fois qu'il poussait fort, s'ajustant toujours mieux à Draco, le Serpentard arquait les hanches, sa tête bouillante enfouie dans l'oreiller.

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«Et maintenant, c'est l'extrait de sang de putois qui me manque !

- Oh ! Allez, c'est pas une perte !

- Tu plaisantes, j'espère ? C'est un de mes ingrédients principaux et… Que ?! Il ne me reste plus de colchiques non plus !!

- Kézako ?

- Des plantes d'automne vénéneuses.

- Tu as des plantes vénéneuses pour faire tes potions ?!

- Tu découvres d'un seul coup ? Espèce d'ignare !»

Sirius fronça les sourcils, mais ne dit rien. En fait, il était plutôt amusé par le manège de Severus, qui n'arrêtait pas de jurer comme charretier depuis vingt minutes. De désespoir rageur finalement, le directeur de Serpentard finit par s'effondrer sur une chaise en se prenant la tête dans une main.

Un éclair les fit sursauter tous les deux et se retourner vers la petite lucarne, qui faisait figure de fenêtre. Sirius alla l'ouvrir et se hissa pour voir au dehors.

«C'est le feu d'artifice ! dit-il réjoui. Allez, Severus, on y va ! Ca te changera les idées !

- Non, merci, répondit sèchement le professeur de potions.

- Severus, tu es vraiment…»

Sirius recula soudain en poussant un cri, manquant de s'étaler parmi les bocaux qui recouvrait les dalles du cachot.

«Petit cabot imbécile ! rigola Severus. Ce ne sont que des hiboux !

- Ah, parce que tu estimes que c'est une heure pour distribuer le courrier ?! râla Black.»

D'un œil noir, il vit les deux volatiles qui l'avaient effrayé entrer dans la pièce et se poser sur le bureau pour lâcher leurs lettres, puis répartir tout aussi vite. Vivement, Sirius referma la lucarne, comme pour enfermer tous les bestioles à plumes dehors. Puis il regarda les enveloppes avec curiosité. Une était pour lui, ce qui l'alarma un peu : qui donc pouvait savoir qu'il se trouvait à Poudlard ? L'autre lettre était pour Severus, et Sirius crut reconnaître une écriture de femme : ce détail le piqua inconsciemment à vif.

Distraitement, il donna à Severus son courrier et ouvrit le sien : il le relut plusieurs pour être sûr d'avoir tout saisi. Révision du Procès… Hum ? Révision du Procès ?! On allait revoir son cas en justice ?! Et… un instant… Une possible réhabilitation ?!… heu… Une possible réhabilitation, suite aux témoignages de plusieurs témoins, dont des Aurors réputés, se portant garant de l'honorabilité et de l'honnêteté du prévenu… blablabla… En conséquence, le sieur Sirius Black, est sommé de se présenter à une audience exceptionnelle, qui se tiendra le 15 mars prochain, durant laquelle messieurs les jurés de la Cour de Justice Magique statueront sur son sort et débâteront sur son éventuelle innocence. Veuillez agréer

Sentant son pouls battre la chamade, Sirius sera fort dans son poing la missive. Enfin ! Depuis tout ce temps, après tant d'années à Azkaban, on allait reconnaître l'erreur gravissime qui avait été commise à son encontre ! Qu'importe dès lors comment on avait su où le trouver, si le résultat en était bénéfique !

Le visage radieux, il se tourna vers Severus, qui était toujours penché sur sa lettre, l'air triste et inquiet. Insouciant, Sirius vint se pencher par-dessus son épaule. Il eut tout juste le temps de lire le nom de la signature, «ta Léo», avant que Severus ne se retourne brusquement vers lui.

«Qui est-ce cette Léo ? demanda Black avec toute l'innocence du monde.

- C'est… – Severus le regarda intensément avant de répondre. – ma sœur.

- Ta… ?!»

Pour le coup, Sirius en oublia sa lettre, trop étonné par cette révélation : «Mais… On n'a jamais su… Elle n'allait pas à Poudlard ?

- Elle a dix ans de moins que nous, Sirius… Quand elle est arrivée à Poudlard, nous avions fini nos études… Elle s'appelle Léonine.

- Et… Comment va-t-elle ? Tu la vois souvent ?

- Oh ! – Severus agita un peu la feuille entre ses doigts. – Pour aller bien, elle me certifie que «tout baigne», comme elle dit… Mais, sinon, je ne la vois pas souvent…

- Pourquoi ?»

