Au Royaume de nos âmes
Ash of Mine
Disclaimer : Seul le scénar m'appartient, le reste provenant malheureusement de l'univers créé par JKR… TT
Warnings du chapitre : Enter Voldie... /CRIS DE LA FOULE EN DELIRE/.
Remerciements à Vol de Mort, nyo (lol, faut arrêter le sucre XD les joies de la cohabitation viendront prochainement, t'inquiètes !) Laurène, Ewilan Potter, Bunny Anoushka Kalika, Lupiot, bibou, Solstice Zam, Zaika et caelicola7 (Oui chef, bien chef ! Plus de Comédie, Polygone ou Esplanade ;p) pour leurs reviews pleins d'encouragements (et diverses menaces…) ! Et les autres lecteurs anonymes qui ont pris le temps de lire le dernier chapitre !
Et sans plus tarder… Enjoy !
CHAPITRE II
L'Eveil du Serpent
Quelque chose clochait.
C'était la seule pensée à peu près cohérente qui lui traversait l'esprit alors qu'il eut l'impression d'émerger enfin après une longue et interminable descente dans les tréfonds d'un marais particulièrement visqueux ou dans des sables mouvants bien vicieux.
Tout semblait opprimer ses sens et il crut ressentir encore l'écho au loin d'une douleur sourde qui pourtant, était absente à présent. Sa conscience se réveillait petit à petit après une longue période d'inactivé qui le déstabilisait grandement mais surtout, le laissait un brin inquiet. Il était après tout un grand Mage Noir toujours aux contrôles de la situation…
Alors, que s'était-il donc passé pour le mettre dans cet état comateux ? Pour mettre le plus grand sorcier des temps modernes hors course même pour un bref moment ?
Ses pensées avaient du mal à former une ligne cohérente et seules quelques bribes de souvenirs lui revenaient encore dans cet état – qu'il refusait de qualifier de végétatif - dans lequel il se trouvait… Totalement inacceptable !
Feignant de rester inconscient, notre cher Lord Voldemort – parce que c'était bien lui - tenta de reprendre contrôle de tous ses moyens et de retrouver un semblant de repères avant de s'engager dans une quelconque action.
Il se souvenait d'une atroce douleur qui avait pris possession de tout son être et dont il lui sembla encore ressentir l'arrière goût amère et terrifiante de la Mort qui l'avait pris en son sein pendant un bref moment déjà bien trop long.
Il se souvenait d'une vive lumière verte… Quelqu'un avait-il eu la stupidité de s'en prendre directement à Lui ? Dans l'hypothèse que c'était en effet ce qui s'était réellement passé, personne n'avait la puissance nécessaire pour lui causer de réels dommages, de le laisser dans cet état… tout au plus l'insolent aurait-il réussi à le faire saigner du nez ou seulement donner une petite migraine. Seul ce vieux fou de Dumbledore aurait pu le blesser sérieusement mais ce dernier n'attaquait jamais le premier… préférant sans doute avoir l'excuse de celui qui se voit contraint de répondre à une attaque, de passer à l'action plutôt que d'être celui qui l'a provoquée, pensa Voldemort avec mépris.
Mais il se souvenait également de yeux verts. De yeux verts d'une mère qu'il avait tuée sans pitié. De deux émeraudes qui le fixaient innocemment et brillants d'incompréhension. Un bébé. Un bébé sans défense qui avait été bien trop jeune pour avoir pu pratiquer de la magie contre lui de façon consciente.
Alors comment ? Car il n'y avait aucun doute possible que ce qui lui arrivait présentement était directement lié à cet enfant… cet enfant de la prophétie dont il ne connaissait que le début…
Il s'était conduit comme un misérable Griffondor…
Il s'était montré imprudent.
Lord Voldemort se serait jeté un maléfice bien douloureux à cet instant même pour se remettre les idées bien en place s'il avait eu l'occasion de le faire. Il aurait dû se méfier de cette situation qui lui avait paru comme un oasis en plein milieu du désert. Mirage, que tout cela avait été en fin de compte ! Tout s'était présenté de façon bien trop belle et trop alléchante… Leurre ! Il n'aurait jamais dû se précipiter tête baissée à la manière d'un impudent Griffondor, d'un sale cabot après son bâton !
