Cela fait à présent quelques mois que je me suis rapprochée de notre nouveau capitaine, je dois bien avouer que nous somme dorénavant amis. Au départ Robert était assez froid, plutôt fermé à toute discussion mais après beaucoup de patience j'ai su percer sa carapace. Nous nous entendons assez bien, à ma grande surprise. Nous faisons plusieurs séances de sport ensemble et il me pousse à me surpasser lors de ces dernières.
« C'est agréable de faire cela avec toi. » affirme t'il tout en rigolant, en effet cela pourrait être assez mal interprété.
« Je confirme, ça fait du bien! Tu te joins à nous pour dîner? » demandais je en essayant de le convaincre mais je pense que c'est peine perdu.
« Je préfère vous laisser entre vous, je doute qu'ils m'apprécient. Je gâcherais votre repas.. Harry Potter doit rester dans sa chambre seul en silence quant à moi je resterais sagement dans mon bureau. » affirme t'il tout en rigolant.
« Tu as vraiment des citations étranges, j'espère que tu t'en rends compte. » dis je puis je partis manger, enfin je confectionne deux assiette de pâtes bolognaise que j'apporte ensuite dans le bureau du capitaine. « Je ne laisse jamais un ami mourir de faim. » dis je en lui posant son assiette devant lui.
« Tu n'étais pas obligée, je m'apprêtais à manger une banane.. mais merci. » dit il en souriant.
« Une banane n'est pas assez nourrissant.. et puis qui refuserait une bonne assiette de pâtes, il faudrait être complètement fou pour refuser cela. » affirmais je tout en commençant à manger.
« Personne ne le devrait en effet! Merci beaucoup pour cet attention, j'apprécie votre effort. Si vous continuer d'agir ainsi je ne pourrais plus me séparer de vous.. » affirme t'il en souriant.
« Tu devrais manger.. » affirmais je tout en restant assez perplexe. Pourquoi doit il dire cela? Et d'ailleurs je suis plutôt remplaçable, non?
« Je mange, j'apprécie simplement la compagnie. » dit il en prenant une bouchée des pâtes. Pourquoi je sens actuellement l'ambiance de la pièce se réchauffer? Cela ne devrait pas être ainsi, nous ne sommes qu'amis non? Du moins c'est ce que je pensais mais ça n'est définitivement pas que cela..
« C'est Travis qui a cuisiné donc si tu n'aimes pas tu dois t'en prendre à lui, pas à moi. » dis je afin d'essayer de détendre l'atmosphère.
« C'est délicieux et c'est le premier repas solide que je mange depuis longtemps. Je suis un grand fan des smoothies, au cas où tu ne t'en serais pas rendu compte. » affirme t'il en souriant.
« En effet, j'avais remarquée, d'ailleurs je ne sais pas comment tu fais. Rien de meilleur qu'un repas bien gras! Et après cela une séance de sport s'impose bien évidemment. » affirmais je, tout en continuant à manger.
« Je suis plutôt légumes et fruits, mais j'apprécie un petit plaisir par moment. Et ceci c'est délicieux! » dit Robert en terminant son assiette.
« Tu parais ennuyant.. » dis je en rigolant. « C'est pas avec des légumes que tu vas te tenir la forme, en plus tu es pompier, l'aurais tu oublié? » dis je en l'engueulant légèrement. Excusez-moi mais il doit manger des repas solides, et arrêter avec ses smoothies.. « Tu fais ce que tu veux cependant.. »
« Non mais tu as raison et je le sais, merci de m'en faire prendre conscience. D'ailleurs dorénavant je partagerais vos repas, si cela vous convient à tous? Et surtout si ça te convient? » demande t'il en s'approchant délicatement de moi avec son assiette.
« Je.. eh bien.. oui ça me convient. Pourquoi cela ne me conviendrait t'il pas? » dis je en prenant son assiette afin de la débarrasser.
« Je voulais juste m'en assurer. » dit il en souriant.
Je prends mes jambes à mon cou puis je file laver nos deux assiette dans la cuisine. Les autres avaient terminés de manger et se contentait de parler ensemble, tout en rigolant. Cependant moi je ne pouvais m'empêcher de repenser au moment que je venais de passer avec Sullivan.
