Attention, tremblez, devant SuperPansy ! La revoilà pour de nouvelles aventures !

N'oubliez pas que JE VOUS ADORE !

Enjoy !

Note : Dans le dernier chapitre, j'ai mit les RAR qu'un jour après avoir poster, parce que je les avais oubliés ! J'espère que vous n'avez pas raté votre piti message. Ah oui, les « o » signifient en changement de point de vue.

RAR :

Ludreka : Salut, salut ! T'inquiète pas pour ce vieux Dumby, y va s'en remettre ! Pour Dolohov senior t'inquiète pas pour lui, il va se prendre une raclée, mais pas à cause de ça. Et puis, pour Face-de-Serpent… Et bien, oui, il va faire son apparition, mais pas tout de suite… Tu sais, c'est les méthodes de Tu-sais-qui, de ne jamais apparaître. Et puis, il ne va pas se déranger pour une gamine de 17 ans, quand même… N'oublions pas que c'est le big boss !

Ayuluna : Bonjour, bonjour ! Comment ça va ? Et oui, on en découvre plus sur pas mal de personnes… Nop, Tony et Pansy ne vont pas se marier. Ils auraient dut, mais le destin en a décidé autrement ! Par contre, dans ce chapitre, volte face spectaculaire de l'auteur, et cela grâce à toi ! Je ne pouvais pas me résoudre à faire de Draco un sale petit rat, surtout que je viens de finir le tome 6, alors j'ai un élan d'amour infini pour mon piti Dracouninouchet !

Disclaimer : Tout ceci appartient à Joanne Kathleen Rowling.

Avec adoration, votre auteur :

Green Mamba !

Pansy, ou l'art de refaire sa vie en s'amusant

Chapitre 4

Anthony tremblait comme une feuille morte. Pansy, elle souriait doucement, contemplant Dumbledore d'un œil désolé. Anthony s'approcha à pas lents.

- Pas un geste, Tony.

Il s'immobilisa. Mais elle lui sourit, bienveillante.

- Tu ne restes plus jamais seul dans la même pièce qu'Anabella ! Tu vas bien, au moins ? Pas de séquelles, à ce que je vois.

- Oh, si il y en as.

Anthony fut un moment content de retrouver sa bonne vieille Pansy, mais son visage s'assombrit des qu'il prononça ces mots. Pansy le scruta, inquiète.

- Quelles séquelles ? Je ne vois rien !

- Elles sont… euh… Psychologiques…

- Tu n'as pas l'air d'avoir une case en moins…

- Dans le domaine de l'affectif…

- Non !

- Si… J'aime toujours Anabella...

Pansy le regarda, presque dégoûtée.

- Mais Toto ! Cette fille est cinglée !

- Je… Je sais. Mais… Je n'y peux rien, je l'aime tout de même. Ne t'inquiète pas, Pansy, je ne serrais jamais rien pour elle, alors je n'insiste pas. Je ne veux pas devenir mangemort. Je n'ai pas tenu tête à mon père pour rien.

- Tu es un mec bien, Tony. Vraiment. Je compatis. En attendant, sortons avant que Mr. Joint-toi-à-moi ne se réveille.

- Dernière chose : Tu as vraiment réussi à assommé Dumbledore, le plus grand sorcier de la communauté ?

- Bien sur que non ! C'est cette espèce de truc en argent qui lui est tombé dessus !

En riant, Pansy lui désigna une énorme coupe, qui se trouvait à terre à côté du visage de Dumbledore. Anthony soupira.

Tout de même, Dumbledore assommé par une fille de 17 ans…

Pansy se sentait puissante, un peu comme les tueuse de monstres dans les séries télévisée moldues. Elle défonça la porte d'un coup de pied, juste pour le plaisir du spectaculaire. Elle se défonça aussi le pied par la même occasion mais réussi à rester impassible, s'attirant les regards admiratifs d'Anthony.

Ils sortirent du bureau, dont le sol était jonché de bout de verres. Ils dévalèrent les escaliers et Pansy se reteint de faire exploser la gargouille. Ils regagnèrent le Q.G, et s'effondrèrent sur les canapés. Anthony faillit mettre ses pieds sur la table, mais Pansy l'en empêcha d'un regard moqueur, histoire de lui remémorer l'hilarant épisode de la baignoire.

A l'unisson, ils poussèrent un merveilleux soupir synchronisé. Pansy se mit à faire les cents pas.

- Bon. Il faut qu'on parle.

- D'accord avec toi.

- Déjà, point 1 : Je ne remet plus jamais les pieds dans le bureau de cet hurluberlu.

