Parfait petit soldat

Auteur : Azanielle

Série : GW !

Disclaimer : alors j'économise pour pouvoir me les acheter un jour. Mais je préfère que le père noël me les offre. En attendant y sont pas a moi.

Genre : Angst, yaoi, romance.

Couple : lisez le prologue et vous serez !

Petite note de moi : vous pouvez pas vous imaginez à quel point j'ai eut du mal à finir se chapitre. Je l'ai recommencé deux fois avant d'être un peu prêt satisfaite. Le problème c'est que j'avais tout de préparé dans la tête, mais pour le mettre sur papier je ne vous raconte pas la galère. Ce n'est pas facile de retranscrire les émotions des pilotes. Ils ont des personnalité complexe je trouve. Enfin bon c'était juste pour vous dire que j'avais prévu de poster se chapitre Dimanche soir mais que comme j'ai prit du retard, je l'envoie maintenant.

Réponse aux reviews : très, très important sa hein !

Miss Parker : merci d'aimer ma fic c'est très gentil de ta part…mais…heu…comment dire…NE ME TUE PAS PAR PITIE ! 'Se met à genoux et supplie' je fais de mon mieux et j'aime cette fic et je compte pas faire une fin bâclé. Alors si te plaie, laisse moi en vie.

Nékojin : kikou, tu sais, tu n'es pas la seule personne à avoir été septique sur le prologue, mais bon tu es pardonné, maintenant que tu l'aime bien. Pour répondre à tes questions : oui, je suis obligé d'être méchante avec Hee-chan (disons que j'aime le faire souffrir). Je suis une véritable sadique par moment. Lol. Et puis les autres pilotes vont bien l'aider…mais pas tout de suite. Je vais d'abord le martyriser encore un peu.

Kasufu : Te fâche surtout pas hein, mais sa n'ira pas mieux pour Heero quand y sera rentré. Enfin pas tout de suite. T'imagine se qu'il a subit. Il va falloir du temps pour qu'il s'en remette. Mais bon comme tu le dis les autres vont se faire un malin plaisir à massacrer ses tortionnaires. Si tu veux je peux leurs demander si tu peux faire partie de l'équipe pour la tuerie ?! mdr. Merci à toi pour ta review. Bisous

Littlething : T'as vu tout sa chez Heero ?! Je suis contente alors. J'ai toujours pensé que c'était le plus fragile du groupe malgré le fait qu'il soit froid. C'est un peu pour sa que je voulais montrer qu'il était de se fait bien plus sensible. Et je trouve que le faire souffrir était la meilleure solution. Sa fait ressortir se coté petit enfant. Et choqué les gens est quelque chose d'important de mon point de vue. Je ne tiens pas non plus à faire peur !!! Mais quand quelqu'un souffre il faut le montrer, faire sentir se que sa fait d'être torturé. Je ne veux pas être soft. Car c'est choses la existent et être trop gentil en le décrivant ne marque pas les gens alors qu'il le devrait. Mais bon, ce n'est qu'une histoire parmi tant d'autre. Mais au moins elle t'aura peut être marqué. Lol. J'espère que je n'ai pas été trop confuse dans ma réponse sinon fait le moi savoir. Et merci pour ton message, il m'a vraiment fais plaisir.

Shinigamie yuy : voila la suite. J'espère que je ne t'ai pas fait trop attendre. Bisous

Black Sharne : comme on dit, les goûts et les couleurs sa se discutent pas. On ne peut pas plaire à tout le monde. Si le début ne t'a pas plu j'espère pouvoir me rattraper sur la suite. Alors la voici. Je te souhaite bonne une bonne lecture.

Kaorulabelle : merci pour l'information. Je le serais maintenant qu'on ne dit pas autrice ! lol. Sur ceux voila la suite. Bisous

Katoru87 : je suis contente que sa te plaise. Et tu as de la chance, Heero s'en prends encore plein la figure dans se chapitre. Et puis si le 3/1 te comble c'est encore mieux. Je trouve pas beaucoup de fic ou Trowa et Seme et Heero et Uke dans le couple et je dois avouer que je préfère Trowa au dessus. Lol. Mais j'aime bien tous les couples. C'est juste que sa change un peu des classiques. Donc voila le chapitre deux. Bonne lecture.

