Écrit par HateWeasel
166. Ninja Du Métro.
Londres, AngleterrE. la ville que les garçons avaient fouillé de fond en comble dans le but de résoudre les énigmes de Simon et de compléter ses missions n'était plus habillée du charmant spectre de rouges et de jaunes. Elle était désormais blottie dans un manteau de noir bleuâtre, sans aucune étoile dans le ciel visible depuis les rues illuminées, mais ce n'est ni le ciel ni le sol qui nous intéresse en cette soirée si particulière. Non, ce sont les nombreux tunnels de métro sous les rues en-dessous du sol qui nous préoccupent, alors que le danger rôde dans l'un ces nombreux, nombreux, nombreux métros.
Rôdant dans l'obscurité, des ombres se déplaçaient, rampant, et courant tout en restant indistinguables sous la couverture de la nuit et les ténèbres des tunnels. Cependant, il arrivait qu'une vague lueur rouge soit apercevable, et de temps à autres, une lueur violâtre. Les points rouges et violet étaient des yeux et ils se rapprochaient continuellement de l'arrière du métro qui passait dans ce tunnel là. Une main pâle aux ongles noirs s'étendit et s'agrippa au train, alors que le compagnon du démon en fit de même. Ils montèrent et s'accroupirent sur le toit du train, s'assurant de ne pas être trop relevés afin d'éviter de percuter le plafond à pleine vitesse et de se faire décapiter dans le processus.
Alois avait les yeux fermés, alors que le vent frais fouettait son visage, ce même vent qui, dans sa forme actuelle, l'aurait fait geler sur place s'il n'avait pas été un démon. Il n'avait pas l'habitude de la vitesse à laquelle ils étaient confrontés, et cette nouvelle expérience était à la fois excitante et terrifiante. Finalement, il se força à prendre la parole.
- Tu vas devoir me montrer comment faire ça, et vite ! cria-t-il par-dessus le vacarme dans le tunnel en espérant que le démon bleuté puisse l'entendre.
Il n'était pas encore sûr de savoir comment faire la plupart des choses dont Ciel était capable, et il n'était pas convaincu de son utilité dans cette situation. Il fallait que l'autre garçon lui donne quelques instructions pour que cela fonctionne.
- D'accord, concentre-toi ! cria Ciel en retour. Regarde bien ! Je vais envoyer une petite quantité d'énergie dans ce câble, ce qui va temporairement couper l'électricité. Lorsque ce sera le cas, je vais entrer dans le wagon, et fouiller le métro avant que le courant revienne ! Compris ?
- Oui, j'ai compris ça, répondit le démon blond. Mais comment faire pour chercher le métro aussi vite ?
- En utilisant ton sixième sens, dit le bleuté. Les démons ont un sixième sens très développé, et utilisé correctement, il peut fonctionner comme un radar à malheur.
- Alors tu suis juste ton instinct ? Ça ne m'a pas l'air très fiable !
- C'est fiable. Tu dois juste ne plus penser à rien, et laisser tes sens te guider dans une direction, - Ciel enroula ses doigts autour du câble dont il parlait – Laisse-moi te montrer.
Il serra le poing, envoyant sa force démoniaque dans le câble. Bien que ce soit dur à voir, l'autre démon pouvait le sentir. Peut-être était-ce ce dont le bleuté parlait.
Soudain, les lumières s'éteignirent, et les passagers se mirent à crier et paniquer. Le crissement des freins agressa les tympans des garçons, résonnant à travers le tunnel alors que les wagons tentèrent de ralentir selon le protocole de sécurité. Il fut nuit noir.
Alois cligna des yeux, les fermant un instant avant de les rouvrir et de voir que son compagnon s'était volatilisé. Il n'était pas pétrifié de peur, étant donné que les démons pouvaient voir dans le noir, mais être seul dans l'obscurité ne lui plaisait pas. Il ne se demandait pas où le bleuté était parti. Le blond pouvait le sentir courir dans le wagon en-dessous de lui. Dans son état abasourdi, il avait activé son sixième sens sans le vouloir.
