Demain on fête les 5 ans de la traduction ! Si j'arrive à garder le même rythme, dans 4 ans environ c'est bouclé...

Bonne lecture à tous !


Écrit par HateWeasel

242. Ça Arrive Toujours Quand On S'y Attend Le Moins.

Seuls ceux possédant les deux choses suivantes peuvent être acceptés à Warwick Academy : une bonne situation économique et sociale. La seule exception étant d'excellentes notes, mais cela, cependant, arrive si rarement qu'il n'est pas nécessaire de le mentionner. Ceci dit, l'éducation tient une place plus importante que l'opulence à Warwick, c'est pour cette raison que les élèves reçoivent les meilleurs enseignements que l'argent peut apporter, étant donné que les professeurs enrichissent l'intelligence et la culture des élèves, faisant d'eux les pionniers de demain.

Toujours est-il que, il y a bien un ou deux élèves qui passent entre les mailles du filet. Prenez Daniel Westley, par exemple, fils de Barbara et Mathew Westley. Le père est un homme politique, et est donc versé dans les lettres, son fils, d'un autre côté; ne l'était pas vraiment. Daniel avait les pires notes des trois enfants Westley, et il n'était pas exactement le plus brillant non plus. Ses paroles étaient souvent sujettes aux moqueries de ses amis, il n'était pas le plus doué pour prendre des décisions, et il ignorait bon nombre de conventions sociales.

Toutefois, les intentions de Daniel étaient souvent bonnes. Peu importe à quel point il pouvait se sentir en détresse, il forcerait un sourire à se dessiner sur le visage de ses amis grâce à ses singeries, quoi qu'il en soit. Depuis peu, il avait un nouveau rêve, quelque chose qu'il n'avait jamais ne serait-ce que considérer réaliser un jour. Il voulait entrer dans le monde politique afin d'ouvrir une voie plus positive aux futures relations humaines/surnaturelles, sachant très bien que même deux de ses amis, qui étaient des démons, devraient finir par tuer pour survivre. Comme toujours, il enfouissait les arrière-pensées négatives au fin fond de son esprit afin de se concentrer sur le positif. Il n'était pas très porté sur les projets, alors il n'avait aucune idée de comment accomplir ce plan, mais il savait qu'il y arrivait, d'une manière ou d'une autre. Jusqu'à maintenant, il avait vécu au jour le jour. En fait, il continuait à vivre ainsi.

- Oh, alors tu t'es de nouveau décoloré les cheveux ? demanda-t-il à son ami Kristopherson alors qu'il s'assit à sa place habituelle à côté de ce dernier, avant la sonnerie.

Le garçon à la cravate rose se contenta de relever les yeux du croquis qu'il dessinait dans son cahier pour regarder l'autre garçon.

- Hm ? Oh, ouais… répondit-il, prenant une mèche de ses cheveux faussement blonds entre son pouce et son index. « L'air naturel » m'intéressait pas vraiment.

- Moi non plus. Ça te rendait banal, dit le Westley, s'adossant contre sa chaise. Le blond te va vraiment mieux. C'est plus sympa, - il regarda le dessin du garçon-, C'est quoi ? Ca fait démoniaque.

- Une idée juste comme ça que j'ai eu. En fait, une bonne partie de mes croquis son centrés sur le surnaturel, ces temps-ci. J'essaye de me baser sur un loup-garou, d'ailleurs…

- Des robes pour loup-garou ? Où va le monde ?

- C'est fou, hein ? J'essaye de voir si je peux mettre une pleine lune, quelque part, mais je n'arrive pas à savoir .

- Pourquoi pas mettre des points ? Comme, des pois jaunes dessus ? Et hop, une lune. En fait, ça en fait plein !

Kristopherson regarda le brun d'un air quelque peu condescendant qui ne pouvait que se traduire par, « qu'est-ce qui ne va pas chez toi ».

- « Des pois » ? répéta le garçon à la cravate rose. « Des pois » ? Qui porterait des vêtements à pois ?

