Parfait petit soldat

Auteur : Azanielle

Série : GW !

Disclaimer : alors j'économise pour pouvoir me les acheter un jour. Mais je préfère que le père noël me les offre. En attendant y sont pas a moi.

Genre : Angst, yaoi, romance.

Couple : lisez le prologue et vous serez !

J'adore le copier coller !

Note : Alors je suis vraiment désolé pour le retard ! Mais se chapitre m'a donné du fil à retorde. J'ai eu un mal de chien à décrire les sentiments des personnages. Et croyez moi je n'en suis toujours pas fier de se chapitre. J'espère juste avoir limité les pots casser.

Et puis je travaille pendant les vacances de noël. J'ai presque tout le temps des journées de 10 heures et je rentre le soir crevé. Alors vous comprendrez qu'il m'a été difficile de me mettre à écrire.

Je suis encore désolé du retard et espère que le prochain chapitre sera moins long à venir.

Réponses aux Reviews :

Katoru87 : Tout se que je peux te dire c'est qu'Heero n'est pas encore sortit d'affaire. En tout cas j'espère juste que se chapitre ne te décevra pas. Sa n'a pas été facile de le terminer mais j'y suis arrivé. Je te laisse à ta lecture. Bisous.

Raziel : Que répondre à sa ?! :p

Kaorulabelle : net, concis et précis ! On peu pas faire plus court. Sur ceux bonne lecture et bisous

Florinoir : Merci pour ta review. Et oui sa va encore angster pour un lonnnnng moment. Mais tout finira par s'arranger. De toute façon j'aime les fins heureuse.

Nékojin : Bien sur que Trowa va l'aider. Je vais tout de même pas laisser hee-chan tout seul. Je ne suis pas aussi sadique que sa tout de même. Lol.

Kasufu : et ben je ne savais pas que ma fic te faisais un tel effet ! Pour le méchant, ne t'en fais pas, son tour viendra en temps et en heure. Et je suis sur que sa fin va te plaire. Par contre j'aimerais beaucoup savoir quelle image c'est imposé à toi lors de la réapparition du missant pas beau face à Heero ?! J'avoue que s'a m'intrigue ! J'attends ta réponse et te laisse à ta lecture. Bisous.

Smirnof : tu as lu ma fic d'un seul coup ? Et tu me laisses un message pour chaque chapitre ? Merci. Sa me fais plaisir. Alors je ne vais pas te faire attendre plus longtemps et te laisse à ta lecture. Bisous.

Chapitre 4

Attente !

Trowa s'installa le plus confortablement possible sur la chaise de la salle d'attente. Rejetant sa tête en arrière, il ferma quelques instant les yeux. Il était plus qu'épuisé. A tel point qu'il ne sentait même plus la fatigue le submerger doucement.

Il avait passé la nuit entière à veiller l'ancien soldat parfais. Pas une seule fois il n'avait quitté la pièce. Heero s'était réveillé si souvent pendant la nuit, poussant des gémissements rauques entrecoupés de sanglot silencieux. Et à chaque fois Trowa s'était immédiatement empressé de le calmer par des paroles qu'il voulait rassurantes. Alors le japonais finissait par se rendormir sans l'avoir vu, trop enfoncé dans son cauchemar éveillé pour le reconnaître.

« Tu devrais dormir un peu tu sais ! »

Trowa releva brusquement la tête. Duo l'observait avec un sourire qui se voulait joyeux. Il ne trouva pas le courage de lui rendre. En réalité, il n'en n'avait même pas envie. Pour le moment ses pensées étaient toutes tournées vers Heero. Et il aurait aimé tout oublier ! Rien que quelques minutes, pouvoir effacer cette crainte qui doucement s'insinuait dans ses veines et lui broyait le cœur en une étreinte mortel. Il était tétanisé à l'idée qu'Heero ne s'en remette pas. Tétanisé à l'idée de ne pas réussir à recoller les morceaux de verres brisé de son compagnon.

Tétanisé à l'idée de le perdre.

« Et toi tu devrais être près de Quatre » dit il enfin.

« Pour l'instant il dort et c'est mieux ainsi ! » répondit il en s'asseyant à ses cotés.

