Le nouveau chapitre des tribulations de Pansy et de son ami Anthony. Je suis littéralement renversée de trouver autant de review pour le premier chapitrer ! Moi qui est du attendre deux jour pour en avoir une à ma première fic !
JE VOUS ADORE !
Enjoy !
RAR :
Ludreka : Salut, et merci ! Nop, Pansy n'est pas cruelle, zuste un peu méchante… ;)
Ayuluna : Salut ! Oui, en effet, je m'en souviens, je ne t'avais envoyé que le premier chapitre. Pour les couples, pour l'instant, j'ai que Anabella/Draco. Nop, Pansy et Tony n'iront pas ensemble… Ce seront juste des amis, bien qu'ils se disputeront souvent. Je ne sais pas trop encore, mais je suis presque sure qu'ils ne finiront pas ensemble… Pansy est vraiment trop « indépendante » pour sortir avec Anthony ou quiconque d'autre. Ou alors, peut être que je lui trouverait quelqu'un mais se sera un love/hate et ils se disputeront perpétuellement… Pour Draco, oui, c'est un bâtard intelligent. Vachement chiant, un peu comme dans le livre. Je suis pourtant une grande fan de Draco, mais je pouvais pas trop faire autrement, puisqu'il est avec Anabella, sur laquelle on en découvre de belles dans ce chapitre…
Miss-Tania : Merci beaucoup ! Oui, il n'y a pas beaucoup de fic sur Pansy, la pauvre ! Elle mérite pourtant plus d'attentions… Encore merci, et ne t'inquiète pas, je continue !
Disclaimer : Tout ceci appartient à Joanne Kathleen Rowling.
Avec dévotion, votre auteur :
Green Mamba !
Pansy, ou l'art de refaire sa vie en s'amusant
Chapitre 3
On dut sûrement entendre les hurlements d'Anthony et Zabini à trois lieues à la ronde.
Alors que Pansy se tordait de rire un Anthony dégoulinant sortit dans la salle de bain avec des envies de meurtres.
Pansy trouva plus prudent d'aller immédiatement dans son dortoir et roupiller.
Le lendemain, un samedi, Anabella ne hurla pas et elle se réveilla au son de son réveil de rechange pour la trouver en pleine contemplation d'elle-même faisant un strip-tease.
Maintenant, Pansy savait qu'Anabella aimait quelqu'un à la folie : elle-même !
Sans attendre Anthony, elle s'habilla et partie tout guillerette vers la tour nord, récupérer sa petite boule vert/jaune. Elle croisa son ami dans l'escalier qui y menait et ils échangèrent des regards enthousiastes.
Elle récupéra la boule, passa les parties gênante, c'est-à-dire l'intégralité de la rencontre et quand les hologrammes d'Anabella et Malefoy eurent quitter la pièce elle laissa le film se dérouler par curiosité, tout en discutant affaires avec Anthony. Ils en étaient à se concerter pour savoir si il était décent de passer le film dans la grande salle, quand l'hologramme de deux silhouettes encapuchonnées entra dans la pièce. Ils s'arrêtèrent tout de suite de discuter.
Les deux hommes se placèrent au centre de la pièce.
Le maître est mécontent, Parkinson, très mécontent.
Ils retirèrent leur capuche et Pansy put reconnaître son ancien père et Dolohov senior.
- Tu l'as laissée partir, imbécile ! Qu'elle idée de la renier ! Cette petite était puissante, et le maître la voulait comme alliée ! Il est trop tard, maintenant, elle nous déteste. Tu as complètement raté l'éducation de cette jeune fille ! Il fallait la choyer, la gâter ! Elle te tuera quand tu seras de dos, je te préviens. Mais finalement, elle nous débarrassera d'un fier imbécile. Mais je me corrige, si elle passe les jours suivant, elle te tuera, si non, il y a de minces chances qu'elle y parvienne. Tu crois aux fantômes vengeurs, pas vrais, Remonius !
- Que doit ton faire aujourd'hui ? Pourquoi sommes nous à Poudlard ?
- Pour vérifier que le poison qu'on lui a fait ingurgiter fait ses preuves.
- Du poison ? Quel poison ?
- La fille d'Avery sait au moins faire ça, en plus d'autres choses intéressantes pour les vieux mâles que nous sommes… ! Si tout marche comme prévu, elle et mon crétin de fils n'on plus que quelque mois à vivre. On les enterrera côte à côte et sur leur pierre tombale, on écrira ce qu'ils auraient du être. « Ici demeurent Anthony et Pansy, époux Dolohov ». Deux échec, ces mômes, hein… Mais va faire ta besogne rapidement, le maître veut te voir, après…
Puis, l'enregistrement s'arrêtait. Ils se regardèrent en silence, d'un regard chargé de détresse.