Il aurait dû se comporter en digne héritier du grand Salazar Serpentard.
Il aurait dû être plus rusé et agir dans l'ombre au lieu d'affronter ainsi de front ce nouvel adversaire.
Il n'aurait dû passé à l'action qu'après avoir eu toutes les données en mains, que s'il avait été certain de sa propre réussite.
Mais il avait choisi d'ignorer toute règle de prudence, péché par orgueil en sous-estimant son adversaire… l'occasion avait été bien trop inespérée pour ne pas en profiter.
Au départ, il avait été plus enclin à rester dans l'ombre, préférant attendre et voir comment la situation allait évoluer… un bébé allait être responsable de sa chute ? Ridicule ! Il y avait des milliers de bébés dans le monde et il n'allait certainement pas concentrer toutes ses forces de frappe à la recherche d'un gamin en couche culotte et suçant encore son pouce !
Il avait préféré observer les faits et gestes de Dumbledore, à l'affût de la moindre activité inhabituelle qui aurait pu le mettre sur la voie, le renseigner sur la nouvelle – et manifestement ridicule – menace qui semblait peser sur son pouvoir.
Mais l'information inespérée lui était parvenue… Voldemort étouffa un grognement furieux à cette pensée. Il aurait dû se méfier !
On lui avait appris le lieu où s'étaient terrés les Potter, de vaillants opposants certes, mais qui avaient constitués jusqu'alors une sérieuse épine dans ses yeux… et ils avaient un enfant qui correspondait aux critères de la prophétie.
Dumbledore lui-même avait mis toute sa puissance pour les protéger sous le sortilège complexe de Fidelitas… et voilà qu'on venait lui dévoilait l'information que ce vieux fou gardait bien serrée au plus près de lui.
Le Gardien du Secret n'avait été nul autre que l'un de ses espions insignifiants… Peter Pettigrew, ami des Potter eux-mêmes.
Voldemort retint un grognement mental de fureur, il ne fallait pas qu'il se laisse aller à la colère. Il allait d'abord se rendre compte de la situation dans laquelle il se trouvait.
Puis…
Puis il avait un rat à appeler et sur lequel se passer les nerfs. Mais ça, ça viendra après.
Voldemort fit le vide dans sa tête et étendit tous ses sens, aux aguets du moindre bruit qui pourrait l'informer de l'endroit où il était.
D'abord rien. Aucune trace de magie dans l'immédiat.
Entrouvrant légèrement les yeux, un sort sur le bout de la langue au cas où un danger avait réussi à se dissimuler à ses sens malgré tout, Voldemort finit par se redresser lorsqu'il fut assuré qu'il était bien seul.
Une pièce circulaire aux couleurs de Serpentard l'accueillit. Il était installé sur un lit deux places dont le couvre-lit allait avec les tons de la chambre. La pièce était étrangement vide. Pas de fenêtres sur l'extérieur. Une seule porte devant lui. Il n'était visiblement pas chez le Vieux Fou.
Et aucune trace de sa baguette.
Voldemort eut un regard calculateur. Il pourrait attendre l'arrivée de la personne qui l'avait amené en ces lieux… mais ce serait admettre qu'il avait besoin que l'Autre vienne le chercher et l'informer. Et il serait désarmé face à l'Autre même s'il était capable de magie sans baguette.
Rien ne l'empêcher de prendre les devants, de montrer que Lord Voldemort était toujours maître de la situation.
Se dirigeant prestement vers la seule porte, Voldemort entendit au fur et à mesure qu'il s'en approchait des bruits légers, étouffés lui parvenir. Tentant de distinguer quelque parole qui pourrait lui servir, le sorcier fut surpris…
Des sanglots.
Des sanglots venant d'un enfant.
Voldemort en avait tellement entendus dans sa vie - d'abord à l'orphelinat puis plus tard lorsqu'il observait sans émotion ses fidèles torturer leurs victimes sous les regards effarés de leurs proches impuissants… - qu'il reconnaîtrait ce son distinct n'importe où.
Doucement, il entrouvrit la porte, sa main gauche prêt à jeter un sort s'il le fallait.