Le silence s'installa entre eux, pesant et douloureux. Que pouvaient il dire ?! Que tout allait bien se passer à présent ?! Que tout allait s'arranger ?! Ils n'étaient pas dupes. Oui Heero était rentré mais dans un tel état de faiblesse et…tant de souffrance émanait de lui. Qu'allait il se passer à présent ? Comment allait réagir Heero face à ses amis ?

« Quatre nous en veux de l'avoir empêcher de venir avec nous, pour le libérer ! » tenta Duo pour lancer la conversation.

Trowa se contenta de hocher la tête, son visage de nouveau impassible. Mais son regard était si douloureux, si sombre, si inquiet.

Duo soupira. Il voulait juste l'aider un peu. Le faire penser à autre chose, mais Trowa avait mal. Et il était si épuisé ! Il avait pâlit, et d'énorme poches sous les yeux prouvait qu'il ne dormait presque pas. Mais le plus inquiétant était son regard. Son seul oeil visible avait perdu tout éclat. Plus rien ne brillait dans cet œil qui autrefois, malgré son apparente impassibilité, respirait une insouciance et une joie qui avait été de si courte durée.

Six mois ! Ils n'avaient été en paix avec eux même que six mois durant leurs vie. Si mois de paix, avant que tout ne s'effondre de nouveaux.

« Tro-man ?! » reprit Duo. « Vas dormir un peu, je resterais au chevet d'Heero »

« Tu as déjà assez de problème avec Quatre ! »

Un nouveau silence s'installa entre eux. Toujours cette même attente, cette même douleur ! Et cette même appréhension. Comment serait Heero à son réveil ?! Cette question, chacun d'eux se la posait.

Unique !

Et qui repassait encore dans leurs têtes comme un disque rayé. Toujours la même, inlassablement présente, leurs rappelant cette dure réalité dans laquelle ils s'enfonçaient un peu plus à chaque instant. Une réalité bien trop cruelle pour les enfants qu'ils n'avaient jamais pu être.

Enfin Trowa se leva tout en s'étirant un peu. Ses muscles lui faisaient mal, ses yeux le brûlaient et il avait l'impression qu'un camion s'était amusé à lui passer sur le crâne une bonne dizaine de fois.

Duo avait raison ! Il avait besoin de dormir un peu mais il ne pouvait pas se résoudre à laisser Heero seul trop longtemps.

« J'y retourne ! Dis à Quatre que je passerais le voir tout à l'heure. Mais en attendant, il ne doit absolument pas venir voir Heero…sa serait trop dangereux. Il pourrait encore faire une crise et je n'y tiens absolument pas ! »

« Il ne va pas apprécier. »

« Je sais » se contenta t'il de répondre d'une voix morne.

Et il repartit en direction de la chambre de 'son patient'.


Lorsque Quatre se réveilla les rayons du soleil chauffaient agréablement la pièce. Lui qui aimait tant la chaleur du soleil au petit matin, ne l'appréciait pas autant à cet instant. De toute façon il y avait un moment qu'il ne l'appréciait plus. Il n'arrivait plus à recharger les batteries grâce à sa lumière chaleureuse. Avec le temps les rayons lumineux avaient perdu de leurs éclats.

A présent, il se sentait toujours las et fatigué. Mais il était surtout, en colère. Très en colère. Duo était partit. Il était partit sans le prévenir. Il l'avait laissé dans l'attente, l'angoisse et l'impuissance de venir en aide à son ami.

Et par Allah comme il maudissait son dont d'empathie. Ce dont qui ne faisait que l'empêcher d'agir à sa guise, l'empêchait d'être utile. Depuis qu'il faisait ses crises, il se sentait tellement impuissant.

Et le pire de tout était que Duo avait été évasif depuis son retour. En gros, il savait juste qu'Heero était rentré et était soigné dans le même hôpital que lui. Il ne lui avait rien dit sur son état, et à chaque fois qu'il tentait d'en savoir un peu plus, Duo se contentait de détourner le sujet comme il savait si bien le faire.