- Mais Pansy…

- C'est non. Never. Nunca. Jamais.

- OK, te met pas en rogne. Je voulais juste t'aider.

- Oui, oui, bien sur, débordant de bonnes intentions, tu m'amènes chez le second plus grand psychopathe de notre temps, qui, comme le premier, à de sérieuses tendances esclavagiste. On en avait déjà discuter, non ?

Elle enfonça son regard bicolore dans celui d'Anthony. Celui-ci frissonna.

- Putain, ma vieille, arrête avec ça ! Tu me fous la trouille ! On en avait déjà parlé, peut être, mais maintenant c'est fini. Et je t'assure que Dumbledore est bon.

- Je n'en ai rien à foutre. MOI, je ne suis pas bonne, loin de là. Je ne veux PAS appartenir à un camp. On dit comment, déjà ? Ah oui, neutre ! Alors, Dumby, c'est NON.

- D'accord. Je pense que j'ai compris maintenant.

- Ensuite, point 2, tu as gardé une séquelle de ton envoûtement. Comme ça, tu craques désormais pour Ana. Je devrait immédiatement m'éloignée de toi, mais je suis une imbécile sentimentale, alors éloignons cette possibilité.

Anthony lui sourit, rassurant dans son calme. Mais l'étincelle de peur dans ses yeux éteignit vite celle de joie. Le cœur de Pansy se serra.

- Je… Euh… Oui, donc, je ne peut rien y faire pour l'instant, à part te mettre en garde : cette fille à péter les plombs. Elle est possédée. C'est Bella 2 !

- Bella 2 ! Bella comme… La grande Bella ?

- Oui, Anabella et Bellatrix. Du pareil au même. L'élève et la maîtresse. L'apprentie cinglée sanguinaire et la cinglée sanguinaire tout court. Mais bon, voyons le bon côté des choses : tu aime la moins folle des deux. Sujet classé.

- Vu comme ça, oui, il y a de l'espoir dans nos cœurs…

- C'est ça, moque toi… Mais voyons plutôt le point 3 : Je suis une surdouée de la magie, et pendant 7 ans, personne ne l'avait remarquer, pas même moi ! Comme c'est étrange ! D'un jour à l'autre, je devient surpuissante, plus qu'Anabella, je devient convoitée par les deux Bouffons-de-Pouvoir et j'arrive à pratiquer la haute magie sans baguette autrement qu'en théorie. C'est impossible. C'est un canular.

- Mais, non, je t'assure que c'est vrai. Tu es Superwoman !

- Si tu la fermais, Anthony, au lieu de dire des conneries pareilles !

Pansy le foudroya et se mit à arpenter la pièce avec plus d'ardeur que jamais, en rage.

Une des torches se consuma complètement. Anthony la fixa, incrédule. Lentement, il prit la parole.

- Tiens, tu connais le point 4 ? Je vais t'informer : ma meilleure amie a devient aussi malade mentale que celle que j'aime. La preuve, elle me traite comme si j'étais un déchet de l'univers ! Tu te rends compte, mon amie de toujours, me faire ça !

Il la fixait toujours, moralisateur. Pansy ralentit progressivement, comme si son cerveau intégrait les différentes données de ce discours. Elle finit par se laisser tomber à côté d'Anthony.

- Oh mon dieu, excuse-moi, Toto, mais j'ai les nerfs. C'est vrai que le point 4, c'est une belle abomination, mais tu ne connais pas la meilleure ! Le mien, d'ami, à peur de moi, comme si j'étais une bombe prête à exploser qu'il tenait à pleines mains ! Tu te rends compte ! Mon meilleur ami à une sainte trouille de moi ! Tu sais ce qu'on fait avec les bombes prêtes à exploser, Anthony ? On les jette au loin.

Ils se regardèrent et se sourirent amèrement. Anthony cligna des yeux, et finit par afficher une moue contrite, aussitôt reproduite sur le visage de Pansy. Elle parla :

- Nous sommes ridicules.

- Je sais.

Et à bout, ils s'endormirent.

XOXOXOXOX

Une heure plus tard, Pansy s'éveilla, et aussitôt elle eu l'impression qu'on s'amusait à faire des nœuds de matelots avec ses intestins. Elle gémit et s'effondra sur le sol. Une main d'acier lui comprimait la tête, la faisant souffrir le martyr.

Son estomac la brûlait atrocement, comme léché par les feux de l'enfer.

Elle hurla, et Anthony sauta sur ses pieds.