Le Trancy revint à la réalité lorsque Ciel réapparut, et les lumières revinrent, le métro repartant. Le bleuté semblait déçu, pourtant il avait un fusil dans les mains. Il soupira.
- Il n'y avait rien d'autre qu'une arme cachée, dit-il tandis que le train prenait de la vitesse. Tu penses pouvoir t'en sortir ?
- Laisse-moi essayer le prochain, dit Alois.
L'adolescent blond doutait de ses capacités. Si quelque chose ne se passait pas comme prévu pour lui, il aurait forcément besoin de l'aide de Ciel.
- Si je pense avoir réussi, on pourra se séparer après, d'accord ?
- Ça me va. Nous avons encore plus de quatre heures. Si chaque métro ne prend que quelques minutes comme celui-ci, nous devrions en finir avec du temps en trop.
- 'Kay ! Allons-y !
Ils firent un saut de l'ange depuis le métro à pleine vitesse, disparaissant à nouveau dans l'obscurité. Le bruit de leurs pieds touchant le sol résonna, et ils se hâtèrent de se rendre à leur prochain arrêt. Ciel avait imprimé un plan des tunnels, ainsi que des horaires afin de savoir précisément où le train qu'ils cherchaient se rendait. Ils en avaient chacun un exemplaire sur eux pour leur futur dispersion. Ils allèrent à gauche, puis à droite, et rapidement, le bleuté se mit à ralentir la cadence afin de mieux observer la carte.
- Je ne comprends pas… dit-il. Il devrait être là d'une minute à l'autre !
- Euh, Ciel ? dit nerveusement le blond, mettant une main sur l'épaule de l'autre garçon pour attirer son attention. C'est moi ou il fait beaucoup plus clair ?
Ciel se retourna et réalisé qu'Alois avait trouvé leur train, ou plutôt, le train les avait trouvé eux.
Ayant les reflex d'un félin, ils sautèrent juste à temps, se plaçant parallèlement au sol entre le train et le plafond, l'évitant tout en l'accostant, donnant presque une attaque cardiaque au conducteur. Décidément, le sixième sens ne fonctionnait pas lors d'une intense réflexion, ou lorsque le bleuté était juste beaucoup trop occupé par autre chose. Ils repérèrent le fil électrique que Ciel avait utilisé pour couper le courant dans l'autre train, et Alois mit ses mains dessus, imitant les étapes que Ciel avait énuméré plus tôt.
Il y envoya une salve d'énergie, court-circuitant les lumières. Le blond eut une impression de déjà-vu en entendant les cris affolés des passagers ainsi que les freins crissant. Cette première étape achevée, il devait passer à la suivante et s'introduire dans le wagon. Il avait un horrible pressentiment jusqu'au fond de son estomac, mais il l'ignora, avant de ne plus penser à rien.
Soudain, il sentit ses nerfs s'affoler un instant et il évita instinctivement l'attaque d'un passager effrayé. Il pouvait le voir, mais le passager lui ne le pouvait pas, si ce n'était ses yeux rouges luisants. Il fuit rapidement et alla dans une autre partie du train, ne trouvant rien qui réveillait ses sens. Les lumières revinrent, lui signalant qu'il devait partir. Alois quitta le wagon, retournant auprès du bleuté, sur le toit.
- Je n'ai rien pu trouver, dit-il, se sentant vaincu. Tu ferais peut-être mieux d'y repasser un coup pour voir si j'ai manqué quelque chose. Juste au cas où.
- Ça devrait aller. Je ne sens rien dans ce train, dit le bleuté avec un sourire narquois. C'était juste un test.
- Tu es vraiment un salaud, tu le sais ça ?
- Arrête de te plaindre. Nous avons encore quelques stations… s'estompa le bleuté alors que le train commença à ralentir en approchant du prochain arrêt. Baisse-toi ! dit-il, forçant Alois à baisser la tête avant d'en faire de même.
Ni l'un ni l'autre ne voulaient être vu par les voyageurs nocturnes. Il les observa depuis leur cachette, anxieux de savoir s'ils seraient vus ou non.
- Ciel… dit le blond en chuchotant et le bleuté le regarda. Est-ce que tu le sens ?