- Je sais pas. Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il y a de mal à ça ? demanda Daniel.

- Le fait que c'est absolument ridicule.

- Oh bah, excuse-moi, « Princesse », dit le Westley avec sarcasme.

Il se retourna pour laisser le faux-blond à son croquis. Ce n'était pas comme si Kristopherson était contrarié par ce surnom. Le Westley l'appelait « Princesse », ou « Rosie » tout le temps, et il se contentait de l'ignorer maintenant. Il dessinait activement, rajoutant un point jaune sur la robe à contrecœur, avant de décider que ce simple ajout était suffisant pour ce qu'il recherchait. Il s'adossa contre le dos de sa chaise afin d'admirer son travail, sursautant lorsque Daniel se remit soudainement à parler.

- Eh, Kris ! Tu t'es déjà demandé comme les « gens normaux » vivent ? demanda le Westley, surprenant le Miles.

- Nous sommes « normaux », non ? demanda Kristopherson en réponse.

- Non, non, je parle des classes populaires, répondit Daniel. Les politiciens se font tout le temps accuser de ne pas savoir ce que ça fait de vivre avec un budget réduit ! Tu ne t'es jamais demandé comment c'était ?

- Pas vraiment. Où veux-tu en venir exactement ?

- Je viens de me rendre compte que si je veux être populaire avec le public, je dois le comprendre ! s'exclama Daniel, marquant, étrangement, un point.

Il avait raison. Il était courant dans la classe aisée de ne pas du tout comprendre ce que le reste de la population vivait. Son raisonnement inhabituel, cependant, fut démantelé avec sa prochaine idée.

- Je veux essayer, dit-il d'un air absurdement sérieux. Ouais ! Quand j'irais à la fac, je trouverai mon propre travail et je louerai un appartement tout seul ! Ce sera facile ! Puis quand je serai diplômé, je pourrais parfaitement apprécier- eh, qu'est-ce que tu fais ?

Daniel cessa son monologue lorsqu'il releva les yeux, et vit le faux-blond sur son téléphone, se connectant à la Wifi de l'école. Il était sur Google. Après quelques instants, il finit par répondre.

- Alors, en ayant seulement réussi le lycée et sans aucune expérience professionnelle, tu pourras avoir au mieux le salaire minimum, qui semble être aux alentours de 4,98 par heure… commença Kristopherson, ne s'embêtant même pas à relever les yeux de son appareil. Donc, si tu travaillais cinq heures par jour, tu gagnerais 24,90. Pour une semaine de sept jour de travail, ça revient à seulement un peu plus de 174 livres par semaine. Le prix moyen par semaine de location à Londres est, oh regarde, de plus de 400 livres ! Et tu dois encore payer ta nourriture et le reste.

- Plus un mot, espèce de… espèce de… dit Daniel, s'estompant. Plus un mot, voilà.

- J'essaye juste d'aider mon stupide ami.

- Je ne suis pas stupide ! J'ai juste besoin d'un plan ! Oh ! Je sais ! Et si je trouvais un colocataire ? Tu sais, pour partager les factures ? Je trouverai juste un « Watson » à mon « Sherlock » !

- Mais tu es trop bête pour être Sherlock…

- C'est faux !

- Alors, comment y vont ? En train de rendre cet endroit plus gai, hein~ ? les salua la menace blonde comme à son habitude.

Il se laissa tomber à sa place, aussitôt suivi du Phantomhive, qui se contenta de hocher la tête en guise de salutation.

- Je ne suis pas gay !

- C'est l'hôpital qui se fout de la charité, Trancy, répondit le garçon à la cravate rose, posant son menton dans sa paume.

- Pourquoi ? Je ne suis pas « gay ». J'aime juste Ciel~ !

- Alors, tu es pansexuel ? demanda Kristopherson, levant un sourcil.

- « Ciel-sexuel » ? renchérit Daniel.

- Oula, du calme ! Vous m'avez perdu avec votre jargon branché, les d'jeuns, plaisanta Alois, ne comprenant pas ce que le garçon venait de dire.

