Écrit par HateWeasel

196. L'Infernale Soirée Pyjama de Ciel.

Dès l'aube ce jour-là au manoir Phantomhive, le chef de la maison était contrarié par ce qu'il avait reçu par courrier. Il s'agissait d'une invitation à un rassemblement dans la Cornouailles-, enfin, c'était plus une « fête » qu'un « rassemblement » avec certains aspects professionnels. C'était une réunion réservée à la noblesse anglaise pour qu'elle se retrouve et échange sur ses derniers exploits ainsi que sur ses efforts en affaires tout en prévoyant en même temps ses prochaines transactions. Ciel n'aimait pas cela; pas le moins du monde.

Non seulement il devrait rester dans sa forme « adulte » pendant une longue période de temps, mais il ne souhaitait simplement pas parler aux autres nobles. Ils n'étaient plus comme autrefois. De nos jours, ce n'était majoritairement que des familles riches. Il y avait certaines familles comme la famille Hellsing et Midford qui, cependant, servaient un but.

Oh, la famille Midford. Elle était toujours aussi puissante, après toutes ces années, étant l'une des défenses les plus fiables de Grande-Bretagne. Bien qu'ils ne combattaient plus à l'aide d'épées, ils étaient tous hautement gradés militairement parlant. L'actuel chef était le descendant du cousin du Phantomhive, Edward Midford, le grand frère de son ancienne fiancée, Elizabeth, et il était également membre du Conseil des Douze, par conséquent il connaissait bien l'histoire du bleuté.

Rupert Midford était le dernier de ses soucis, cependant. La personne qu'il ne désirait absolument pas voir était Sir Integra Hellsing. Ciel la connaissait depuis bientôt vingt ans, ayant rencontré la femme lorsqu'elle était aussi jeune qu'il en avait l'air. Il la tolérait un peu plus à cette époque-là, mais les années passant, ils étaient devenus rivaux.

Il ne voulait pas y aller, mais il était nécessaire qu'il y fasse une apparition. Si le Chien de La Reine ne se montrait pas, la réputation du garçon aux yeux des autres nobles en pâtirait, pourtant même avec cette logique, ça ne rendait pas la chose plus facile pour se forcer à s'y rendre. Il ne voulait pas parler avec une bande d'aristocrates médiocres qui ne servaient à rien d'autre qu'à engloutir les fonds de la nation, ni voir sa Némésis, Sir Hellsing. De plus, la menace blonde serait encore à Londres, et Cornouailles était à plus de deux cents kilomètres. Il avait l'impression d'être quelque peu ridicule de s'inquiéter à cause de cela, mais en supposant que le blond s'attire de quelconques ennuis, il serait incapable de l'aider. En y repensant, cependant, Amélie, Charlotte, et Audrey seraient là au cas où, mais même ainsi, il n'était pas sûr et certain qu'ils soient assez compétents.

Ciel secoua la tête, tentant de ne pas s'en faire. Alois n'était parti que depuis quelques jours, et pourtant il se retrouvait souvent à penser au garçon. Les messages qu'il recevait parfois n'était pas d'une grande aide non plus. Alois et Audrey le contactaient pour la moindre et la plus stupide des choses, comme lorsque le blond s'était attiré des ennuis en criant « Ave Satan ! » durant le serment quotidien de H.E.L.L.S.I.N.G., et il avait été forcé à nettoyer les toilettes tout seul avec une brosse à dent en guise de punition, ou le fait que Audrey était apparemment incapable de faire plus de dix pompes d'affilée sans se vautrer.

Peut-être que se rendre à ce stupide rassemblement lui viderait l'esprit un temps. Ce serait soit cela, soit ça ne ferait que l'inquiéter davantage. Quoi qu'il en soit, il devrait y aller.

Donc, il convoqua Sebastian et ils préparèrent leurs bagages pour aller en Cornouailles. Il envoya un message au blond, lui expliquant la situation, en sachant que ce dernier ne serait pas en mesure de répondre tout de suite, étant donné que la base où il se trouvait fonctionnait la nuit. Tandis qu'il faisait ses valises, cependant, il tomba sur un visage familier.