- Anthony ?
- Oui ?
- On fait quoi maintenant ?
- On hurle ?
- Non…
- On pleure…
- Non plus, mais la tentation est grande. Dit quelque chose d'intelligent, Tony…
- Hum, on va voir Dumbledore ?
- J'ai dit quelque chose d'intelligent.
- Mais c'est intelligent ! Il nous trouvera l'antidote, on meurs, si non ! Il faut arrêter de jouer les Miss Indépendante, là, Pansy ! On est dans le bouse de dragon jusqu'au cou !
- Va voir le Vieux si tu veut, mais ne me mentionne pas. Tu le regretteras, si tu le fais.
- Bon, dit quelque chose d'intelligent, toi, alors !
- On va trouver Anabella et on lui demande le nom du poison.
- C'est la chose la plus géniale que j'ai jamais entendue ! Allons y !
Ils se mirent en route, et Pansy avait l'impression de sentir les affres de la douleur, alors qu'une minute avant elle allait très bien.
Ils arrivèrent devant son dortoir et Anabella fut victime d'un silencio.
Ils la tirèrent dans une salle de classe vide et lointaine.
- Alors, Ana, on joue les empoisonneuses ?
- Moi ? Non, jamais !
- On sait tout, Ana, on a nos informateurs. C'était quoi, le poison ?
- Je vous dit le poison si vous dîtes l'informateur.
Anthony et Pansy échangèrent un regard et Anthony lui fit signe de le laisser parler.
- Aller, on le balance ? Il devient une charge et il n'a aucun esprit. Je te le dirait, mais le poison d'abord.
- De l'arsenic sorcier. Je devais être classique mais rapide. Il a tardé, votre informateur. Vous deviez mourir la semaine prochaine. Alors, c'est qui ?
- C'est mon père, Antonin Dolohov.
- Dolohov !
- Hé oui ! En attendant, tu vas souffrir.
- Ne me faite pas de mal, je ne fait qu'obéir.
- Psychologiquement, ma fille, psychologiquement
- Tu vas essayer à tout prit de sortir avec Potter.
- Avec Potter ?
- Oui.
- Mais c'est impossible !
- Tout les gars sont possibles, ma chérie. Fait le, ou tu souffrira.
- D'accord, d'accord. Mais sache que ton père mourra, Dolohov.
- Je m'en contre fout.
- Tu te fiche que ton père soit assassiné ?
- Oui.
- Tu es un monstre.
- Toi et ton maître aussi.
- Tu veux devenir le seigneur des ténèbres !
- Peut-être bien…
Les yeux d'Anabella s'écarquillèrent et ceux de Pansy lancèrent des éclairs.
- Imbécile ! Tu veux te faire tuer, c'est ça ? Dire des conneries comme ça, juste pour impressionner cette gourde ! Espèce de trompe-la-mort !
- Eh oh, c'était juste une blague !
- Attend, tu sais très bien qu'elle va tout rapporter ! Voldemort va vouloir te tuer à tout prix après ça !
- Bon, écoute, Ana, ce que j'ai dit, c'était faux. Je veux juste vivre une vie tranquille. Je m'en fou que mon père sois assassiné, parce qu'il m'a bien fait souffrir avant que je l'asservisse.
Anabella gémit un « oh, Anthony, tu es siiiiiii puissant ! » et Pansy lui mit une baffe, rien que pour le plaisir. Puis elle se tourna vers son coéquipier, qui observait le visage suppliant d'Anabella, s'arrêtant longuement sur ses yeux de biche larmoyants.
- Tony ? Dois-je m'occuper de sauver nos vies toute seule ou tu viendras m'aider ?
Anthony grogna, mécontent, sans quitter des yeux le visage d'Anabella.
- Tu peut très bien te débrouillée toute seule, Miss. Indépendante.
Pansy lui jeta un regard noir, choquée. Quand même, il s'agissait de leurs vies ! Elle grommela une suite de jurons tous plus grossiers les uns que les autres qui firent étouffer un cri de stupeur à Anabella et ne fit même pas sourcilier Anthony. D'ailleurs, il afficha une moue contrariée.
- Oui, bon, tu y vas ?
Anabella ricana et elle se prit une violente claque de la part de Pansy qui se reteint d'en mettre une à Anthony également. Elle lui jeta un regard plein de mépris, mêler d'incompréhension.
- Franchement, Toto, tu me déçois. Tomber sous le charme de l'autre pûte…
- Dégage, Pansy, et par te terrer à la bibliothèque, comme une lâche.