Il la contempla, effaré, puis, se mit en devoir de la secouer.

Effet désiré, Pansy reprit sa respiration, comme une nageuse qui crève la surface des flots.

Elle s'assit sur le canapé, le souffle saccadé. Anthony l'observait, effaré :

- Qu'est ce que… Qu'est ce qui s'est passé ?

- Je ne sais… J'ai eu l'impression que… Putain, j'ai eu TRES mal ! Puis, brusquement, ça s'est apaisé.

- Il faut aller voir Dum…

- La bibliothèque ! Oui, tu as raison, il faut aller voir là-bas ! C'ests sûrement un effet du poison !

- Mais Pansy…

Elle l'assassina du regard, impitoyable, et Anthony bénit le ciel qu'elle n'est pas encore trouver comme tuer les gens avec ses yeux… Si particuliers, ses yeux…

- Ecoute, Anthony : On a un sérieux désaccord là-dessus. Mais je ne comprends pas pourquoi tu t'obstines. Pour moi c'est non. On ne va pas reparler de ça, si ?

- Mais Pansy, sois réaliste, quitte un peut tes principes de fillette rebelle ! Tu as 17 ans, dans une période de guerre, et en plus, tu possèdes des pouvoirs quasi surnaturels ! Tu ne peux pas rester neutre !

- Je m'en fou, Anthony. J'en ai décidé ainsi. Va voir Dumbledore, il saura te protéger, tu apporteras ton aide précieuse au camp du bien, j'en suis sure. Mais pour moi, le bien et le mal n'existent pas, il n'y a que la liberté et ceux qui sont trop faible pour la rechercher !

Anthony recula d'un pas, troubler. Cette phrase ! Mon dieu…

- Pansy…

Ecoute, Anthony, on a trop discuté à propos de ses trucs imbéciles. Rien ne m'intéresse là dedans, moi, je vais voir à la bibliothèque. Maintenant que j'y pense, et si le pouvoir était un effet du poison ? Je vais voir si l'arsenic a déjà provoqué une montée de pouvoir chez quelqu'un de banal…

- Tu te qualifies comme banale ?

- Ben… Oui… ?

Pansy lui jeta un regard mal assuré et il rigola. Banale, Pansy…

- Ne dit pas n'importe quoi, tu es unique.

- Mais oui, comme six milliards d'autres personnes dans le monde. Maintenant, j'y vais.

Elle se dirigea vers la porte d'un pas vif, un peut trop vif même. Elle sortit en courrant, à une vitesse qui aurait fait passer un champion olympique de sprint pour un gastéropode handicapé.

Anthony resta planter là, bouche bée, faisant rentrer une par une les données dans son cerveau fatiguer.

Il ressentit le terrible besoin de voir Anabella, mais il le repoussa loin dans son esprit, et l'ensevelit sous une montagne d'idées perverse.

Il repensa longuement à tout ce qui leur était arriver. Les superpouvoirs de Pansy, son envoûtement, le refus de prendre parti de Pansy, le poison, Dumbledore, Voldemort, Anabella… Si belle, Anabella… Si charmante, si parfaite, si… Tarée.

Il se leva.

Au diable les idéaux de Pansy, lui, il ne voulait pas mourir empoisonné.

D'un pas vif, il se dirigea vers le bureau de Dumbledore.

o

Pansy faillit défoncer la porte de la bibliothèque tellement elle y entra vite. Mme. Pince l'invectiva plus bruyamment que violemment, mais Pansy l'ignora superbement.

Elle courait le long des rayons et s'emparant au passage de tout les livres qui avait une infime chance de l'aider.

Depuis le « Guide des poisons sorciers » et « Comment lutter contre la mort » jusqu'à « Le pouvoir surdéveloppé » et « Les effets secondaires impressionnants ».

Elle se prépara à une longue nuit de lecture.

Elle ferma les yeux, et se sentie apaisée, comme si elle avait projeter un rayon laser avec pendant toute la journée, et qu'elle venait enfin de l'éteindre.

Tranquillement, elle se pencha sur le premier pavé et commença sa lecture.

o

Anthony frappa « poliment » à la face de la gargouille, et Dumbledore vint lui ouvrir, tellement le tapage était grand.

- Mr. Dolohov ? Que puis-je pour vous ?

- Déjà, m'empêcher de mourir, ça serrait bien…

- Ah oui, l'arsenic sorcier…

Dumbledore se retourna et s'assis à son bureau, la mine pensive. Par je ne sais quel sort, il avait récupérer tout les objets qui était récupérable, et on aurait jamais deviner qu'une élève en furie avait fait exploser la pièce une heure et demi plus tôt. Elle était seulement moins encombrée. Le directeur remarqua son regard.