Il y avait un ornithorynque sur sa commode. Pourquoi, il l'ignorait, mais il était bien là. Il partit du principe qu'Alois en était responsable. Le blond devait sans doute avoir du mal sans la peluche. Ciel la prit un instant afin de caresser délicatement sa douce fausse-fourrure comme s'il s'agissait réellement d'un être vivant avant de reprendre ce qu'il faisait.

Il leur fallut plus de quatre heures pour aller de Londres au pays de Cornouailles, plus ou moins, et lorsqu'ils arrivèrent, le soleil commençait à se coucher. Ciel et son majordome se rendaient à l'hôtel où ils logeraient, quand le bleuté reçut une réponse du blond. Rapidement, le bleuté sortit son téléphone pour le lire, ce qui amusa fortement Sebastian.

Tu as intérêt à envoyer des photos !

- AT

Ciel roula de l'œil en lisant le message du blond et envoya une réponse avant de remettre l'appareil de communication dans sa poche. Jusqu'ici, cette expédition s'était passée sans encombres. Ils étaient arrivés de bonne heure, le blond ne se plaignait pas de « rater l'événement », et ils récupérèrent la clé de leurs chambres sans problèmes. Ce fut, cependant, à ce moment-là que les choses tournèrent au vinaigre. Une fois qu'il s'était séparé de Sebastian, l'homme se rendant à dans sa propre chambre, et au moment où le bleuté allait atteindre la porte de la sienne, il tomba face à face avec la dernière personne qu'il voulait voir.

Sir Integra Fairbrook Wingates Hellsing.

La femme semblait tout aussi surprise que lui à cet instant, tous les deux se regardant dans le blanc des yeux. Ils étaient assez étonnés d'avoir tous les deux choisis le même hôtel. Finalement, le bleuté fronça les sourcils et prit la parole.

- Hellsing, salua-t-il, comme il le faisait toujours.

- Phantomhive, dit-elle en retour. Quelle plaisir de vous voir...

- Oh, non. Tout le plaisir est pour moi, répondit Ciel avec sarcasme. Alors, qu'avez-vous de beau à raconter ? Vous avez embêté quelques enfants dans le parc, ces derniers temps ?

- Non, je n'en ai croisé qu'un aujourd'hui, répliqua la femme. Malheureusement, il n'était pas une très bonne compagnie.

- Oh, je m'excuse. Je ne vous ai pas vraiment écouté. J'étais distrait. Il semblerait qu'il y ait quelque chose sur votre visage... Oh, milles excuses ! Ce n'est qu'une ride.

- Ne vous inquiétez pas ! Ça doit être dur de voir des choses qui sont aussi hautes par rapport à vous.

Ciel sentit son sourcil le démanger en entendant cette dernière remarque. Quoi qu'il en soit, il fit de son mieux pour rester impassible, et civilisé. Il se mit à aller vers la porte de sa chambre, attrapant la poignée et sortant sa carte de sa poche.

- Que faites-vous ? demanda la femme, et le garçon la regarda d'un air condescendant.

- Je rentre dans ma chambre ? J'adorerai rester et rattraper le temps perdu, mais je dois déposer mes bagages, répondit-il.

L'expression sur le visage de Sir Hellsing semblait à la fois confus et agacé.

- « Votre » chambre ? J'ai bien peur que vous vous trompiez, dit-elle. C'est ma chambre.

- Impossible. J'ai la clé, dit le garçon, montrant la carte. Chambre 109, vous voyez ?

Il sentit son cœur lâcher lorsque la femme montra la sienne.

- Chambre 109... répéta-t-elle, lisant le chiffre sur sa carte.

La main de Ciel glissa de la poignée et il se retourna pour revenir à l'accueil.

- Je vais me plaindre. C'est tout bonnement inacceptable, grogna-t-il, marchant presque d'un pas lourd.