- Je mets ses dernières paroles sur le compte du choc et d'Anabella, Anthony. J'espère qu'elles l'étaient vraiment. Je l'espère pour toi.
- C'est ça, menace moi et dégage.
- Tu me dégoûtes.
Sur ceux, elle fila à la bibliothèque, ce demandant qu'elle mouche avait piquée son flegmatique ami. Si elle remettait encore une fois la main sur Anabella, cette censuré allait regretter de les avoir fait ce disputer !
Arithmétique
Arrivisme
Arsenal
Arsenic
« Les poisons trafiqués pour sorciers sans lendemain »
« L'arsenic sorcier à des propriétés presque similaires que l'arsenic moldus. Il agit plus lentement et fait plus souffrir leur victime. Les ongles striés, la peau plus brune, la perte de cheveux sont les symptômes les plus voyant… »
Et cela continuait ainsi pendant plusieurs pages. Nerveuse, Pansy les feuilleta jusqu'à tomber sur le chapitre « Antidote ». Elle soupira, soulagée.
« L'antidote pour l'arsenic moldu est le dimercaprol. Nous mettons ici le doigt sur la différence la plus flagrante entre l'arsenic moldus et sorcier. L'arsenic moldu possède un antidote connu et efficace, tandis que l'arsenic sorcier est réputé pour n'avoir aucun remède. Cependant… »
Et la page suivante était arrachée.
Pansy poussa un cri de rage retentissant et jeta violemment le livre par terre. Elle le ramassa et le remit sur l'étagère, rageuse.
Ils s'étaient fait devancer !
Elle fonça à la réserve. Et essaya à tout prix d'y en entrer, mais à chacune de ses tentatives étaient repoussée par Mme. Pince. Elle avait beau multiplié les suppliques, les protestations, rien n'y faisait.
Après un dernier « Mais c'est une question de vie ou de mort ! », elle abandonna et parti s'asseoir sur un banc dans le parc, désespérée. Et dire que cet imbécile d'Anthony était avec Anabella… Alors qu'ils risquaient de mourir tout les deux à cause de cette garce !
Elle était en train d'arracher méthodiquement tous les brins d'herbes sur un cm² quand elle suspendit son geste.
Anthony Dolohov, son meilleur ami, Serpentard, généralement intelligent, empoisonné par l'arsenic, s'était enfermé volontairement dans la même pièce de son empoisonneuse, en l'occurrence, Anabella Avery, élue plus belle fille du collège depuis Lily Potter.
Pansy lâcha un « Et meeeeeerde », on ne peu moins seyant à une jeune fille de son rand, s'attirant les regard de reproche de ses pairs. Elle se leva et se mit à tourner sur elle-même, affolée, puis, lançant un magistral coup de pied dans son banc et parti en courrant, direction : la salle de classe qui risquait bien d'être la futur tombe de son ami Anthony.
Arrivée essoufflée dans le couloir ou se trouvait la salle en question, elle fit un dérapage contrôlé accompagné d'un « Totoooooooooooo ! » retentissant.
Elle s'acharna sur la poignée de la porte, mais celle si s'ouvrit tout à coup, et elle tomba sur ses fesses, très douloureusement.
- Putain, mais qu'est ce qui se passe !
- Oh, Pansy la Multicolore. Ton petit ami est délicieux.
Anabella, triomphante, sortait de la salle de classe, reboutonnant son chemisier. Elle irradiait presque le mépris, et à coup sur la cruauté. Pansy la fusilla du regard.
- Anthony n'est pas mon petit ami, mais ravie de savoir qu'il est délicieux. Pour qu'il le reste, donne moi l'antidote, salope.
- Pansy, Pansy, Pansy… Il faut savoir reconnaître le camp des perdants. Mais pour toi, c'est impossible. Tu es en plein dedans.
- Le seul camp dans lequel je veux être, c'est celui de la vie. Donne moi la page que tu as arrachée, ou tu le regrettera.
- Une page, qu'elle page ? Ah oui, celle là !
Anabella lui fit un adorable sourire, dévoilant ses dents étincelantes.
- Milicent s'en est servie comme PQ. Oups, désolée, chérie. Mais ne t'inquiète pas… Je mettrais des fleurs sur ta tombe…
Sur ce, balançant devant elle ses longues jambes idylliques, Anabella Avery, empoisonneuse, mangemorte et folle à lier dans son état, s'éloigna dans un rire à glacer le sang.
Pansy la regarda partir, stupéfaite.
- T'es complètement cinglée, ma pauvre !
Mais elle était déjà trop loin.
Ah, elle était maligne la Pansy, de s'être fait avoir si stupidement… Mais à malin, malin et demi !
D'abords, ce triple imbécile d'Anthony.