Le bleuté ne comprit pas ce dont le blond voulait parler jusqu'à ce qu'il aperçoive l'expression que ce dernier arborait. Alois écarquillait les yeux et il semblait inquiet et quelque peu paniqué. Ciel prit un moment pour remettre ses idées en place afin de sentir ce dont le blond parlait. Il était évident que cela avait un rapport avec ce nouveau groupe de passagers.
Puis, il le sentit; le danger. Il balaya vivement du regard la foule de visages qui attendait que le train soit inspecté après cette soudaine coupure de courant. Avec toutes les personnes présentes ici, c'était comme chercher une aiguille dans une botte de foin, mais il avait plus d'un tour dans son sac, et il put chercher avec plus de précision. Il s'arrêta sur une femme en particulier qui portait un costume et une valise, ayant de longs cheveux châtains-rougeâtres et une expression grave. Il fut encore plus étonné en constatant son identité.
L'Inspectrice, Karen Smith.
Finalement, les passagers purent monter à bord du train, Smith inclus, et aussitôt, le métro repartit. Quelques minutes passèrent, et le bleuté pris le câble qu'Alois avait utilisé il y a peu, déroutant le blond.
- Qu'est-ce que tu fais ? demanda-t-il, inclinant légèrement la tête. Je pensais que tu avais dit que ce train n'avait rien ?
- En effet, mais c'était avant cette dernière vague de passagers, répondit le bleuté. Changement de plan : cette fois, lorsque les lumières s'éteindront, nous monterons et nous nous rechangerons en « humains » pour parler à l'enquêtrice Smith.
- Pourquoi ? Tu penses toujours qu'elle est impliquée ?
- Naturellement.
Une fois cela dit, les lumières furent à nouveau coupées. Les habituelles réactions se produisirent, et cette fois-ci les deux garçons s'introduisirent dans le wagon, reprenant leurs formes « humaines » dans l'obscurité. Lorsque les lumières revinrent, personne ne se douta des deux nouveaux passagers dans le train. Ciel vit l'enquêtrice et se dirigea vers elle, le blond derrière lui.
- Bonsoir, Enquêtrice, dit-il à la femme, ce qui eut pour effet de la faire sursauter.
- Phantomhive ? dit-elle en le regardant d'un air confus. Que faites-vous ici ?
Elle semblait nerveuse, ses yeux se déplaçant autour du garçon mais en restant jamais sur son visage.
- J'enquête évidemment, et vous ? demanda le démon borgne avec un sourire inhabituellement amical.
- Oh, j'étais juste… en train de rentrer chez moi, dit-elle, comme si elle ne savait pas elle-même.
- Au lieu de tourner autour du pot, et si je vous demandais directement ?
- J-Je ne vois pas de quoi vous parlez…
- La valise. Vous ne l'aviez pas lorsque nous vous avons vu plus tôt aujourd'hui. Où l'avez-vous eu ? Ou plutôt…
Le bleuté marqua une pause afin de jauger la réponse de la femme.
- … Qu'y a-t-il à l'intérieur ?
Smith hésita avant de répondre. Elle chuchota, tremblant comme une feuille :
- Je… Je ne sais pas… Je ne sais vraiment pas…
- Que voulez-vous dire par « je ne sais pas » ? demanda le garçon.
- Je ne peux pas vous dire… Si je le pouvais, je le ferais, mais…
Ciel comprit alors. C'était ainsi que Simon savait où ils étaient, et ce qu'ils faisaient. C'était ce pourquoi Preston avait été retrouvé avec un collier le même jour que le corps avait été trouvé. La réponse était évidente. Elle avait été sous leur nez depuis le début.
- Donnez-moi la mallette, Enquêtrice, dit-il fermement en tendant la main.
- Je ne peux pas ! Je- Si je le fais… Je vais…
La voix de la femme craqua, et des larmes perlèrent aux coins de ses yeux.
- Je sais. Mais si vous ne le faites pas, tous les gens dans ce métro vont mourir, Karen, répliqua le garçon, mentionnant les passagers qui ne se doutaient de rien autour d'eux.
Soudain, le blond arracha la valise de ses mains et l'ouvrit.
