PARFAIT PETIT SODLAT

Auteur : Azanielle

Serie : Gundam Wing !

Disclaimer : Y sont pas à moi et c'est bien dommage !

Genre : vous devez le savoir maintenant hein ! lol !

Note : Me voilà de retour après une très longue absence !

Heero/ Et ben c'est pas trop top !

Quoi t'es pas content, je viens de t'offrir les plus grandes vacances de ta vie et tu ose encore te plaindre ?

Heero/ plus vite tu la finis plus tu fais cesser toutes ces tortures !

Trowa/ Et pour finir plus vite je peux le garder pour moi !

Bon ok, j'ai compris ! alors désolé tout le monde et bonne lecture

Réponses aux reviews : alors a mis en place un nouveau système de reviews donc je vais faire de rapide bisous à tous ceux qui m'ont laissé des messages et je répondrais avec le nouveau système la prochaine fois. C'est la dernière fois que je répondrais dans le corps de ma fic.

Merci à Babou (j'ai été longue ! pardon ! mais merci pour ne pas avoir abandonné ma fic.) Hades Hiei (tu as lu ma fic en une seule fois ? je savais pas qu'elle avait un si grand succès ! Je suis contente qu'elle te plaise) Florinoir (qui aime toujours autant voir souffrir Heero, et elle n'est pas la seule d'ailleurs) Kasufu (j'espère avoir de tes nouvelles et je te remercie encore de m'encourager comme tu le fais) Nekojin (je te fais plein de gros bisous et oui Satan aura son lot de souffrance) et enfin à onarluca (je t'ai fais attendre je suppose mais me voilà de retour)

A tous un grand merci ! je vous adore ! C'est grâce à vous si je suis toujours aussi motivée

Chapitre 14

Une clé silencieuse

Treize aurait tout donné, même sa propre vie pour le voir ouvrir les yeux, pour l'entendre râler et crier haut et fort que c'était une injustice, pour goûter ses lèvres si douces et pouvoir sentir la texture de sa peau.

De toute sa vie, il ne s'était jamais sentit si désemparé, si impuissant. Il avait l'impression de voir son monde s'écrouler avec sa vie.

Il n'était rien sans Wu Fei, rien sans sa présence à ses cotés. Il avait eu tant de difficulté à l'apprivoiser, le séduire. Il avait eu tant de mal à lui faire comprendre à quel point il l'aimait.

Leur histoire avait à peine commencé qu'elle se terminait. Si vite, sans qu'il ne puisse lui dire ces mots naissants et encore trop fragiles et pourtant si importants.

Un sourire vint effleurer ses lèvres. Comme il aimait le voir rougir lorsqu'il le déstabilisait par ses paroles provocatrices et dont les sous-entendus se faisaient clairement ressentir.

Ce visage fin et son regard fier.

Il n'en restait plus qu'un corps pâle et sans la moindre parcelle de vie.

« Réveille toi Wu Fei. » souffla t'il au creux de son oreille.

« Il se réveillera. » assura la voix de l'importun qui pénétra dans la chambre d'un pas silencieux, comme ayant eu peur de déranger l'endormi.

L'ancien général ne se retourna pas, trop absorbé par sa contemplation du chinois.

« Comment va Heero ? »

Il n'y avait rien dans sa voix, rien que du vide, aucune émotion, le néant.

« Il dort encore pour le moment. Je suis venu voir Wu Fei. » Lâcha t'il.

Il s'approcha lentement pour venir observer son ami à son tour. Il soupira. Cette situation, il l'avait vécu il y avait encore peu de temps et se trouver ici le ramenait en arrière ravivant des souvenirs douloureux.

Combien de temps allait encore durer ce petit jeu ? Combien d'amis allait-il encore devoir veiller jour et nuit pour qu'il cesse ce massacre ?

« Vous n'avez eu aucun problème pour venir jusqu'ici ? » demanda Treize.