Elle entra dans la pièce pour le retrouver étendu sur une table, inconscient. Ou bien…
Elle le secoua de toute ses forces, paniquée.
- Tony ! Toto, bordel, réveille toi ! C'est bon, c'est finit, elle est partie !
Mais le garçon restait inerte. Pansy se trouva ridicule et se força à retrouver son calme.
Elle inspira un bon coup avant d'aller tâter le poul d'Anthony.
Il était…
…
Vivant !
…
Pansy faillit hurler de joie, mais se rappela bien trop vite à son goût, que, vivants, ils n'allaient pas le rester longtemps si elle ne trouvait pas au plus vite un contrepoison.
Elle sorti sa baguette magique et le ranima d'un « énervatum !».
Dés que le garçon fut sur pied, elle lui mit la baffe de sa vie.
- COMMENT T'AS PUT FAIRE CA ? MAIS T'ES FOU ? TU M'AS FAIT UNE DE CES PEURS ! JE ME SUIS INQUETEE COMME UNE MALADE, PENDANT QUE MÔSSIEUR ROUCOULE AVEC SON ASSASINE ! C'EST ELLE QUI T'AS EMPOISONNE ! C'EST À CAUSE D'ELLE QU'ON VA MOURIR LA SEMAIN PROCHAINE, BORDEL !
- Calme-toi, la Multicolore. Permet-moi de rectifier ta dernière phrase. C'est à cause d'elle que TU vas mourir la semaine prochaine. Moi, je passe dans le camp des gagnants. Je préfère vivre, tu vois…
Pansy ouvrit de grands yeux horrifiés.
- J'y crois pas… Dit moi que c'est faux, Toto ! Dit moi que je rêve, que t'as jamais dit ça…
- Je ne dis que la vérité, Sang de Bourbe. Et pour toi, se serra Dolohov, merci.
Il esquissa un geste vers la porte, mais elle le retient.
- Oh, tu ne vas pas t'en tirer comme ça, mon chou. Je ne sais pas ce qu'elle t'a fait mais je vais te guérir, moi ! Je vais te tirer des sales pattes de cette poufiasse.
- CE N'EST PAS UNE POUFIASSE ! NE L'INSULTE PLUS JAMAIS !
- Mon dieu, Tony… T'es atteint, hein ? Ca a peut être toucher le cerveau. Tu n'en garderas pas de séquelles, promis.
Elle grommela un « Je vais lui faire payer pour ce truc, à cette aliénée… ». Elle reprit, comme si elle s'adressait à un gamin de 5 ans.
- Ecoute Toto, une méchante fille t'as ensorcelée, mais c'est elle la pas sympa. Moi, gentille, elle, méchante. Compris ?
- NE DIT PAS DE MAL D'ANA ! TU NE SAIS RIEN D'ELLE !
- Tout doux, mon beau ! Je sais juste qu'elle a essayé de m'assassiner et que pour l'instant, c'est plutôt réussi. Je sais aussi que tu me fait perdre on temps.
- Traîtresse, cracha t'il, haineux.
Elle eu un rire amer.
- JE suis une traîtresse ? C'est fort, ça ! Mais t'inquiète, Anthony, je vais te guérir. T'es juste possédé. Dés que j'aurait trouver comme te libérer, tu deviendra le super gars que t'as toujours été et pas cette carpette lâche que tu es maintenant.
- Tu oses m'insulter !
- Ferme là, veux tu ?
- Je…
Il ne put pas continuer, que son ex-meilleure amie le stupéfixia.
- Franchement, Toto, dans cette version, t'est mieux muet.
Elle le traîna derrière un canapé massif, sous une couverture.
- Te fait pas de bile, je vais retrouver ta chérie, je nous sauve la vie et je revients pour te rendre un comportement décent…
Elle s'élança dans le couloir, désireuse de faire vite, glissa et se retrouva les quatre fers en l'airs. Elle dit deux ou trois mots indignes de sa condition et reprit sa course à la recherche d'Anabella, qu'elle retrouva dans le dortoir vide des filles de Serpentard.
- Ana, comme on se retrouve…
- Pansy, chérie, ton copain est légèrement changé, non ?
- Salope !
- Croit ce que tu veux, chérie, mais j'y ai prit beaucoup de plaisir…
- Mais tu es un monstre, vraiment !
- Pas plus que toi, Pansy. Mais pour mon cas, on dit un succube.
- Tu n'es pas un démon, juste une frapadingue.
- Je ne suis pas tout à fait un démon, mais c'est tout comme. Le but des succubes n'est t'il pas de prendre possession puis de tuer tout les obstacles masculins ?
