Parfait petit soldat
Auteur : Azanielle ! C'est-à-dire moi ! lol
Série : GW ! Sa vous devez être au courant.
Disclaimer : Y sont pas à moi. Et de toute façon je ne pense pas que je pourrais tous les caser chez moi.
Genre : donc je répète mon petit speech Angst, romance yaoi.
Petite note : alors voila le chapitre 1 un tout tit peu en avance. Celui si sera plus long que le précédent. Mais je dois avouer que je ne le trouve pas super. Et bon, il est un peu moins gore que le prologue aussi. Enfin on verra bien se que vous en pensez. J'espère tout de même qu'il va vous plaire.
Et maintenant le plus important…
Réponses aux reviews. Et ze suis contente. Je ne pensais pas en recevoir plus de deux au grand maximum. Vu que je suis nouvelle dans le monde merveilleux des fictions, je me disais que personne ne me laisserait de message, parce que c'était trop nul. Mais pour l'instant sa à l'air de plaire. Donc merci à vous.
Miss parker : hm, bon, ok, je le fais souffrir le pauvre Heero. Mais c'est parce que je l'aime. Lol. Et puis la fic ne sera pas noire à longueur de temps. Enfin bon peut être que si. Lol. Sur ces belles mais courtes paroles je te laisse lire la suite.
Kaorulabelle : tu voulais la suite, et bien la voila
Mag : alors la je dis MERCI. Ta review ma fais super mega plaisir. Je suis contente que le prologue t'ais plu. C'est fou se que sa m'angoisse l'attente, entre le postage et la première review. Alors de savoir que sa à plu au moins à une personne sa fait vraiment plaisir. En espérant que la suite te plaira tout autant.
Katoru87 : bon, par où commencer. Quand tu me dis que c'est trop court pour se faire une idée, tu n'as pas tord, mais ce n'est qu'un prologue. Sa m'a juste servi à donner un point de départ à toute cette histoire. Bon, ok, c'est vrai aussi que pour l'instant on se sait rien de se qui se passe réellement. Mais comme tu en as si bien fait la remarque, sa fait partit de l'intrigue. Si je te donnais les réponses maintenant sa ne serait franchement pas drôle. Et je ne sais pas si la suite sera quelque chose de réussi. Je fais de mon mieux et j'attends toujours des critiques constructives qui m'aideront à m'améliorer.
Et dernière petite chose : j'aime faire souffrir Heero. Et tout comme toi, sa ne se manifeste qu'avec lui. (lol). Je crois que je suis tout aussi sadique que toi.
Bon j'arrête mon blala et je te laisse lire la suite, en espérant que tu ne seras pas déçu
Shinigamie Yui : tu veux une suite ? La voici, la voila. Merci à toi pour ta petite review qui m'a fais plaisir. C'est vachement valorisant pour mon ego de savoir que tu adores. Lol
Black Sharne : c'est vrai que sa parait gratuit au premier abord. Mais tu comprendras par la suite de quoi il en retourne. Les réponses viendront en temps voulu. Ne t'en fais pas.
Je trouve facile aussi de retranscrire les sentiments de Heero. Par exemple je trouve sa beaucoup plus difficile avec Trowa.
Enfin bon, voila la suite, et je te souhaite une bonne lecture.
Encore une fois merci pour vos reviews. J'espère que le chapitre 1 vous plaira. Bisous.
Chapitre 1
Recherche (ou comment trouver un titre)
Au début aucun d'eux n'avaient comprit. Heero avait disparut sans laisser la moindre trace. Celui qui avait promis d'apprendre à vivre comme un adolescent normal n'était plus parmi le groupe uni qu'ils formaient. Alors pourquoi avait il disparu ?
Ne voulait il plus de leurs amitié qu'il semblait pourtant apprécier ? Croyait il qu'il ne pouvait pas vivre normalement enfin de compte ? Qu'il n'était bon que pour faire la guerre ?
Mais Heero ne serait pas parti sans le prévenir. Trowa le savait. Car Heero le lui avait promis et Heero tenait toujours ses promesses.
Le français ferma les yeux et s'appuya sur le dossier de la chaise en soupirant. Cela faisait des heures qu'il se trouvait devant cet ordinateur. Combien de temps était il resté ici à chercher le moindre indice leurs permettant de trouver une piste ? Il ne les comptait plus. Mais il n'abandonnerait pas. Pas avant de l'avoir retrouvé, vivant…ou mort !
Doucement emporté par la fatigue ses pensées dérivèrent vers les quelques mois ou il avait été détendu et heureux.