Le voir ainsi, si abattu et pourtant s'inquiétant encore des autres, le surpris. Treize ne s'était jamais laissé aller avant, ou du moins, pas devant eux.

Il l'aimait. Il n'avait plus aucun doute à avoir. Treize aimait Wu Fei autant que lui aimait Heero

« Une fois Heero endormit tout a été calme. »

Leurs voix étaient posées, étrangement calmes comme sereines et pourtant….pourtant, leur rage transperçait les murs. Leur haine alourdissait l'atmosphère de la pièce.

C'était la froide certitude, le calme d'avant les combats. C'étaient des démons qui allaient faire connaître les pires souffrances à 'Satan'

Personne ne pourrait plus ce mettre sur leur chemin. Plus maintenant. Il avait réveillé les soldats de la mort et il allait payer très cher son audace.

« Wu Fei se réveillera Treize. Vous le connaissez aussi bien que moi. Alors il n'y a aucun risque qu'il reste allonger sans rien faire. »

« Je ne veux pas qu'il s'en aille. » murmura t'il au comble du désespoir. « Cela va peut-être paraître étrange à vos yeux mais je ne suis plus rien sans lui. »

Un court silence s'installa, juste coupé par l'encéphalogramme émettant régulièrement ses « bip-bip ».

« Alors il reviendra. »

Et il quitta la pièce les laissant seuls. Treize avait besoin de remonter la pente. Wu Fei avait aussi besoin de lui. Il les avait vu, ses regards avant que tout ne commence. Il les avait vu ses coups d'œil à la dérobé, son rosissement et cet étrange apaisement qui émanait de lui lorsque Treize était dans les parages. Et Wu Fei qui ne se rendait même pas compte de ce que cela signifiait.

D'ailleurs il n'était pas question qu'il le laisse mourir. Il ne lui laisserait pas le choix. Il le réveillerait par la force s'il le fallait. Heero avait suffit. Il ne laisserait plus personne le briser. Lui ou les autres.

Il l'avait déjà dit. Personne ne touchait à sa famille. Et cette famille il l'aimait. Peu importait à quoi elle ressemblait. C'était la sienne.

« Trowa ! » appela Quatre, moulinant du bras au détour d'un couloir. « Viens vite, Heero se réveille. »


« Heero, s'il te plaît calme toi. »

Duo avait beau faire, son ami ne semblait pas vouloir l'écouter. Bien au contraire et étrangement il ne s'attendait pas à ce genre de réaction.

Il pensait sincèrement qu'Heero serait encore trop déboussolé et trop apeuré pour réagir sans paniquer, alors non, le voir avec son arme pointée contre lui ne le rassura pas. Et d'ailleurs comment avait-il fait ? C'était lui le roi des voleurs.

Heero n'avait visiblement pas perdu ses bons vieux réflexes en tout cas.

Bon, Ok, il tremblait et pas qu'un peu. Son regard fuyait régulièrement à la recherche d'une sortie, son souffle était haletant comme essoufflé, et il donnait l'impression de voir son cœur taper contre sa poitrine. En fait Heero paniquait…complètement.

« Heero ! Hé mon pote, c'est moi Duo ! Tu te rappelles. » Tenta t'il encore.

« Je veux partir ! Laisse-moi sortir d'ici. »

« Et tu veux aller ou au juste ? »

« Loin…loin d'ici. »

La porte claqua faisant sursauter les deux occupants.

« Heero, pose cette arme. »

Le japonais retourna son regard vers Trowa, aussi calme que la veille. Ces émeraudes rassurantes…Kami-Sama, Trowa l'avait drogué. Il l'avait forcé à partir, et il était enfermé, cloîtré dans une petite pièce au mur blanc…

Trop étroit !

Trop proche !

Cette impression d'être oppressé, prit au piège sans aucune échappatoire. Un animal, une proie, aucune chance de sortir vivant.