- Reviens à la raison, Ana. Tu n'es pas une meurtrière, non ? Juste une fille un peu écervelée, juste ça…
- Tu es vraiment débile, Pansy, ou tu aime tant que ça te voiler la face ? Je SUIS une tueuse. Au service du maître.
- Ah, face de serpent reviens dans l'addition, c'est ça ? Tu veux faire le remake de « Joins-toi à mouaaaaaaaa ! Nous serons fortes, à nous deuuuuuux ! ». Pour moi c'est non, plutôt crever.
- Alors crève !
Pansy évita un stupéfix de justesse.
- Depuis quand tu sais tenir une baguette, Ana ?
- Oh, depuis environ 14 ans, en considérant le fait que j'en ai 17.
- Putain, j'ai manqué des parties de ton éducation, alors…
- Oh oui, celle ou j'apprend à maîtriser les impardonnables, notamment. Doloris !
- Manqué, chérie. Apparemment, j'ai au moins eu raison sur la partie « ne sais pas viser » !
- Et celle ou je deviens une pro en potion, aussi. Ma spécialité, c'est les poisons. Tu as aussi raté tout mon apprentissage auprès de ma grande tante Bellatrix Black, à ce que je vois. Doloris !
- Tu ne sais décidément pas viser, Ana. Alors comme ça, tu es l'élève de Bella ? Cette bonne vieille Bella ? Je vois d'où tu tiens les gènes de folie, alors. Cette forcenée transforme tout ce qu'elle touche sois en tas de cendres, sois en dément. Tu te rends compte, que quand tu l'auras tuée, ce sera toi, la grande Bella ? Anabella et Bellatrix, n'est ce pas du pareil au même ?
- Si, si… La grande Bella… Je suis puissante. Presque aussi puissante que toi, et ce n'est pas peu dire, d'après Bella. Joins-toi à nous Pansy, tu peux faire de grandes choses à mes côtés. En ce moment même, Draco réanime Dolohov et il va le prendre en charge. Abandonnera tu ton ami ? Ton seul ami ?
Pansy ne répondis pas, troublée. Toto…
- Je ne veux qu'être LIBRE !
- Ce n'est pas possible, imbécile ! Ce n'est plus possible. Maintenant, c'est la GUERRE ! Tu dois choisir ton camp.
- Non.
- Oh, c'est vrai, j'oubliais que je brise tes rêves… Faire bêtise sur bêtise, rigoler avec ton ami Dolohov, être la terreur de Poudlard en farces et attrapes… Tu te rends compte que tu as même réussi à devenir jolie ? Tu es quelqu'un de bien plus futile que moi, Pansy ! Regarde donc tes préoccupations : être libre, avoir des amis, faire ce que tu veut… Toutes plus superficielles les unes que les autres, comparées à mon besoin de POUVOIR ! Il n'y a que ça qui compte, chouchou, le pouvoir.
Pansy réfléchissait. Elle hurla, mécontente :
- Je ne veut qu'une seule chose : QU'ON ME FOUTE LA PAIX !
- Tu n'apprend et ne comprend donc rien ? C'est impossible.
- Oh, et pourquoi personne ne vient, alors que nous nous égosillons comme des chats à l'agonie ? Sonorus !
Pansy ne sourit même pas, sur d'échouer, ma il fallait le tenter.
- ANABELLA AVERY EST UNE MANGEMORTE !
- Ma pauvre Pansy. Pansy la Multicolore. Tu détestes ce surnom, hein ? Mais c'est sous lui que le lord te connaît. Et tu ne lui échapperas pas.
Pansy poussa un soupir résigner.
- Ana, je t'en prie…
- Tu implores ma pitié ? Oh, oui, vas-y, j'adore ça !
- Tu as trois options, fou le camp, tue moi ou meurs.
- Oh, Pansy s'impatiente ! Mais ne t'inquiète pas, nous ressortirons de cette pièce vivantes. On ne peut pas jeter le sortilège de mort dans l'enceinte de Poudlard sans que l'amoureux des moldus n'en soit prévenu. Et puis, tu es trop puissante pour que l'on te gaspille comme ça. Nous tenons ton ami Dolohov. Cette histoire à propos de son père, c'était faux, n'est ce pas ? Oh, il me l'as avouer quand nous avons partager certains moments intimes…
Pansy allait ouvrir la bouche pour protester, mais Anabella la coupa.