Trowa lisait tranquillement un livre sur une chaise longue de la terrasse de l'une des nombreuses demeures de la famille Winner. Ce dernier les avait invité à prendre quelques vacances ensemble. La guerre était terminé et chacun d'entre eux avait besoin de prendre un peu de recul par à port à tout ce qu'avait été leurs vie.
C'est donc loin de toute habitation qu'ils se ressourçaient. Dans le calme le plus total. Même Duo qui ne tenait jamais en place et qui avait besoin d'activité semblait apprécier cet éloignement.
Se jour là, il faisait un temps radieux. Le printemps s'annonçait doux et chaleureux. Alors qu'il tournait la dernière page de son bouquin, Heero vint tout naturellement s'assoire sur la deuxième chaise longue, à ses cotés.
Pendant un long moment, rien ne brisa leur silence. Heero se contentait de fixer La piscine dans laquelle s'amusaient joyeusement la pile électrique et l'ange blond. Du coin de l'œil il le vit lentement détourner le regard vers la gauche, en direction de Wu Fei qui semblait méditer dans un coin.
Il les observa longuement.
« Hé Fei, vient te baigner » cria alors Duo.
« C'est Wu Fei Maxwell » riposta immédiatement le chinois par habitude.
« Fei Fei ? »
« Maxwell » grogna celui si.
« Fei Chou ? »
Et à la plus grande surprise des cinq anciens pilotes le chinois sans prendre la peine de se dévêtir se jeta à l'eau pour noyer son ami. S'en suivit une bataille 'un contre un' et d'un arbitre qui tenta de calmer les participants.
Puis un éclat de rire, qui se propagea comme le vent. Bientôt tous les protagonistes riaient à gorge déployée.
Trowa n'avait pu empêcher un sourire poindre sur ses lèvres. Un sourire franc et apaisé. Il se sentait bien et enfin il se disait que maintenant il pourrait profiter un peu de ce bonheur qu'on lui avait tant refusé. Et c'est tout naturellement qu'il observa la réaction du Japonais.
Celui si ne riait pas. Ne souriait pas. Il s'était contenté de fermer les yeux et de pencher sa tête sur le coté, s'imprégnant de leurs rires et de leurs joies. Il donnait l'impression d'écouter une douce mélodie que rapportait la petite brise.
Alors pour la première fois, Trowa vit enfin le soldat sourire.
Un vrai sourire.
Effacer l'image du soldat parfait.
Juste l'enfant qui se cache derrière se masque.
L'enfant qui doucement sort de sa cachette.
Et cela ne faisait que rajouter à sa beauté. Car Heero était beau, beau à mourir.
« Trowa ? » appela t'il alors !
Ce dernier se tourna franchement vers lui, de façon à pouvoir le regarder droit dans les yeux.
« Est ce que c'est sa vivre ? »
Une simple question.
Une simple demande.
Une envie de comprendre.
Le besoin de savoir.
Le désir de d'apprendre.
Trowa lisait tout sa dans ses yeux, dans sa voix hésitante, ou toutes agressivités avait disparu, lui donnant un aspect innocent, enfantin, et presque perdu.
« Oui ! » avait il répondu. Et il lui sourit.
« Alors je vais vivre ! »
Et Trowa avait comprit. Comprit à quel point Heero avait toujours été le plus fragile d'entre tous. Celui qui n'avait jamais connu autre chose que la mort et le sang. Jamais Heero n'avait pu profité de simples moments comme celui là. Il n'avait jamais connu l'affection d'une mère pour son enfant, l'amitié des gens qui l'entourait. Et il était celui qui en avait le plus besoin.
Alors Trowa ce promit de lui faire découvrir tout sa. De lui montrer qu'il pouvait, qu'il avait le droit de vivre comme tout le monde.
Trowa ne se souvenait plus quand il était réellement tombé amoureux de lui. Il ne se souvenait plus pourquoi non plus. Peut être le fait qu'entre eux le besoin de parler n'était pas forcément nécessaire. Ils se comprenaient d'un simple regard. Et leurs silences suffisaient à les rassurer, les apaiser. Ils appréciaient juste la présence de l'autre.
En réalité, il n'avait pas besoin de savoir depuis quand il était amoureux. Ce détail n'avait aucune importance en fait. La seule chose qu'il avait besoin de savoir c'était qu'il avait envie de finir sa vie avec lui, et avec personne d'autre.
Parce que lui, Trowa Barton aimait Heero Yuy et il ferait tout se qui était en son pouvoir pour le voir sourire comme aujourd'hui.
Il se sentit secoué avec douceur, se réveillant doucement. Il se frotta les yeux et soupira encore, las de ses recherches infructueuses.