- Oh, cela arrange plutôt la décoration, vous ne trouver pas ?

- Euh… Oui… Plutôt.

- Votre amie à vraiment une puissance étonnante…

Il désigna un petit tas de cendres, ou trônait un minuscule oisillon déplumé et parfaitement répugnant. Il soupira à nouveau.

- Elle a même réussi à faire se consumer Fumsec.

- Ah… Oui, c'est… Prodigieux…

o

Pansy finit de remettre en place le dernier livre à traitant des poisons. Sa recherche sur les montées de pouvoirs était restée aussi inutile que celle sur les poisons. Elle prit un énorme volume sur une étagère, elle l'étala sur une table. Sur la couverte, en lettres d'or : « Traité d'invisibilité à l'usage des grands mages ».

Elle se mit à le feuilleter à la vitesse de l'éclair, les pages s'imprimant dans sa rétine.

o

Anthony jeta un regard suspicieux à son directeur. Devenait t'il sénile ? Anabella était si belle… Il jeta un dernier coup d'œil méprisant à l'oiseau avant de se concentrer sur Dumbledore.

- La Multicolore vous a-t-elle parlé de l'arsenic sorcier ?

- Non, elle n'a pas eu le temps.

- A quoi avez-vous passé toute cette heure, alors ?

- En grande partie à dormir, et quand nous nous sommes réveillés, à nous disputer.

- Pour qu'elle raisons, si ce n'est pas indiscret ?

Le directeur le dévisageait, curieux.

- Oh, c'est simple. Pansy désire rester neutre, au péril de sa vie. Moi je préfère vivre. Je vous offre mes services.

- Bien, Mr. Dolohov, très bien. C'est décision sage que celle que vous venez de prendre. La neutralité n'est plus possible à ce niveau de la guerre. La Multicolore ne l'a a encore compris. La Suisse n'a pas sa place dans l'addition, pour une fois…

- Vous avez raison. Mais mes services on une condition…

Dumbledore murmura quelque chose qui ressemblait à « Serpentards, tous les mêmes… ». Puis, il planta ses yeux bleus dans ceux d'Anthony.

- Qu'elle est votre condition, Mr. Dolohov ?

- Je veux pouvoir aider Pansy à son insu. C'est mon amie, et je ne tolérerais pas qu'elle meure.

- Mr. Dolohov… Rendez-vous compte. Votre amie est perdue pour nous. Voldemort l'aura, c'est certain. Elle a trop de pouvoir pour ne pas céder pour en acquérir d'autres. Elle y a prit goût.

- Non, je suis certain que non. Pansy n'aime pas le Lord.

Anthony se surpris à vouloir quitter ce bureau pour finir dans les bras d'Annabella, mais le directeur poursuivi.

- C'est écrit, Anthony. Elle est perdue dans des ténèbres trop profondes pour qu'on l'en sorte.

- Mais…

- Voldemort pense à elle. Il à son regard plaqué sur La Multicolore.

o

- Je suis invisible !

Pansy triompha un bref instant, en silence. Avant de se diriger vers la réserve. Le panneau « Interdit » bougea à peine quand elle le souleva pour pénétrer dans la pièce.

Elle parcourut de la main tous les livres de la pièce circulaire. Il y faisait aussi noir que dans un four, mais elle distinguait tout les titres des illustres ouvrages aussi distinctement que si ils étaient en pleine lumière.

Sa main s'arrêta sur une tranche et se fit caressante.

Elle redessina du doigt les lettres de sang qui l'ornai : « Poison mortels »

o

- Oubliez là un instant, Mr. Dolohov. Jurer votre appartenance a notre camp, et je vous dirait l'antidote.

Anthony fit le serment, presque avec empressement. Il devait oublier Anabella, ses jambes, cette envie irrésistible d'aller la voir, de l'aimer, de l'embrasser… STOP !

Dumbledore sourit.

- Revenons à notre poison. L'arsenic sorcier est mortel.

- J'avais compris, merci. Pansy ne m'a rien dit sur l'antidote, mais je suppose que vous le connaissez mieux qu'elle…

- Oui, sûrement… Je suis désolé pour vous, Anthony…

- Qui a-t-il ?

Dumbledore garda le silence.

- Qui a-t-il ?

Le directeur restait muet.

- Dumbledore ! Parlez, immédiatement !

Le vieillard lui lança un regard triste.

