Alors, voilà je reviens après tout ce temps !

CE N'EST PAS DE MA FAUTE SI IL Y A UN RETARD ENORME ! C'EST QUI M'A PAS LAISSEE POSTER, CE CHAP EST PRES DEPUIS DES MOIS !

Voilà, me suis défendue.

Et maintenant, j'ai une bêta-lectrice ! Enfin, je sais pas si elle va accepter de continuer. Mais se chapitre, c'est corrigé par elle.

Mwahahahahahahaha !

Vous pouvez donc dire merci à NalaH, qui sauve les amateurs d'orthographe de la crise cardiaque !

Je vous adore tous autant,

Green

RAR (Y que mes fidèles amies qui m'ont des reviews… vous boudez ?) :

Pitty zeu patate : Tu ne pouvais pas trouver un pseudo plus ridicule, ma très chère amie ? XD ! Bon, la prochaine fois, laisse ton adorable adresse pour que je puisse te répondre direct. Pour ton information c'est DRACO the One ! Alors, hein, si tu m'énerves, je fais mourir Toto ;) ! Aller, j'attend de tes mirifiques nouvelles…

NalaH : Ah ma très chère Nala, une chance que tu es mit cette review, hein ! On ne se serrais jamais rencontrée, si non :D ! Aller, encore merci pour ta correction ! J'arrive ENFIN a poster ! Vive Salazar !

Annonce : Dîtes, si quelqu'un connaît une certaine Patricia Breton, vous pourriez lui dire de reprendre contact avec moi ? Hotmail a effacer son e-mail, et depuis, je n'en peu plus de curiosité.

Disclaimer : Tout ceci appartient à Joanne Kathleen Rowling.

Avec adoration, votre auteur :

Green Mamba !

Pansy, ou l'art de refaire sa vie en s'amusant

Chapitre 6

Draco et Pansy discutaient, se disputaient, s'insultaient allégrement quand Pansy mit brusquement fin au festivités.

- On y va.

Elle se mit debout, aussitôt imitée par Draco.

- Dans le bureau de Rogue ?

- Non, en Alaska.

- Là, maintenant ? Tu ne veux pas faire par un détour par ma chambre, avant ?

Pansy se contenta de lui envoyer un regard moqueur, qui sembla le vexer.

Ils cheminèrent donc côte à côte, obstinément muets, perdus dans leurs pensées.

Pansy était retournée.

Littéralement.

Ce revers de situation lui faisait un effet bizarre.

Draco, son Draco…

Hum, enfin, le Draco qu'elle avait si longtemps considérer comme étant le sien.

Ce Draco là, celui qui l'avait mit dans une rage telle qu'elle avait faillit abréger ses jours sur terre.

Le garçon, ou plutôt l'homme, pour lequel elle avait faillit mourir.

Le plus étonnant était sûrement l'atmosphère qui régnait entre eux.

Elle n'était pas gênée en sa présence, et lui non plus.

C'était comme s'ils avaient tiré un trait définitif sur le passé.

Ils se jouaient l'un de l'autre avec un plaisir évident et une symbiose extraordinaire.

Les piques comme cette dernière de Draco, quoi qu'en plus fines, affluaient ici et là dans leur conversation, plaisanteries qui se veulent innocentes.

Quand il commença à faire de plus en plus sombre, à cause de leur avancement dans les entrailles du château. Pansy finit par se demander s'ils n'étaient pas tout les deux entrain de errer au hasard, se suivant l'un l'autre.

Elle allait réagir quand Draco la plaqua soudainement contre le mur, derrière une statue.

Pansy sourit avec défi mais secoua la tête, faussement déçue.

- Désolée, Dray, mais ce n'est pas le moment.

- Ferme-la et écoute.

Vexée, Pansy obéit néanmoins. En effet, des bruits de pas et de chuchotements se firent entendre au bout du couloir. Elle reconcentra son attention sur Draco, qui observait sa réaction.

Elle lui fit une moue boudeuse et il en profita pour se pencher à son oreille.