Il l'avait trahi ! Pas lui ! Alors qu'il avait eu confiance en son regard et en ses paroles, alors qu'il se sentait en sécurité près de lui.

« Je veux que tu poses cette arme, Heero. » répéta il avec douceur.

« Il n'en est pas question…pas question que je reste là ! Je veux m'en aller. »

Trowa fit un pas en avant.

« Ne t'approche pas ! » Hurla t'il.

Et contrairement à ses ordres, il fit encore un pas.

« Je veux que tu pose cette arme avant. »

Toujours cette même petite phrase.

Empreinte de douceur.

De tendresse.

Heero secoua la tête, brusquement incertain. Trowa….Trowa ne lui avait jamais fait de mal mais...

« S'il te plait, je veux partir. Je ne veux pas rester. » Sa voix s'était faite basse, presque murmure alors que son bras retombait doucement.

« Pourquoi veux-tu partir ? »

Le japonais ne lui répondit pas, préférant baisser le regard.

« Je t'ai déjà dis que rien ne t'arriverait plus jamais. Je te protégerai Heero, tu le sais n'est-ce-pas ! »

Voyant qu'Heero restait enfermé derrière son mur de silence, il s'approcha encore, réduisant les mètres qui les séparaient pour venir le serrer dans ses bras. Il le sentit se tendre et trembler et finir par se détendre.

Alors seulement, Trowa se permit un soupir intérieur. Heero semblait si désemparé, si incertain. Traqué comme une proie qu'il n'était pas.

Duo s'approcha doucement et récupéra l'arme que son ami tenait toujours sans que celui-ci n'oppose de résistance.

Le silence dans la pièce s'allongea durant plusieurs minutes, chacun craignant d'interrompre cet instant de répit ou leur ami semblait se plonger en lui pour y puiser cette force qu'il croyait avoir perdu.

Une force qui, tapie dans l'ombre de son esprit, attendait l'heure ou elle pourrait ressortir. Ce qui en découlerait, personne ne le savait mais…Quatre lui, appréhendait la bête sauvage qu'Heero gardait enfouit dans les profondeur de son inconscience.

Car pour lui, il n'y avait aucun doute que lorsqu'il aurait de nouveau trouvé le courage et la détermination qui lui manquait encore pour le moment, celui-ci risquait fort de sombrer dans la folie. Folie destructrice que cet assassin s'amusait à provoquer.


Duo sortit en soupirant. Heero avait été impossible à calmer. Seul Trowa était encore capable de l'approcher sans qu'il ne prenne peur. Alors pour se donner l'impression qu'il n'était pas complètement inutile, il avait passé la nuit avec eux. C'était étrange de voir le japonais ainsi, n'acceptant que la présence de son ami français, cherchant même, inconsciemment sa chaleur durant son sommeil. Ils avaient l'air sereins lorsqu'ils dormaient tout les deux, comme si rien de tout cela n'était arrivé. Un sommeil lourd, réparateur après tant de fatigue. Et malgré tout, le silence dans lequel ils étaient plongés n'avait rien d'apaisant. Comme une tension permanente qui ne cessait de croître au fil des heures interminables de la nuit.

Bien qu'il soit capable de supporter beaucoup de choses, qu'il ait vécu les pires atrocités qu'on puisse imaginer, n'ait dormi que d'un œil par peur d'être tué dans son sommeil, Duo n'avait pu supporter cette étrange atmosphère dans laquelle il baignait.

Cela devait vraiment être difficile pour Trowa de vivre avec un tel poids sur ses épaules. Cette impuissance qu'il devait perpétuellement ressentir face à Heero, celui qu'il aimait, qui dépérissait chaque jour un peu plus.

Combien cela avait dû lui peser ? Comment avait-il pu résister, ne pas craquer et déverser sa rage sur la première personne qu'il croisait ?

Il ne le savait pas !