Des explosifs. La valise débordait d'explosifs. Il la referma rapidement avant que quiconque l'aperçoive. L'enquêtrice resta immobile, choquée et sans voix en réalisant ce qu'elle avait été sur le point de faire. Elle n'était pas la seule en danger. Elle avait mis la vie d'autres personnes en danger. Ils restèrent silencieux alors que le train se remit à ralentir. Les passagers se mirent à descendre à l'arrêt, les sortant de leur transe.
- Euh… Je ne crois pas que les valises sont censées faire « bip bip »… fit remarquer le blond lorsque un son s'était manifesté dans la mallette.
- C'est un compte à rebours… dit le bleuté. Il a été déclenché par l'ouverture !
- Oups… dit le blond avant d'être tiré par le bras par le bleuté.
Il l'emmena hors du train et de la station, s'arrêtant un moment avant de réfléchir à un endroit où ils pourraient se débarrasser de la valise. Il fronça les sourcils tout en réfléchissant, lorsque soudain, Alois se mit à crier.
- Le fleuve ! dit-il, pointant La Tamise du doigt. Jette-là dans le fleuve !
- Allons-y ! aboya presque Ciel en retour avant de tirer à nouveau sur le bras de l'autre.
Ils coururent aussi vite que possible, évitant les personnes sur le trottoir et les voitures alors qu'ils se ruèrent sur la chaussée afin de faire une ligne droite vers le fleuve. Tandis que l'eau n'était plus très loin, le « bip » devint de plus en plus rapide, mais peu importe à quel point ils couraient vite, il ne semblait pas réussir à y arriver à temps avant que le blond ait le bras explosé alors qu'il tenait l'objet. Finalement, Alois s'arrêta, plantant fermement ses pieds dans le sol tout en prenant une positon adaptée à ce qu'il s'apprêtait à faire. Il replia le bras en arrière, et jeta la mallette avec autant de force que possible vers l'eau.
Elle fit un plat, et il n'y eut pas un bruit pendant un instant, à l'exception des vaguelettes. Une lumière fit son apparition là où la valise avait coulée, et le courant s'agita légèrement. Un boum étouffé ne fut entendu que par le duo de démon, étant donné qu'ils étaient les plus proches. Soupirant de soulagement, les garçons s'assirent par terre et reprirent leur souffle, riant un peu de la ridicule manière dont ils en avaient disposé.
Ils hésitèrent avant de contacter Simon. Avaient-ils brisé la règle stipulant qu'il ne pouvait pas avoir d'aide ? N'avaient-ils pas « disposé » des explosifs comme il le fallait ? Peut-être que Preston était déjà mort alors qu'ils étaient assis là, exécuté par le fou parce qu'ils avaient essayé de soutirer des informations à l'enquêtrice. Il était difficile de ne pas se poser la question.
Au moment où ils furent sur le point d'appuyer sur le bouton d'appel, un taxi s'arrêta de leur côté de la rue avant de repartir, laissant un passager. Les garçons levèrent les yeux et aperçurent l'Enquêtrice Smith qui les regardait depuis la rambarde. Elle se mit immédiatement à la contourner et à descendre sur la rive où les garçons étaient assis, et ils attendirent qu'elle arrive vers eux pour se lever.
- Eh ! les interpella-t-elle. Vous êtes-vous débarrassés de la bombe ?
- Ouais ! Elle est dans le fleuve ! cria Alois en retour. Ça a fait « boum » !
- Je suis presque sûre et certaine que jeter des bombes dans les fleuves est illégal, alors je vais juste prétendre que je n'ai rien entendu, monsieur Trancy, répondit la femme.
La menace blonde tira la langue en réponse.
- Emmener des explosifs dans un métro est tout aussi illégal, enquêtrice, dit Ciel en mettant ses mains dans ses poches. Je suppose que vous ignoriez le contenu de la valise, je me trompe ?
- En effet… dit Smith, baissant les yeux vers l'herbe.
Elle ne voulait pas croiser son regard, et sans rien d'autre à dire, elle resta silencieuse.