Florinoir : j'espère que t'as pas trop attendu pour se chapitre. Je te laisse le lire mais avant je tiens à dire que les copains d'Heero vont le retrouver en piteux état. Lol. Bisous

Aurora : tu ne me soule pas du tout. Plus les messages sont longs plus je les aime. Alors n'hésite pas à me laisser des romans entiers si tu le veux. Lol. Moi aussi j'aime voir Trowa en seme. Pour Heero sa dépend du couple et de la fic je pense. Merci pour ta review et j'espère encore en avoir de ta par pour se chapitre. Bisous et bonne lecture

Chapitre 2

Une lueur d'espoir !

Trowa fut le premier arrivé dans le bureau du médecin. C'elle si sursauta violement en entendant la porte claqué. Elle n'avait jamais été si stressée de sa vie. Même pendant la guerre elle n'avait été dans un état pareil. Et lui qui entrait si brusquement, avait manqué de peu de lui donner un infarctus.

« Trowa ! La prochaine fois, frappe avant d'entrer »

C'est à cet instant que les trois autres entrèrent. Duo soutenant Quatre, qui semblait à bout de force.

« Avant, tout nous allons conduire, Votre ami à l'infirmerie. » les informa t'elle.

Trowa reteint un soupir impatient, mais préféra se taire. Pourtant, il n'en pouvait plus. Il fallait absolument qu'il le retrouve. A voir les crises de Quatre, Heero devait subir les pires des souffrances. Et il ne pouvait tout simplement plus le supporter.

Il s'apprêtait à quitter la pièce suivit de ses amis quand Quatre les interpella.

« Il faut se dépêcher Sally…Heero va mal, très mal. »

« Je m'en doute » soupira t'elle. « Mais se n'est pas une raison pour te laisser dépérir. »

« Je vais bien ! Tu n'as pas à t'inquiéter pour moi » insista t'il.

« Elle a raison » intervint Wu Fei, qui ne lui laissa pas le temps de répliquer et lui saisit le bras pour le soutenir aussi. « On ne sait pas dans quel état nous allons retrouver Yuy, et un patient lui suffit largement ».

A cette constatation, Trowa ne pus empêcher un frisson glacé lui traverser le corps. Remontant de ses reins jusqu'à la nuque à une vitesse fulgurante.

Il le savait pourtant !...il le savait que son ami n'allait pas bien, mais l'entendre de la bouche des autres le pétrifiait d'effroi.

C'est avec peine, qu'il reteint un gémissement plaintif et désespéré. Il menaçait de s'effondrer un tout moment. Il était épuisé de ses recherches, éreinté de ses nuits si courtes ou il ne faisait penser qu'a lui, a bout de force des ses cauchemars ou il voyait son aimé dans des situations pire que la mort.

Il savait qu'il était fort, qu'il était le soldat parfait. Mais si jamais, ceux qui s'en étaient prit à lui avaient trouvé la moindres faille après trois mois et demi de torture, ils leurs seraient facile de le mettre en miette.

Car Heero était resté un enfant craintif au plus profond de lui-même. Il avait seulement réussit à le caché derrière se masque de soldat froid et insensible.

Quatre malgré ses barrières ressentit un profond désespoir, mélange de peur, d'inquiétude et de fatigue émanant du grand français. Celui si arrivait à ses limites. Il ne tiendrait plus longtemps. S'ils ne se dépêchaient pas, il finirait par tomber malade. Et la perte d'un ami était déjà de trop. Quatre ne pourrait pas supporter de perdre encore l'un des leurs.

Trowa avait perdu la moitié de son âme. Il n'était plus entier. Il n'était plus qu'une moitié de lui. Et une personne comme lui ne pouvait pas vivre s'il n'était pas complet.

Ce ne fut qu'une fois l'arabe fut confortablement installé dans le lit que Sally se décida à parler. Elle observa attentivement chacun des jeunes gens avant de soupirer. Malgré leurs visages encore enfantins, ils ressemblaient plus à des adultes ayant vu beaucoup trop de choses dans leurs vies. Des choses douloureuses ! Trop pour leurs jeunes ages.