Une qualité qu'appréciait Quatre en tant normal ! Mais pour le moment sa le mettait ors de lui. Pourquoi Duo s'acharnait tant à ne rien lui dire ? Il avait bien tenter de demander à Wu Fei mais celui si avait tout simplement refuser de l'informer de son état.

Ho bien sur il savait qu'il ne devait pas être en bon état. Son empathie le lui avait fait clairement comprendre et le refus obstiné de ses amis ne faisait que le conforter dans son idée…mais il voulait tant pouvoir l'aider.

Soupirant, il se redressa lentement pour se retrouver en position assise. Duo n'était plus là. Il devait être aller voir le japonais.

Il soupira de nouveau. Même s'il se sentait frustré et furieux contre l'américain, sa présence lui manquait. Il aimait l'avoir à ses cotés. Duo était doué pour le faire rire, même si se dernier n'était pas d'humeur joyeuse. Et ses derniers tant, il se forçait beaucoup à se montrer gaie alors qu'il souffrait autant que les autres. Mais il était le seul qui réussissait à remonter le moral des troupes. Et il se faisait un devoir d'accomplir cette tache avec ferveur. C'était sa façon de les aider !

Lui au moins était utile à quelqu'un ! Quatre soupira. Il avait une soudaine envie que la guerre ne soit pas terminer, pour pouvoir aller passer sa frustration sur quelques ozises. Cela n'arrangerait pas les choses ! Il le savait. Il n'était pas stupide mais cela aurait pour effet de le soulager un peu.

C'était idiot à dire mais au moins pendant la guerre, il ne restait pas à rien faire pendant que les autres se battaient. Et il y avait Heero auprès d'eux. Fort, solide et toujours un peu plus ouvert à chaque instant qu'ils passaient ensemble.

Et maintenant ? Comment allait-il ? Qu'était il devenu ?

Qui était il à présent ?

A présent qu'il était de retour. Après avoir vécu un enfer pendant plus de trois mois ? Heero avait beau être solide, il n'en restait pas moins un adolescent fragilisé par la guerre, le sang et les morts.

Il n'en pouvait plus d'attendre. Il ne pouvait plus rester si près de lui et ne rien faire ! Rester la dans l'ignorance la plus total. Il fallait qu'il sache. Ne serais qu'avoir un début d'information. Rie que pour se faire une idée de son état.

Deux solutions s'offraient à lui :

La première : sortir discrètement pour aller le voir.

Problème : il pouvait se faire repérer à tout instant, et il n'y tenait pas trop. Si Duo le surprenait en fuite, il allait passé un sal quart d'heure. Parce que Monsieur maxwell ne le laisserait pas se lever tant qu'il ne penserait pas qu'il en était capable. Il n'était pourtant pas aussi fragile qu'il laissait paraître.

Alors il restait la seconde solution ! Beaucoup moins tentante, il fallait bien l'avouer. Mais avait il le choix ?

Il devait baisser ses barrières mentales et tenter de laisser les émotions d'Heero venir à lui. C'était risqué et si sa marchaitsa serait douloureux.Mais il avait vraiment besoin de savoir. Et Duo n'était pas là. Au moins son empathie serait utile pour une fois.

Prenant une profonde inspiration, l'arabe ferma les yeux s'apprêtant à baisser ses murs de défenses !

« Je te l'interdit » tonna soudain une voix

Quatre Ouvrit brusquement les yeux pour tomber nez à nez avec deux améthystes furieuses.

« Duo ! »

« Si tu utilise ton empathie, je te promet de te le faire regretter » l'informa l'américain totalement sérieux.

Pour Quatre se fut la goûte d'eau qui fit déborder le vase. Comment osait il lui donner des ordres. N'avait il aucun droit ? N'avait il pas le droit de savoir ? Que croyait il ? Qu'il n'était pas inquiet ? Qu'il ne méritait pas d'avoir de ses nouvelles ?

Mais Quatre était mort d'inquiétude pour Heero et pour Trowa qui dépérissait ! Et il était impuissant ! Tellement impuissant ! Et il ne supportait plus cette distance que les autres érigeaient entre eux ! Il voulait aider, il voulait savoir ! Il ne voulait plus se sentir impuissant !