-Mais c'est quand tu veux, chérie…

En guise de réponse, elle lui écrasa férocement le pied. Le pauvre Draco ne put exprimer sa douleur que par une grimace, car les pas s'étaient arrêtés juste en face de leur cachette.

Provocatrice, Pansy en profita pour se rapprocher encore plus de Draco.

Enlacés étroitement, ils prêtèrent l'oreille au chuchotement.

- Harry, que dit la carte ?

- Vous n'allez pas me croire !

Le gang de Potter. Il ne manquait plus qu'eux.

Grâce au contact physique, Draco et Pansy se sentirent soupirer en même temps. La voix de Potter reprit, moqueuse :

- La Multicolore et Malefoy sont tellement collés derrière cette statue qu'on ne les distingue presque plus !

Des mauvaises nouvelles en perspective…

Avant même qu'ils aient le temps de se demander mais comment diable Potter les avait-il découvert qu'une voix furieuse hurla un « QUOI ? » tonitruant.

Pansy pâlit dangereusement, puis devint plus blanche qu'un mort quand une main arracha Draco de son étreinte aussi facilement que si c'était un brin d'herbe. Elle frôla l'arrêt cardiaque quand elle découvrit le visage du propriétaire de la main.

- Anthony !

Puis son regard revint sur Draco qui essayait péniblement de se mettre debout, encore appuyé sur un coude.

Mue par un élan inconnu, elle passa devant Anthony pour aller l'aider.

Quand se fut fait, ils se jetèrent des regards en biais avant de faire face à l'ennemi.

Harry Potter, hilare, Hermione Granger, attendrie, Ron Weasley, méprisant et Anthony Dolohov, haineux.

Anthony passa à l'attaque.

- Alors, Pansy, tu fricotes avec sa royale blondeur, maintenant !

Draco réagit, et très mal.

- Vous faites une fixation sur mes cheveux, ou quoi ? Et Pansy ne t'appartient pas, que je sache !

Etrangement, cela ne dérangeait absolument pas Pansy que Draco prenne sa défense.

Dans tous les romans qu'elle avait lut, cela mettait l'héroïne hors d'elle.

Personnellement, elle trouvait ça plutôt agréable de ne plus avoir à répondre aux crétins.
Draco et Anthony se dévisageaient. Anthony revint à l'attaque.

- Tu n'as pas à t'approcher de Pansy, monstre ! Elle a faillit mourir à cause de toi, et tu OSES la regarder !

- Pansy est ici de son plein gré. Et tu n'as aucun droit sur elle.

- Salop ! Tu n'es qu'un salop ! Elle est comme ma sœur et je lui interdis de fréquenter un sale Mangemort comme toi !

D'un mouvement brusque, Anthony attrapa le bras de la jeune fille.

Aussitôt, Draco lui décrocha un coup directement dans la figure et il lâcha prise.

Durant une fraction de seconde, le jeune Malefoy se tourna vers Pansy et lui adressa un sourire victorieux.

Le temps que tous les regards se détournent d'Anthony à terre, il s'était déjà retourné, comme pris dans une rage froide.

- Tu ne touches pas à MA petite amie. Je ne tolérerais pas que tu lui fasses du mal. Je dis ça pour toi, bien sur.

Pansy soupira intérieurement. Draco était vraiment un génie. Il savait tourner n'importe quelle situation à son avantage. C'était un beau salop aussi. Maintenant, toute l'école serait au courant le lendemain et elle ne pourrait démentir sans leur infliger une grande honte à tout les deux.

Elle reporta son attention sur le moment présent. Jouer le jeu, jouer le jeu.

Anthony et Draco semblaient sur le point de se jeter l'un sur l'autre.

D'un élan tout à fait naturel, elle retint son soi-disant petit ami par le bras.

La tension montait à une allure folle et la rage était palpable...

…Quand un gloussement se fit entendre.

Hermione Granger pouffait derrière ses mains.

Aussitôt, Potter et Weasley soupirèrent à l'unisson, visiblement exaspérés.

- Je… Je suis… désolée !

Tout le monde la fixait, ahuri. Potter se lança dans les explications.