« Très bien » commença t'elle. « Lorsque vous avez demandez de l'aide au preventers, je pensait très sincèrement que cela ne serait pas si difficile. Nous avons envoyé beaucoup de nos espions un peu partout dans le monde et malgré tout nos effort nous n'avons rien trouvé »

« Tu as pourtant dis que tu avais une piste sérieuse concernant Heero » s'impatienta Trowa, de plus en plus nerveux. « Alors pourquoi nous avoir fait venir, si tu n'as rien ?! »

C'était bien la première fois que le médecin voyait Trowa aussi énervé. Lui qui restait impassible même dans les pires situations était devenu si expressif et surtout au bord de la crise d'hystérie. Elle en était surprise mais surtout choqué. En fait à bien y regarder ils étaient tous complètement anéantit.

Elle en éprouva un profond chagrin. Comprendre que si l'un d'eux disparaissait définitivement, se serait la fin de tout le groupe. Ils ne pouvaient désormais plus vivre les uns sans les autres. Ils avaient partagé tellement de choses. Ils avaient souffert, ri, pleuré ensemble. Ils lui faisaient penser à un château de carte. Si l'une d'entre elle tombe, tout le château s'effondre.

Elle poussa un profond soupir et tenta de calmer le français.

« Pourrais tu me laisser finir s'il te plaie ?! »

Le français hocha la tête en signe d'accord se calmant du mieux qu'il pouvait.

« Si nos recherche n'ont pas aboutit c'est simplement parce que ceux qui en ont après Heero sont vraiment discret. Jamais je n'avais vu sa de ma vie. Ces types sont tout simplement inexistant. Et nous serions toujours au point mort si, par chance, nous n'étions pas tombé sur l'un d'eux.

« Attends ! » l'arrêta Duo ! « Qui sa 'eux' ? »

« Et bien nous ne savons pas encore très bien qui ils sont. Tout se que je peux affirmer, c'est qu'il fait partie d'une petite organisation qui semble t'il agit dans le plus grand des secret. »

« Je ne vois pas le rapport avec Yuy » contra le chinois

« C'est la que sa devient intéressant. L'un de nos espions est tombé par hasard sur un type, dans un bar. Il était complètement ivre et n'arrêtait pas de raconter se que son chef faisait subir à petit japonais ! Alors nous l'avons ramené ici pour avoir un peu plus d'information sur Heero et sur les activité de ce groupe.»

« C'est…c'est peut être un autre garçon » intervint Quatre, qui voulait être sur qu'elle ne se trompait pas. Encore une fausse piste et Trowa ne le supporterait pas, il le savait.

« C'est ce que nous avons d'abord pensé. Après tout Heero n'est pas le seul japonais sur terre. Seulement il n'arrêtait pas de se venter que son chef avait réussit à briser le soldat parfait. »

« Bon très bien, supposons que ce soit bien Yuy, comment on fait pour le retrouver ?! Si se type ne parle pas, on a aucune chance de savoir ou il est. »

Un court silence s'installa. Chacun d'entre eux plongé dans ses réflexions. Puis doucement Duo releva la tête, arborant un sourire tel qu'il n'avait plus eut depuis la fin de la guerre. Un sourire cruel et emplie de sadisme.

Shinigami était de sortie.

« Laissez moi m'occuper de votre petit copain » demanda t'il d'un voix dangereusement calme.

Sally le considéra quelques secondes avant d'accepter !

« Ne le tue pas » se contenta t'elle de l'avertir tout à fait sérieuse. Elle savait que quand son coté sombre ressortait, il pouvait devenir un véritable démon.

Quatre lui, ne semblait pas rassuré du tout. Il n'aimait pas voir Duo dans un tel état. Il n'avait rien contre Shinigami, seulement, il avait l'impression de se retrouver en tant de guerre. Et Duo avait beaucoup souffert de ses crimes lorsqu'il laissait le contrôle à son homologue. Il ne voulait pas que sa recommence. Parce qu'il ne voulait pas voir Duo pleurer. Il voulait le voir faire les pires bêtises qui existent, l'entendre rire, et faire des farces en sa compagnie.

« Duo ! » appela t'il.

Celui si se retourna pour lui faire face et son sourire s'adoucie quelque peu en voyant l'inquiétude dans le regard de son ange blond.

« Ne t'en fais pas » le rassura t'il « tout se passera bien » puis il déposa un rapide baiser sur les lèvres offertes.

Douce sensation.

Comme du satin.

Chaleur rassurante.