- Vous le connaissez, n'est-ce pas ? demanda le bleuté. Vous semblez cacher quelque chose.
La femme releva les yeux, les écarquillant en entendant ce qu'il venait de dire.
- Je ne peux pas vous dire… répondit-elle faiblement. Je ne peux juste pas…
- Je comprends, dit le Phantomhive. Si vous parlez, vous mourrez.
- Ce n'est pas seulement cela, vous savez, murmura Smith. Je tiens à lui, vous savez. Je ne veux pas qu'il ait des ennuis. Après tout, nous sommes une famille…
Un long « bip » retentit, et ils écarquillèrent tous les trois les yeux en sachant ce que cela signifiait. Le collier qui se trouvait autour du cou de l'enquêtrice s'activa, séparant sa tête de son corps. La tête de la femme ainsi que son cou furent brûlés, des bouts de chairs et du sang volèrent de tous les côtés, reproduisant une scène similaire à celle du pont sur l'herbe cette fois-ci. Ciel enlaça Alois, le protégeant de l'impact avec son dos, tachant son manteau d'indésirables gouttelettes de la substance cramoisi. Ils ne supportaient pas de regarder le corps, le blond cachant ses yeux dans le cou du bleuté afin de pas avoir à regarder.
- Tu n'avais pas besoin de me protéger, tu sais… dit Alois. J'allais te protéger, en plus.
- Mon temps de réaction est meilleur que le tien, dit le bleuté en retour.
Bien qu'il essaya de plaisanter, il ne sourit pas. Pas même un sourire narquois. Il resta ainsi, tenant le blond un moment avant de le relâcher pour sortir son téléphone portable.
- Qui est-ce que tu contactes ? demanda le blond.
- L'Inspecteur Bailey. Je l'informe de la mort de Smith, répondit le bleuté, sachant que le blond le regardait écrire.
Le blond sourit quelque peu en voyant le message, comprenant immédiatement ce que le bleuté faisait réellement. Lorsqu'il eut terminé, Ciel rangea son téléphone et reprit le talkie-walkie. Il appuya sur le bouton.
- Nous avons disposé de la bombe comme vous le souhaitiez, dit-il mollement. Quelle est la prochaine tâche ?
- Vous n'allez même pas faire le deuil de votre collègue ? Comme c'est froid, dit la voix à travers la radio.
Ciel lui aurait bien fait remarquer que tuer un membre de sa famille était tout aussi « froid », si Preston n'était pas en danger.
- Très bien, dans ce cas. Simon s'exclame : maintenant, vous devez trouver l'œuf décoratif géant. Bonne chance !
Oh, cela ne finirait-il donc jamais ?
La Rubrique : Foire aux Questions
Question : « Est-ce que Ciel laisse Sebastian former un pacte avec un humain, ou est-ce que Ciel forme un pacte et laisse Sebastian avoir l'âme parfois ? » de bluejellyfishOuO
Réponse de Sebastian : « Les démons peuvent avoir plus d'un pacte en même temps, alors le jeune maître me laisse être 'emprunté' de temps à autres, mais seulement pour former de faibles pactes avec les proies. Les humains de nos jours ne sont plus aussi rancuniers qu'autrefois, d'ailleurs. C'est quelque peu décevant... »
Question : « Si Audrey n'est pas bi… il est gay ? » de FreezeinWinter
Réponse d'Audrey : « Non… J'aime les filles... »
Question : « J'ai une question pour les pêchés quels sont votre livre, plat, et boisson préférés ? » de ChesireLucky*
Réponse de Ciel :
Livre : « Les Aventures de Sherlock Holmes » de Sir Arthur Conan Doyle.
Nourriture : Gâteau
Boisson : Earl Grey
Réponse de Alois :
Livre : « Cinquante Nuances de Grey » de E.L. James… Haha ! Je rigole ! Je déteste lire…
Nourriture : Fish n' Chips
Boisson : SODA. N'importe lequel. Sauf le Sprite. J'aime pas le goût que ça a…
*Continué dans le prochain chapitre. Désolée ! ILS ONT TOUS FUI APRÈS LA DERNIÈRE QUESTION QU'ILS ONT EU.