- Si tu ne sais pas, alors laisse tomber… dit le Miles, ce qui eut pour effet de faire se lever un sourcil de la menace blonde.

Alois porta son attention sur le gentleman bleuté qui était entré dans la pièce avec lui.

- Eh, Ciel, c'est quoi pa-

- Je l'ignore, le coupa le bleuté, ayant entendu la conversation. Nous ne pouvons qu'émettre l'hypothèse suivante : il se peut que Kristopherson soit un pervers.

-C'est toi le pervers, Phantomhive ! répliqua le faux-blond, pointant de manière accusatrice le démon du doigt. Dieu lui-même ne veut pas savoir ce que « Satan » fait la porte fermée !

- Je pensais que c'était Alois, dit Daniel avec un grand sourire.

- Mais quel comique, ce monsieur Westley, dit la menace blonde.

Il ouvrit la bouche une fois de plus afin d'ajouter quelque chose à sa remarque sarcastique, avant d'être interrompu par la sonnerie de téléphone du bleuté.

- Pardon, je pensais l'avoir mis en vibreur, dit le Phantomhive, sortant l'appareil de sa poche.

Son air désintéressé passa instantanément à l'agacement en un clin d'œil, alors qu'il lu le nom de la personne qui appelait.

- À en juger par la tête qu'il fait, je dirai que c'est Sir Integra, dit Alois, un sourire amusé décorant son visage.

Il bougea la main de haut en bas afin de congédier le garçon.

- Vas-y, répond à ton petit appel, chéri.

- Ça ne t'énerves pas que ton homme reçoive des appels « d'autres femmes » ? demanda Daniel, recevant un regard mauvais de la part du bleuté alors qu'il se levait.

- Ne plaisante pas sur ça. C'est dégoûtant, dit le bleuté avant de se retourner et de sortir dans le couloir, appuyant sur le bouton pour répondre en même temps. Quoi ?

- J'espère que vous ne prenez pas ce ton avec quelqu'un qui pourrait vous le reprocher, Phantomhive, dit la femme, commentant sa salutation. Je m'excuse de vous appeler durant les heures de cours, mais j'ai un petit problème qui nécessite votre « expertise ».

- Qu'ouïs-je ? Vous me demandant de l'aide, Integra ? demanda Ciel, son ton condescendant.

Il se maudit immédiatement en réalisant qu'il l'avait nonchalamment appelé par son prénom. Il ne voulait pas donner l'impression qu'ils pourraient être, en réalité, « amis », comme Alois le dirait.

- Je ne suis pas en train de jouer, Phantomhive, c'est sérieux, répondit la Hellsing, sa voix grave, une inquiétante once de préoccupation dissimulée, capable de ramener le bleuté à l'ordre. Je parle de la possibilité d'une attaque sur Londres, similaire à celle lancé par Millennium ! L'heure n'est pas aux chamailleries !

Cela, évidemment, attira l'attention du garçon. Il écarquilla l'œil, se rappelant de la destruction qui était arrivée ce jour-là. Des corps parmi les décombres, réduit en morceaux, lorsqu'ils n'étaient pas ramené à la vie en tant que goules; du feu de toutes parts; les gratte-ciel, les bureaux, les maisons, les vies : tout anéantis. Il était arrivé à la fin de tout cela, et l'on aurait dit l'Enfer sur terre. Une éradication à son état le plus pur réduisant à néant n'importe quel ego. C'était sublime, et il avait été impuissant fasse à cela, aucune chance de l'arrêter. Il avait eu le cœur serré en voyant sa patrie ainsi. Ciel Phantomhive n'était pas un grand sentimental, mais à ce moment-là, ne serait-ce qu'un instant, il avait senti une douleur dans son cœur en en étant témoin. La destruction était bien pire que toutes les fois où son manoir avait été terrassé, bien plus importante que lorsque cet ange hermaphrodite avait tenté de le réduire en poussière. Ces gens étaient des maîtres de l'anéantissement. Ciel avait beaucoup de regrets, beaucoup plus qu'il n'en pouvait compter, mais ne pas être arrivé plus tôt pour sauver son pays ce jour-là était vers le haut de la liste. Instantanément, son ton changea.