'God que c'était bon' pensa Duo qui ne regrettait absolument pas son geste. Il se promit de recommencer une fois que Heero serait rentré. Et d'ailleurs il approfondirait volontiers la chose. Quatre était tout simplement très apetissant. Il ne voulait qu'une chose : le dévorer.

Mais s'il n'avait pas apprécié ?! S'il ne voulait pas de lui ? Une soudaine panique l'envahit il reporta son regard vers Quatre qui rougissait toujours plus, et affichait un sourire rêveur.

Non enfin de compte il n'avait pas de quoi s'inquiéter de se qui suivrait bientôt. Mais avant tout, il allait faire cracher le morceau à cet inconnu et ramené Heero au bercail. S'il ne voulait pas parler, Duo utiliserait la manière forte ! Et personne n'avait encore résisté à ses interrogatoires !

Trowa avait observé la scène avec jalousie. Eux ils pouvaient se permettrent des moments de tendresses, alors que Heero, lui n'était pas là. Qu'il ne pouvait pas le toucher, le sentir près de lui, sa peau, sa chaleur. Voir son sourire, ses yeux, son visage.

Mais que pouvait il faire contre les sentiments qui les unissait ? Il ne pouvait tout de même pas leurs interdire d'éviter de faire sa en sa présence. Cela aurait été injuste. Et ils en avaient bien le droit. Ils se donnaient déjà beaucoup de mal pour l'aider dans ses recherches. Et puis il savait q'ils s'inquiétaient eux aussi pur leur ami.

Et puis bientôt, Heero serait de retour dans le groupe et peut être qu'ils pourraient enfin se laisser aller eux aussi.

En tout cas il l'espérait. Il l'espérait vraiment. De toute façon c'était tout se qui lui restait

En entrant dans la petite salle, Duo avait longuement hésité à laisser la place au clown qui semblait avoir besoin de se défouler un peu. Mais voila en le voyant serrer convulsivement les points, il avait vite fait de rejeté l'idée de laisser Trowa être maître de l'interrogatoire. Il aurait sûrement réduit en charpie le 'pauvre homme'. Il était beaucoup trop sur les nerfs pour pouvoir garder un semblant de contrôle.

Duo n'avait jamais vu le français perdre son calme, même lorsqu'ils se trouvaient en situations délicates, mais celui si, après des mois de recherches infructueuses, la peur de ne pas revoir celui pour qui son cœur battait, car c'était plus qu'évident qu'il aimait Heero et le stresse accumulé avait eut raison de lui.

S'il ne ramenait pas Heero au plus vite, il se demandait si la santé psychologique de son compagnon ne se dégraderait pas. Trowa était devenu complètement dépendant du japonais. Déjà pendant la guerre ces deux là pouvaient passé des heures entière dans la même pièce, en silence. Duo c'était souvent demandé s'ils n'étaient pas télépathes. Ils leurs suffisaient d'un seul regard pour se comprendre. Et malgré le fait que Duo aimait bien embêter son monde, il n'avait jamais osé les interrompre pendant leurs échanges muets. C'était un peu comme si la simple présence de l'autre suffisait à effacer leurs douleurs, leurs peurs et leurs angoisses, pour ne laisser la place qu'a un bien être si rare autrefois.

L'américain jeta un cou d'œil a Wu Fei, espérant que celui si comprendrait que si Trowa n'arrivait plus à se contrôler, il pourrait compter sur lui pour le calmer et le tenir à distance.

Mais le chinois n'avait pas besoin que Duo lui en fasse la demande. Il se tenait près à intervenir au moindre dérapage. Gardant une distance raisonnable avec son ami il hocha la tête en direction du natté pour l'inciter à commencer l'interrogatoire.

Duo s'avança alors dans la pièce pour venir s'installer sur la chaise en face de sa proie. Il allait enfin pouvoir s'amuser un peu.

Doucement, il se pencha vers sa victime qui avait la tête baissée, et avec son sourire il débuta la petite séance.

« Vous ne me ferez pas parler » assura l'homme avec un sourire.

Il semblait bien sur de lui. Mais sa, c'était avant qu'il ne se trouve devant Duo. Celui qui se surnommait lui-même le Dieu de la mort.

« Vraiment ? » demanda Shinigami avec le même sourire

Au regard que lui lança l'adolescent, le prisonnier comprit que cette fois si, sa ne serait pas aussi simple que la dernière fois. Il avait beau ne pas dépassé les 16 ans, ce gamin lui donnait des frissons.