C'était inutile.
Sous le regard incrédule de Voldemort se dessinait une simple pièce nue. Une pièce nue et vide. Aucun meuble. Aucune fenêtre. Aucune autre issue.
Voldemort se tenait dans l'embrasure de la seule sortie de la pièce… qui se trouvait être la seule sortie de sa chambre par la même occasion.
Et seul cet infernal bruit de sanglots brisait le silence qui entourait le Lord des Ténèbres.
Plissant ses yeux serpentines, Voldemort parcourut la petite pièce, à l'affût de la moindre trace de magie. En vain.
Tout à coup un discret mouvement attira son regard vers le centre de la pièce. Une forme sombre se dessinait de plus en plus, comme si elle tentait de prendre pied dans la réalité. De prendre vie. Tout d'abord une esquisse, tout d'abord transparente, elle devint de plus en plus concrète. Voldemort leva sa main gauche par prudence.
La forme se fit alors réelle sous les yeux du Mage Noir. Toute trace d'émotion fut soudain effacée de son visage dur.
Un enfant tremblant à terre.
Un enfant sanglotant.
Voldemort détestait ces sanglots.
S'approchant alors à grand pas de la forme tremblotante à terre, le sorcier décida qu'il était grand temps qu'il obtienne ses réponses maintenant.
Est-ce que tu vas arrêter de pleurnicher maintenant !…
Mais aussitôt que sa main agrippait le frêle bras de l'enfant...
Aussitôt que son regard choqué croisait les deux orbes émeraudes pleines de larmes et dominées par la peur…
Lord Voldemort se retrouva tout à coup incapable du moindre mouvement. Paniqué, il tenta de se détacher de ce regard bien trop vert… la dernière fois qu'il s'était trouvé face à ces yeux, il avait eu mal, bon sang ! Mais peine perdue, c'était comme si plus aucun de ses muscles ne lui obéissait…
Et sans plus de cérémonies, il se sentit brusquement basculé, projeté en avant comme aspiré dans les deux puits émeraudes…
Il était dans un endroit sombre. Il avait peur.
Il était dans un placard. Il était seul.
Il se tenait sur la pointe des pieds. Il voulait plaire.
Il restait à l'écart. Il était silencieux.
Il observait encore et toujours.
Les images défilaient à une vitesse folle sans donner à Voldemort l'occasion de se raccrocher à quoi que ce soit, sans qu'il ait eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait. Pourtant il vivait chacun de ces moments, ressentait chacun des ces sentiments. Des murmures lui parvenaient mais jamais sortant de sa propre bouche.
Pourtant ce n'était pas lui… et c'était lui. Une pensine aurait seulement montré des souvenirs dans lesquels il se serait promené comme un vulgaire fantôme.
Ici, c'était différent. Il vivait ces souvenirs aussi incomplets et furtifs soient-ils.
Et enfin tout ralentit. Voldemort put alors prendre conscience du corps dans lequel il se trouvait.
Un corps qui souffrait.
Un corps qui bougeait… sans son consentement. Comme si quelqu'un d'autre possédait son corps et contrôlait le moindre de ses gestes.
Et Voldemort n'aimait pas ça du tout.
Il tenta de reprendre le contrôle. Il ne savait comment, par où commençait. Voldemort se sentait impuissant pour la première fois depuis de nombreuses années. Pas depuis qu'il s'était rendu compte qu'il n'avait besoin de personne. Que seul le pouvoir importait…
Il voyait une grande femme, le visage déformé par la haine.
Il entendait des supplications sortir de sa bouche.
Et il ne pouvait rien faire. Il poussait toute la force de sa volonté dans ce désir mais rien n'y fit.
Et le coup tomba.
Et il maudit.
Et la douleur augmenta.
Et il haït.
Il sentit tout à coup une vive douleur à l'arrière de sa tête et c'était comme si brusquement la pression qui pesait sur lui s'était soudain envolée.
Il était plongé dans les ténèbres… mais il sentait ce qui lui manquait depuis le début.
Il contrôlait enfin son corps.
Et maintenant quelqu'un allait payer.
Et deux yeux rubis s'ouvrirent brusquement.