« Andy? Tu pourrais parler au capitaine et demander si nous pouvons nous rendre a New York pour aider? » demande Travis.
« Oui, je pense qu'ils ont besoin d'aide. Nous pourrions sans doute le demander nous mêmes mais je pense qu'il te dira plus facilement oui à toi.. » affirme maya.
« Je peux essayer de le lui demander mais je ne garantis rien.. » dis je puis je partis dans son bureau afin de le lui demander. « Capitaine? » dis je en rentrant brusquement ce qui lui fit peur. « Oh désolée.. »
« C'est pas grave, tu m'as simplement surpris.. Tu as besoin de quelque chose? » me demande t'il les yeux dans les yeux.
« Et bien, oui, peut-être.. L'équipe souhaiterait se rendre a New York, pour aider contre l'incendie dans la tour. » dis je tout en ne cessant pas le contact visuel.
« Tu veux y aller? La fatigue n'est pas trop présente? » demande t'il afin de s'en assurer, je me contente d'acquiescer. « Donc on peut partir après la garde, je serais ravis de leur donner un coup de main. Cependant en arrivant à New York j'impose à tout le monde une nuit à l'hôtel avant de partir sur le feu. »
« Ok, ils vont être ravis. Et une nuit à l'hôtel sera en effet fort agréable. » dis je puis je partis prévenir les autres. Le reste de la garde passa extrêmement rapidement et nous étions tous prêts à partir, évidemment nous avions eu le temps de nous faire un petit sac pour quelques jours.
« Ok donc je prends l'ambulance, qui se dévoue à monter avec moi? » demande amicalement Robert.
« Herrera! » affirme Dean.
« Vous êtes irrécupérable les mecs. Mais oui je ne vais pas le laisser seul.. » dis je en mettant mes affaires dans l'ambulance. Nous prenons ensuite la route, il faisait déjà nuit et la route était insoutenable. En toute honnêteté il faisait extrêmement froid.. Le chauffage ne fonctionne t'il pas ou il ne souhaite tout simplement pas l'allumer?
« Tu as froid? » me demande t'il.
« Umm.. non ça va.. » dis je en mentant.
« Tiens enfile mon pull. » me dit il en me le tendant.
« Merci. » Dis je en le saisissant, mais en effet il ne souhaite absolument pas allumer le chauffage.. pourtant ça réglerait tout. Malgré son pull-over j'avais toujours aussi froid, et évidemment il le remarque.
« J'aurais bien allumer le chauffage mais il ne fonctionne pas.. je peux te réchauffer si tu veux. » me dit il en ouvrant ses bras afin que je puisse rentrer dans son espace corporel. Qui d'ailleurs était très confortable. Au bout de quelques heures de route je lui demande s'il souhaite que je prenne le volant mais étant à moitié endormit il décline mon offre..
Ainsi c'est Robert qui a conduit toute la route, une fois arrivé devant l'hôtel nous prenons une chambre, nous étions parfois deux trois par chambre, seul sullivan c'était prit une chambre seul. Nous dormons quelques heures puis nous nous rejoignons dans la salle commune de l'hôtel vers 16 heures, nous mangeons tous ensemble.
« Demain matin a 5 heures nous nous retrouverons ici! » affirme Robert tout en repartant dans sa chambre.
Je passe quelques heures dans ma chambre avec les filles, puis par ennui je vais frapper à la porte de la chambre de Robert. Lorsqu'il m'ouvre il se trouvait torse nu et évidemment je ne pouvais m'empêcher d'admirer ses magnifiques abdominaux.
« Je te dérange? » demandais je.
« Euh.. non, tu veux entrer?
« Je veux bien. Un verre de vin? » proposais je.
« Si tu veux! » dit il en attrapant la bouteille de vin sur le buffet. Je m'assois tranquillement sur le bord de son lit, je n'avais absolument aucune arrière-pensée mais c'est ainsi. Après avoir parlé ensemble quelques instants, il finit par s'avancer vers moi..
« Tu peux me dire la réelle raison de ta venue? » dit il en souriant.
« Je.. oh.. aucune. » dis je avec aucune crédibilité.