Alors n'en pouvant plus il fit éclater sa rage, sa frustration, son angoisse permanente, qu'il n'arrivait plus à maîtriser. Qu'il ne pouvait plus garder au fond de lui sans rien faire.

« Tais toi » Hurla t'il ! « Vous n'avez aucun droit sur moi ! »

« Quat-chan… »

« Non ! Mais qu'est ce que tu crois ?! Je ne suis pas une poupée de porcelaine ! Je peux vous aider ! Je veux savoir se qui se passe ! Heero est mon ami ! Et vous vous obstiner à m'écarter de lui ! Depuis le début ! Je sais se qu'il a subit ! Tu oublies que c'est moi qui aie ressentit cette peur et cette souffrance ! Cette détresse, cette angoisse et cet appel à l'aide sans réponse ! Je sais qu'il est toujours en danger ! Alors pourquoi n'ai-je…

Quatre se tu brusquement quand les lèvres de Duo se posèrent sur les siennes. Complètement prit de court il ne songea même pas refuser se baiser. Il ouvrit instantanément les lèvres, invitant son amant approfondir cette caresse tant désiré.

Lorsqu'ils se séparèrent à bout de souffle, Quatre se laissa tomber dans les bras du natté, des larmes inondant ses joues. Duo l'enserra tendrement.

« Duo, dis moi s'il te plaie ! J'ai besoin de savoir »

Dou poussa un profond soupir de résignation. Il voulait lui épargner plus de souffrances inutiles ! Lui plus que tous, savait exactement se qu'Heero avait enduré pendant tout se temps. Mais le laisser dans le flou sur l'état de son ami n'était il pas plus raisonnable ?

Mais Quatre s'inquiétait vraiment et ne rien lui dire ne faisait que l'angoisser un peu plus.

Que devait il faire ?

Il n'en savait rien !

Mais son ange blond avait raison sur un point. Il avait le droit de savoir. Il était lui aussi un membre de la 'famille' après tout.

« Très bien !...si tu promets d'être sage je veux bien te dire se qui se passe exactement. »


Il l'observait depuis plusieurs heures maintenant. Allongé sur se lit ou les draps fins recouvraient son corps amaigrit.

Trowa avait envie de pleurer. Il se sentait tellement fatigué ! Tellement épuisé de tout sa ! De cette vie qui ne lui avait jamais permis d'avoir un peu de bonheur.

Mais que devais il faire pour pouvoir enfin avoir un peu de paix ? Que devait il faire pour pouvoir serrer Heero dans ses bras, sans crainte de lui faire du mal ?

Heero qui restait là, les yeux clos, et la respiration si difficile malgré l'aide respiratoire.

Sally lui avait pourtant assuré que cette pneumonie aurait vite disparut. Qu'il devrait surtout s'inquiéter des conséquences psychologiques.

Conséquences psychologiques ?!!

Ses deux mots résonnaient dans sa tête comme une fatalité. A cet instant il sentait le désespoir le gagné doucement.

Et s'il était incapable de l'aider !

S'il était incapable de le soutenir !

Que deviendrait Heero ?

Que deviendrait il, lui ?!

Il prit son visage entre ses mains et resta un long moment sans oser relever les yeux vers l'être torturé et aimé qui se trouvait en face de lui.

Il se sentait coupable. Coupable de ne pas l'avoir retrouvé plus tôt. Coupable de ne pas avoir pu empêcher toutes ses souffrances gratuites. Coupable de l'avoir abandonné au moment ou il avait le plus besoin de lui.

Et Heero ne lui pardonnerait pas. Il ne lui pardonnerait pas cette lâcheté dont il avait fait preuve. Heero aurait raison de lui en vouloir.

Il était partit. Il l'avait laissé seul pendant deux longues semaines. Deux semaines qu'il passait à se prélasser auprès de sa sœur alors que lui devait déjà endurer toutes ses tortures dans l'attente qu'il vienne le chercher.

La porte de la chambre s'ouvrit doucement et Trowa regarda Sally entrer sans vraiment la voir. Le médecin était sûrement là pour venir examiné le japonais. Et lui l'observerait encore sans jamais pouvoir bouger pour aider celui qu'il aimait comme un fou.

La jeune femme vint doucement s'agenouiller près du français qui continuait son observation d'un regard vide.