- Alors la chambre me revient ? Quelle bonté, dit Hellsing, tendant la main en direction de la poignée de la porte.

Le bleuté se retourna instantanément et empêcha la femme d'entrer.

- Oh, non. C'est ma chambre, insista-t-il. J'aillais seulement leur dire de vous donner la vôtre.

- Pourquoi est-ce que vous n'en demandez pas une ?

- Parce que j'en ai déjà une ! rugit-il.

Ils restèrent silencieux un moment, se fusillant du regard- du moins, jusqu'à ce que Sir Hellsing déverrouille la porte et se faufile à l'intérieur.

- Eh ! Qu'est-ce que je viens de dire ?!

- Je ne sais pas. Je ne pouvais pas vous entendre d'en haut, répliqua-t-elle, le bleuté la suivant alors qu'ils continuaient à se chamailler.

- Mensonge ! Ma taille n'a rien à voir avec cela !

- Oh, alors vous êtes réellement sensible concernant votre taille…

Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase pour Ciel. Il jeta ses bagages et croisa les bras. S'il avait eu une petite mine sur le visage au lieu d'un froncement de sourcil, il aurait eu l'air puéril.

- Je ne vous laisserai pas avoir la chambre, dit-il.

- Quelle coïncidence. Je n'en ai pas non plus envie, répondit la femme. Qu'en est-il de votre « galanterie Anglaise » ? Ne serait-il pas courtois de laisser la dame avoir la chambre ?

- Je m'excuse, mais vous êtes sans doute la femme la moins féminine que j'ai pu voir dans ma vie.

Le bleuté se mit à ignorer l'insupportable individu qu'était la Hellsing et il commença à défaire ses valises.

Pendant ce temps, un certain blond était réveillé depuis environ une heure, et il était actuellement aligné avec le reste de ses camarades endormis. Il avait eu raison en disant qu'ils leur seraient dur de dormir. Parce que l'Irons avait fait remarquer qu'il aurait pu les observer dormir si profondément, cette idée s'était petit à petit ancrée dans l'esprit de la plupart des garçons du dortoir. Ils s'étaient finalement endormis après être resté éveillé trop longtemps. Ils étaient presque tous exténué après avoir couru la nuit dernière et après être resté debout la journée, devenant ainsi l'allégorie de la fatigue.

Les filles n'étaient pas vraiment mieux, étant donné qu'elles étaient coincées avec une vampire et une loup-garou, ces deux-là pouvant possiblement les blesser ou les dévorer. Bien que ni Charlotte ni Amélie ne feraient une chose pareille, les autres l'ignoraient. Lorsque le capitaine arriva pour faire l'appel, il n'était pas ravi.

- Que se passe-t-il ?! aboya-t-il. Pourquoi êtes-vous tous aussi fatigués ?!

- Vous seriez fatigué aussi si vous dormiez dans la même pièce qu'un démon… dit l'un des garçons en bâillant.

- Racistes ! cria Amélie, secouant le poing en l'air de manière comique.

Le capitaine, du nom de Capitaine Hayes, fronça les sourcils.

- Un peu de nerf ! cria-t-il. Vous devez vous y faire ! Aucun de vous ne survivra à ce camp autrement ! Aucune de ces créatures surnaturelles n'osera poser un doigt sur l'un de vous, en sachant qu'à l'instant où elle essayera, on lui fera exploser la tête !

- On m'a déjà tiré dans la tête ! dit Alois, levant la main.

- Pas avec une balle anti-monstre, non ! répliqua Hayes.

- On t'as tiré dans la tête ? demanda Audrey.

- Ouais. C'était pas ouf, répondit le démon blond, faisant apparaître une veine sur le front de leur supérieur.

- Silence, avant que je vous fusille tous les deux sur le champ ! cria-t-il.

- Mais monsieur, fusiller Audrey vous enverra directement en Enfer ! Il est un « être divin », protesta le blond.

Le Capitaine Hayes regarda Bones.