« Ok, dans ce cas.. » dit il en s'éloignant mais je ne peux m'empêcher d'attraper son jean, ce qui le fit faire demi tour.
« J'ai pas envie que tu t'éloigne.. » dis je en levant ma tête en cherchant désespérément son attention.
« Et je n'ai pas envie de m'éloigner.. mais je suis pas sûr qu'on devrait.. » dit il en laissant courir ses doigts de mon cou à mon épaule. Pourquoi fait il cela s'il ne souhaite pas qu'on aille plus loin? Il est bizarre lui aussi.. Pourquoi les hommes sont toujours autant compliqué?
« Ok, donc je ferais mieux d'y aller. Je pensais que tu le voulais également mais oublie.. c'est pas grave.. » dis je en me levant puis je me dirige vers la porte. Avant que je ne puisse l'ouvrir je le sens derrière moi, me bloquant dans l'encadrement de la porte.
« Je ne veux pas que tu partes.. » dit il en me donnant un petit baiser doux mais absolument pas approfondi.. ce qui me laisse en tout honnêteté sur ma faim. J'aurais voulu aller beaucoup plus loin, mais il me paraît légèrement bloqué..
« Je veux rester.. » dis je en touchant son corps encore luisant, étant donné qu'il sortait de la douche.
Il vient placer ses délicieuses lèvres contre les miennes, m'appuyant la tête contre la porte. Il finit par demander accès à ma langue ce que je lui accorde évidemment de suite. J'avoue que j'en avais rêver au plus haut point, et à de nombreuses reprises. Mais c'était beaucoup mieux que dans mes rêves. Tout en continuant de nous embrasser nous nous dirigeons vers le lit, où je me retrouve rapidement en dessous de lui.
« Tu es sûr que c'est ce que tu veux? » me demande t'il en m'embrassant dans le cou.
« Oui, je le veux vraiment. » dis je en déboutonnant son jean.
« Ok, doucement lieutenant Herrera. Je ne suis pas du style à me précipiter.. mais je suis certain que tu apprécieras. » dit il en me touchant sur tout le corps, me provoquant énormément de frissons mais aussi beaucoup de chaleur. Je vous jure c'est incroyable l'effet qu'il me procure actuellement.
« J'en veux plus.. » dis je en haletant, ayant le souffle coupé.
« Patience.. » dit il en m'enlevant son haut, me laissant seulement dans mon soutien-gorge. Il apprécie la vue, ça je peux vous l'assurer. Il vient m'embrasser le haut du corps puis descend jusqu'en bas de mon ventre. J'ai bien peur qu'il me laisse des marques sur le corps mais je ne peux tout simplement pas y penser maintenant. Je suis bien trop occupée à gémir qu'à penser a quoi que ce soit.. « La patience n'est pas ton fort Andrea. » affirme t'il tout en ôtant mon pantalon.
« Ne m'appelle pas Andrea, seulement mon père m'appelle ainsi et j'aime autant ne pas penser à lui en ce moment même.. » dis je tout en continuant de l'embrasser. Je sens sa main glisser le long de mes cuisses puis vient se placer entre mes jambes, il abaisse légèrement ma culotte. Juste ce qu'il faut pour avoir accès à mon intimité.. Il me caresse légèrement le clitoris puis insère deux doigts en moi. J'essaye de profiter de cette instant, d'apprécier ce qu'il me fait mais ce n'est juste pas le cas. Je ne peux m'empêcher de penser que ce que nous faisons en ce moment est mal.. Il est mon supérieur et je ne devrais pas me retrouver dans sa chambre a une telle heure et encore moins dans son lit. « Attends.. stop. Je ne peux pas faire ça je suis désolée. » dis je alors il cesse tout action et se décale afin de me laisser partir.
« Est ce que ça va? » demandé t'il mais je ne prends absolument pas la peine de lui répondre. Ce que nous faisions est mal, bien que cela était fort appréciable ça reste mal.. En plus de cela, j'avais vraiment besoin d'un ami sans ambiguïté.. maintenant c'est trop tard. Je récupère mes vêtements puis je retourne dans ma chambre.. Les filles se posèrent des questions mais n'osèrent absolument pas me parler. Pour le coup c'est mieux ainsi, je ne pourrais leur expliquer que j'ai faillis coucher avec le capitaine.