- Je comprends, dit-il, l'impression qu'il renvoyait changeant du tout au tout. Qu'attendez-vous de moi ?

- Mes agents sont tombés sur une série de meurtres particulière, commença la Hellsing, ne perdant pas de temps.

Elle ne l'admettrait jamais, mais elle aussi, craignait que ce jour-là se reproduise. Après tout, cela lui avait coûté son œil gauche.

- Au départ, cela semblait être un cas comme un autre, mais ensuite nous avons remarqué des signes similaires à l'émergence de Millennium. Des vampires apparaissant plus fréquemment, des goules étant créées à partir de personnes de toute évidence vierges, telles que des nones, ainsi que des enfants. Les goules ne meurent pas lorsque les vampires décèdent, comme à l'accoutumée, mais durant les quelques heures suivant la création semblerait-il. Les autopsies ont également dévoilé des puces primitives, semblables aux puces FREAK implantées dans les soldats de Millennium.

- Une imitation, peut-être ? demanda le bleuté, évitant de croiser le regard d'un élève qu'il ne connaissait pas, ce dernier rentrant dans la salle.

- Probablement, répondit Integra. Ce n'est pas ma spécialité, trouver où les criminels frapperont ensuite, et il est hors de question que je laisse une enquête être faite par des inspecteurs ordinaires et incompétents.

- Alors, vous voulez que je trouve cet imposteur pour vous avant qu'il y ait de réels dégâts, je me trompe ?

- C'est cela. Vous êtes le seul à qui je peux confier cela, Phantomhive.

- Très bien, répondit Ciel, incertain de savoir quoi répondre d'autre à cela.

Il n'avait pas l'habitude que la femme agisse ainsi.

- Je m'en occuperai aussi vite que possible.

Et avec cela, il raccrocha, laissant la main tenant le téléphone retomber le long de son corps alors qu'il s'adossa contre le mur. Il passa son autre main dans ses cheveux bleuâtres, et soupira. Il détestait que ces choses lui tombent dessus ainsi, arrivant sans prévenir des jours autrement normaux. Finalement, il se força à revenir dans la salle de classe et à reprendre sa place-, ou du moins à essayer, étant donné qu'il y avait un élève qu'il ne reconnaissait pas devant, débattant avec ses amis.

- Comment ça, « cette place est prise » ? Il n'y a personne ! demanda le garçon, mettant sa main sur sa hanche.

- Il a reçu un appel, et a dû aller dehors, expliqua Kristopherson. Crois-moi, tu ne tiens pas à l'embêter quand il reviendra.

- Ouais, c'est le mec « le plus effrayant de l'école », selon un vote populaire, dit Audrey, sortant un calepin noir de la poche de son blazer, vérifiant ses notes sur ce que les gens disaient dans l'école. Comme tu ignorais ça, et que je ne te reconnais pas, tu dois êtres nouveau ici, pas vrai ?

- Et alors ? Il y a un plan de classe, ou quelque chose comme ça ? demanda le garçon.

- Non, c'est juste que Satan s'assoit ici, et il se tient juste derrière toi actuellement en se demandant qu'est-ce que tu peux bien faire devant sa place, dit Alois, pointant nonchalamment du doit le bleuté, et le garçon suivit l'indication.

Lorsqu'il se retourna, il aperçut le bleuté se tenir là, lui lançant le « laser-glace ». Son opposant resta là un moment, renvoyant son propre regard avant de céder.

- D'accord. Désolé pour le dérangement, dit-il.

Et ainsi, il partit, prenant un siège vide à côté de Lawrence de l'autre côté de la pièce. Les autres se contentèrent de l'observer alors que Ciel se rassit enfin.

- C'était quoi ça ? demanda Daniel, recevant un haussement d'épaules de la part des autres.

Tous sauf Ciel, qui était assis en fixant le vide avec un air plus sérieux que d'ordinaire, si c'était seulement possible.