Mais Trowa avait vraisemblablement réussi l'impossible. Trowa avait réussit à le ramener. Il avait réussi là où tout le monde aurait certainement échoué.

Et alors qu'il croyait que tout finirait par s'arranger, voila que tout basculait une nouvelle fois. A croire que leurs vies n'étaient qu'une succession de paix, éphémères et inaccessibles, qui s'étiolaient à la moindre brise pour finir par se fracasser au sol.

Mais ce qu'il n'arrivait surtout pas à comprendre, c'était pourquoi ?

Pourquoi on semblait tant lui en vouloir !

Pourquoi on s'en prenait à eux avec tant d'acharnement ?

Ok, ils s'étaient fait de nombreux ennemis durant la guerre mais de là, à détruire une personne comme 'il' l'avait fait, ce n'était pas une simple histoire de vengeance, c'était de la folie, de la cruauté à l'état pur.

Il se passa la main sur le visage. Ce n'était pas le moment de ruminer, il avait une enquête à mener, et cela ne serait pas facile, il n'était sur de rien.

Il y repenserait plus tard. Il devait aller voir Wu Fei avant. Il ne répondrait pas à ses remarques mais il avait aussi besoin d'eux.

C'était difficile de voir ses amis, sa troupe, sa dernière famille se briser si facilement !

Ils étaient censés être des soldats, des pilotes de Gundam, forts, solides, indestructibles…et tout s'effondrait comme un château de carte.

« Duo ! »

Le natté se retourna, surpris avant de sourire.

« Tu vas voir Wu Fei ! »

« Ouais, il y un moment que je ne suis pas aller l'ennuyer un peu. »

Il avait beau se forcer, il n'arrivait pas à se départir de sa mine sombre. Tout allait mal et il ne savait plus vraiment quoi faire pour détendre l'atmosphère.

« Je… il…il ne t'entendra pas tu sais…Duo…j'ai peur. J'ai jamais eu aussi peur de toute ma vie. Même durant la guerre. »

Duo le savait. Il n'avait pas besoin de ressentir les choses comme Quatre pour s'apercevoir et comprendre les émotions de ses amis. Plus encore lorsque Quatre était en cause.

Le prenant dans ses bras pour le réconforter, il plongea sa tête dans sa chevelure blonde et respira son parfum enivrant se laissant aller à sa propre souffrance.

« On a tous peur ! Tous, mais je n'abandonnerai pas ! Je veux le retrouver et même si pour cela je dois y passer ma vie. Je le retrouverai. Lorsque ce moment sera arrivé…. »

Il sentit son amant frissonner contre lui et se rapprocher un peu plus contre son torse, serrant sa chemise dans ses mains comme pour le retenir.

« Et s'il t'arrivait quelque chose à toi aussi ! » souffla t'il d'une voix tremblante. « Si jamais il te faisait du mal. Duo, je ne veux pas te perdre. »

« Il ne m'arrivera rien. Tu oublies que je suis le Shinigami. »

Quatre s'arracha brusquement de son étreinte. Une lueur de colère mêlée de douleur dans le regard.

« Ha oui ! J'ai l'impression que tu ne comprends pas. Il s'en est prit à Heero, à Wu Fei ! Qui te dis que tu ne seras pas le prochain ! Comment peux-tu être si sûr de toi ? »

L'américain resta quelques instants interdit devant une réaction si violente, si incontrôlée, si loin du Quatre qu'il connaissait.

« Qua... »

« Tais-toi ! Tu n'es qu'un égoïste Duo ! Tu as pensé à moi ? Qu'est ce que je ferais si tu venais à disparaître toi aussi Hein ? »

Duo sourit bien malgré lui. Car visiblement, l'arabe l'aimait autant que lui et c'était cela qui lui donnait cette force, ce courage de continuer. Parce-qu'à ses côtés, Duo se sentait vivant, aimé. Il ne se sentait plus orphelin lorsqu'il était près de lui.