Le lendemain, au petit matin j'attrape ma tenue de service, une tranche de pain puis je file dans le hall. J'avoue que j'étais en retard mais les filles ne m'ont absolument pas réveillée et sont partis sans moi.. Elles sont top mes amies non? Évidemment c'est sarcastique..
« Lieutenant Herrera, vous voilà enfin.. » affirme sullivan, il semblait tout de même un peu inquiet.. Pourquoi le serait-il?
« Excusez-moi. Allons y! »
Nous partons ensuite donner un coup de main aux autres casernes, après 24 heures nous avons eu raison de ce feu, il était dorénavant éteint. En toute sincérité je ne sentais plus rien, mon dos était littéralement en compote et mes yeux pourraient finir par sortir de mes orbites. Autrement dit je ne suis pas dans mon meilleur jour.. Nous rentrons donc a l'hôtel afin de dormir un peu avant de reprendre la route. J'étais avec les filles, je m'apprêtais à rentrer dans notre chambre lorsque le capitaine demande à me parler, rien d'anormal pour l'instant. Bien que je voulais absolument pas lui parler, depuis la dernière fois il pourrait encore m'en vouloir.. Après tout je suis partie comme une voleuse. Mais oui j'ai paniquée avant hier, même s'il me plaît beaucoup on m'a toujours reproché de mélanger le sexe et le travail et je me suis promise de ne jamais plus mélanger les deux..
« Est ce que j'ai fais quelque chose de mal? » demande t'il avec un air inquiet.
« Non, restons simplement amis.. C'est le mieux pour tout le monde. » affirmais je tout en m'éloignant de lui.
« Andy, je regrette mais je ne pourrais pas le faire.. Je me suis rendu compte que je ne t'aimais pas seulement en tant qu'amis. » dit il en me regardant dans les yeux.
« Arrête, ne dit rien de plus, je ne peux rien entendre de plus. Désolé. » dis je puis je m'enfuie, j'aurais sans doute dû retourner dans ma chambre mais je ne le dis tout simplement, je me contente de m'enfuir loin. Pourquoi devait il dire cela? J'ai déjà assez mal de le repousser mais si en plus il me dit de telles choses comment suis je censée lui résister? Mais je ne le peux tout simplement pas, mon père ne l'accepterait jamais. Et son avis compte beaucoup plus que ce à quoi vous pensiez, il me reprochait déjà assez d'être sortie avec Jack mais jamais il pourrait s'en remettre s'y je sortais avec Sullivan..
Je sors alors de l'hôtel, en étant dans un état second, mon cœur hurle et me dit d'y retourner, de lui avouer mes sentiments mais ma tête et mon corps se contente de s'éloigner, le plus loin possible. J'aurais sans doute dû faire la route avec toute l'équipe mais j'ai préférais prendre un taxi et rentrer chez moi. Une fois devant ma maison, je m'apprêtais à traverser lorsqu'un camion sorti de nulle part me percute, ce dernier s'enfuit en me laissant seule sur la route. Tout mon corps était endoloris, j'étais mitigée entre la douleur insoutenable et le fait de ne plus pouvoir bouger. Des passants me trouvèrent ainsi et appelèrent une ambulance, qui pour le coup arrive rapidement, je suppose qu'ils devaient pas être très loin..
« Madame, on vous emmène au Grey-Sloan, pouvez vous me donner votre nom? Vous n'avez aucun papier sur vous. » demande la secouriste.
« Lieutenant Herrera, de la station 19.. » dis je d'un son à peine audible, espérons qu'elle l'est entendu.. en toute honnêteté j'ai un trou de mémoire de ce qu'il s'est passé entre mon transfert et mon arrivée a l'hôpital. Lorsque je réouvre les yeux, je suis entourée de plusieurs docteurs qui ne me sont absolument inconnus.
« Andrea, on s'occupe de vous, éviter de bouger d'accord! » affirme le docteur Bailey. « Vous n'étiez pas censé être avec mon mari à New York? Est-ce qu'il va bien? »
J'avoue que je ne peux pas vraiment lui répondre en cet instant précis mais je tente de l'a rassurer comme je peux, d'ailleurs je suis à moitié consciente pour tout vous avouer..