Le clown triste sursauta légèrement lorsqu'elle posa sa main sur l'un de ses genoux. Et enfin son regard se fixa sur les yeux marron de son amie au visage inquiet.

« Trowa » murmura t'elle. « Il faut que tu dormes un peu ! Tu ne l'as pas quitté depuis qu'il est ici ! »

« Je ne peux pas ! Je ne peux pas le laisser seul. Je ne le laisserais plus jamais ! » Répondit il la gorge noué.

La chinoise soupira un peu avant de se redresser et d'aller se porter au chevet du japonais toujours profondément endormit.

« Ne culpabilise pas Trowa ! Rien n'y personne ne pouvait savoir se qui allait arrivé ! »

« Pourquoi ? Pourquoi Sally ? »

Un simple mot.

Pour une multitudes de questions

Sans jamais trouver de réponses.

« Je ne sais pas » avoua t'elle en soupirant.

Plusieurs minutes se passèrent sans qu'aucun d'eux ne parlent. Sally examina avec milles précautions son patient et ami tandis que Trowa restait prostré, incapable de faire le moindre mouvement devant cet être décharné et vaincu par la souffrance et la maladie.

Un être aimé. Et deux êtres qui souffrent !

« Trowa, vas voir Quatre. Il s'inquiète pour vous. Heero ne risque pas de bouger pour l'instant, et personne ne viendra l'enlever ici. N'oublie pas que nous sommes dans un hôpital militaire. » Reprit elle sans quitté Heero des yeux.

« Je t'ai… »

Le médecin se retourna pour faire face au français, un regard sévère sur le visage d'habitude souriant de la jeune femme.

« Si tu tombes malade Trowa, tu ne seras d'aucune utilité lorsque Heero se réveillera. Et tu sais aussi bien que moi qu'il a besoin de toi pour s'en sortir !

Trowa baissa les yeux vaincu et incertain.

« Et si j'en étais incapable ? Si je n'arrivais pas à l'aider ?! »

« Ne dis pas de bêtise. Tu y arriveras. Et tu n'est pas seul. Nous sommes là. Alors maintenant vas voir Quatre avant qu'il ne me fasse une crise d'hystérie »

Trowa lui adressa un sourire de remerciement et quitta la pièce, non sans un dernier regard pour son aimé.

Sally soupira encore une fois, avant d'attraper la main d'Heero qui frissonna dans son sommeil.

« Il faut que tu t'en sorte, tu entends. Tu dois t'en sortir. Pour lui ! »

Et elle quitta la pièce, laissant le jeune malade, perdu dans un cauchemar ou une petite lumière faisait doucement son apparition.


Trowa traversa rapidement les couloirs de l'hôpital pour rejoindre son ami. Sally lui avait redonné l'espoir qu'il avait si soudainement perdu.

Il allait prendre un peu de repos aussi. Sally avait raison. S'il tombait malade il ne pourrait pas aider Heero et il ne pouvait pas se le permettre. Car il ne voulait plus l'abandonner. Il voulait être présent à chaque instant de sa vie à partir de maintenant.

Il fallait aussi qu'il parle de cet homme qui c'était échappé. Il fallait le retrouvé. Une petite réunion s'imposait. Mais pour l'instant, il allait juste passé un peu de temps avec le reste de sa 'famille'.

Et ensuite, ses trafiquants d'armes allaient payer se qu'ils avaient fait.

C'est déterminé qu'il arriva devant la porte de la chambre de Quatre. Mais lorsqu'il ouvrit la porte, il se figea sur place.

Il ne s'attendait pas à voir sa ! Absolument pas.

Que faisait il ici ? Pourquoi se trouvait il en compagnie de ses trois autres compagnons d'armes. Et de quoi parlaient ils donc tous ?

« Je suis très honoré de vous revoir monsieur Barton »

« Treize ?! »

A suivre :

Salut tout le monde. Alors je laisse juste un petit mot pour vous souhaiter un joyeux noël en retard et une bonne année un peu en avance. Lol.

Bisous et au prochain chapitre. Et n'oubliez pas les reviews. Sa sera mon cadeau pour noël ?! lol