« On le retrouvera, Trowa ! On le retrouvera »
Il prit doucement la tasse de café que lui tendait Duo. Ses amis se démenaient autant que lui dans cette enquête. Tous avaient décidé de revenir habiter ensemble pour faire les recherches. Ils avaient abandonné leurs nouvelles vies pour retrouver le japonais. Trowa avait tout d'abord refusé. Ils n'avaient pas le droit de gâcher se qu'ils avaient tant eut de mal à construire. Mais au vue de leurs insistance, il avait finit par accepter. Et il les en remercia silencieusement.
« Tu devrais aller te coucher ! Tu es épuisé. » Intervint le chinois qui se trouvait assis dans le canapé du salon, enterré sous une montagne de divers documents inutiles à ses yeux. Car aucun d'eux ne les avaient renseigné sur le possible lieux ou se trouvait leur ami.
Le français hocha la tête en signe d'accord. Pas qu'il en est vraiment envie, mais dans son état, il serait incapable de faire quoique se soit de correct. Et rien que l'idée que Heero puisse encore passer une nuit on ne sait ou et on ne sait dans quelles conditions, Trowa en frissonna. Encore une nuit ou il ne pourrait pas dormir
« Comment va Quatre ? » demanda t'il en se redressant.
« Il s'est enfin endormit » soupira le natté. « Depuis qu'il fait des crises, il a du mal à récupérer. »
Il était évident que Duo s'inquiétait énormément pour la santé du blond. L'américain avait perdu cette lueur de gaîté qui le caractérisait tant. Déjà la disparition d'Heero avait été un cou de poing pour lui et depuis quelques semaines, depuis que l'arabe faisait des crises d'empathie de plus en plus violente, le gai luron ne souriait plus, ne riait plus.
Et la santé de Quatre devenait préoccupante.
N'auraient il donc pas le droit à un peu de paix ?! La guerre et leurs passés douloureux ne suffisaient t'elles donc pas ?! N'avaient il déjà pas payés pour leurs crimes ?!
Le français soupira encore et monta les marches qui menaient aux chambres laissant ses deux amis. Passant devant la pièce où se reposait Quatre, Trowa en profita pour s'assurer que celui si dormait bien. Il était inquiet. Terriblement inquiet pour Heero mais il ne pouvait pas négliger ses amis. Car après tout, avec Catherine, ils représentaient désormais sa seule famille.
Entrant doucement, pour ne pas réveiller l'héritier de la famille Winner, il vint s'assoire sur la chaise qu'avait occupé Duo quelques instants avant lui. A peine fut il installé que les yeux du jeune homme s'ouvrir.
« Tu devrais dormir »
« Il faut retrouver Heero. Trowa, il a mal. Il a si mal ! »
« Je le retrouverais ! Sois en sur ! Maintenant, reposes toi »
« Ou est Duo ? » demanda t'il subitement. « Je…je voudrais le voir »
« Je suis là »
Trowa se retourna. Duo était dans l'encadrement de la porte semblant attendre l'accord du français pour entrer.
« Je vais vous laisser »
Et sur ses paroles, il les quitta. Duo vint reprendre place auprès de son ami.
« Duo » soupira il comme soulagé. « Restes avec moi, s'il te plaie »
« Je reste là, si tu me promet de dormir un peu Quatre »
« Mais…je dois vous aider, il faut qu'on le retrouve »
« Ne t'en fais pas, il sera bientôt parmi nous »
Duo voulait être optimiste, se convaincre qu'il allait pouvoir le ramener. Mais cela faisait plus de trois mois qu'ils cherchaient, sans jamais rien trouver. Et plus le temps passait plus les chances s'amenuisaient. Et pour l'instant tout se qu'il pouvait faire s'était de veiller sur Quatre, et d'attendre d'avoir un indice que Wu Fei cherchait ardemment, en bas. Comme tout le monde dans cette maison.
Il revenait encore. Il allait encore le prendre. Il n'en pouvait plus. Il avait mal et était épuisé. Déjà, 'Satan, lui caressait le dos, descendant lentement vers la raie de ses fesses. Heero frissonna de dégoût.
L'homme lui écarta soudain les deux morceaux de chair pour s'introduire en lui. Le Japonais hurla de peur et de douleur mêlé et se retourna brusquement pour échapper à cette emprise, lui glisser entre les mains. Juste pour retarder un peu, rien que quelques secondes le moment inévitable qui allait suivre. Mais l'autre ne lui laissa pas le temps de faire un autre mouvement. Il lui empoigna la gorge d'une seule main et le plaqua sur le lit avec toute la violence dont il était capable.