« Ok, Herrera, on a appelé votre père et il est en chemin. » affirme le docteur Pierce. « Bailey, son cœur ne tiendra jamais.. elle ne pourra jamais attendre qu'il arrive. » dit elle discrètement.
« Maggie, mon mari ne peut pas perdre un autre collègue c'est impossible.. » affirme Bailey.
« Même si je le voudrais je ne pourrais rien faire, le prochain arrêt cardiaque qu'elle fera lui sera fatale.. Regardez la, Miranda vous savez très bien comme moi qu'elle ne passera pas la nuit. Et même si nous réussissons à sauver son corps, elle est paralysée, et on ne connaît pas encore les séquelles sur son cerveau. La seule chose qu'on peut faire c'est de rester avec elle en attendant sa famille. » affirme Maggie, cette dernière avait même les larmes aux yeux, elle connaissait Andy et ne s'attendait jamais à cela..
« Ça va aller Andy.. » dit Bailey en me prenant la main. Je sais très bien que ça n'ira pas, je ne suis pas aussi bête que ça, je le sens..
« Miranda.. tu peux dire au capitaine Sullivan de venir? S'il te plaît. » dis je avec difficulté et en étant extrêmement essoufflée.
« Bien sur, je reviens de suite. »
« Je vais te faire passer de la morphine dans ta perfusion.. » affirme le docteur pierce mais je l'empêche de le faire. Je préfère rester saine d'esprit..
« Andy? Andrea? Mija, ça va? Que s'est-il passé? » dit il en étant extrêmement paniqué. « Pourquoi ne faites-vous rien pour aider ma fille? »
« Ça va papa, tu dois me promettre de maintenir la 19 autant soudé qu'ils le sont, cette famille doit en rester une. Même si j'en fais plus partie.. » dis je en ayant de plus en plus de difficultés à respirer, mon cœur ne cesse de s'emballer et honnêtement ma seule envie à présent est de voir une dernière fois Robert.
« Andy, ne dis pas ça! Tu vas t'en sortir! Pas vrai, elle va s'en sortir? » dit il en regardant les médecins qui lui affirme d'un hochement de tête négativement que non..
« Papa.. tu dois me le promettre! » dis je en le regardant dans les yeux. Il me prit ma main et sincèrement je ne le ressens absolument pas..
« Je te le promets.. » dit il puis les autres de l'équipe arrivent. Ben enlace immédiatement sa femme quant aux autres ils se mettent autour de moi..
« Qu'est-ce qu'il t'est arrivée? » demande Robert en s'approchant de moi, et en s'asseyant sur mon lit. Les autres ne comprirent absolument rien mais c'est ainsi, et je ne peux pas partir sans lui dire que je l'aimais également.
« Robert.. moi aussi je suis tombée amoureuse de toi.. je t'aime.. » affirmais je tout en ayant même de la difficulté à parler.
« Tu ne vas pas me laisser.. je ne peux pas perdre les deux amours de ma vie victime d'un accident de la route.. Je m'y refuse. » dit il en me prenant la main.
« Robert, je ne sens absolument rien. Je ne pouvais pas partir sans te dire que je t'aimais aussi.. » dis je en laissant un léger sourire s'affichait sur mon visage, la machine commençait à s'alarmer et en effet je me sens dorénavant partir. Je sens Robert appuyer légèrement ses lèvres contre les miennes, et ses larmes légèrement salées se mélangeaient à notre baiser.
« Je t'aime princesse.. » dit il alors que mon cœur avait dorénavant cesser de battre. Alors que l'alarme retentit encore je peux les apercevoir de l'haut delà qu'ils pleurent tous, mon corps inerte devant eux. Je m'en veux de les abandonner ainsi, mais bien que je ne suis plus sur Terre je ne suis plus en train de souffrir.. la douleur n'existe plus là haut, c'est ainsi.
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Hello, euh désolé. Non mais tout d'abord je m'excuse pour ce one shot triste. Enfin la fin est triste. J'espère tout de même que vous l'avez apprécié.. Dites le moi!
HolaMelinax
Love