- Baines ! Qu'est-ce qui vous rend « divin », exactement ?

- Je suis à moitié Dieu de la Mort, monsieur, répondit Audrey, toujours au garde à vous.

- Un Dieu de- ?! Comment diable cela fonctionne-t-il ?!

- Sa mère est humaine, monsieur, dit Alois.

- Les Dieux de la Mort ne sont-ils pas censés être des squelettes ?!

- C'est juste un stéréotypes.

- Racistes ! cria de nouveau Amélie, gagnant des gloussements étouffés ainsi que des ricanements de la part des autres enfants.

L'attention du capitaine passa alors de Bones à la louve.

- Et qu'est-ce que vous êtes ?! aboya-t-il.

- I'm a werewolf ! aboya en retour Amélie tout en saluant, son expression restant toujours la même.

- Quoi?! Parlez Anglais !

- Elle a dit, « Je suis un loup-garou », traduisit Charlotte, cette phrase étant l'une des seules en français qu'elle pouvait comprendre.

Amélie l'avait apparemment dit tellement de fois qu'elle avait fini par l'apprendre.

- Je ne vous ai rien demandé, vampire ! cria Hayes.

- Parle pas à ma femme comme ça, connard ! répliqua Amélie.

- Assez ! Toutes les deux ! À terre et faites-moi cinq cent pompes !

Ciel sourit en lisant le message qu'il avait reçu, ledit message lui racontant l'anecdote. Il était content que Alois et les autres s'amusent à se payer la tête de leur supérieur, au moins. Cependant, ce doux sourire qu'il arborait disparut lorsqu'il releva l'œil et remarqua qu'on le regardait.

- Quoi ? dit-il brusquement, fronçant les sourcils en direction de la femme dans la même pièce que lui.

- Rien, répondit Sir Hellsing. C'est juste que je ne pense pas vous avoir déjà vu sourire comme ça auparavant.

- Un problème, Hellsing ? répliqua le bleuté.

- C'est déroutant.

Ciel la regarda avec la plus belle grimace qu'il pouvait faire tout en répondant.

- Pourquoi êtes-vous encore ici ?

- Parce que c'est ma chambre.

Le bleuté ouvrit la bouche afin de trouver une bonne répartie, mais il ne trouva rien. Il ne put donc que grommeler un simple « Non, ça ne l'est pas » avant de reporter son attention sur son téléphone pour envoyer sa réponse.

- A qui parlez-vous ? demanda la femme.

- Alois.

- Je vois…

Il y eut une pause, la seule chose audible étant les légers « bips » que le téléphone du Phantomhive faisait chaque fois qu'il appuyait sur un bouton. La Hellsing mit fin en silence en ricanant légèrement.

- Qu'y a-t-il ? demanda le bleuté d'un ton sec.

- C'est drôle, dit Integra, la simple idée qu'un démon puisse tomber amoureux. Je ne l'aurais jamais crû, surtout venant de vous, par-dessus tout.

- Moi de même… répondit Ciel, arrêtant d'écrire un instant. Je suis ravi de pouvoir vous divertir.

Il y eut de nouveau une pause gênante. L'atmosphère de la pièce était lourde. Une fois de plus, Sir Hellsing mit fin au silence.

- Quelle est votre relation avec lui, exactement ?

Click !

- Que faites-vous ?

- Alois m'a dit « d'envoyer des photos » pendant que j'étais ici, dit le bleuté, reprenant l'écriture de son message.

- Je vous interdis d'envoyer cela ! aboya Sir Hellsing. Comment osez-vous prendre des photos d'une dame en pyjama ?!

Ciel arrêta d'écrire afin de regarder de nouveau la femme, l'air confus. Elle portait une chemise blanche ainsi qu'un pantalon noir.

- « Pyjama » ? répéta-t-il. Je pensais que vous aviez simplement enlevé votre manteau… Une minute, que faites-vous en tenue de nuit ?!

- Je me prépare à aller dormir, que croyez-vous ? dit simplement la femme. J'attends juste que vous partiez.