- Depuis qu'elle sort avec mon ami Ron, Hermione s'est prise d'un amour infini pour le romantisme. Elle pleure pendant des heures sur des films imbéciles.

- Harry ! s'indigna la concernée. Mais regardez vous, vous trois, les Serpentard ! Draco Malefoy, le grand Draco Malefoy, froid et insensible, vient de défendre bravement Pansy P… La Multicolore, celle qu'il a méprisé pendant 7 ans ! Draco Malefoy est profondément amoureux, et c'est réciproque ! C'est tellement mignon !

Potter et Weasley éclatèrent de rire pendant que Pansy et Draco se rapprochaient inconsciemment l'un de l'autre en quête de réconfort. Anthony, quand à lui, allait du rouge au blanc en passant par le vert.

Potter, encore hilare, reprit la parole :

- Mon dieu ! Je ne l'aurais jamais cru ! Je pensais que c'était une mise en scène. Mais quand Hermione prophète à propos d'une relation amoureuse, elle ne se trompe jamais !

Cette fois, Draco et Pansy étaient collés l'un à l'autre, très, très, gênés.

Dans un effort admirable, Draco tenta de reprendre contenance.

- Et bien, merci pour l'oracle, mais on va retourner gentiment à nos activités et vous aux vôtres.

Nouveaux rires, sauf de la part d'Anthony. Celui-ci les regardait toujours, incertain.

Pansy lâcha Draco pour se hisser sur la pointe des pieds et coller un bisou sur la joue de son meilleur ami.

Derrière elle, Draco s'empourpra imperceptiblement.

- Ne t'inquiète pas, Tony, Draco sais bien se tenir, maintenant. Promis, pas de plongeons dans le lac.

Anthony hocha très légèrement la tête et cela suffit pour que, sans un mot, Pansy entraîne Draco quelques couloirs plus loin.

Une fois seuls, elle lui colla une claque de premier choix.

- Non mais tu es un vrai…

D'un baiser, Draco la coupa.

Agréablement surprise, Pansy le fit durer quelque peu avant de s'écarter et d'envoyer une deuxième claque au visage de son « bien aimé ».

- Salop.

- Mais chérie, nous sommes ensemble.

- Bravo. Vraiment bravo. On ne t'a jamais apprit à demander poliment ?

- Pansy, tu veux sortir avec moi s'il te plaît ?

- Hummm… Oui !

Et ce fut elle qui l'embrassa.

OoOoO

Du côté des compères Dumbledoriens, c'était l'heure de la cogitation.

Granger, appuyée sur Weasley, soupirait d'un air profondément béat.

Weasley, quand à lui grommelait des inepties.

Potter était perdu dans ses pensées, le visage insondable, comme d'habitude.

Anthony, lui rageait intérieurement.

Pansy. Pansy. Pansy avec cet espèce d'hypocrite de Malefoy !

Et Anabe…

Non, non.

Il s'ébroua comme un chien mouillé, tentative veine de se vider la tête.

Qu'allait-il faire, maintenant !

Le leader du bien, liquidé, remplacé par une psychopathe.

Pansy en couple avec Malefoy.

Lui-même sous la coupe d'Anabella.

Lui en la présence du gang de Potter.

C'était la fin du monde.

- Hey, mais qu'est ce qu'on fait là ?

La voix de Potter. En effet, il était temps de réagir.

Ils déambulaient sans but depuis un certain temps déjà.

Tous se regardèrent, sans aucune idée de la réponse.

- Mais on n'était pas partit à la recherche de La Multicolore ?

- Je… euh…

En vérité, tous étaient extrêmement confus.

Etaient-ils partis voir Pansy ? Si oui, ils l'avaient laissée repartir sans rien faire de ce qu'ils avaient prévu.

Granger poussa une plainte résignée.

- Nous sommes tous trop abrutis aujourd'hui. Nous ne ferons rien de productif.

- C'est sur, soupira Potter, nous ferions mieux de regagner nos salles communes. Au revoir, Dolohov. Ravi de savoir que les Serpentard ne sont pas tous pourris ou tarés.

- Je te retourne le compliment, Potter.