La voix de Rogue se fit amère, et un sourire figé et artificiel vint pincer ses lèvres : «Elle se cache à cause de ses activités… Tout comme moi, elle est espionne… Mais son travail ne consiste pas à s'infiltrer chez les Mangemorts. Non, elle… Elle a pour mission de… dynamiter leurs actions. C'est-à-dire en les faisant échouer ou en… Hum !… en tuant leurs exécutants… Tu comprends qu'un tel métier nécessite de la discrétion et c'est pourquoi je ne l'ai pas revu depuis des années maintenant… De temps en temps, elle m'écrit une carte, mais moi-même je ne peux évidemment rien lui envoyer…

- C'est triste… Je suis désolé.

- Non, fit Severus en secouant la tête comme pour se dégager l'esprit de la tristesse. C'est comme ça… Et toi, quelles nouvelles ?

- Oh ! Ca !… Je dirais que, selon toutes les apparences, les nouvelles ne sont pas mauvaises…»

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A nouveau, Malefoy emplit Harry de son extase et de sa joie : en s'arquant, prenant appui sur les épaules de Potter, il s'enfonça profondément en un denier spasme, puis retomba sur son amant, qui l'enlaça de ses bras et des jambes. Tous deux respiraient forts, exténués par leurs jeux qui duraient depuis une heure maintenant.

A tour de rôle, ils s'étaient aimés comme jamais, poussant la jouissance à son paroxysme le plus aigu, se plaisant à se déchirer par leurs joutes physiques, attentifs à offrir à l'autre le maximum de leurs pulsions orgasmiques. Par là, ils affirmaient leur amour mutuel, qui, bien que leur paraissant encore un peu incongru, avait mis bas les frontières qui jusqu'à maintenant les séparaient et les rendaient ennemis. A présent, rien ne comptait plus, hormis leur recherche personnelle de leur propre existence dans l'extase de l'autre. Quitte à se faire mal, quitte à se haïr plus tard à cause d'une trop intense intimité, ils avaient décidés d'aller au bout de leur fantasme subi, d'en explorer chaque partiel de plaisir pour en jouir à y brûler leur jeunesse.

A y détruire ce qui jusqu'à maintenant avait constitué leur vie…

Et ils allaient en profiter tant que leurs corps et leurs esprits le leur commanderont. Car ils étaient libres dans leurs ébats, et avaient le sentiment de s'affranchir d'un monde qui leur pesait ; parfois, avec ironie, ils plaisantaient entre eux à ce sujet, disant qu'ils étaient le parfait exemple de ce que réclamer le Choixpeau magique : la réconciliation au-delà des classes, au-delà du clivage Serpentard/Gryffondor. Ce qui, à défaut de les enorgueillir, les faisait rire doucement sous cape, comme d'une espièglerie inventée entre copains.

Heureux, Malefoy serra un peu plus contre lui Potter, à tel point qu'il put attendre les battements de cœur forcenés du Gryffondor. Le blond ressentit alors une dureté contre son ventre.

«Harry ! gronda-t-il. Tu es infatigable !

- Navré, s'excusa faussement Potter. Mais je crois avoir bu un peu plus de potion que toi… Tu n'as qu'à en reprendre !

- Merci, mais là je suis crevé … Et puis, je te ferai remarquai qu'on n'a plus de sang de putois, ni de colchique. Il ne nous reste plus que quelques écailles de basilic. Et encore… la fiole me semble vide.

- Quoiqu'il en soit, c'était efficace comme potion ! Je me sens d'ailleurs encore extrêmement vigoureux !

- Ouais, je le sens. Mais je suis plutôt fatigué, comme je te dis…

- Pas de «mais», hypocrite ! Tu ne veux pas me laisser dans cet état, non ?… Au fait, où as-tu trouvé cette merveilleuse recette de potion aphrodisiaque ?

- Tu vas rire… Je l'ai recopié d'une note de mon père… Il l'avait parmi plusieurs papiers dans son bureau. Je m'amusais à fouiller…

- Tu ne crois pas que c'est Rogue qui lui a donné ça ?

- Possible… En tout cas, il faudra penser à remercier notre cher professeur de potion pour nous avoir laissés prendre ce dont on avait besoin dans sa réserve !»

Harry laissa fuser un rire et renversa Draco sous lui. Pour l'embrasser encore, égale en fougue, et d'ardeur pas moins vive : «Bonne Année, mon serpent adoré !

- Bonne Année, Saint-Potter ! railla Draco avec un sourire.» Mais son rire moqueur mourut dans sa bouche en un râlement de douleur bienfaisante lorsque Harry, pour se venger, le pénétra sans plus de délais, brusque et fort. Les unissant à nouveau, comme pour toujours, avec l'envie que cela dure toute la nuit, et même au-delà.

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J'aime bien le prénom Léonine, mais ne me demandez surtout pas pourquoi...

Sinon, petit sondage : Vous aimeriez quel sexe pour le bébé ? Garçon ou fille ? Fille ou garçon ? (sachant que j'ai déjà mon idée là-dessus, c'est plus une curiosité qu'autre chose de ma part...)

A vous les reviews !