Harry était confus.
La douleur s'était tout à coup évaporée.
Et il ne se trouvait plus chez les Dursley… ça il en était sûr.
Aucune des pièces du 4, Privet Drive n'était aussi vide. Se relevant de sa position accroupie, Harry sécha rapidement ses larmes et se dirigea vers la porte qui était restée ouverte. Il avait cru un moment plus tôt qu'il y avait quelqu'un avec lui… mais il avait dû rêver. Sortant de l'étrange pièce dans laquelle il se trouvait avec hésitation, Harry se retrouva devant une sorte de petit salon circulaire avec comme seul ameublement une table basse et deux fauteuils devant une cheminée qui réchauffait doucement l'atmosphère de la pièce. Un autre porte de couleur sombre par rapport aux murs beiges était à gauche de la cheminée. Seule la poignée en forme de serpent sortait un peu de l'ordinaire et Harry eut l'étrange sentiment que quiconque occupait cette chambre-là n'aimerait pas que le petit garçon aille la déranger.
Résolu à attendre, Harry alla s'asseoir sur un des imposants fauteuils néanmoins confortables.
Et tout à coup, la chose la plus étrange se produisit, l'instant d'avant le petit garçon commençait enfin à se relaxer, l'instant d'après il eut l'impression que sa tête se remplissait soudain de murmures venant de toutes parts.
Harry entendait des voix. Ou plutôt une voix.
Comment cette misérable moldue, osait-elle ? pensa Voldemort avec mépris.
Et jetant un dernier coup d'œil plein de haine au corps avachi à terre, Voldemort se releva avec difficulté, étouffant les gémissements de douleur qui menaçaient de quitter sa bouche. Il reporta alors ses yeux sur ses petites mains ensanglantées.
Etrange. Aurais-je voyagé dans le temps et retrouvé mon corps d'enfant ? Mais une rapide observation des lieux l'informait aussitôt qu'il n'était pas du tout à l'orphelinat. Et il ne reconnaissait pas cette… moldue.
Un miroir dans le hall d'entrée à sa droite attira son attention et sans plus tarder, Voldemort força son corps endolori à se diriger vers lui.
Deux yeux émeraudes.
Et Voldemort poussa un juron à faire rougir Dumbledore.
Mais qu'est-ce qu'il a ce môme ! Il va me laisser tranquille à la fin ? Pourquoi est-ce que tout doit être lié à lui ?
Se forçant à se calmer, le Mage Noir reporta son regard vert calculateur sur son reflet et eut un rictus plein de mépris.
Un corps faible. Visage pâle ensanglanté. Mal nourri vraisemblablement vu comme il flottait dans ses haillons. Ce gosse n'était pas le plus aimé des gamins de ce monde. Des cheveux noirs, longs et en désordre. Ces putains de yeux verts qu'il connaissait désormais par coeur…
Il était Harry James Potter.
Et il avait une cicatrice en forme d'éclair à l'endroit où le sortilège de la Mort avait touché. Traçant du bout des doigts la marque, Voldemort ressentit en effet le résidu de magie noir qui se dégageait encore de l'ancienne blessure.
Les choses avaient, semble-t-il, mal tourné lorsqu'il avait tenté de se débarrasser de Potter Junior… L'enfant semblait avoir trois ou quatre ans mais devait certainement être plus âgé. Deux ans au moins donc s'étaient écoulées depuis cette nuit fatidique…
Le sort avait manifestement détruit son corps et si ses souvenirs étaient bons, il s'était raccroché au premier corps vivant qui lui était tombé sous la main avant que son âme n'ait définitivement quitté le royaume des vivants, y mettant toutes ses dernières forces, toute sa magie dans cet acte de survie.
Il avait fallu que ce corps soit celui de Potter Junior.
Au moins avait-il réussi à échapper aux années couche-culottes et biberons dans son 'inconscience'. Mais c'était faible consolation.
Son instinct de conservation l'avait sauvé, certes, mais en lui drainant une grande partie de sa magie d'où son 'inconscience' pendant ces dernières années dans le corps de son ennemi alors qu'il récupérait. Et pendant ce temps-là Potter vivait chez… des moldus.