« Tu vois, on m'a interdit de te tuer » Duo soupira comme déçu. « Mais mes amis ici présent, eux, on ne leurs à rien dit » Il s'approcha de tel façon qu'il puisse avoir le visage de l'inconnu à quelques centimètre du sien. « Et tu vois, il se trouve qu'ils sont beaucoup moins sympathique que moi. Alors si te ne veux pas trop souffrir, tu as intérêt à te montrer docile »

« Que voulez vous savoir au juste ?! » demanda le captif très calme en apparence

« Ou est Heero Yuy ?! »

L'autre éclata de rire, sans pour autant déstabiliser le Dieu de la mort. Puis il finit par se calmer plongeant son regard brun dans les améthystes du garde.

« Ce gamin n'est plus rien. Mon chef c'est chargé de lui »

Les yeux de Trowa s'écarquillèrent puis il se tendit brusquement. Wu Fei lui posa une main apaisante sur son bras pour le calmer. Il devait laisser Duo se charger de lui.

« Sa ne me dit pas ou il est » continua Duo

« Je vous l'ai dit, je ne parlerais pas »

Duo se leva et sortit un petit couteau de sa manche avant de le faire tournoyer dans les airs.

« Bon, puisque tu ne veux pas nous aider, je vais devoir être méchant »


Aujourd'hui, ils n'étaient pas venus le chercher pour l'amener dans la chambre de Satan. Ils l'avaient laissé en paix, dans cette petite cellule sombre et humide.

Allongé sur le sol froid, Heero fixait le morceau de pain rassit près de la porte. Il avait faim. Mais il n'avait pas la force de bouger. Pour l'instant il savourait se moment se silence. Sa lui rappelait le temps ou avec Trowa, ils restaient ensemble sans se parler.

Sa lui manquait.

Pourquoi le Français avait cet effet si apaisant sur lui ? Il ne s'était encore jamais posé la question. Est-ce que sa avait une importance à présent ?! Non ! Plus maintenant. Il allait mourir de toute façon. Alors à quoi bon, se faire tant de soucis ?!

Et puis, ses compagnons ne le retrouveraient pas. Il lui avait dit ! Il allait mourir ici. Il le croyait.

Et étrangement sa faisait mal. Il aurait voulu les revoir encore une fois. Rien qu'une petite fois.

Pouvoir apprécier le thé de Quatre.

Ecouter Duo parler pendant des heures.

Regarder Wu Fei s'entraîner avec son sabre.

Mais surtout…rester avec Trowa. Il voulait avoir sa présence rassurante à ses coté. Il voulait qu'il lui explique ce que c'était la vie, comme quand il était libre.

Il aurait vraiment aimé partager encore des moments tranquilles avec eux, avec lui, comme dans la piscine chez Quatre. Se jour là, il s'était sentit tellement bizarre. Et pourtant c'était si…bien ? Il n'arrivait pas à trouver le mot pour cette émotion.

Et sa faisait mal dans sa poitrine. Aussi mal que le reste de son corps, si se n'est plus. Chaque respiration devenant un peu plus difficile, sifflante.

C'était sa éprouver du regret ?

C'était étrange de savoir que c'est dans un tel endroit qu'il trouvait enfin des réponses à certaines questions. Il n'y avait qu'ici, qu'il avait pus éprouver des sentiments.

C'était tellement ironique ! En se moment, il avait mal, froid, peur !

Avant, il n'aurait jamais pu éprouver sa. Ou tout du moins, ils les auraient refusé.

Mais déjà la porte de métal grinça dans ses gons. De nouveaux, ils entraient. De nouveau, il allait souffrir.

Par réflexe, il se recroquevilla sur lui-même. Cette pause avait été si courte.

« Non » gémit il ? « Pas encore ! Pas encore !...pitié »

Il voulait mourir maintenant ! Il fallait que sa cesse.

Alors qu'il sentit des poignes fermes l'agripper il secoua vivement la tête. Il ne voulait pas y retourner.

« Trowa ! » appela t'il désespéré.

A suivre

Maintenant, 1 ti mot siouplait. Yeux tout larmoyant, que tu peux même pas y résister, tellement y sont tristes.