- Vous allez attendre un bon moment, dans ce cas, dit le bleuté.

Il n'allait pas céder. Il supprima la photographie de Sir Hellsing qu'il avait pris, et recommença à taper. Finalement, il termina son message et l'envoya.

- Comme vous voudrez, dit Hellsing.

Ciel sentit sa paupière le démanger alors qu'elle retira son propre cache-œil et se mit dans le lit avant de s'y installer confortablement.

- Si vous partez, verrouillez la porte derrière vous s'il vous plaît.

- Qu'est-ce qui vous fait penser que je vais partir ?! C'est ma chambre ! cria le bleuté.

- Vous êtes bruyant.

- J'en ai tous les droits ! Une folle vient de me voler mon lit ! Où diable suis-je supposé dormir ?!

- Bonne nuit, Ciel.

- Ne vous endormez pas, et ne m'appelez pas « Ciel » !

- Vous pouvez dormir sur cette chaise sur laquelle vous êtes assis. Honnêtement, je ne vois pas pourquoi vous vous emportez; les démons n'ont pas besoin de sommeil…

- Je commence à me dire que vous êtes le démon ici ! cria le garçon, ne recevant aucune réponse.

- Hellsing ?

Toujours rien.

- Hellsing ? Hellsing ! Ne vous endormez pas, Hellsing ! Hellsing ! Integra !

Le démon déjà bien agacé devint encore plus furieux lorsqu'il pensa entendre un ricanement venir du côté de l'autre noble...


La Rubrique : Foire aux Questions

Question : « deux pour mon cher sebastian; 1) si les âmes de ciel et alois n'avaient pas été là, est-ce que tu aurais pu être ami avec Claude ? 2) est-ce que tu as déjà été attiré, ou à même eu des sentiments pour ciel à un certain moment ? Alois ! 1) est-ce que tu avais des sentiments pour ciel quand tu l'as rencontré ? Quand vous étiez ennemies ? » de Lady Fandomhive

Réponse de Sebastian : « Peut-être. Peut-être aurions-nous pu être 'amis', ou même 'alliés', au moins. Et non. Je n'ai jamais été attiré par autre chose que son âme. Rien de romantique ou de sexuel. Nous sommes simplement maître et servant. Je ne cherche pas à être autre chose. »

Réponse de Alois : « Je ne peux pas dire que oui. Ouais, je trouvais qu'il était mignon, mais l'aimer, ça ne m'a même pas traversé l'esprit. Je ne savais même pas que j'étais intéressé par les hommes… (Même si, je me souviens que je trouvais qu'il n'était pas désagréable à regarder…) Je voulais surtout le vaincre. J'ai encore envie de le vaincre parfois... »

Question : « Ciel, comment réagirais-tu si je te disais qu'UNE de mes amies s'appelle Ciel ? » de HoneyCloud of RiverClan

Réponse de Ciel : « Eh bien, c'est un nom unisexe… Ce n'est qu'une coïncidence, j'en suis certain. »

Alois : *RICANE*

Ciel : Boucle-là, JIM !

Question : « Sept Sensationnels. Vos réactions à 'Just Lose it' de Eminem » de LeliaTheGreat

Réponse de Ciel : « Pourquoi la musique est ainsi de nos jours ? Où est la complexité ? Le talent ? »

Réponse de Alois : « Non. »

Réponse de Kristopherson : « 'Lose it' de Austra est mieux… »

Réponse de Audrey : « Je ne suis pas trop rap… Dernièrement, j'écoute '999'. Je vous recommanderais 'Homicide' ou 'Emergency'. »

Réponse de Daniel : « Qu'est-ce que vous racontez ? Cette chanson est géniale ! »

Réponse de Preston : « Je commence à remettre en question les goûts de Daniel en… tout en fait. »

Réponse de Travis : « J'ai bien peur de ne pas comprendre toutes les références... »

*Les sept ont ensuite eu un débat d'une heure sur la musique… Apparemment leur goûts sont juste différents...