« Personne n'est mort ! Et personne ne va mourir. Pas tant que je ne l'aurais pas décidé. »

« C'est lui qui va mourir. »

Leurs petites querelles cessèrent immédiatement. D'un même mouvement les deux amants se retournèrent pour se retrouver nez à nez à un homme qui dégageait une haine sans nom.

Apparut brusquement, Treize, le visage pâle, des cernes sous les yeux et un regard meurtrier, leur fit face, furieux.

« Treize ! »

Il s'avança lentement, chancelant, la folie perçant son cœur meurtrie.

« Treize ? » redemanda Quatre, toute colère disparut.

« Il est paralysé. » lâcha t'il, atone.

« Qu…Quoi ? »

Les yeux rougis par la fatigue de l'ancien général fixèrent un point dans le vide, n'écoutant que son cœur frapper contre sa poitrine, le sang battant dans ses tempes tel un tambour dont la mélodie macabre raisonnait en lui.

« Je…je ne comprends pas. Que se passe t'il Treize. »

« Il s'est réveillé, Il y a quelques heures à peine. »

Quatre sursauta. Wu Fei s'était réveillé ? Il était sauvé ? Sans prêter attention à sa logique qui lui disait de ne plus utiliser son empathie, il se reconnecta pourtant, au Chinois.

Et il l'a vit. Cette petite lui lueur blanche, Faible, mais qui semblait reprendre des force à chaque seconde. Cette petite lumière qui brillait avec douceur au fond de son esprit.

« Le médecin est formel. Il ne remarchera plus jamais. »

De nouveau, le silence s'abattit, aussi violement qu'une chape de plomb leur tombant sur le coin de la figure.


Treize, toujours dans un état second, les abandonna pour retourner auprès de son jeune amant, reposant dans les bras de morphée.

Lorsque enfin les deux jeunes gens reprirent leurs esprits, ce ne fut que pour sentir le monde s'écrouler à nouveau sous leurs pieds.

Le hurlement de rage qu'il lâcha dans la nuit, fit taire la petite vie nocturne autour de lui. Les arbres ce figèrent, le vent mugissant s'arrêta. Tout ne fut plus que peur, silence et colère.

Cet espèce d'assassin avait échoué. IL L'AVAIT RATE ! ET IL AVAIT TUE J ! Cet imbécile venait de mettre son plan à l'eau.

Envolé les rêves de vengeances.

N'avait-il pas été claire ?

Tuer le chinois.

Laisser vivre J !

Là, au-dessus du cadavre sanguinolent, de ce corps sans vie qu'il voulait ressusciter pour le tuer à nouveau pour son manque de professionnalisme.

Où avait-il commit une erreur !

OÙ !

Il devait être le meilleur tireur ! Le meilleur assassin ! Il aurait dû accomplir sa tache sans bavure ! Alors qu'avait-il fait ?

J devait vivre ! J NE DEVAIT PAS MOURIR ! J devais être vivant pour voir son plan s'accomplir. J devait voir son précieux projet tomber en morceaux.

Tout était leurs fautes.

S'ils n'avaient pas été là, tout aurait fonctionné à merveille. Il aurait obtenu sa vengeance. Il aurait détruit J.

Oui, tout était de leurs uniques fautes.

Et pour avoir tout brisé, pour avoir fracassé ses espoirs de vengeance, pour avoir détruit ce qu'il avait mis tant d'années à construire, ils allaient payer. Ils allaient le payer très cher.

Il n'aurait pas J.

Alors il aurait Heero.

Il aurait Heero et tout les autres.

Il allait les tuer.

Oui, c'est ça !

Il les tuerait. Il les tuerait devant ses yeux.

Il aurait sa vengeance d'une manière ou d'une autre.

Elle serait les anciens pilotes de Gundam !

Elle serait sa victoire !

A suivre