- Ne lui en veut pas chérie, c'est un mâle, après tout… Tu avais raison, l'autre soir. Aucun mâle ne me résiste, et Potter était déjà sur la liste. Ce n'est qu'une question de jours. D'ailleurs, celui qui va te torturer devrait arriver bientôt. Auquel préfère tu te soumettre ? Duquel veut tu être le vulgaire jouet ? L'objet sur lequel il pourra assouvir toutes ses pulsions, aussi perverses, aussi cruelles qu'elles soient… Oui, lequel choisit tu ? Tu as de la chance, tu les as tous à ta disposition… Tu peux avoir Draco, Crabbe, Goyle, Zabini… On peut même aller chercher Longdubat pour qu'on vous regarde vous ébattre sous contrainte… Ou bien, peut être préfère tu ton si cher ami… Anthony ?
- Monstre ! Tu es toi-même une femme, tu va les laisser me faire ça !
- Je peut le faire moi-même, aussi, si tu préfère ?
- NON ! Non, non, non et non ! Anabella reviens à la raison, laisse moi partir.
- Pansy, Pansy, Pansy… On ne peut fuir son destin. Le tien est d'être mangemorte. De coopérer avec moi. Ensemble nous ferons de grandes choses !
- Ce que tu peux être démodée, Anabella. Mais explique moi en détail ce qui m'attend si je refuse. Je suis une Serpentard. Au reste, je préfère tout de même ma vie.
- Ah voilà la Pansy que j'aime. Si tu refuse, chérie, un garçon quelconque, ou même une fille, viendra ici pour assouvir ses désires sur toi. Un, deux ou peut être trois… Ensuite, je pense qu'on te torturera, et enfin, on te sortira de Poudlard pour te tuer. Et puis, si tu fais des histoires en plus, nous tuerons aussi Anthony sous tes yeux. Cela te suffit t'il pour accepter, ou veut tu d'autre châtiments ? Nous pouvons te noyer dans le lac, aussi...
- Non, ça ira. Une dernière chose : qu'est ce que tu as fait à Anthony, Ana ?
- Oh, ça !
Anabella lui murmura quelque chose à l'oreille et Pansy se retint de pouffer. Oui, vraiment, Tante Bella avait raison : Anabella était presque aussi puissante qu'elle.
Pansy inspira profondément. Il fallait qu'elle soit forte, pour sortir de cette impasse où elle s'était stupidement jetée. Tant qu'à faire, elle allait se débrouiller pour sortir Toto de la merde dans laquelle il s'était fourré, lui aussi.
- Je refuse. Je refuse d'être le jouet, le pantin d'un vulgaire reptile. Je ne comprends pas, Ana, comment tu as put accepter ça.Face de Serpent ne sait même pas s'habiller correctement !
- Bien, bien… C'est merveilleux, ma Pansy. Souffre, souffre. Tu n'arriveras pas dans la gloire, mais dans la douleur. Tu as choisit. Alors, lequel ?
Anabella étira ses lèvres rouges dans un sourire cruel, et Pansy se demanda soudainement si elles n'étaient pas recouvertes de sang. Elle répondit d'une voix ferme :
- Anthony. Je choisis Anthony.
Anabella se retourna vers la porte et lança, réfrigérante :
- Vous pouvez faire entrer Dolohov.
Puis, elle saisit le visage de Pansy entre ses longs doigts fins.
- Passe une bonne nuit, mon enfant !
- Salope !
Pansy lui cracha au visage.
- Tu le regretteras, Ana, amèrement !
- Donne moi ta baguette, chérie. Ne t'inquiète pas pour moi, mon esprit supérieurement intelligent sais se tirer de TOUT les mauvais pas, puisqu'ils sont inexistant ! Pas comme toi, hein… ?
Elle lui arracha sa baguette des mains et sortit, toujours aussi triomphante.
Anthony se présenta face à elle. Debout, face à face, Pansy planta son regard dans celui d'Anthony. Gagner du temps, gagner du temps… Il fallait qu'elle soit prête pour faire la chose la plus difficile qu'elle est jamais envisagée.
Anthony eu un rire méprisant.
- Alors, Pansy, tu fait moins la fière, hein, Miss. Indépendante…
- Ta gueule, Anthony, tu ne sais pas ce que tu dis. TU es dans le tord. Tu veux vraiment servir d'essuie pied pour Face de Serpent ?
- Le Lord est juste. Il nous aime.
- Sottises. Tu es vraiment un con, envoûter, Anthony. J'espère vraiment que ce n'est pas permanent, ou je ne pourrais plus jamais te saquer.
- Tu parles comme une moldue, Sang de Bourbe !
- Qui me l'as appris, imbécile ? Toi !
- J'étais inconscient de la vérité. Le Lord est la vérité.
- Bon, à mon tour de te faire changer d'avis.
Elle se capa sur ses deux jambes, tel un cow-boy. Ses yeux multicolores se mirent à briller, mais Anthony était comme hypnotisé. L'œil bleu devint vert et l'œil vert devint bleu.