Un sourire narquois apparut sur ses lèvres lorsqu'il vit le visage empli de terreur de son prisonnier. Comme il aimait le voir ainsi, à sa mercie. Il se lécha doucement les lèvres d'anticipation. Se gamin malgré ce qu'il lui avait fait subir avait encore la force de bouger, et il allait prendre un malin plaisir à détruire toute résistance. Aussi bien physique que psychologique. Se soldat était passé de l'état de chasseur à l'état de proie. Non mieux que sa. Il était devenu son esclave. Et en tant que tel, il allait devoir assouvir ses moindres envies et désirs.
Avec une lenteur calculée, il s'approcha de ses lèvres, s'arrêtant à quelques millimètres de son petit jouet. Il sentait la respiration saccadée du jeune homme, les sueurs froides sur son corps fin, presque juvénile. Il voyait ses muscles rouler sous sa peau marquée à vie par la guerre. Et pourtant, ses cicatrices n'enlevaient rien à sa beauté. Enfin, il remonta vers ses yeux, si bleu et si apeuré.
C'est alors qu'il posa ses lèvres sur les siennes forçant, le passage de sa langue. Il ne du se battre que quelques secondes avant qu'il ne lui cède le passage. Mais déjà la langue tenta d'échapper à son bourreau. Un peu déçu il recula décelant leurs lèvres, sans l'avoir mordu jusqu'au sang avant cela.
Puis il s'attaqua au lobe de son oreille, léchant, mordillant, suçant. Il sentit avec satisfaction, le jeune homme frissonner, et tenter, en vain, de se débattre.
« Je vais te briser! Je vais t'anéantir, Heero Yuy » susurra t'il au creux de son oreille, détachant bien chaque syllabe avec lenteur pour encrer ses deux petites phrases dans le cerveau de l'objet de sa haine.
Puis sans plus attendre, il lui écarta les jambes et le pénétra avec force, grognant de plaisir. Heero hurla une nouvelle fois.
« As-tu mal, mon parfait petit soldat ? » demanda t'il faussement concerné.
Heero ne répondit pas et ne serra que d'avantage les draps souillé de sperme et de sang, son sang.
Un coup de rein plus violent.
Un autre hurlement
« Répond à ma question »
Il ne put que gémir sous la douleur devenue insupportable, les larmes perlant de nouveaux sur ses joues. « S'il…s'il vous plaie….arrêtez »
Une supplique presque murmurée avec difficulté.
Mélange de haine, de souffrance, de désespoir. Un appel au secours silencieux et sans réponse.
Ne l'écoutant plus geindre, l'homme se contenta de satisfaire son besoin physique. Chaque cou de boutoir, plus violent les uns que les autres, lui procurait une satisfaction jamais inégalé. Il se repaissait des cris, des gémissements, des sanglots du jeune homme, le menant au sommet de son plaisir.
Comme il aimait le faire souffrir !
Cela dura plusieurs minutes avant que tout ne s'arrête. Avant que l'adolescent ne perde conscience.
Quatre venait de faire une nouvelle crise lorsque la sonnerie du téléphone résonna, avec insistance.
« Wu Fei Chang à l'appareil » répondit le chinois d'une voix fatigué.
« Allo, Wu Fei, venez vite à la base ! C'est urgent »
« Sally ? Qu'est ce qui se passe ? » Demanda immédiatement son interlocuteur, totalement réveillé et surpris par le ton du médecin. Elle semblait pressée et sur les nerfs, presque paniqué.
« Nous avons une piste sérieuse pour Heero ! Dépêchez vous » répondit elle avant de raccrocher.
« Wu…c'était qui ? »
« Réveille Barton, et fais descendre Winner, on s'en va ! »
« Quoi ?! Mais, attends… »
« Ne discutes pas et obéis » coupa le chinois « Nous allons ramener Yuy à la maison »
A cette simple phrase, Duo se pressa alors de faire se que lui avait ordonné le chinois. Ils avaient une chance. Ils avaient une chance de le ramener chez eux.
Lorsque Trowa descendit, lorsqu'il vit les regards pleins d'espoir, il sus qu'enfin Heero serait bientôt à la maison. Et c'était maintenant tout se qui importait.
De retour parmi vous, votre très chère, autrice (sa se dit sa ?!) à l'honneur de vous demander une petite review ? Et comme pour le prologue si je n'en n'ai pas deux pour se chapitre je retire la fic. C'est aussi simple que sa.
Franchement, c'est rien que 5 minutes de votre temps, alors svp, un ti mot me ferais très plaisir.