Ils sourirent (quoi qu'il fallut un coup de coude à Weasley pour réagir) et se quittèrent sur ce qui pouvait s'appeler de « bons » termes.

Pendant qu'il ouvrait la porte de son dortoir, Anthony se dit qu'il aurait mieux fait de ne jamais le quitter.

Sa dernière pensée avant de sombrer dans le sommeil fut pour Pansy et ses occupations Malefoyennes.

XOXOXOXOXO

- Ca suffit, Draco ! Notre but initial était de fouiller le bureau de Rogue !

- T'es sure ?

- Absolument !

- Deux minutes…

Une gifle retentit, suivie d'un « Outch ! » très peu aristocratique.

- Ok, ok, on y va… La prochaine fois, je réfléchirais avant de te forcer à être ma petite amie.

- Idiot, rit Pansy, avant de le pousser devant elle pour le faire avancer.

Les deux Serpentard mirent très peu de temps à atteindre le bureau de leur directeur de maison.

Pansy colla son oreille contre la porte. Son compagnon la dévisagea, surpris.

- Tu pouvais pas voir si y'avait quelqu'un dedans de manière un peu plus… classe ?

- Hé, je ne suis pas une machine à te faciliter la tâche !

- Ah bon !

- Imbécile. Là, on peut être sur qu'il n'y a personne, sinon on nous aurait entendu depuis longtemps.

Le jeune Malefoy sourit.

Pansy lui donna une tape sur la tête avant d'entrer dans le bureau du maître des potions puis de refermer la porte derrière elle.

Les lourds rideaux ne laissant pas passer les rayons de la lune, Draco éclaira la pièce, prenant soin de ne pas produire de lumière trop vive.

L'intérieur était on ne peut plus lugubre.

Décorée de vert et argent, il n'y avait pas une seule touche de rouge ou d'or dans la pièce.

Meublée sommairement, tapissée d'armoires géantes et de d'étagères à bocaux louche au contenus incertains, la pièce avait l'air assez longue à fouiller.

Pansy ouvrait la première armoire quand…

- Parlez moi de ce qui vous préoccupe, Anabella. Mais ce n'est pas parce que Dumbledore m'a demander de veiller personnellement sur vous que j'accepterais que vous veniez m'éveiller en plein milieu de la nuit, jeune fille. Sachez que si cela se reproduit…

- Mais professeur, c'est une question de vie et de mort !

Draco poussa Pansy à l'intérieur de l'armoire juste au moment où une clé tournait dans la serrure.
On entendit le raclement de deux chaises, alors qu'Anabella et leur directeur de maison s'asseyaient autour du bureau.

- Racontez moi vos tracas, Anabella.

- Oh, professeur, ce qui m'arrive est si affreux qu'il m'est difficile de l'évoquer !

On entendit un sanglot.

- Je vous écoute, mademoiselle.

- C'est… C'est mon petit ami, il est en danger de mort !

Pansy sentit la main de Draco serrer plus fort son épaule. Ana parlait-elle de lui ?

- Le jeune Malefoy est en danger !

- Oh, professeur, non, ce n'est pas Draco…

La main du concerné glissa mollement le long du bras de Pansy, et quand elle se tourna vers lui, ce fut pour découvrir un visage crispé. La voix de Pr. Rogue retentit, surprise.

- Mais n'était-il pas votre fiancé !

- Oh mon dieu, si, mais… Vous connaissez Draco, professeur. Son manque de chaleur et sa totale incapacité à… aimer.

Cette hypocrite d'Anabella éclata alors en pleurs d'une fausseté écoeurante, mais qui étaient malheureusement tout à fait crédibles Ce fut autour de Pansy de se crisper.

Oh, qu'est ce qu'elle haïssait cette pouffiasse machiavélique…

Après avoir reniflé une ou deux fois, Anabella reprit.

- J'avais besoin de quelqu'un qui m'aime et que je puisse aimer sans qu'il piétine mon cœur et mes sentiments, professeur. Anthony Dolohov s'est révélé être un petit ami aimant et attentionné.