- Qu'y a-t-il ? demanda Alois, remarquant le regard du bleuté.

Le voir ainsi et savoir qu'il avait eu un appel de Sir Hellsing, quoi qu'il fut dit, ne disait rien qui vaille.

- Je vais devoir empêcher que l'une des plus grandes catastrophes qui a pu toucher Londres se reproduise… dit le bleuté en se frottant les tempes.

Oh, comme il aimerait que ces choses n'arrivent pas quand il s'y attendait le moins.


La Rubrique : Foire aux Questions

Question : « Pour les sept sensationnels, c'était comment d'être bourrés? » de Ashoka-Tano22

Réponse de Kristopherson : « Je ne dirai pas que nous étions 'bourrés'. Je savais encore parfaitement ce que je faisais. C'est juste que mes capacités motrices étaient sans dessus dessous. J'étais plus 'éméché'.

Réponse de Daniel : « Ça CRAIGNAIT. »

Question : « Pour Ciel : Tu rencontres une fille qui est à moitié vampire à moitié démon et elle demande à travailler au manoir. Elle semble aussi connaître Sebastian. Pour Alois : si tu pouvais avoir n'importe quel animal de compagnie – juste un – à garder au manoir, lequel ? » de CiaranMichelis

Réponse de Ciel : « Je serais méfiant, bien sûr, et j'interrogerai Sebastian pour (j'ordonnerai à Sebastian) qu'il me dise tout ce qu'il sait d'elle. Je ne l'emploierai peut-être pas même ainsi. Sebastian suffit pour s'occuper d'un manoir presque vide. Il est vrai, j'ai laissé Charlotte et Amélie rester, mais c'était pour le travail. Elles étaient soupçonnées à l'époque, et je devais gagner leur confiance pour qu'elles me disent tout ce qu'elles savaient. Elles ont seulement travaillé au manoir à cause de Sir Hellsing, qui si elle découvrait l'existence d'une telle personne, la détruirait jusqu'à ce que même poussière il ne reste plus. »

Réponse de Alois : « Un ornithorynque. »

Question : « QUESTION(S) POUR KRIS : Comment va ta vie amoureuse depuis que tu as rompu avec ce connard ? Est-ce que tu as trouvé quelqu'un d'autre, ou est-ce que tu cherches ? Est-ce que tu te considères comme un receveur ou un lanceur ? » de Nitishu

Réponse de Kristopherson : « C-Comment est-ce que je saurais ? Je ne suis jamais allé aussi loin dans une relation ! (je n'ai même pas encore embrassé!) E-Enfin, j'imagine que ça dépendrait de qui je fréquenterais à ce moment-là… B-Bref, il n'y a rien à dire en particulier. Cameron a essayé de m'appeler quelques fois, mais je l'ai ignoré. Peut-être que je devrai bloquer son numéro. Je n'ai encore retrouvé personne, et je ne cherche personne, d'ailleurs… donc… voilà... »

Question : « Alors samantha… *sourit* audrey hein ? Vite ! Audrey te déclare sa flamme au milieu d'une rue animée ! Ta réaction? » de Wooimmafox1305

Réponse de Samantha : « C'est bizarre ! C'est comme si JE me confessais à un enfant de dix ans ! Qui fait ça au beau milieu d'une rue animée ? Ce n'est tellement pas romantique (sans doute quelque chose que Dan ferait…) En plus, je ne l'aime même pas. »

Question : « Hahahah. J'ai une question pour Dan. Qu'est-ce que tu ferais si toi et Kris étiez enfermés dans une pièce et que Kris était nu, menotté au lit et au garde à vous ? » de Guest

Preston : « Euh… Les gars ? Je crois que Daniel est parti... »

Alois : « Il est PARTI ? Il ne peut pas juste partir comme ça ! Ce trouillard ! »

Ciel : « Ahem… As-tu lu la question ? »

Alois : « Non, pourquoi ? »

« ... »

« ... »

« Je soutien sa décision. N'en parlons pas à Kris... »