Quelque chose clochait définitivement avec ce tableau.
Si comme il le devinait, le bambin était responsable de sa 'disparition', le Vieux Fou aurait dû garder près de lui ce gosse qui manifestait déjà à un si jeune âge autant de puissance.
S'il avait été le Vieux Fou (et que Salazar en soit bénit, il ne l'était heureusement pas), il aurait gardé un œil sur ce prodige, il l'aurait élevé, entraîné dans le but de défendre ses idéaux… autant de puissance ne pouvait qu'être utilisée dans ce but. Il aurait dû en tout cas grandir dans le monde des sorciers…
Mais il vivait parmi des moldus qui le maltraitait.
Et la situation était bien trop familière au goût de Lord Voldemort.
Mais il était de retour.
Et les choses allaient changer.
Lord Voldemort se tenait devant le corps inconscient de la moldue, un rictus méprisant déformant son visage d'enfant. Quiconque pensait qu'il allait rester une seconde de plus dans cette demeure infestée par des moldus de la pire espèce n'aurait eu plus tord.
Pas question de revivre ça.
Il allait torturer ces moldus. Oh oui, il allait les torturer avant de partir. Il fallait qu'il s'échauffe un peu avant d'aller retrouver le Rat, après tout. D'après les images furtives qu'il avait vues, il y avait un autre homme – grand, massif, pas de cou, grosse moustache… absent pour l'instant – et un autre enfant…
Mais il allait d'abord s'occuper de la vermine à ses pieds… Les autres auront leur tour très prochainement…
Déjà divers sortilèges de Magie Noir lui venaient à l'esprit , trop contents de pouvoir enfin se manifester après de longues années d'oubli…
Cutem expedire… ses cris seront délicieux lorsqu'elle sentira sa peau s'enlever petit à petit…
Enervo… il pourrait lui détruire chacun de ses nerfs, un à un…
Angues parere… quelle expression d'horreur aura-t-elle quand elle sentira les serpents qu'elle allait engendrer…
La folie, il pourrait l'amener doucement, délicieusement au bord de la folie… Puis il la fera tuer son propre mari et son enfant…
Et un rire enfantin plein d'euphorie résonna dans la maison du 4, Privet Drive à Surrey.
Levant sa main gauche, un mauvais rictus prêt à accueillir sa victime, il ne lui restait plus qu'à réveiller la Belle au Bois Dormant…
Oh, il allait s'amuser comme un fou…
Vous… vous ne devriez vraiment pas faire ça, M'sieur.
Et Voldemort entendit pour la première fois LA petite voix.
27 mai 2006
OoOoOoOoO
/COURS SE CACHER/ me tuez pas !… gomen ! gomen !
C'était ou s'arrêta là ou attendre la semaine prochaine ! Et au regard des reviews que j'ai reçus, voici la suite tant attendu /GRAND SOURIRE INNOCENT/ Comme les deux scénarios finissaient invariablement par une bonne séance de torture sur ma misérable personne, autant que je me fasse plaisir également !lol
Les dessous du chapitre : Ce chapitre a été evil à écrire, je dois bien dire ! D'où cette longue semaine d'attente, chers lecteurs ! Le chapitre aurait dû comportait au moins trois autres scènes mais cette fin me plaît beaucoup… /EVITE DIVERS OBJETS TRANCHANTS/.
Pourquoi 'evil' ? A cause de la première présentation de la 'chambre commune' où pourront se rencontrer les esprits de nos deux héros par la suite. J'avoue avoir louché sur les 40 volumes de Yu-Gi-Oh de mes petits frères… Mais j'ai ma fierté ! Oui ! Oui ! Ou appelez ça la flegme… lol donc j'espère que malgré tout, le début ne vous a pas apparu trop confus et barbant !lol D'abord deux chambres puis création d'un 'salon commun' quand les deux esprits alternent pour la première fois, plus de détail dans la suite de l'histoire en tout cas. Peut-être un petit récap' de ce fameux 'Royaume' si c'est nécessaire la prochaine fois.
Suggestions ? Encouragements ? Menaces ? Réclamations ? C'est par en bas que ça se passe ! Laissez une petite review, ça me fera plaisir !
Ash.