- Le jeune Dolohov ne s'était-il pas fait remarquer en compagnie de la demoiselle Pansy ?

- Si, monsieur, si. Mais c'est cette folle qui lui courrait après, je vous le jure. Il s'est confié à moi, comme quoi, il était vraiment très exaspéré.

Pansy, dans un geste presque inconscient, se saisit de la main de Draco. Celui-ci ne la retira pas, conscient du mal que pouvait faire les paroles perfides d'Anabella.

- Bon, soupira Rogue. Bien que je réprouve vos agissements, je peux tout de même admettre qu'une jeune fille innocente telle que vous ne peut trouver satisfaction dans les bras d'un Malefoy, même si j'avais la nette impression que Draco était assez différent de ses aïeux.

- N'est-ce pas, il donne cette impression…

Pansy et Draco échangèrent le même regard furieux.

Pansy se promit que quand tout cela serait terminé, elle ferait subir mille tortures à Anabella avant d'exposer son cadavre mutilé dans la salle commune.

- Mais quel est ce danger qui plane sur Dolohov, mademoiselle ?

- Oh, j'allais vous en parler, professeur. C'est cette démone, ce monstre, à empoisonner mon Anthony, j'en suis sure ! Et sur les ordres du Lord, en plus ! En tout cas, elle a empoisonné Anthony à l'aide de l'arsenic sorcier confectionné par les troupes de celui-ci. Je sais par mon père, professeur, que vous avez quelques liens avec le milieu du Lord, alors pouvez vous vous procurer l'antidote, je vous en supplie ! Je ne veux pas voir mourir mon Anthony, professeur, par pitié !

Elle s'effondra alors en pleurs pathétiques, qui résonnèrent dans la pièce, d'une manière tout à fait désespérée.

Pansy ne put s'empêcher d'admirer le talent d'actrice d'Anabella.

Si elle n'avait pas sut que c'était une traîtresse de première qualité, elle l'aurait cru sans hésitations.

Ou presque.

Il y eut un silence, que Pansy interpréta comme le temps de surprise du professeur.

Celui-ci s'éclaircit la voix, gêné.

- Je, hum, mademoiselle Avery…

- Je ne dirais rien à personne, professeur ! Mais vous avez la vie d'Anthony et le bonheur de ma vie entre vos mains, professeur, ne me décevez pas, je vous en supplie ! Vous en avez la possibilité. Faîtes le pour Anthony… Faîtes le pour moi !

Sur ceux, les misérables sanglots d'Anabella redoublèrent d'intensité et on l'entendit se lever pour se précipiter hors de la pièce, comme sous l'effet de la honte.

On entendit le professeur soupirer quelque chose ressemblant à « Ferais ça demain », puis un autre grommellement, lequel Pansy ne se résolut pas à associer à « Fait chier ».

Un instant plus tard, le Pr. Rogue se leva, quitta son bureau et le ferma à clé.

Draco et Pansy attendirent un moment avant d'être surs que la voie était libre.

Ils déboulèrent hors de l'armoire, avec un sentiment d'étouffement.

Pansy parla la première.

- Bon, au moins, on est fixés, Rogue ne cache pas de contrepoison dans ses armoires. Et demain, il va faire quelque chose pour le trouver. On peut au moins remercier cette "biiiip" d'Anabella.

- Sois sure, Pansy, que quand tout se finira, cette dingue le payera de sa vie.

- Je ferais les bonus.

- Ah non, c'est moi.

- Ne discute pas, abruti !

Ils rirent tout les deux, du ridicule de leur situation, bien sur, mais aussi pour faire évacuer la pression qui s'accumulait en eux.

Pour finir, Draco entraîna Pansy hors du bureau, jusqu'à la salle commune des Serpentard.

Ils se séparèrent sans un regard l'un pour l'autre, avant d'aller s'effondrer dans leurs lits respectifs.

XOXOXOXOXOXO

C'est la fin de ce chapitre !

Là, c'est le début de mes intense réflexions pour déterminer où sera le contrepoison. Je vais essayer de pas TROP vous décevoir.

Votre auteur qui vous vénère,

Moi ;)