- Anthony, écoute moi.
- Je t'écoute.
La voix d'Anthony était impersonnelle au possible et celle de Pansy inspirait la peur.
Elle effroyable. De l'autre côté de la porte, Crabbe et Goyle était paralysés pat la terreur.
- Anthony libère toi. Suit moi. Rappelle toi.
- Je ne peux pas.
De l'autre côté de la porte, Goyle bougea un orteil. Pansy se reconcentra et il fut de nouveau immobilisé.
- Anthony, tu le peux. Libère toi. Suit moi. Rappelle toi.
Anthony ne répondit rien, et Pansy commença à s'énerver un peu. En fait, elle était en rage et les lampes de la pièce explosèrent.
- ANTHONY ! ECOUTE MOI ! LIBERE TOI ! SUIT MOI ! RAPPELLE TOI ! MAINTENANT !
- Oui.
- Sentinelles, TOMBEZ !
Crabbe et Goyle s'affalèrent par terre comme des poupées de chiffons. Zabini, qui passait par là, également.
Les yeux de Pansy récupèrent leurs couleurs respectives et elle vacilla. Anthony se précipita et elle s'évanoui dans ses bras. Il la regarda, un peut perdu.
Il reprit contenance.
- Je suis désolé, Pansy. Je pense qu'on a besoin d'aide là. Personne ne peut survivre seul, à part toi, et en l'occurrence, tu es évanouie, alors…
Il la souleva comme une plume et sortie du dortoir sans problèmes, enjambant Crabbe et Goyle, auquels il reprit la baguette de Pansy. La salle commune était vide, seulement gardée par un guignol de 6ème année, qu'un stupéfix terrassa aussitôt.
Anthony soupira et prit le chemin du bureau de Dumbledore, Pansy toujours évanouie dans ses bras, toujours bronzée, sur le chemin, deux mèches noires se détachèrent pour tomber sur le sol des couloirs glacés, vides à cette heure du déjeuner.
Le déjeuner… Dumbledore ne devait pas être dans son bureau !
Anthony décida de l'attendre. Arrivé devant cette affreuse gargouille, il tambourina dessus inutilement. Epuisé, il lui présenta Pansy.
- Ecoute, l'horrible, cette fille là, elle est super puissante. Attend donc qu'elle se réveille elle te fera exploser uniquement par la force de ses deux yeux.
- Tu ne m'impression ne pas, petit. Qui est cette fille ?
- Pansy.
- Pansy quoi ?
- Pansy la Multicolore.
- La Multicolore ? La Multicolore est évanouie ? Tu veux me faire croire ça, le mioche ? Je ne suis pas né de la dernière pluie. J'entends tout ceux que Dumbledore dit depuis qu'il est directeur !
- Elle ma libérée d'un envoûtement sans baguette, alors c'est normal qu'elle sois évanouie, imbécile ! Maintenant, ouvre toi, parce que j'ai ça baguette, et moi aussi je peut te faire exploser !
- Que ce passe t'il, Mr. Dolohov ?
Anthony se retourna pour se retrouver face à Dumbledore.
- Monsieur ! C'est Pansy, elle est évanouie !
- Montons dans mon bureau.
Une fois dans la pièce en question, Dumbledore coucha Pansy sur un canapé et se retourna vers Anthony.
- Raconter moi, Mr. Dolohov.
- Eh bien, sachez déjà que le Lord est impliqué.
- Ah, Voldemort !
Anthony frissonna.
- Sachez aussi que Pansy était très très hostile à venir vous voir, et que quand elle se réveillera elle sera très très en colère d'être ici.
- Ne vous inquiéter pas, je ne crains pas la colère d'une jeune élève de 17 ans.
Anthony le fixa, effaré.
- C'est pas vrai…
- Qu'y a-t-il ?
- Vous ne savez pas !
- Ne pas savoir quoi ?
- Que… Et bien, que Pansy est super puissante !
- Miss. Parkinson est…
- Pansy. Elle s'appelle Pansy, pas Parkinson. Pansy la Multicolore.
- La Multi…
- A cause de ses yeux !
Dumbledore se prit la tête dans ses mains.
- Comment ais-je pus être aussi aveugle ! Miss. Par… Pansy ! Mais raconter moi tout.
- Bon, Pansy et moi, nous aimons beaucoup faire des farces pour nous venger de nos camarades Serpentard, en particulier Miss. Avery, que Pansy méprise, mais qui est en vérité une jeune fille très capable. Nous avons voulut enregistrer une rencontre entre elle et Mr. Malefoy. Le lendemain, en récupérant l'enregistrement, nous nous sommes rendu compte qu'il continuait après l'entrevue. Il était enregistrer une conversation entre deux mangemorts, en l'occurrence mon père et Mr. Parkinson. Ils parlaient d'un poison que Miss. Avery nous aurait fait avaler. Nous avons coincé Anabella pour la forcer à avouer. Elle nous as révéler le nom du poison : de l'arsenic sorcier.