- Il n'existe pas d'antidote à l'arsenic sorcier.

o

Pansy passa sa langue sur ses lèvre, gourmande. Il existait un antidote à l'arsenic sorcier !

Le seul…

L'unique…

L'antidote.

Délicieusement impossible.

Pansy sourit.

Elle resterait en vie, et Anthony aussi, avec un peu de chance.

o

- Vous resterez en vie, mais pas votre amie, avec un peu de chance.

Anthony lança un regard ahuri à Dumbledore.

- Que… Que voulez vous dire… ?

- Désolé, Dolohov, mais ici, il n'y a pas de place pour les neutres.

- Dumbledore ?

- Votre amie est vouée à la mort. Mais mon Ana à su faire de vous un bon chien-chien. Vous n'êtes pas moche, en plus, elle vous prendrait bien comme amusement, pour la distraire de son mariage avec le jeune Malefoy.

- Mais… De quoi parlez vous, nom de Dieu !

- On ne jure pas, mon chou…

Anthony recula vers la porte. Une peur panique commençait à le paralyser, à envahir ses membres, à brouiller son cerveau. Il s'escrima sur la poignée de la porte, en vain.

Quand il se retourna, ce n'était plus le vénérable directeur de Poudlard qui se tenait sur la chaise, mais une tout autre personne.

- L'amoureux des moldus est mort, Dolohov, depuis longtemps ! Le Maître s'en est occupé personnellement !

Bellatrix Lestrange, anciennement Black, éclata d'un rire de possédée.

o

Pansy éclata d'un rire de possédée, qui aurait paralysé n'importe qui.

Une sourit qui traversait la pièce se figea.

D'un pas conquérant, Pansy sortit de la réserve, avant de recouvrer sa visibilité.

Elle fit les cent pas, réfléchissant au meilleur moyen de se procurer cet antidote.

Elle dû vite se rendre à l'évidence. A part… Il n'y en avait aucun.

Et enfin, elle se laissa tomber sur un canapé de la bibliothèque, abattue.

Ce contrepoison était tellement… Inhumain. Celui qui avait trafiqué l'arsenic moldu devait ne plus avoir de cases du tout, pour avoir conçu un antidote si pervers.

Elle soupira.

- L'antidote qui m'empêcherait de mourir, ainsi que mon meilleur ami, est atroce et impossible à réaliser, et comme si ça ne suffisait pas, je commence à ressembler à toutes les femmes puissantes de monde… Impitoyable, déroutante, faussement douce, un vrai iceberg ! Pfff… Monstrueusement prétentieuse, aussi.

- Pathétique, n'est ce pas… Parce que tu ne connais pas les hommes puissants de se monde…

Pansy releva la tête, pour tomber, sur…

Draco Malefoy.

Elle se recula comme si elle avait peur de se brûler, accompagnant son recul d'une expression apeurée.

- Pars ! Mais pars ! Dégage ! Je… Je ne veux pas te voir !

- N'ai pas peur.

- Je n'ai pas peur !

Mais elle tremblait. La marque de la blessure que cet homme lui avait infligée était tatouée au fer rouge dans son esprit.

- Si. Tu as peur. Désolé.

Il avait l'air franchement repentant. Et tout au fond de ses yeux, cette lueur qu'elle n'y avait vue.

La douleur.

Tout sentiment de frayeur disparut de sa pensée.

- Que veut tu, Malefoy ? Parle, et vite.

Il sourit, amer.

- Tu redeviens la Pansy que j'ai put observer ses derniers jours. Je veux rester avec toi.

- Pardon !

- Je veux rester avec toi. Nous avons les mêmes problèmes, les mêmes ambitions et je pense que tu as en ta possession un antidote contre un certain poison…

- Pourquoi veut tu l'antidote ?

La douleur revint dans ses yeux, mais rien d'autre ne le laissait paraître. Pansy se rendit compte que si elle n'avait pas cette particularité de lire les émotions dans les yeux, elle n'aurait jamais su qu'il souffrait. Il resta pourtant silencieux.

- Pourquoi veut tu l'antidote ?

- Ma chère fiancée en a par mégarde renversée dans mon verre, le lendemain du jour ou mon père avait rédigé mon testament en sa faveur…

XOXOXOXOX

Fin du chapitre !

Merci à Ayuluna, pour l'adorable idée d'un Draco Malefoy qui ne serait pas un atroce crétin !

Je viens de finir le tome 6, et j'en suis encore tout exitée !

A la semaine prochaine ! Please reviews !

Votre auteur qui vous adore, vous, Draco Malefoy et Spike :

Green Mamba !