Disclaimer : Downton Abbey est l'oeuvre de Julian Fellows

Résumé : Ou trente et un petit moments entre Edith et Bertie.

Note de l'auteur: Ce recueil d'OS répond à la cinquième édition du défi "Sur Votre 31" de la page Facebook "Bibliothèque de Fictions." Le but est de poster, tous les jours d'août, un drabble ou un OS entre 100 et 1000 mots dont le thème est déterminé par le jour de publication. Autre particularité de ce défi : on devait toujours utiliser le même couple ! Canon, UA, couple canon ou fanon, peu importe, mais une fois le couple choisi, on ne peut plus en changer Le but du jeu est de faire un recueil autour de ce couple avec 31 variations, car janvier comporte 31 jours. J'essayerai de poster un OS par jour si possible!

Liste des dettes du Discord « Défis Galactiques » : 50 nuances de Downton Abbey (41/50) + Capricorne : Edith / Bertie (Downton Abbey) + Edith Crawley + Prénom 55 : Edith + Bertie Pelham, marquis de Hexham (De secondaire à principal) + Drabble 655 : Edith & Bertie (Downton Abbey) + Edith x Bertie : Bertie aide Edith à boucler un article + ACTION 156 : Rédiger un article pour un journal

31 morceaux du marquis et de la marquise de Hexham

Je crois en toi

-Je crois en vous, ma chérie.

Edith lève le nez de son secrétaire, sourit à son époux qui est entré avec sa tasse de thé fumante.

-Le fait est que j'ai le syndrome de la page blanche ! Je ne sais pas quoi écrire ! J'ai peur que les lectrices ne me voient comme une hypocrite : j'ai la chance d'être bien lotie !

Le marquis s'assoit près de sa femme.

-Pourtant, vous êtes plus similaires qu'elles ne pourraient le penser. Certes, toutes ne sont pas nobles, et toutes ne sont pas marquises. Mais vous savez ce qu'elles traversent : le crève-coeur que c'est parfois de jongler entre sa carrière et ses enfants. L'idée qu'on néglige ses enfants mais qu'il le faut pour les nourrir. C'est un sentiment féminin universel. Ou bien...

Il réfléchit quelques instants.

-C'est sans doute controversé. Mais vous pourriez parler des filles-mères.

La jeune femme se tend légèrement.

-Sans vendre la mèche, bien sûr. Mais vous savez ce que c'est. Vous l'avez vécu. Vous avez vu en partie cela avec votre bonne, Ethel. Vous pourriez enjoindre votre lectorat à plus de bienveillance, de gentillesse, et de dire que non, l'adage « boys will be boys » est une horreur sans nom. La vie des femmes est déjà assez dure, autant se serrer les coudes.

La journaliste sent son cœur fondre et elle embrasse avec tendresse son époux.

-Bertie, vous êtes un ange ! Et je compte bien écrire vos deux idées ! Oh ! Mais j'y pense ! Un jour, je vous ferai une interview ! J'insiste !

-Cela sera un honneur, Madame la marquise !

FIN