Ici, Dumbledore tiqua mais Anthony ne s'en aperçut pas. Il cherchait ses mots pour raconter la suite.
- Euh… Miss. Avery étant très euh… Je veut dire que… Je suis resté un peut plus pour lui soutirer plus d'informations à Anabella, contre la volonté de Pansy, qui est allée à la bibliothèque pour trouver le contrepoison. A ce moment là, Anabella m'a envoûter pour que j'accepte devenir mangemort. Puis elle est partie attendre Pansy dans le dortoir des filles de Serpentard. Pansy est arrivée, à essayer de me faire revenir à la raison, mais à finit par me stupéfixier. Elle est partie derrière Anabella. Mr. Malefoy m'a ranimer et nous sommes aller attendre devant la porte du dortoir, Pansy et Anabella étant à l'intérieur. Ana essayait de la convaincre. Elle a refuser et Anabella est sortie et à dit à tout le monde partir, sauf à Crabbe et Goyle. Elle m'a fait entrer pour que je torture Pansy. Mais Pansy m'a fixée dans les yeux et j'ai été comme hypnotisé. Ses yeux on inverser leur couleur et elle m'a dit de l'écouter, de me libérer, de la suivre et de me rappeler.
Dumbledore marmona dans sa barbe quelque chose qui ressemblait à « Désenvoûtement, hum hum, sans baguette, mkdfmsjdhjs puissant », mais Anthony poursuivi.
- J'ai refusé, encore sous l'emprise du sort et elle s'est mit en colère. Les lampes on explosées et elle s'est mit à crier. Elle était terrifiante. Elle a dit la même chose et cette fois ça a marché. Elle s'est évanouie. Je n'est eu qu'à enjamber les corps inanimés de Crabbe et Goyle et à stupéfixié un vigile incompétent pour vous retrouver. En vérité Pansy est…
- Très en colère !
Anthony se retourna, affolé.
- Pansy ! Content que tu sois réveillée !
- Anthony Dolohov… Qu'est ce que JE fais dans le bureau de Dumbledore !
- Mais Pansy, tu…
- Miss. Pansy. Calmer vous. Votre ami n'a fait que vous aider.
- M'aider ? Je n'ai besoin d'aucune aide, merci. Je peux partir, car j'imagine que ce qu'il était un train de vous raconter n'à aucun rapport avec moi, n'est ce pas, Tony ?
- En vérité, c'était un récit principalement centré sur vous.
- Toto, envoûter ou désenvoûter, tu ne peut pas t'empêcher de faire des bourdes ! Je sors des griffes d'un esclavagiste pour tomber dans les mains d'un autre. Merci, votre guerre ne m'intéresse pas. Je veux JUSTE que l'on me fiche la PAIX. Compris ? « Pansy, joins toi à nous, nous serons fort », « Nous sommes le camp du bien » ou « Nous sommes le camp de la puissance », c'est blanc bonnet et bonnet blanc pour moi ! Je m'en fous, je ne veux RIEN.
- Miss. Parkinson…
- Pansy, je m'appelle PANSY.
- Pansy la Multicolore, c'est vrai…
Pansy détourna la tête troublée. Ce surnom n'était pas vraiment moqueur, elle le supportait mais… « Pansy la Multicolore. Tu détestes ce surnom, hein ? Mais c'est sous lui que le lord te connaît. Et tu ne lui échapperas pas... » Les paroles d'Anabella lui revirent en tête. Le Lord te connaît… »
- Vous êtes comme Voldemort. Vous me voulez pour votre camp, pour ma puissance, si vraiment elle existe. Essayer le coup sur Anabella, cette détraquée est bien mieux disposée que moi ! FOUTEZ MOI LA PAIX !
- Je ne peux pas vous laisser ressortir d'ici, vous êtes en danger.
- Je vous préviens, je suis en colère. Je la sens qui monte, la rage. La rage.
- Je ne vous crains pas, Pansy.
- Vous devriez.
Les yeux de Pansy échangèrent de couleur et ils se mirent à briller. Dumbledore se leva.
- Miss…
Tous les objets en verre de la pièce explosèrent, y compris les fenêtres et Dumbledore tomba, assommé.
XOXOXOXOX
Fin du chapitre, à la semaine prochaine ! Please reviews !
Votre auteur qui vous adore, vous, les bretons et les Irlandais :
Green Mamba !
